Gisèle 12
Récit érotique écrit par Emile Hubert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Gisèle 12
P J'avais eu le temps de faire le point pendant ces quelques jours d'absence de Gisèle. La situation devenait très complexe. Même si mon attirance pour les hommes ne se démentait pas, l'expérience de la vie en couple avec l'un d'eux m'avait refroidit. Plus question de cela… et de plus il me fallait me rendre à l'évidence, je crois que j'aimais toujours mon épouse. Qu'importe ses frasques, qu'importe les miennes, je crois que tout ce que je désirais c'est continuer notre vie commune. Pour cela j'étais prêt à toutes les compromission et toutes ses volontés. Dès que je la vis à sa descente d'avion, je compris que quelque chose clochait. Je ne m'étais pas trompé et elle me raconta tout en pleurant dès que nous fûmes à l'intérieur de notre voiture. Pour avoir joué un jeu incertain nous allions nous brûler les ailes. Comment faire ? Comment éviter le pire ? Bon ! Notre décision fut prise. Elle allait tenter de fléchir l'infâme Roger. Si elle n'y parvenait pas notre seul recours serait la police et … le scandale qui ne manquerait pas de suivre. Un déménagement serait le prix à payer pour notre salut… alors….
G Alors… comme je le pensais Roger me "convoqua" quelques jours plus tard. Pensant que l'on était moins cruel avec une jolie femme, je mis que paquet ! Nue sous mon ciré je me rendis chez lui. Et là, que vis-je en arrivant à sa porte… des scellés… apparemment posé par la police. Je filais sans demander mon reste. Philippe à mon retour fut aussi surpris que moi et fiévreusement nous parcourûmes les journaux locaux. La seule chose qui nous interpella fut la relation du démantèlement d'un réseau de proxénète qui "expédiait" leurs victimes à l'étranger. Pas de nom bien entendu dans l'article. Je fis le dos rond pendant plusieurs jours pendant échapper aux investigations policières. Peine perdue, bien évidemment je me vis convoquée en qualité de témoins. Je dus à ma grande honte avouer mes relations extra conjugales. L'inspecteur, en deux mots m'indiqua que la spécialité de Roger était de séduire des femmes (naïves précisa-t-il) et tout bonnement de les expédier dans divers pays ou elles étaient livrées à la prostitution. D'après le policier je l'avais échappé belle. Je ne pus échapper à un sermon sur le choix de mes relations. Je m'en tirais bien… mais peu fière….
P La suite de notre histoire… il s'écoula trois ou quatre semaines ou Gisèle réapprîmes à vivre ensemble… en douceur…. Jusqu'à ce que Sébastien, un des amants de Gisèle reprenne contact. Il voulait nous dit-il nous inviter un soir à dîner tous les deux.
G Philippe à raison, nous nous réhabituâmes à vivre tous les deux et je crois que ni l'un l'autre ne voulions faire autrement même si nos sens nous attiraient vers l'extérieur avec la débauche comme exutoire. Mon mari tenta même plusieurs fois de me combler. Il y arriva… avec la langue… et petit à petit, lentement mais sûrement, le démon du sexe me tenailla de nouveau. Je commençais même à regretter aussi Roger. Mais, revenons à nos moutons et cette période qui fut quand même une époque de jeûne en qui concernent les galipettes. Sébastien était l'un des comparses de Fabrice, je vous en ai déjà parlé. Il était de plus un baiseur impénitent et le revoir ne me déplaisait pas. De plus je me demandais quel avait été son rôle auprès de Roger pendant cette période. Donc cette invitation un peu bizarre fut acceptée. Je fit sobre, jupe droite, chemisier blanc, gilet boutonnée en V, bas fumé, slip et soutien gorge blanc également. En arrivant au restaurant, je le vis immédiatement accoudé au bar, nous attendant non pas seul comme je le pensais, mais en compagnie de quelqu'un d'autre qui nous tournait le dos. Même de dos, je l'aurais reconnu en mille…. Fabrice… l'immonde Fabrice… mon mentor pervers… l'amant vicieux qui peuplait mes rêves de moiteurs équivoques…. Il était là ! Il ne parut pas surpris de nous voir. Je suppose que tout était bien convenu avec son ami.
P Je ne fus pas très heureux de le revoir. Il représentait l'écharde de bois qui enfoncée dans un doigt est très gênante même si elle ne fait pas souffrir le martyr. Gisèle à l'inverse fut très contente de le revoir. Je le vis tout de suite…. Je vis aussi dans ces yeux à lui qu'il ne songeait qu'à une chose : se la faire….
G Nous nous installâmes au bar pour l'apéritif. J'étais assise sur un haut tabouret parallèlement au bar. Sébastien s'y tenait accoudé derrière moi et Fabrice me faisait face. Philippe, lui verre à la main était perpendiculaire à moi. En fait j'étais entourée par les trois hommes. Chacun donna de ses nouvelles, enfin plutôt des banalités et autre généralités que de réelles informations sur nos activités. Comme par inadvertance, Fabrice posait souvent nonchalamment la main sur mon genou. Un peu gênée, je pris le parti de ne rien laisser paraître comme si j'étais la seule à ne pas remarquer son petit manège.
Nous passâmes ensuite à table. Mais avant de prendre place, Fabrice me souffla à l'oreille d'aller retirer mon slip. Abasourdie, je m'exécutais vite prétextant un principe de précaution avant le repas. A cette table ronde, je fus placée entre mes deux anciens amants avec Philippe en face de moi.
P Petit à petit la conversation se fit plus intime avec de fréquents rappels à leurs visites chez nous. Gisèle rosissait souvent à ces évocations ciblées. Petit à petit, également, les deux jeunes hommes se rapprochaient d'elle, si bien que je fus pratiquement vite seul de mon coté de table. Je remarquais aussi que les deux hommes ne mangeaient plus que d'une main… et que ma femme se tortillait sur sa chaise visiblement mal à l'aise.
G C'est vrai la conversation avait glissée…. Fréquemment, ils rappelaient à mon bon (très bon) souvenir mes jouissances et les façons qu'ils avaient tous de "se farcir une belle femme mure si disponible". Ils lâchèrent quand même des informations intéressantes. En fait Fabrice n'avait jamais digéré son passage à tabac (entre autre). Il s'était juré d'avoir sa revanche et Sébastien avait joué le rôle de la taupe le renseignant sur les vraies activités de Roger. Le reste avait été facile une petite dénonciation bien étayée auprès de la police et hop ! S'en était fait des Russes, renvoyés vite fait chez eux et aussi de Roger, prévenu in extremis par ce "bon" Sébastien et que l'on ne reverrais pas de sitôt puisque sous le coup d'un mandant d'arrêt. Il y avait quand même une question qui me taraudait. Les photos… ou étaient-elles passées ? Je n'osais, bien entendu mettre le doigt sur ce problème. En attendant, plus la conversation déviait, plus ils se rapprochaient de moi… à me toucher…sous la table…. Des mains, une de chaque coté commencèrent à me caresser le genoux et à retrousser ma jupe avant de s'emparer d'une cuisse. Comme vous vous l'imaginez elles ne stoppèrent pas là. Le prévoyant Fabrice qui m'avait demandé de quitter ma culotte l'avait bien fait à dessein…. Des doigts s'immiscèrent…. Je fermais les yeux….
P J’ai vu Gisèle fermer les yeux alors j’ai regardé sous la table… les deux salauds lui fouillaient la chatte de leur doigts, ils se mélangeaient dans entre ses cuisses. Fabrice lui a demandé de toucher leur sexe :
"Touche nous la bite Pupute, devant ton mari ! Montres-lui quelle salope tu es ! Dis lui que tu as envie de nos grosses queues, qu’on te baise et qu’on t’encule…"
Gisèle m’a regardé droit avec un regard vitreux et m’a dit la voix tremblante d’excitation :
"Ils ont des queues bien dures comme je les aimes, bien grosses aussi…. Je veux qu’ils défoncent ma chatte et mon cul et que tu me regardes …. Tu veux bien ?"
Je m'entendis répondre :
"Oui allez-y … elle n’attend que ça!" je me mis même à avoir une érection en disant cela.
Pendant qu'ils avaient commencé à la branlaient avec leurs doigts, elle les caressaient à travers leur pantalon, en leur répétant ces mots :
"Je vous veux…. Je serais à vous comme une vrai salope…."
Les clients de derrière se sont retournés avec un regard courroucé ! Quelle déchéance !
G S'en était fait de moi… ce soir je serais à eux deux, comme au plus beaux jours…. Mes orifices gourmands n'attendaient que d'être emplis. Pourtant, ils devraient attendre….
"Allez on bouge… on va aller prendre un verre !" a dit Fabrice. Puis, comme il l'avait fait tout à l'heure, il me susurra d'aller retirer mon "chemisier et mon soutif". Je retournais aux toilettes et fit comme il me l'avais demandé ne gardant que mon gilet. Le problème, enfin, pour moi, était que celui-ci, en plus d'être très échancré, ne se boutonnait qu'à partir de l'estomac... donc….
P Quand je vis Gisèle revenir dépoitraillé, je me suis demandé si elle ne devenait pas folle, puis je réalisais que si elle se comportait ainsi c'était sur la demande de ses ex et futurs amants. Je compris aussi que cette fois, vraisemblablement, ils avaient prévu de l'exhiber en guise de préliminaire. Sébastien a alors proposé qu'ils montent tous les deux avec elle a l'arrière de la voiture. Je jouais donc les chauffeurs et les voyeurs (une fois de plus). Les trois ne se gênaient plus. Les deux se sont sucés les doigts pour tester le goût de sa chatte. "Qu'est-ce qu'elle mouille sa salope ! Elle a bon goût ta chatte ma grosse ! J'ai hâte de te la ramoner !". Ça, c'était Fabrice et sa délicatesse habituelle… enfin celle que ma femme adorait. Il m’a regardé dans le rétroviseur et m’a dit "Ta femme est trempée ça promet, on va pouvoir l’enfiler tranquille ! Qu'est ce qu'on va lui mettre !".
G En fait ils passèrent le trajet à me masturber et à me dire des ignominies sur ce qu'ils comptaient me faire subir. Ils choisirent bien sûr de le faire dans un langage des plus inconvenant.
Nous parcourûmes, je crois une vingtaine ou trentaine de kilomètres et la voiture s'arrêta dans la grande cour fermée d'une grande ferme carrée. Des véhicules s'y trouvaient déjà. Fabrice sonna... le judas s'ouvrit puis la porte s'ouvrit... Deux videurs, taillés comme des mastodontes nous laissèrent pénétrer. Nous descendîmes au sous sol. L'intérieur, comme souvent en boite était assez tamisé et sombre et comportait une partie bar, une piste de danse et des petits boxes. Sébastien commanda à boire et nous précéda un box libre. Il m'invita ensuite à danser. Me tenant par la taille il me fit avancer vers la piste. Tout en dansant il se mit à me caresser les seins tout d'abord sous le gilet, puis le trouvant sans doute gênant, il en écarta le décolleté en prenant bien soins que mes seins restent nus. Je tentais de me serrer contre lui. Au moins là, ils seraient invisibles. Justement il s'écarta un peu de moi. Son intention était bien que tout le monde les admire. Comme j'objectais il me fit remarquer la conduite des autres danseurs engagés dans des flirts ma foi assez poussés. Là une femme avait passé la main dans la braguette de son partenaire. Ici, visiblement une femme se faisait masturber sur la piste, tout en dansant. Là, en bordure de la piste il y avait un couple dont la femme tournait le dos à la piste et dont le cavalier avait complètement retroussé sa jupe de façon à ce que l'assistance ait une vue imprenable sur son fessier. Enfin que je dis "vue imprenable" à la condition d'être près d'eux car derrière la femme se trouvaient quatre ou cinq types qui visiblement avaient reçu l'autorisation de s'accorder quelques privautés sur le postérieur offert car ils ne cessaient pas de la peloter. Donc, moi, juste avec les seins nus….
P En compagnie de Fabrice, je regardais l'assistance se débrider au fil du temps. La piste dite "de danse" était plutôt devenue un lieu d'exhibition et ma femme y tenait sa place. Je trouvais Gisèle diantrement belle anis seins nus… pour un peu…. Je vis revenir le couple vers notre table le temps que Gisèle boive un peu de son cocktail que déjà Fabrice l'avais invité pour, j'allais dire une nouvelle danse, mais en fait plutôt une nouvelle partie de pelotage. Je pense qu'ils voulaient la pousser au comble de l'excitation. Cela me fut confirmé par Sébastien.
"Tu vas vois comme elle va être bonne, après tout çà ! On pourrait lui faire faire n'importe quoi ! Même la faire baiser par toute la boite !
G Après m'avoir copieusement caressée (même sous ma jupe) Fabrice me ramena vers notre box… les seins toujours à l'air naturellement. Non content, Fabrice exigea que je remonte complètement ma jupe autour de ma taille de façon être assise fesses nues sur la banquette. Le pire fut qu'ils voulurent que j'écarte les jambes révélant ainsi mon intimité à tous les clients et clientes de la boite qui passaient devant nous. Certains s'arrêtèrent même pour apprécier le spectacle. JE le voyais dans les yeux de Philippe, me voir ainsi, si impudique produisait sur lui un étrange mélange de honte, d'envie et de dégoût. Mais je ne pus répondre qu'affirmativement à la question de Sébastien.
"Je suis sûr que tu as envie de te faire branler… devant tout le monde !"
Puis s'adressant à mon mari
"Elle est belle, hein… comme cà… ta petite femme !
Il acquiesça….
Quelques hommes s'arrêtaient pour demander quelque chose à voix basse à Fabrice qui était le plus près du passage des joyeux fêtards. Il chaque fois ces hommes repartaient déçu devant les dénégations de Fabrice. Il nous expliqua qu'à l'arrière de la boite, derrière une porte mal dissimulée près du bas se trouvaient des pièces vitrées dépourvues de portes ou des conjoints ou amants pervers pouvaient partager ou offrir leur compagne en ayant toute liberté du nombre de rapports (simultanés ou non) qu'ils souhaitaient leurs voir endurer. Les yeux de ma femme brillaient….
G Je compris vite que ce ne serait pas pour ce soir. Par contre, il me promirent de me ramener ici et que je choisirais moi-même quelques participants… enfin en tous cas les premiers…. Comme pour compenser ils décidèrent "qu'il était temps d'aller baiser !". Arrivé à la voiture, je dus quitter ce qui me restait de vêtements et les mettre dans le coffre que Philippe fut invité à ouvrir. Je n'eus pas le temps d'avoir froid pendant les trajet de retour jusqu'à chez nous. Des mains s'occupèrent de bien me réchauffer et de bien m'échauffer, en détail, en surface et en profondeur. Je fus même empalée sur deux doigts tendus pour m'auto sodomiser au rythme des cahots de la voiture. Conseils fut même donné à Philippe (qui le suivit) de passer par une grande place encore pavée. Il en fit trois fois le tour…. Enfin la maison ou je du rentrer toujours vêtue, si l'on peut dire, de mes dim up fumés.
P Dès qu'ils furent rentrés ce sut du délire, elle se retrouva enserrée entre les deux hommes qui tout en se mettant nus la caressait exagérément à qui mieux mieux. Je pouvais voir leurs bouches dans son cou, sur sa nuque, ses joues, s'écrasant sur ses lèvres. Je les voyais la lécher ou enfoncer leurs langues dans sa bouche et que dire de leurs mains….
G Ha leur mains…. Elles me parcouraient en tout sens, échauffant les miens… Sébastien me tenait d'une main par les cheveux pour me rouler des patins féroces ou pour me faire tourner la tête pour que Fabrice fasse de même et de l'autre il me pétrissait un sein. Fabrice lui s'était spécialisé dans le bassin, une main me flattait l'entrejambe et l'autre la raie culière. Je perdis complètement pied n'attendant qu'une étreinte sauvage de la part de mes deux amants préférés. La volupté et la sensualité seraient pour plus tard. Présentement ce que je voulais c'était du sexe, de la bite, de la queue… et j'en eus….
S'asseyant sur le canapé Sébastien m'attira à lui. Vite je m'introduisis son membre dans ma chatte surchauffée et me mis à le chevaucher. Il m'arrêta… oh, pas très longtemps… juste le temps que Fabrice dilate un peu le conduit jumeau et s'y engouffre d'une poussée très, mais très virile… juste comme je l'attendais ! Ils me limèrent véritablement et j'eus deux orgasmes rapprochés avant de les sentir se soulager en moi. Cet acte un peu animal nous avait un peu calmé. La fureur s'estompa un peu et c'est devant deux partenaires ravis que je m'agenouillais sans que l'on me le demande pour les sucer à tour de rôle pendant que Philippe nous regardait. Malgré la double pénétration de tout à l'heure, c'est encore en sandwich qu'ils comptaient abuser de moi. Cet fois je m'empalais coté pile sur le gros mandrin de Sébastien, m'appuyais de dos sur celui-ci et levait les jambes afin que Fabrice puisse m'investir le coté face.
P Je trouvais que ma femme, décidément avait de la ressource et même si elle se conduisait comme la dernière des dernières, elle semblait tellement heureuse que j'étais prêt, comme à l'habitude, à tout lui pardonner, voire même à l'encourager. Après tout, j'avais des torts vis-à-vis d'elle, et puis, n'avais-je pas été à l'origine de ces débordements. Alors à force de jouer à l'apprenti sorcier….
G Assouvis tous les trois, cette fois par ce second double, mes amants prirent congé sur un laconique "A bientôt Pupute !" lancé par Fabrice.
Pour être bientôt, ce fut bientôt… car le mardi soir suivant un coup de sonnette vint interrompre le train-train quotidien. Fabrice… oui, encore lui et seul….
P Un peu interloqué de cette visite impromptue, je priais notre visiteur d'entrer et lui offrit un verre. Nous trinquâmes, évidemment, "A Gisèle !" qui rosit de plaisir. En substance, Fabrice nous déclara :
"Je suis venu vous voir pour vous demander si vous voulez que nous recommencions comme avant !".
Devant notre air interrogateur il continua :
"Oui, je crois que vous aimez çà tous les deux, être dominés par un groupe de jeunes, je me trompe ? Toi Philippe, vu tes goûts, jouer les voyeurs et voir ta femme se dévergonder doit te consoler ! Quand à toi ma belle, vu comment tu prends ton pied, tu ne peux pas dire le contraire ! Je crois que vous fonctionnez comme ça l'un obligé de voir sa femme se débaucher et l'autre, bien obéissante, obligée de se laisser faire devant son mari… n'est ce pas ?"
Force est de constater qu'il avait raison, donc nous acquiesçâmes.
"Alors les choses sont simples, voulez vous à nouveau m'être soumis comme par le passé ?"
Le souvenir des aventures glauques me fit hésiter. Un peu lâche et mal assuré je répondis :
"Moi, je suis moins concerné que Gisèle, c'est plutôt à elle qu'il faut demander !"
Je la vis rougir jusqu'aux oreilles et hésiter. Pourtant la lueur de ses yeux l'avait trahie… incertaine elle bafouilla :
"Je… je … je, oui… je veux bien essayer…."
G Oh le sourire victorieux de Fabrice ! Pourtant les choses n'étaient pas finies puis qu'il poursuivit :
"Mais… quand je dis comme avant, c'est comme avant ! Pour que tout redevienne vraiment comme avant, il y a un petit hic…les photos…."
Ah ces fameuses photos dont j'appris par la suite qu'elles avaient été récupérées par Sébastien.
"Oui ces magnifiques photos prises par ton mari, il faudra que je les remette en ligne, ne trouves-tu pas ? Comme cela vous serez forcés d'être bien docile et de filer doux… et c'est bien pour cela que je suis venu, pour vous demande l'autorisation de vous faire chanter. Alors ? Philippe ?
P "Encore une fois, c'est à Gisèle de décide"r
"Allons, allons il y a quand même des choses que, peut être, tu ne veux voir faites par ta femme ?"
"Certainement… mais je confirme, je me rangerais à son avis."
"En ce cas, Gisèle ?"
G Il fallait que je me décide. Un silence pesant s'installa. Le bon sens aurait voulu que je refuse cette "proposition" de peur qu'il ne veuille allez trop loin. Mais mes sens à moi me faisaient pencher vers une acceptation inconcevable. J'avais trop envie de revivre ces instants de perversion et aussi d'avilissement. Honnêtement (peut être pas après tout) il me prévint :
"Attention Gisèle une fois les choses enclenchées, pas de marche arrière… je serais intraitable, mes envies contre le scandale… et à la moindre désobéissance…. "
Quelqu'un, à moins que ce soit moi à mon insu, dit d'une voix tremblante :
"C'e… c'est… c'est o… c'est oui…. C'est d'accord…!"
Je vis le visage de Philippe se crisper. Je pense qu'il aurait préféré mon refus et à vrai dire je regrettais immédiatement mes paroles. En un éclair je me vis en mini jupe arpenter du bitume….
Fabrice s'étira en murmurant "Bien, bien…."
P S'adressant à Gisèle, il lui dit :
"Bon allez… commence par me virer ce ridicule tee-shirt !"
Il était vrai que comme nous n'attendions personne, elle était vêtue d'un jeans et d'un tee-shirt. Elle le fit passer par-dessus sa tête.
G L'ordre suivant claqua :
"Le soutif aussi !"
Je le dégrafais et demeurais le torse nu.
"Bon que je vous explique ! Dès demain le site sera ré ouvert. Je considère désormais Gisèle comme ma chose, en tout cas je la veux en priorité soumise à mes caprices et mes envies et toi Philippe, tu as intérêts à filer doux. D'ailleurs en plus de ton rôle de photographe, j'aurais peut être aussi de l'occupation aussi pour toi. Ne soit pas inquiète ma petite Gisèle, tu vas pas t'ennuyer… j'ai beaucoup d'imagination et… mes amis aussi…. Dis moi Philippe, je suppose que tu ne verra pas d'obstacle à ce que je la partage ou que je te prête à des inconnus… ?"
Je vis mon mari hocher la tête.
"Tu vois ma petite Gisèle, ton gentil mari est d'accord. Toi, je ne te le demande même pas … de toute façon ce n'est pas nécessaire, tu peux te préparer à ouvrir les cuisses… et le reste aussi d'ailleurs. N'est-ce pas que tu vas être bien disciplinée ?"
"Oui…. Oui Fabrice. Je… je t'obéirais….."
"Tu vas voir, tu n'auras jamais autant baisé !"
De toute façon c'était déjà le cas….
"Tiens, en attendant, viens me faire une petite turlute !"
Je vins m'agenouiller entre ses jambes, le débraguettais, et tout en caressant ses lourdes couilles, je me mis à lui faire une fellation des plus expertes.
P Pendant que Gisèle suçait sans relâche, il en profita pour manifester ses exigences. À partir de ce soir, il se réservait le droit de "convoquer" ma femme pour un moment, une soirée, une nuit, un week-end ou même quelques jours où elle servirait, entre autre, à son usage personnel. Bien sûr, il déciderait de la tenue qu'elle devrait porter et il exigea :
"Et puis, changes de coiffure… il est temps que tu fasse moins sage et puis, change de couleur aussi !"
Retirant son membre de sa bouche elle lui précisa en plaisantant qu'il n'était pas question qu'elle devienne blonde ! Un laconique "Et pourquoi pas !" des plus sérieux lui répondit…. Elle reprit sa succion et ne l'interrompit plus jusqu'à ce la semence de son amant lui emplisse la bouche.
G Quand j'eus tout avalé et bien léché sa pine, Fabrice s'étira de nouveau, comme de bien aise et il annonça :
"Samedi, on fait comme au bon vieux temps… dans l'aprem on vient tous les six…."
Mon cœur fit un bon dans ma poitrine… déjà, les six… enfin… les six. Il ajouta à l'intention de Philippe :
"Prépares à boire, et cette fois-ci…champagne ! Nous avons des choses à fêter. D'abord nos retrouvailles avec la délicieuse petite Madame B et puis autre chose encore !"
Il partit, sur ces bonnes paroles nous laissant ainsi… me laissant ainsi… inassouvie…. Ironiquement, en partant il m'avait dit :
"Tu n'as qu'à te faire reluire par ton mari… et s'il n'en est pas capable, débrouille toi toute seule !"
Le salaud !
Dès le lendemain, en cachette, depuis mon bureau, je me jetais sur LE site. Fabrice n'avait pas menti. Les galeries étaient là…. Enfin, quand je dis "les" galeries, je devrais dire "mes" galeries puisque j'étais l'unique sujet ainsi exposé. Toutes les autres avaient disparues. Rougissant de honte et de plaisir, je visionnais de nouveau mes exploits en me disant que tout allait recommencer… en pire si j'avais bien compris. Les trois jours qui suivirent, mon supplice alla crescendo. Mise à la torture, je ne pouvais m'empêcher ni de penser sexe, ni de rêver sexe. Je n'eus aucun mal à obtenir un rendez-vous chez ma coiffeuse qui un peu surprise remodela ma coiffure dans un style moins sage et surtout me fit une coloration acajou beaucoup plus marquée qu'à l'habitude. Une fois que son travail fut achevé je me regardais dans son miroir. Pas de problèmes, je faisais moins, beaucoup moins sage. La coiffeuse me proposa une teinture pour "assortir" ma toison avec ma chevelure. Je la fis rougir en lui affirmant, en la regardant bien dans les yeux, qu'en bas, il était impossible de déterminer si j'étais blonde, brune ou rousse….
Le vendredi, je fis, moi aussi, comme avant : "j'oubliais" de mettre un string et déambulais ainsi savourant ce plaisir caché à la vue des lycéens et des lycéennes qui peuplaient les couloirs. J'allais même, deux ou trois fois me caresser dans les toilettes. Enfin ce fut le samedi, le jour de toutes mes attentes. La veille au soir j'avais sectionné la photo d'une pornstar qui me parut particulièrement… disons, désirable. Une fois maquillée à l'identique, je ressemblerais à ce que je souhaitais et ce qu'ils attendaient… une pute. Ce fut bien le cas. Ils seraient contents… ou tout du moins excités, c'est ce que j'espérais. Porte jarretelle, bas noir et talon aiguille vinrent compléter (si l'on peut dire) ma tenue. Je devais avoir mis la barre assez haut, puisque mon mari évitait mon regard ourlé de faux cils. Il connaissait, lui, mes sentiments à l'égard des agissements de Fabrice et de ses comparses. Je lui avais révélé en termes, disons, "choisis". qu'en fait je n'étais qu'une grosse salope qui aimait ce faire fourrer par de gros zobs. Que je devenais encore plus vicieuse quand on m'obligeait à faire des cochoncetés. Que j'adorais être soumise et contrainte par des types qui me fourraient en même temps par tous les bouts. Que j'aimais que l'on me force à n'être plus qu'un objet de luxure dont on pouvait abuser à loisir…. En bref que j'aimais le sexe… masculin et féminin… et surtout qu'on me l'impose, que je n'ai pas moyen d'y échapper, de me dérober aux pires perversités, d'esquiver déchéance et humiliations. J'avais avoué aussi mes préférences… être pris à quatre pattes, baisée ou mieux, sodomisée et voir autour de moi des hommes queues tendues s'approcher pour m'en enfourner une ou deux dans la bouche et voir que d'autres attendaient leur tour…. Voilà ce que j'aimais et tant pis pour le jugement que l'on pouvait avoir de moi.
P Je la voyais, tendue comme une corde de violon, revivant…. Elle s'attendait, bien sûr, à redevenir leur jouet et l'objet de tous leurs délires et de toutes leurs extravagances perverses. Résigné à la voir être humiliée, j'avais préparé mon appareil photo et le champagne. En rangeant celui-ci au réfrigérateur, je notais qu'elle avait acheté un concombre, se rappelant sans doute les reproches qui lui avaient été faits. Il me parut énorme…. Il faudrait quand même qu'un jour tout s'arrête….
G Mon attente fut longue, ils n'arrivèrent que vers quinze heures. Ils étaient tous là Fabrice, Sébastien Alexis, Jérôme, Cyrille, Kevin…. Visiblement satisfait de mon accoutrement, ils firent cercle et leurs mains se firent baladeuses, leurs doigts glissant entre les lèvres de mon minou ou dans le sillon de mes fesses. Évidemment leurs propos furent à l'unisson de leur comportement. Ils me demandèrent si "Pupute était en forme !", ou si "la grosse avait envie de se faire enculer !", ou encore, si "j'étais décidée à être plus salope que jamais !". A toutes ses paroles blessantes destinées à me bafouer, à me déconsidérer, à me rabaisser, je répondis par l'affirmative tous sens en émoi. Ils déplorèrent l'oubli que j'avais fait : mon plug. En riant il m'avertirent qu'ils se feraient un plaisir de m'élargir eux même. Ils se mirent à se déshabiller de concert. Je savais ce qui allait suivre. La tournée générale… de pipe bien sûr. Une main me pesa sur l'épaule. Docile je tombais à genoux au milieu de mes amants. Les sexes se rapprochèrent…. Je m'en saisis, une dans chaque main, une dans la bouche, puis deux qu'ils m'imposèrent. Ils voulurent trois… impossible ! Je me multipliais pour offrir de plaisir à chacun. Les bites se frottaient contre mon visage, mon cou, dans mes cheveux. J'étais heureuse… et enfin ils me firent relever.
P Avisant une chaise de salle à manger, l'un d'eux la plaça au milieu de la pièce. Ils la firent mettre à genoux dessus, cramponnée au dossier et le bassin tendu vers l'arrière. Fabrice se positionna et la pénétra d'un coup. Elle râla… assez peu d'ailleurs, puisque par-dessus le dossier une verge fut imposée à ses lèvres. Une fois de plus je la vis jouir et les deux hommes se soulager en elle. Jérôme prit la place de Fabrice et Sébastien celle d'Alexis dans se bouche. Là aussi elle jouit en ahanant et se fit emplir de nouveau. Cyrille prit pour la troisième fois sa bouche et Kevin son vagin.
G Kevin, comme les précédents, se mit à me baiser farouchement, souvent d'ailleurs, lui aussi, en me tenant par les seins qu'ils adoraient malmener. Puis tout d'un coup il enfonça son pouce, préalablement enduit de salive, dans mon anus, forçant mon anneau à s'ouvrir. "Ça y est !" pensai-je. J'allais être de nouveau sodomisée. J'avais raison et ses deux pouces finirent de me distendre… et sa bite suivit ! Il entama ensuite un con/cul pendant que je me déchaînais sur la queue que j'avais en bouche, mais aussi au fond de la gorge. Finalement, comme les autres c'est dans la chatte qu'il se répandit. Sous ses assauts j'avais jouis deux fois. Cela faisait quatre depuis début de l'après-midi.
P Comme auparavant, ils gagnèrent tous notre chambre. Piteusement je suivis, sachant bien que les choses allaient se corser. Ils la prirent en sandwich, deux par deux… deux fois en levrette et une de dos. Elle gémit, râla, geint et cria aussi quand elle le put. Quand des bouches ne prenaient pas la sienne. Quand des doigts ne se faisaient pas sucer. Le nombre de ses orgasmes… impossible de le savoir, mais elle termina cette séquence dans un drôle d'état. Je pense qu'elle était incapable de refermer les cuisses dont l'intérieur était maculé de traînées blanchâtres. A priori du foutre sourdait aussi de ses reins. Son beau maquillage n'était plus qu'une ruine autour de ses yeux bouffis. Complètement échevelée tout son corps était marqué de traces rouges, là où les hommes l'avait empoignée. Il était clairement visible que ses gros seins avaient eu la cote.
G Avant de me convier à boire le champagne en leur compagnie, ils me commandèrent d'aller me refaire une beauté. Ils complétèrent leur demande en exigeant que je ne m'essuie pas ni le sexe ni l'anus. Ils me voulaient belle, mais sale…. Houuuuu la tête ! Pour un peu on aurait pu croire que j'avais fait l'amour tout l'après midi…. Je m'arrangeais donc et les rejoignis à la cuisine en me rendant compte que le mélange de foutre et de mes diverses sécrétions atteignait mes bas. Je dégoulinais en fait, puisque, déjà, neuf éjaculations avaient souillés mes orifices (sans compter ceux que j'avais sucés). Ils avaient amené de quoi se restaurer un peu et déjà deux des bouteilles que Philippe avait mise au frais étaient débouchées. Privée de chaise, encore une fois, je passais de genoux en genoux, de mains en mains et de doigts en doigts. Mes mains non plus ne restèrent pas inactives et se refermaient bien volontiers sur des membres qui ne demandaient qu'à renaître de leurs cendres. Ni ma bouche, ni ma langue ne restèrent non plus inactive pour pouvoir répondre aux baisers enflammés et salaces de mes amants. C'est là qu'ils me mirent au courant de leurs projets. A eux six ils avaient fondé une petite société et racheté un local commercial qu'ils escomptait rouvrir en sex-shop en tenant la boutique à tour de rôle. Là ou je fus concernée c'est que Fabrice m'avertit qu'il comptait sur moi, de temps a autre, comme "animatrice" du magasin auprès des clients. Ils se plurent à m'imaginer au milieu des pervers et autres obsédés. Philippe fit vraiment grise mine… mais le moyen d'y échapper, et puis… et puis j'avais d'assez bon souvenir du magasin d'Hassan…. La seconde nouvelle fut qu'à part Fabrice, chacun des autres allait tenter de dénicher une "vieille salope". Il apparut que je leur avais donné des idées. Ces femmes mures, contraintes ou non, seraient bien sûr partagée entre les membre (si j'ose dire) du groupe. Bien naturellement, pour le plaisir de ces messieurs, il va sans dire que nous serions également invitées à nous gouiner mutuellement…. Comme dit Sébastien :
"Cela ne devrait pas trop te gêner si je me rappelle bien !".
Il se rappelait bien… le souvenir de Nadine et de Katherina refit surface….
Ouvrant à nouveau le réfrigérateur pour prendre une autre bouteille, l'un d'eux s'avisa de la présence du concombre que j'avais acheté au cas où…. Vous pensez bien que cette présence fut vite exploitée et je me retrouvais vite sur ma table de cuisine, jambes ouvertes en V et le sexe garni du légume imprudemment acheté. Je dis imprudemment, à cause de sa taille, puisque après l'avoir utilisé par devant, ils voulurent l'utiliser, et y parvinrent, par derrière. Malgré les sodomies dont j'avais fait les frais, ma rondelle dut être un peu forcée pour admettre l'imposant diamètre. Finalement, il coupèrent le concombre en deux (sa taille le permettait) et me masturbèrent de concert les deux orifices. Jamais à court d'idée quand il s'agissait d'obscénité, ils ôtèrent les morceaux de cucurbitacé. Me maintenant dans la même position, je perçu à l'entrée de mon anus béant le froid d'un goulot.
P Ces pervers, tout bonnement envisageaient de lui introduire le goulot d'une des bouteilles de champagne. Je voulus (timidement) m'interposer et fut vite réduit au silence sous peine de prendre sa place.
Le goulot disparut assez vite entre ses fesses et ils poussèrent encore comme pour tenter de lui en enfiler le plus possible. Elle protestait, criant "qu'elle ne voulait pas !" ou "qu'il allait la blesser !". Je crois que cela les faisait encore plus rire et comme pour se venger de ces dénégations ils lui malaxaient les seins sans douceur. Ma pauvre femme….
G De toute évidence, ils ne parviendraient pas à leur fin. Je le entendis dire que je n'étais pas assez large et en firent, en guise de plaisanterie, des remarques faussement acerbes à Fabrice. Celui-ci promis de se pencher sur le sujet…. L'un d'eux s'écria :
"Hè les mecs, j'ai une autre idée !"
Les connaissant….
Ils retirèrent délicatement le goulot de la bouteille qu'ils me firent lécher. Pendant ce temps je sentis, toujours au même endroit, la sensation d'un vert froid. Cette fois, ils étaient clairement entrain de m'enfoncer une bouteille dans le cul. Certainement, il s'agissait d'une bouteille de bière. Malgré la peur du bris de verre, je me détendis un peu. Voyant que j'étais gagnée à leur perfide entreprise, ils me mirent perpendiculaire à ma table et tirant me bras en arrière, je dus branler deux hommes. L'un d'eux m'avais prit les seins à pleines mains et me suçait les tétons. Fabrice prenait de petite goulée de champagne et me faisant ouvrir la bouche me recrachait le précieux liquide sur la langue. Il laissa sa place à un autre qui me renversa la tête vers l'arrière et logea sa bite contre mon palais.
P Visiblement tous étaient de nouveau bien échauffés. Ils décidèrent de remonter dans notre chambre. Je suivis le groupe toujours chargé de photographier la déchéance de ma moitié. Arrivé en haut, Jérôme, le plus costaud de tous la colla contre la cloison. Lui ayant fait passer un jambe autour de ses reins, il n'eut aucune difficulté à l'embrocher contre le mur. Encouragé qu'il fut par les autres, il la souleva complètement du sol. Elle croisa ses jambes autour de lui et s'agrippa à ses épaules. Il se mit à la soulever et à la laisser retomber sur son pieu. Non pas que Gisèle fut grosse, mais Jérôme malgré tout peinait. Il avait besoin d'aide. Elle lui fut apportée par Alexis qui profitant que son compère soutenait ma femme par les fesses, et ce faisant lui maintenait écartées, en profita pour combler une fois son arrière train. Sauf erreur, je crois que c'était la première fois que je la voyais se faire prendre en double dans cette position… sans toucher terre…. Impressionnant !... il faillait être baraqué…de partout…. Ils prenaient un malin plaisir à la laisser retomber sur leur virilité lui faisant pousser de petit cri à chaque fois. Autour d'elle elle pouvait contempler les spectateurs de ce show qui attendaient sagement, enfin, en se touchant un peu, visiblement en attendant leur tour. Le groupe fut à moment comme tétanisé, tremblant de partout. Superbement, ils venaient de réaliser l'exploit de jouir tous ensemble, superbe !
G Essoufflés nous tombâmes sur le lit pour récupérer. Mes partenaires le purent, eux ! Moi non… Fabrice fut sans pitié, puisque à peine avec retrouvé un semblant de souffle que je dus m'agenouiller devant lui pour une pipe. Une simple pipe après ces débordements… j'y mis quand même beaucoup d'ardeur et de sensualité. Ce fut ensuite le tour de Kevin. Il voulu me prendre comme je l'avais déjà été une fois, tête en bas. je reposais sur les épaules, le dos appuyé contre le flanc du lit, les fesses en l'air et les jambes écartées comme il se doit.…. Kevin m'enjamba et dirigeant sa queue vers le bas m'encula de nouveau. Cette fois-ci je ne réussit pas à parvenir à l'orgasme (sans doute l'incommodité et la fatigue) et Kevin quand le moment fut venu se plaça de façon à ce sa bite surplombe mon visage… et il éjacula sur celui-ci. Restaient Cyrille et Sébastien… qui tinrent à me faire subir une double pénétration anale. Sébastien se coucha sur le dos et je m'empalais sur sa grosse verge. Vu comme l'endroit avait servi ce soir, cela se fit sans peine malgré que Sébastien fut le mieux membré de la bande. Je me laissais aller en arrière le dos sur le thorax de Sébastien et relevais les jambes. Pour me les maintenir il passa ses mains sous mes genoux et m'offrit à son comparse. Cyrille prit place et guida sa bite vers l'orifice pourtant bien pourvu. Lentement mais sans rémission il commença à pousser au long du premier sexe. Je me décontractais au maximum pour leur faciliter la tâche et diminuer les risques. Doucement il finit par s'enfoncer complètement. C'est donc ainsi que je finis la soirée dans un ultime orgasme le cul défoncé par ce double phallus.
Brisée et un peu dans le brouillard je les vis partir et m'écroulais, épuisée… endormie… pour ne me réveiller qu'après de longues heures de sommeil. Comme toujours après ses nuits d'orgie je me trouvais fatiguée physiquement et moralement. Je n'avais plus vingt ans (loin s'en faut) et la fatigue était là. Pourtant j'étais assez fière de plaire encore à mes jeunes amants et je me demandais encore comment il se faisait qu'ils trouvent de l'attrait à une "vieille". De toute façon, maintenant que mes photos étaient revenues sur le net, je n'avais plus d'autres solutions que le consentement et vous savez bien que cela n'était pas fait pour me déplaire.
G Alors… comme je le pensais Roger me "convoqua" quelques jours plus tard. Pensant que l'on était moins cruel avec une jolie femme, je mis que paquet ! Nue sous mon ciré je me rendis chez lui. Et là, que vis-je en arrivant à sa porte… des scellés… apparemment posé par la police. Je filais sans demander mon reste. Philippe à mon retour fut aussi surpris que moi et fiévreusement nous parcourûmes les journaux locaux. La seule chose qui nous interpella fut la relation du démantèlement d'un réseau de proxénète qui "expédiait" leurs victimes à l'étranger. Pas de nom bien entendu dans l'article. Je fis le dos rond pendant plusieurs jours pendant échapper aux investigations policières. Peine perdue, bien évidemment je me vis convoquée en qualité de témoins. Je dus à ma grande honte avouer mes relations extra conjugales. L'inspecteur, en deux mots m'indiqua que la spécialité de Roger était de séduire des femmes (naïves précisa-t-il) et tout bonnement de les expédier dans divers pays ou elles étaient livrées à la prostitution. D'après le policier je l'avais échappé belle. Je ne pus échapper à un sermon sur le choix de mes relations. Je m'en tirais bien… mais peu fière….
P La suite de notre histoire… il s'écoula trois ou quatre semaines ou Gisèle réapprîmes à vivre ensemble… en douceur…. Jusqu'à ce que Sébastien, un des amants de Gisèle reprenne contact. Il voulait nous dit-il nous inviter un soir à dîner tous les deux.
G Philippe à raison, nous nous réhabituâmes à vivre tous les deux et je crois que ni l'un l'autre ne voulions faire autrement même si nos sens nous attiraient vers l'extérieur avec la débauche comme exutoire. Mon mari tenta même plusieurs fois de me combler. Il y arriva… avec la langue… et petit à petit, lentement mais sûrement, le démon du sexe me tenailla de nouveau. Je commençais même à regretter aussi Roger. Mais, revenons à nos moutons et cette période qui fut quand même une époque de jeûne en qui concernent les galipettes. Sébastien était l'un des comparses de Fabrice, je vous en ai déjà parlé. Il était de plus un baiseur impénitent et le revoir ne me déplaisait pas. De plus je me demandais quel avait été son rôle auprès de Roger pendant cette période. Donc cette invitation un peu bizarre fut acceptée. Je fit sobre, jupe droite, chemisier blanc, gilet boutonnée en V, bas fumé, slip et soutien gorge blanc également. En arrivant au restaurant, je le vis immédiatement accoudé au bar, nous attendant non pas seul comme je le pensais, mais en compagnie de quelqu'un d'autre qui nous tournait le dos. Même de dos, je l'aurais reconnu en mille…. Fabrice… l'immonde Fabrice… mon mentor pervers… l'amant vicieux qui peuplait mes rêves de moiteurs équivoques…. Il était là ! Il ne parut pas surpris de nous voir. Je suppose que tout était bien convenu avec son ami.
P Je ne fus pas très heureux de le revoir. Il représentait l'écharde de bois qui enfoncée dans un doigt est très gênante même si elle ne fait pas souffrir le martyr. Gisèle à l'inverse fut très contente de le revoir. Je le vis tout de suite…. Je vis aussi dans ces yeux à lui qu'il ne songeait qu'à une chose : se la faire….
G Nous nous installâmes au bar pour l'apéritif. J'étais assise sur un haut tabouret parallèlement au bar. Sébastien s'y tenait accoudé derrière moi et Fabrice me faisait face. Philippe, lui verre à la main était perpendiculaire à moi. En fait j'étais entourée par les trois hommes. Chacun donna de ses nouvelles, enfin plutôt des banalités et autre généralités que de réelles informations sur nos activités. Comme par inadvertance, Fabrice posait souvent nonchalamment la main sur mon genou. Un peu gênée, je pris le parti de ne rien laisser paraître comme si j'étais la seule à ne pas remarquer son petit manège.
Nous passâmes ensuite à table. Mais avant de prendre place, Fabrice me souffla à l'oreille d'aller retirer mon slip. Abasourdie, je m'exécutais vite prétextant un principe de précaution avant le repas. A cette table ronde, je fus placée entre mes deux anciens amants avec Philippe en face de moi.
P Petit à petit la conversation se fit plus intime avec de fréquents rappels à leurs visites chez nous. Gisèle rosissait souvent à ces évocations ciblées. Petit à petit, également, les deux jeunes hommes se rapprochaient d'elle, si bien que je fus pratiquement vite seul de mon coté de table. Je remarquais aussi que les deux hommes ne mangeaient plus que d'une main… et que ma femme se tortillait sur sa chaise visiblement mal à l'aise.
G C'est vrai la conversation avait glissée…. Fréquemment, ils rappelaient à mon bon (très bon) souvenir mes jouissances et les façons qu'ils avaient tous de "se farcir une belle femme mure si disponible". Ils lâchèrent quand même des informations intéressantes. En fait Fabrice n'avait jamais digéré son passage à tabac (entre autre). Il s'était juré d'avoir sa revanche et Sébastien avait joué le rôle de la taupe le renseignant sur les vraies activités de Roger. Le reste avait été facile une petite dénonciation bien étayée auprès de la police et hop ! S'en était fait des Russes, renvoyés vite fait chez eux et aussi de Roger, prévenu in extremis par ce "bon" Sébastien et que l'on ne reverrais pas de sitôt puisque sous le coup d'un mandant d'arrêt. Il y avait quand même une question qui me taraudait. Les photos… ou étaient-elles passées ? Je n'osais, bien entendu mettre le doigt sur ce problème. En attendant, plus la conversation déviait, plus ils se rapprochaient de moi… à me toucher…sous la table…. Des mains, une de chaque coté commencèrent à me caresser le genoux et à retrousser ma jupe avant de s'emparer d'une cuisse. Comme vous vous l'imaginez elles ne stoppèrent pas là. Le prévoyant Fabrice qui m'avait demandé de quitter ma culotte l'avait bien fait à dessein…. Des doigts s'immiscèrent…. Je fermais les yeux….
P J’ai vu Gisèle fermer les yeux alors j’ai regardé sous la table… les deux salauds lui fouillaient la chatte de leur doigts, ils se mélangeaient dans entre ses cuisses. Fabrice lui a demandé de toucher leur sexe :
"Touche nous la bite Pupute, devant ton mari ! Montres-lui quelle salope tu es ! Dis lui que tu as envie de nos grosses queues, qu’on te baise et qu’on t’encule…"
Gisèle m’a regardé droit avec un regard vitreux et m’a dit la voix tremblante d’excitation :
"Ils ont des queues bien dures comme je les aimes, bien grosses aussi…. Je veux qu’ils défoncent ma chatte et mon cul et que tu me regardes …. Tu veux bien ?"
Je m'entendis répondre :
"Oui allez-y … elle n’attend que ça!" je me mis même à avoir une érection en disant cela.
Pendant qu'ils avaient commencé à la branlaient avec leurs doigts, elle les caressaient à travers leur pantalon, en leur répétant ces mots :
"Je vous veux…. Je serais à vous comme une vrai salope…."
Les clients de derrière se sont retournés avec un regard courroucé ! Quelle déchéance !
G S'en était fait de moi… ce soir je serais à eux deux, comme au plus beaux jours…. Mes orifices gourmands n'attendaient que d'être emplis. Pourtant, ils devraient attendre….
"Allez on bouge… on va aller prendre un verre !" a dit Fabrice. Puis, comme il l'avait fait tout à l'heure, il me susurra d'aller retirer mon "chemisier et mon soutif". Je retournais aux toilettes et fit comme il me l'avais demandé ne gardant que mon gilet. Le problème, enfin, pour moi, était que celui-ci, en plus d'être très échancré, ne se boutonnait qu'à partir de l'estomac... donc….
P Quand je vis Gisèle revenir dépoitraillé, je me suis demandé si elle ne devenait pas folle, puis je réalisais que si elle se comportait ainsi c'était sur la demande de ses ex et futurs amants. Je compris aussi que cette fois, vraisemblablement, ils avaient prévu de l'exhiber en guise de préliminaire. Sébastien a alors proposé qu'ils montent tous les deux avec elle a l'arrière de la voiture. Je jouais donc les chauffeurs et les voyeurs (une fois de plus). Les trois ne se gênaient plus. Les deux se sont sucés les doigts pour tester le goût de sa chatte. "Qu'est-ce qu'elle mouille sa salope ! Elle a bon goût ta chatte ma grosse ! J'ai hâte de te la ramoner !". Ça, c'était Fabrice et sa délicatesse habituelle… enfin celle que ma femme adorait. Il m’a regardé dans le rétroviseur et m’a dit "Ta femme est trempée ça promet, on va pouvoir l’enfiler tranquille ! Qu'est ce qu'on va lui mettre !".
G En fait ils passèrent le trajet à me masturber et à me dire des ignominies sur ce qu'ils comptaient me faire subir. Ils choisirent bien sûr de le faire dans un langage des plus inconvenant.
Nous parcourûmes, je crois une vingtaine ou trentaine de kilomètres et la voiture s'arrêta dans la grande cour fermée d'une grande ferme carrée. Des véhicules s'y trouvaient déjà. Fabrice sonna... le judas s'ouvrit puis la porte s'ouvrit... Deux videurs, taillés comme des mastodontes nous laissèrent pénétrer. Nous descendîmes au sous sol. L'intérieur, comme souvent en boite était assez tamisé et sombre et comportait une partie bar, une piste de danse et des petits boxes. Sébastien commanda à boire et nous précéda un box libre. Il m'invita ensuite à danser. Me tenant par la taille il me fit avancer vers la piste. Tout en dansant il se mit à me caresser les seins tout d'abord sous le gilet, puis le trouvant sans doute gênant, il en écarta le décolleté en prenant bien soins que mes seins restent nus. Je tentais de me serrer contre lui. Au moins là, ils seraient invisibles. Justement il s'écarta un peu de moi. Son intention était bien que tout le monde les admire. Comme j'objectais il me fit remarquer la conduite des autres danseurs engagés dans des flirts ma foi assez poussés. Là une femme avait passé la main dans la braguette de son partenaire. Ici, visiblement une femme se faisait masturber sur la piste, tout en dansant. Là, en bordure de la piste il y avait un couple dont la femme tournait le dos à la piste et dont le cavalier avait complètement retroussé sa jupe de façon à ce que l'assistance ait une vue imprenable sur son fessier. Enfin que je dis "vue imprenable" à la condition d'être près d'eux car derrière la femme se trouvaient quatre ou cinq types qui visiblement avaient reçu l'autorisation de s'accorder quelques privautés sur le postérieur offert car ils ne cessaient pas de la peloter. Donc, moi, juste avec les seins nus….
P En compagnie de Fabrice, je regardais l'assistance se débrider au fil du temps. La piste dite "de danse" était plutôt devenue un lieu d'exhibition et ma femme y tenait sa place. Je trouvais Gisèle diantrement belle anis seins nus… pour un peu…. Je vis revenir le couple vers notre table le temps que Gisèle boive un peu de son cocktail que déjà Fabrice l'avais invité pour, j'allais dire une nouvelle danse, mais en fait plutôt une nouvelle partie de pelotage. Je pense qu'ils voulaient la pousser au comble de l'excitation. Cela me fut confirmé par Sébastien.
"Tu vas vois comme elle va être bonne, après tout çà ! On pourrait lui faire faire n'importe quoi ! Même la faire baiser par toute la boite !
G Après m'avoir copieusement caressée (même sous ma jupe) Fabrice me ramena vers notre box… les seins toujours à l'air naturellement. Non content, Fabrice exigea que je remonte complètement ma jupe autour de ma taille de façon être assise fesses nues sur la banquette. Le pire fut qu'ils voulurent que j'écarte les jambes révélant ainsi mon intimité à tous les clients et clientes de la boite qui passaient devant nous. Certains s'arrêtèrent même pour apprécier le spectacle. JE le voyais dans les yeux de Philippe, me voir ainsi, si impudique produisait sur lui un étrange mélange de honte, d'envie et de dégoût. Mais je ne pus répondre qu'affirmativement à la question de Sébastien.
"Je suis sûr que tu as envie de te faire branler… devant tout le monde !"
Puis s'adressant à mon mari
"Elle est belle, hein… comme cà… ta petite femme !
Il acquiesça….
Quelques hommes s'arrêtaient pour demander quelque chose à voix basse à Fabrice qui était le plus près du passage des joyeux fêtards. Il chaque fois ces hommes repartaient déçu devant les dénégations de Fabrice. Il nous expliqua qu'à l'arrière de la boite, derrière une porte mal dissimulée près du bas se trouvaient des pièces vitrées dépourvues de portes ou des conjoints ou amants pervers pouvaient partager ou offrir leur compagne en ayant toute liberté du nombre de rapports (simultanés ou non) qu'ils souhaitaient leurs voir endurer. Les yeux de ma femme brillaient….
G Je compris vite que ce ne serait pas pour ce soir. Par contre, il me promirent de me ramener ici et que je choisirais moi-même quelques participants… enfin en tous cas les premiers…. Comme pour compenser ils décidèrent "qu'il était temps d'aller baiser !". Arrivé à la voiture, je dus quitter ce qui me restait de vêtements et les mettre dans le coffre que Philippe fut invité à ouvrir. Je n'eus pas le temps d'avoir froid pendant les trajet de retour jusqu'à chez nous. Des mains s'occupèrent de bien me réchauffer et de bien m'échauffer, en détail, en surface et en profondeur. Je fus même empalée sur deux doigts tendus pour m'auto sodomiser au rythme des cahots de la voiture. Conseils fut même donné à Philippe (qui le suivit) de passer par une grande place encore pavée. Il en fit trois fois le tour…. Enfin la maison ou je du rentrer toujours vêtue, si l'on peut dire, de mes dim up fumés.
P Dès qu'ils furent rentrés ce sut du délire, elle se retrouva enserrée entre les deux hommes qui tout en se mettant nus la caressait exagérément à qui mieux mieux. Je pouvais voir leurs bouches dans son cou, sur sa nuque, ses joues, s'écrasant sur ses lèvres. Je les voyais la lécher ou enfoncer leurs langues dans sa bouche et que dire de leurs mains….
G Ha leur mains…. Elles me parcouraient en tout sens, échauffant les miens… Sébastien me tenait d'une main par les cheveux pour me rouler des patins féroces ou pour me faire tourner la tête pour que Fabrice fasse de même et de l'autre il me pétrissait un sein. Fabrice lui s'était spécialisé dans le bassin, une main me flattait l'entrejambe et l'autre la raie culière. Je perdis complètement pied n'attendant qu'une étreinte sauvage de la part de mes deux amants préférés. La volupté et la sensualité seraient pour plus tard. Présentement ce que je voulais c'était du sexe, de la bite, de la queue… et j'en eus….
S'asseyant sur le canapé Sébastien m'attira à lui. Vite je m'introduisis son membre dans ma chatte surchauffée et me mis à le chevaucher. Il m'arrêta… oh, pas très longtemps… juste le temps que Fabrice dilate un peu le conduit jumeau et s'y engouffre d'une poussée très, mais très virile… juste comme je l'attendais ! Ils me limèrent véritablement et j'eus deux orgasmes rapprochés avant de les sentir se soulager en moi. Cet acte un peu animal nous avait un peu calmé. La fureur s'estompa un peu et c'est devant deux partenaires ravis que je m'agenouillais sans que l'on me le demande pour les sucer à tour de rôle pendant que Philippe nous regardait. Malgré la double pénétration de tout à l'heure, c'est encore en sandwich qu'ils comptaient abuser de moi. Cet fois je m'empalais coté pile sur le gros mandrin de Sébastien, m'appuyais de dos sur celui-ci et levait les jambes afin que Fabrice puisse m'investir le coté face.
P Je trouvais que ma femme, décidément avait de la ressource et même si elle se conduisait comme la dernière des dernières, elle semblait tellement heureuse que j'étais prêt, comme à l'habitude, à tout lui pardonner, voire même à l'encourager. Après tout, j'avais des torts vis-à-vis d'elle, et puis, n'avais-je pas été à l'origine de ces débordements. Alors à force de jouer à l'apprenti sorcier….
G Assouvis tous les trois, cette fois par ce second double, mes amants prirent congé sur un laconique "A bientôt Pupute !" lancé par Fabrice.
Pour être bientôt, ce fut bientôt… car le mardi soir suivant un coup de sonnette vint interrompre le train-train quotidien. Fabrice… oui, encore lui et seul….
P Un peu interloqué de cette visite impromptue, je priais notre visiteur d'entrer et lui offrit un verre. Nous trinquâmes, évidemment, "A Gisèle !" qui rosit de plaisir. En substance, Fabrice nous déclara :
"Je suis venu vous voir pour vous demander si vous voulez que nous recommencions comme avant !".
Devant notre air interrogateur il continua :
"Oui, je crois que vous aimez çà tous les deux, être dominés par un groupe de jeunes, je me trompe ? Toi Philippe, vu tes goûts, jouer les voyeurs et voir ta femme se dévergonder doit te consoler ! Quand à toi ma belle, vu comment tu prends ton pied, tu ne peux pas dire le contraire ! Je crois que vous fonctionnez comme ça l'un obligé de voir sa femme se débaucher et l'autre, bien obéissante, obligée de se laisser faire devant son mari… n'est ce pas ?"
Force est de constater qu'il avait raison, donc nous acquiesçâmes.
"Alors les choses sont simples, voulez vous à nouveau m'être soumis comme par le passé ?"
Le souvenir des aventures glauques me fit hésiter. Un peu lâche et mal assuré je répondis :
"Moi, je suis moins concerné que Gisèle, c'est plutôt à elle qu'il faut demander !"
Je la vis rougir jusqu'aux oreilles et hésiter. Pourtant la lueur de ses yeux l'avait trahie… incertaine elle bafouilla :
"Je… je … je, oui… je veux bien essayer…."
G Oh le sourire victorieux de Fabrice ! Pourtant les choses n'étaient pas finies puis qu'il poursuivit :
"Mais… quand je dis comme avant, c'est comme avant ! Pour que tout redevienne vraiment comme avant, il y a un petit hic…les photos…."
Ah ces fameuses photos dont j'appris par la suite qu'elles avaient été récupérées par Sébastien.
"Oui ces magnifiques photos prises par ton mari, il faudra que je les remette en ligne, ne trouves-tu pas ? Comme cela vous serez forcés d'être bien docile et de filer doux… et c'est bien pour cela que je suis venu, pour vous demande l'autorisation de vous faire chanter. Alors ? Philippe ?
P "Encore une fois, c'est à Gisèle de décide"r
"Allons, allons il y a quand même des choses que, peut être, tu ne veux voir faites par ta femme ?"
"Certainement… mais je confirme, je me rangerais à son avis."
"En ce cas, Gisèle ?"
G Il fallait que je me décide. Un silence pesant s'installa. Le bon sens aurait voulu que je refuse cette "proposition" de peur qu'il ne veuille allez trop loin. Mais mes sens à moi me faisaient pencher vers une acceptation inconcevable. J'avais trop envie de revivre ces instants de perversion et aussi d'avilissement. Honnêtement (peut être pas après tout) il me prévint :
"Attention Gisèle une fois les choses enclenchées, pas de marche arrière… je serais intraitable, mes envies contre le scandale… et à la moindre désobéissance…. "
Quelqu'un, à moins que ce soit moi à mon insu, dit d'une voix tremblante :
"C'e… c'est… c'est o… c'est oui…. C'est d'accord…!"
Je vis le visage de Philippe se crisper. Je pense qu'il aurait préféré mon refus et à vrai dire je regrettais immédiatement mes paroles. En un éclair je me vis en mini jupe arpenter du bitume….
Fabrice s'étira en murmurant "Bien, bien…."
P S'adressant à Gisèle, il lui dit :
"Bon allez… commence par me virer ce ridicule tee-shirt !"
Il était vrai que comme nous n'attendions personne, elle était vêtue d'un jeans et d'un tee-shirt. Elle le fit passer par-dessus sa tête.
G L'ordre suivant claqua :
"Le soutif aussi !"
Je le dégrafais et demeurais le torse nu.
"Bon que je vous explique ! Dès demain le site sera ré ouvert. Je considère désormais Gisèle comme ma chose, en tout cas je la veux en priorité soumise à mes caprices et mes envies et toi Philippe, tu as intérêts à filer doux. D'ailleurs en plus de ton rôle de photographe, j'aurais peut être aussi de l'occupation aussi pour toi. Ne soit pas inquiète ma petite Gisèle, tu vas pas t'ennuyer… j'ai beaucoup d'imagination et… mes amis aussi…. Dis moi Philippe, je suppose que tu ne verra pas d'obstacle à ce que je la partage ou que je te prête à des inconnus… ?"
Je vis mon mari hocher la tête.
"Tu vois ma petite Gisèle, ton gentil mari est d'accord. Toi, je ne te le demande même pas … de toute façon ce n'est pas nécessaire, tu peux te préparer à ouvrir les cuisses… et le reste aussi d'ailleurs. N'est-ce pas que tu vas être bien disciplinée ?"
"Oui…. Oui Fabrice. Je… je t'obéirais….."
"Tu vas voir, tu n'auras jamais autant baisé !"
De toute façon c'était déjà le cas….
"Tiens, en attendant, viens me faire une petite turlute !"
Je vins m'agenouiller entre ses jambes, le débraguettais, et tout en caressant ses lourdes couilles, je me mis à lui faire une fellation des plus expertes.
P Pendant que Gisèle suçait sans relâche, il en profita pour manifester ses exigences. À partir de ce soir, il se réservait le droit de "convoquer" ma femme pour un moment, une soirée, une nuit, un week-end ou même quelques jours où elle servirait, entre autre, à son usage personnel. Bien sûr, il déciderait de la tenue qu'elle devrait porter et il exigea :
"Et puis, changes de coiffure… il est temps que tu fasse moins sage et puis, change de couleur aussi !"
Retirant son membre de sa bouche elle lui précisa en plaisantant qu'il n'était pas question qu'elle devienne blonde ! Un laconique "Et pourquoi pas !" des plus sérieux lui répondit…. Elle reprit sa succion et ne l'interrompit plus jusqu'à ce la semence de son amant lui emplisse la bouche.
G Quand j'eus tout avalé et bien léché sa pine, Fabrice s'étira de nouveau, comme de bien aise et il annonça :
"Samedi, on fait comme au bon vieux temps… dans l'aprem on vient tous les six…."
Mon cœur fit un bon dans ma poitrine… déjà, les six… enfin… les six. Il ajouta à l'intention de Philippe :
"Prépares à boire, et cette fois-ci…champagne ! Nous avons des choses à fêter. D'abord nos retrouvailles avec la délicieuse petite Madame B et puis autre chose encore !"
Il partit, sur ces bonnes paroles nous laissant ainsi… me laissant ainsi… inassouvie…. Ironiquement, en partant il m'avait dit :
"Tu n'as qu'à te faire reluire par ton mari… et s'il n'en est pas capable, débrouille toi toute seule !"
Le salaud !
Dès le lendemain, en cachette, depuis mon bureau, je me jetais sur LE site. Fabrice n'avait pas menti. Les galeries étaient là…. Enfin, quand je dis "les" galeries, je devrais dire "mes" galeries puisque j'étais l'unique sujet ainsi exposé. Toutes les autres avaient disparues. Rougissant de honte et de plaisir, je visionnais de nouveau mes exploits en me disant que tout allait recommencer… en pire si j'avais bien compris. Les trois jours qui suivirent, mon supplice alla crescendo. Mise à la torture, je ne pouvais m'empêcher ni de penser sexe, ni de rêver sexe. Je n'eus aucun mal à obtenir un rendez-vous chez ma coiffeuse qui un peu surprise remodela ma coiffure dans un style moins sage et surtout me fit une coloration acajou beaucoup plus marquée qu'à l'habitude. Une fois que son travail fut achevé je me regardais dans son miroir. Pas de problèmes, je faisais moins, beaucoup moins sage. La coiffeuse me proposa une teinture pour "assortir" ma toison avec ma chevelure. Je la fis rougir en lui affirmant, en la regardant bien dans les yeux, qu'en bas, il était impossible de déterminer si j'étais blonde, brune ou rousse….
Le vendredi, je fis, moi aussi, comme avant : "j'oubliais" de mettre un string et déambulais ainsi savourant ce plaisir caché à la vue des lycéens et des lycéennes qui peuplaient les couloirs. J'allais même, deux ou trois fois me caresser dans les toilettes. Enfin ce fut le samedi, le jour de toutes mes attentes. La veille au soir j'avais sectionné la photo d'une pornstar qui me parut particulièrement… disons, désirable. Une fois maquillée à l'identique, je ressemblerais à ce que je souhaitais et ce qu'ils attendaient… une pute. Ce fut bien le cas. Ils seraient contents… ou tout du moins excités, c'est ce que j'espérais. Porte jarretelle, bas noir et talon aiguille vinrent compléter (si l'on peut dire) ma tenue. Je devais avoir mis la barre assez haut, puisque mon mari évitait mon regard ourlé de faux cils. Il connaissait, lui, mes sentiments à l'égard des agissements de Fabrice et de ses comparses. Je lui avais révélé en termes, disons, "choisis". qu'en fait je n'étais qu'une grosse salope qui aimait ce faire fourrer par de gros zobs. Que je devenais encore plus vicieuse quand on m'obligeait à faire des cochoncetés. Que j'adorais être soumise et contrainte par des types qui me fourraient en même temps par tous les bouts. Que j'aimais que l'on me force à n'être plus qu'un objet de luxure dont on pouvait abuser à loisir…. En bref que j'aimais le sexe… masculin et féminin… et surtout qu'on me l'impose, que je n'ai pas moyen d'y échapper, de me dérober aux pires perversités, d'esquiver déchéance et humiliations. J'avais avoué aussi mes préférences… être pris à quatre pattes, baisée ou mieux, sodomisée et voir autour de moi des hommes queues tendues s'approcher pour m'en enfourner une ou deux dans la bouche et voir que d'autres attendaient leur tour…. Voilà ce que j'aimais et tant pis pour le jugement que l'on pouvait avoir de moi.
P Je la voyais, tendue comme une corde de violon, revivant…. Elle s'attendait, bien sûr, à redevenir leur jouet et l'objet de tous leurs délires et de toutes leurs extravagances perverses. Résigné à la voir être humiliée, j'avais préparé mon appareil photo et le champagne. En rangeant celui-ci au réfrigérateur, je notais qu'elle avait acheté un concombre, se rappelant sans doute les reproches qui lui avaient été faits. Il me parut énorme…. Il faudrait quand même qu'un jour tout s'arrête….
G Mon attente fut longue, ils n'arrivèrent que vers quinze heures. Ils étaient tous là Fabrice, Sébastien Alexis, Jérôme, Cyrille, Kevin…. Visiblement satisfait de mon accoutrement, ils firent cercle et leurs mains se firent baladeuses, leurs doigts glissant entre les lèvres de mon minou ou dans le sillon de mes fesses. Évidemment leurs propos furent à l'unisson de leur comportement. Ils me demandèrent si "Pupute était en forme !", ou si "la grosse avait envie de se faire enculer !", ou encore, si "j'étais décidée à être plus salope que jamais !". A toutes ses paroles blessantes destinées à me bafouer, à me déconsidérer, à me rabaisser, je répondis par l'affirmative tous sens en émoi. Ils déplorèrent l'oubli que j'avais fait : mon plug. En riant il m'avertirent qu'ils se feraient un plaisir de m'élargir eux même. Ils se mirent à se déshabiller de concert. Je savais ce qui allait suivre. La tournée générale… de pipe bien sûr. Une main me pesa sur l'épaule. Docile je tombais à genoux au milieu de mes amants. Les sexes se rapprochèrent…. Je m'en saisis, une dans chaque main, une dans la bouche, puis deux qu'ils m'imposèrent. Ils voulurent trois… impossible ! Je me multipliais pour offrir de plaisir à chacun. Les bites se frottaient contre mon visage, mon cou, dans mes cheveux. J'étais heureuse… et enfin ils me firent relever.
P Avisant une chaise de salle à manger, l'un d'eux la plaça au milieu de la pièce. Ils la firent mettre à genoux dessus, cramponnée au dossier et le bassin tendu vers l'arrière. Fabrice se positionna et la pénétra d'un coup. Elle râla… assez peu d'ailleurs, puisque par-dessus le dossier une verge fut imposée à ses lèvres. Une fois de plus je la vis jouir et les deux hommes se soulager en elle. Jérôme prit la place de Fabrice et Sébastien celle d'Alexis dans se bouche. Là aussi elle jouit en ahanant et se fit emplir de nouveau. Cyrille prit pour la troisième fois sa bouche et Kevin son vagin.
G Kevin, comme les précédents, se mit à me baiser farouchement, souvent d'ailleurs, lui aussi, en me tenant par les seins qu'ils adoraient malmener. Puis tout d'un coup il enfonça son pouce, préalablement enduit de salive, dans mon anus, forçant mon anneau à s'ouvrir. "Ça y est !" pensai-je. J'allais être de nouveau sodomisée. J'avais raison et ses deux pouces finirent de me distendre… et sa bite suivit ! Il entama ensuite un con/cul pendant que je me déchaînais sur la queue que j'avais en bouche, mais aussi au fond de la gorge. Finalement, comme les autres c'est dans la chatte qu'il se répandit. Sous ses assauts j'avais jouis deux fois. Cela faisait quatre depuis début de l'après-midi.
P Comme auparavant, ils gagnèrent tous notre chambre. Piteusement je suivis, sachant bien que les choses allaient se corser. Ils la prirent en sandwich, deux par deux… deux fois en levrette et une de dos. Elle gémit, râla, geint et cria aussi quand elle le put. Quand des bouches ne prenaient pas la sienne. Quand des doigts ne se faisaient pas sucer. Le nombre de ses orgasmes… impossible de le savoir, mais elle termina cette séquence dans un drôle d'état. Je pense qu'elle était incapable de refermer les cuisses dont l'intérieur était maculé de traînées blanchâtres. A priori du foutre sourdait aussi de ses reins. Son beau maquillage n'était plus qu'une ruine autour de ses yeux bouffis. Complètement échevelée tout son corps était marqué de traces rouges, là où les hommes l'avait empoignée. Il était clairement visible que ses gros seins avaient eu la cote.
G Avant de me convier à boire le champagne en leur compagnie, ils me commandèrent d'aller me refaire une beauté. Ils complétèrent leur demande en exigeant que je ne m'essuie pas ni le sexe ni l'anus. Ils me voulaient belle, mais sale…. Houuuuu la tête ! Pour un peu on aurait pu croire que j'avais fait l'amour tout l'après midi…. Je m'arrangeais donc et les rejoignis à la cuisine en me rendant compte que le mélange de foutre et de mes diverses sécrétions atteignait mes bas. Je dégoulinais en fait, puisque, déjà, neuf éjaculations avaient souillés mes orifices (sans compter ceux que j'avais sucés). Ils avaient amené de quoi se restaurer un peu et déjà deux des bouteilles que Philippe avait mise au frais étaient débouchées. Privée de chaise, encore une fois, je passais de genoux en genoux, de mains en mains et de doigts en doigts. Mes mains non plus ne restèrent pas inactives et se refermaient bien volontiers sur des membres qui ne demandaient qu'à renaître de leurs cendres. Ni ma bouche, ni ma langue ne restèrent non plus inactive pour pouvoir répondre aux baisers enflammés et salaces de mes amants. C'est là qu'ils me mirent au courant de leurs projets. A eux six ils avaient fondé une petite société et racheté un local commercial qu'ils escomptait rouvrir en sex-shop en tenant la boutique à tour de rôle. Là ou je fus concernée c'est que Fabrice m'avertit qu'il comptait sur moi, de temps a autre, comme "animatrice" du magasin auprès des clients. Ils se plurent à m'imaginer au milieu des pervers et autres obsédés. Philippe fit vraiment grise mine… mais le moyen d'y échapper, et puis… et puis j'avais d'assez bon souvenir du magasin d'Hassan…. La seconde nouvelle fut qu'à part Fabrice, chacun des autres allait tenter de dénicher une "vieille salope". Il apparut que je leur avais donné des idées. Ces femmes mures, contraintes ou non, seraient bien sûr partagée entre les membre (si j'ose dire) du groupe. Bien naturellement, pour le plaisir de ces messieurs, il va sans dire que nous serions également invitées à nous gouiner mutuellement…. Comme dit Sébastien :
"Cela ne devrait pas trop te gêner si je me rappelle bien !".
Il se rappelait bien… le souvenir de Nadine et de Katherina refit surface….
Ouvrant à nouveau le réfrigérateur pour prendre une autre bouteille, l'un d'eux s'avisa de la présence du concombre que j'avais acheté au cas où…. Vous pensez bien que cette présence fut vite exploitée et je me retrouvais vite sur ma table de cuisine, jambes ouvertes en V et le sexe garni du légume imprudemment acheté. Je dis imprudemment, à cause de sa taille, puisque après l'avoir utilisé par devant, ils voulurent l'utiliser, et y parvinrent, par derrière. Malgré les sodomies dont j'avais fait les frais, ma rondelle dut être un peu forcée pour admettre l'imposant diamètre. Finalement, il coupèrent le concombre en deux (sa taille le permettait) et me masturbèrent de concert les deux orifices. Jamais à court d'idée quand il s'agissait d'obscénité, ils ôtèrent les morceaux de cucurbitacé. Me maintenant dans la même position, je perçu à l'entrée de mon anus béant le froid d'un goulot.
P Ces pervers, tout bonnement envisageaient de lui introduire le goulot d'une des bouteilles de champagne. Je voulus (timidement) m'interposer et fut vite réduit au silence sous peine de prendre sa place.
Le goulot disparut assez vite entre ses fesses et ils poussèrent encore comme pour tenter de lui en enfiler le plus possible. Elle protestait, criant "qu'elle ne voulait pas !" ou "qu'il allait la blesser !". Je crois que cela les faisait encore plus rire et comme pour se venger de ces dénégations ils lui malaxaient les seins sans douceur. Ma pauvre femme….
G De toute évidence, ils ne parviendraient pas à leur fin. Je le entendis dire que je n'étais pas assez large et en firent, en guise de plaisanterie, des remarques faussement acerbes à Fabrice. Celui-ci promis de se pencher sur le sujet…. L'un d'eux s'écria :
"Hè les mecs, j'ai une autre idée !"
Les connaissant….
Ils retirèrent délicatement le goulot de la bouteille qu'ils me firent lécher. Pendant ce temps je sentis, toujours au même endroit, la sensation d'un vert froid. Cette fois, ils étaient clairement entrain de m'enfoncer une bouteille dans le cul. Certainement, il s'agissait d'une bouteille de bière. Malgré la peur du bris de verre, je me détendis un peu. Voyant que j'étais gagnée à leur perfide entreprise, ils me mirent perpendiculaire à ma table et tirant me bras en arrière, je dus branler deux hommes. L'un d'eux m'avais prit les seins à pleines mains et me suçait les tétons. Fabrice prenait de petite goulée de champagne et me faisant ouvrir la bouche me recrachait le précieux liquide sur la langue. Il laissa sa place à un autre qui me renversa la tête vers l'arrière et logea sa bite contre mon palais.
P Visiblement tous étaient de nouveau bien échauffés. Ils décidèrent de remonter dans notre chambre. Je suivis le groupe toujours chargé de photographier la déchéance de ma moitié. Arrivé en haut, Jérôme, le plus costaud de tous la colla contre la cloison. Lui ayant fait passer un jambe autour de ses reins, il n'eut aucune difficulté à l'embrocher contre le mur. Encouragé qu'il fut par les autres, il la souleva complètement du sol. Elle croisa ses jambes autour de lui et s'agrippa à ses épaules. Il se mit à la soulever et à la laisser retomber sur son pieu. Non pas que Gisèle fut grosse, mais Jérôme malgré tout peinait. Il avait besoin d'aide. Elle lui fut apportée par Alexis qui profitant que son compère soutenait ma femme par les fesses, et ce faisant lui maintenait écartées, en profita pour combler une fois son arrière train. Sauf erreur, je crois que c'était la première fois que je la voyais se faire prendre en double dans cette position… sans toucher terre…. Impressionnant !... il faillait être baraqué…de partout…. Ils prenaient un malin plaisir à la laisser retomber sur leur virilité lui faisant pousser de petit cri à chaque fois. Autour d'elle elle pouvait contempler les spectateurs de ce show qui attendaient sagement, enfin, en se touchant un peu, visiblement en attendant leur tour. Le groupe fut à moment comme tétanisé, tremblant de partout. Superbement, ils venaient de réaliser l'exploit de jouir tous ensemble, superbe !
G Essoufflés nous tombâmes sur le lit pour récupérer. Mes partenaires le purent, eux ! Moi non… Fabrice fut sans pitié, puisque à peine avec retrouvé un semblant de souffle que je dus m'agenouiller devant lui pour une pipe. Une simple pipe après ces débordements… j'y mis quand même beaucoup d'ardeur et de sensualité. Ce fut ensuite le tour de Kevin. Il voulu me prendre comme je l'avais déjà été une fois, tête en bas. je reposais sur les épaules, le dos appuyé contre le flanc du lit, les fesses en l'air et les jambes écartées comme il se doit.…. Kevin m'enjamba et dirigeant sa queue vers le bas m'encula de nouveau. Cette fois-ci je ne réussit pas à parvenir à l'orgasme (sans doute l'incommodité et la fatigue) et Kevin quand le moment fut venu se plaça de façon à ce sa bite surplombe mon visage… et il éjacula sur celui-ci. Restaient Cyrille et Sébastien… qui tinrent à me faire subir une double pénétration anale. Sébastien se coucha sur le dos et je m'empalais sur sa grosse verge. Vu comme l'endroit avait servi ce soir, cela se fit sans peine malgré que Sébastien fut le mieux membré de la bande. Je me laissais aller en arrière le dos sur le thorax de Sébastien et relevais les jambes. Pour me les maintenir il passa ses mains sous mes genoux et m'offrit à son comparse. Cyrille prit place et guida sa bite vers l'orifice pourtant bien pourvu. Lentement mais sans rémission il commença à pousser au long du premier sexe. Je me décontractais au maximum pour leur faciliter la tâche et diminuer les risques. Doucement il finit par s'enfoncer complètement. C'est donc ainsi que je finis la soirée dans un ultime orgasme le cul défoncé par ce double phallus.
Brisée et un peu dans le brouillard je les vis partir et m'écroulais, épuisée… endormie… pour ne me réveiller qu'après de longues heures de sommeil. Comme toujours après ses nuits d'orgie je me trouvais fatiguée physiquement et moralement. Je n'avais plus vingt ans (loin s'en faut) et la fatigue était là. Pourtant j'étais assez fière de plaire encore à mes jeunes amants et je me demandais encore comment il se faisait qu'ils trouvent de l'attrait à une "vieille". De toute façon, maintenant que mes photos étaient revenues sur le net, je n'avais plus d'autres solutions que le consentement et vous savez bien que cela n'était pas fait pour me déplaire.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
quelles Con,,,fessions, Gisèle avoue enfin sa nymphomanie...
c'est tjrs un réel plaisir de vous lire , moi et mon chéri, a qui cela donne des idées
des me faire dépasser mes limites
nous sommes impatient de lire la suite
des me faire dépasser mes limites
nous sommes impatient de lire la suite
Enfin la suite ! On ne se lasse pas de vos histoires, mais elles sont longues à venir…
j'aimerais bien vous rencontrer. Il y a quelques fautes d'orthographe. mais les
histoires sont superbes bien qu'il manque un peu de pondération. Un peu plus soft elles
seraient parfaites. A bientôt !
j'aimerais bien vous rencontrer. Il y a quelques fautes d'orthographe. mais les
histoires sont superbes bien qu'il manque un peu de pondération. Un peu plus soft elles
seraient parfaites. A bientôt !
Bravo encore une fois !
Même si avec ma compagne nous préférons les récits de Nathalie ou Jocelyne, nous nous
réjouissons à chacune des nouvelles parutions signée Emile Hubert. En vérité, ma
compagne a explosé de joie en découvrant cette nouvelle aventure après de long mois
d'attente. Affairé à d'autres activités, je n'ai pas partagé avec elle la lecture de
ce récit. Mais je confesse qu'il a produit un effet sur elle dont j'ai pu mesurer
toute l'intensité, d'abord en la voyant quelques instants plus tard se présenter à moi
dans une tenue identique à celle décrite dans ce récit, puis en honorant ses requêtes
inspirées de sa lecture...
Un immense merci à l'auteur ! et surtout continuez à écrire... vite !
Même si avec ma compagne nous préférons les récits de Nathalie ou Jocelyne, nous nous
réjouissons à chacune des nouvelles parutions signée Emile Hubert. En vérité, ma
compagne a explosé de joie en découvrant cette nouvelle aventure après de long mois
d'attente. Affairé à d'autres activités, je n'ai pas partagé avec elle la lecture de
ce récit. Mais je confesse qu'il a produit un effet sur elle dont j'ai pu mesurer
toute l'intensité, d'abord en la voyant quelques instants plus tard se présenter à moi
dans une tenue identique à celle décrite dans ce récit, puis en honorant ses requêtes
inspirées de sa lecture...
Un immense merci à l'auteur ! et surtout continuez à écrire... vite !
L une des meilleurs histoire de hds
Bravo
Bravo
tres bon
drôle d'imagination en tout cas sacrément excitant
très chaud mais beaucoup de fautes d'orthographe