Gilbert me craque la craquette et plus...

- Par l'auteur HDS Sherab -
Récit érotique écrit par Sherab [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Gilbert me craque la craquette et plus... Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Gilbert me craque la craquette et plus...
Je m’appelle Nathalie, j’aurai bientôt 50 ans, j’aime la vie et les surprises et je prends soin de ma personne, physiquement et mentalement. J’ai la pêche et ça se voit, ça se sent. Je suis brune aux cheveux courts, j’ai des seins et fesses qui peuvent encore détourner le regard des gars… Parfois des filles aussi. Je suis en couple depuis une bonne douzaine d’années avec un compagnon auquel je ne peux pas reprocher grand-chose. Peut-être un peu d’indifférence en ce moment… Et encore. Nous nous accordons bien en tout point. Nous vivons dans l’harmonie, aussi avec des habitudes bien entendu.

Parmi celles-ci, et il trouve ça ridicule, je m’oblige chaque jour à descendre ma voiture dans le garage souterrain où nous détenons une case fermée. Vendredi dernier, moins pressée que d’habitude, une fois la voiture à l’abri, j’entreprends de ranger un peu mon coffre et, tellement absorbée par mes activités et aussi faute d’un éclairage suffisant, je n’ai pas vu venir à moi Gilbert, mon voisin de pallier, qui se glisse entre le véhicule et le mur du fond pour venir me saluer. Il ne manque jamais de s’enquérir de ma santé et de celle de mon homme dès qu’il m’aperçoit. Nous n’avons d’ailleurs jamais poussé plus loin notre fréquentation, je crois même que nous n’avons jamais pris un seul apéro ensemble.

C’est pourtant un charmant sexagénaire qui s’entretient parfaitement. La silhouette sportive, il sort tous les jours pour un jogging d’au moins une heure, et ce jour-là, à son accoutrement, je vois qu’il est sur le départ. Je me sens un peu cucul de l’accueillir dans cette position improbable offrant au visiteur une paire de jambes dépassant d’un coffre de voiture, mais ça n’a pas l’air de contrarier Gilbert. Je me redresse pour l’accueillir.

Gilbert me tend la main comme à l’accoutumé et au moment de me la lâcher, je sens comme une retenue presque imperceptible, que je prends comme une invitation à me claquer la bise. Bonne poire et pas bégueule, je m’approche, armée de mon plus beau sourire, sans toutefois présumer de la suite. Je ne sais pas si c’est par méprise ou par intention volontaire, Gilbert me prend par les épaules et semble glisser un peu sa bise de ma joue vers mes lèvres. Peu importe, toujours est-il que je me retrouve en 2/2 enserrée dans les bras du beau gosse, ses lèvres scotchées sur ma bouche. Dieu qu’il sent bon ! Délicat, il dépose d’abord ce que j’appellerais un baiser de bienvenue, avec toute la douceur attendue d’une première fois, il jette un œil sur mes réactions en se reculant un peu et ne voyant aucune hostilité, revient à la charge pour une profonde galoche. Il a dû penser que je n’attendais que ça depuis longtemps, je me suis ouverte comme une huître au soleil. Quelle langue ! Il en use en magicien, en prestidigitateur. Gilbert enfourne, explore, joue le retrait et revient comme un dingue. Et moi, qui n’avais à priori rien demandé, je l’accueille, lui tiens la tête pour qu’il reste, le happe, le gobe. Nous sommes littéralement soudés l’un à l’autre en quelques secondes. Bon Dieu que c’est bon d’avoir dix-huit ans !

L’épaisseur de son short ne fait pas mystère d’une belle poutre qui enfle le long de sa jambe et comprime maintenant la mienne. Gilbert se met à me peloter, plutôt maladroitement à travers mes vêtements et sans réfléchir, comme si l’affaire était entendue, pour le mettre à l’aise j’enlève la veste de mon ensemble, ouvre le chemisier et dégrafe prestement le soutien-gorge. Gilbert plonge sur mes seins comme un essaim d’abeilles sur un pot de confiture. Il butine, il lèche, il tète, une main posée sur mes reins et l’autre cherchant à remonter ma jupe légère. Que ses mains sont douces ! Dans la pénombre du fond du garage, nul ne peut nous apercevoir et de toute manière, à cette heure-ci, les voisins sont tous devant le journal de France 3.

- Nous avons peu de temps, ma femme peut descendre d’un instant à l’autre, me susurre Gilbert.

Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Moi qui ne décolle jamais sans avoir fourragé dans le slip du gars, étiré son dard, titillé son gland et malaxé ses couilles, je n’y songe même pas ! Dans l’état où il m’a mise, je ne prends même pas la peine de répondre à sa mise en garde, je descends mon string, remonte largement ma jupe et comme une grosse salope, me glisse à quatre pattes la tête dans le coffre, les bras sur la banquette arrière. Supposant ma croupe bien offerte à la saillie, j’ai la chatte en ébullition.

Qu’il me prenne et qu’on n’en parle plus !

J’imaginais Gilbert galant homme, mais bien au contraire, c’est sans ambage que, les mains accrochées au haillon, Gilbert claque deux ou trois fois mes fesses de son membre pour en valider la fermeté et il m’embroche d’un seul coup de reins. Quelle précision ! Ça fait drôle, il ne me tient pas les hanches, je suis pilonnée sans contact avec l’officiant. C’est troublant et excitant à la fois. Son souffle est posé et régulier et il pilonne au fond, en expert. Je n’entends que le bruit grossier de succion de mon vagin qui distille sa mouille comme jamais et le claquement en cadence de ses cuisses sur les miennes. Cette absence de retenue dans la poussée fait que je boule la tête dans le dossier du siège arrière et qu’il m’appartient d’anticiper chaque assaut de l’étalon pour ne pas trop morfler. Il me ramone admirablement en variant à loisir le tempo. J’aime ça. C’est attentionné, c’est soigné, c’est bon. Malgré mon excitation et ma forte envie de ce mâle impromptu, je n’arrive pas à jouir, j’attends autre chose. Intuitivement, je pense qu’il est dans une phase de préparation, qu’il a un projet pas trop catholique. Mais au diable la religion et ses interdits, je sens mon anus frémir et se dilater, se relâcher. Gilbert le sait, son pouce explore déjà l’étamine de ma rose, y étalant la rosée de ma foufoune.

Au bout d’un bon quart d’heure de cette séance de foulage, d’un seul coup d’un seul, sans préavis, Gilbert passe de la chatte au trou de balle sans rompre le rythme, avec une précision de sniper. Là, je dois dire que je fais « oups !». Sa verge n’est pas disproportionnée, mais pour une première intromission de la journée, je la sens passer. Je serre les dents et c’est seulement après quatre ou cinq allers-retours que le confort s’installe et que je pressens une fin de parcours plus favorable. J’adore la sodomie et depuis fort longtemps, comme dirait mon compagnon, je suis ambidextre du cul. Drôle de formule ! Ce vieil expert de la chose ne reste pas inactif de ses mains. Son pouce, introduit dans ma chatte me frictionne intelligemment le point G, d’une manière trop technique pour être innocente. Gilbert me masse au rythme de l’enculade en synchronisant ses gestes au mouvement du bassin, il reste très à l’écoute de mes encouragements que je dois exprimer en veilleuse compte tenu de la situation.

Me voilà bizarrement prise d’une envie d’uriner, mais je ne veux pas mettre brutalement un terme à cette première rencontre. Je sens bien qu’il ne faudra pas deux heures à Gilbert pour me faire grimper aux rideaux et en même temps m’envoyer sa giclée de jute. C’est incroyable cette endurance. Il ne dit rien, Gilbert baise comme un ouvrier studieux usine avec précision sa pièce sur l’établi. Cette double pénétration me fait monter la fièvre avec une tension inhabituelle, je sens que je vais partir et c’est là que Gilbert dégage son pouce de mon vagin, m’attrape par les hanches et s’enfourne au plus profond de mes intestins.

À ce moment précis, le vide de ma chatte fait que je me relâche et je jouis d’une manière jusqu’alors inconnue. Mon bas-ventre se vide d’une liqueur abondante sur la moquette du coffre, le pare-chocs et les « Running-shoes » de Gilbert. Plus le baudet me défonce et plus ça gicle. Je n’en vois pas la fin. Chaque pression dans mon cul accentue mon orgasme, je mords le dossier pour éviter de hurler comme une dingue. Gilbert manœuvre jusqu’à l’épuisement complet de ma jouissance. À l’écoute de mon dernier râle de plaisir, il lance une ultime profonde estocade et me remplit les tripes de son foutre bouillant. Nous restons deux ou trois minutes sans bouger, juste à savourer, Gilbert est muet. Ensuite, sans même paraître ni un peu essoufflé, ni un peu satisfait, il s’extirpe et prend ses cliques et ses claques aussi discrètement qu’il est arrivé.

En le voyant à travers le pare-brise avant, déclencher son chrono, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer qu’il ne va pas réaliser son meilleur temps de la semaine sur les prochains kilomètres et que ce soir, ce sera tintin. Rien du tout pour sa douce.

Affalée dans la flaque de mes liqueurs, en état de sidération, je reprends mon souffle, étonnée par cet ouragan de sensations qui vient de s’abattre sur moi en si peu de temps. Je me souviens alors de la première impression que j’avais exprimée sur Gilbert lors de mon emménagement, il y a quelques années : « Il me paraît très bizarre ce gars, il ne doit pas faire les choses comme tout le monde. »

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