Gisèle 14

- Par l'auteur HDS Emile Hubert -
Auteur femme.
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Récit libertin : Gisèle 14 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2011 dans la catégorie Plus on est
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Gisèle 14
Je résolus donc de m'accorder quelques vacances pour faire le point.
La destination… je choisis de retourner dans ce beau pays qui avait vu éclore ma libido exacerbée. Secrètement, j'espérais bien revoir Ahmed et compagnie et leur faire admirer mon changement. S'il n'y eu pas de problème pour obtenir un séjour en cette période hors saison, je fus une déçue à mon arrivée de ne pas trouver ceux que j'espérais. Le personnel semblait plus classique et que dire de la clientèle… pratiquement que des retraités. Au début quelques uns tentèrent bien leur chance. Mais non, je ne me sentais pas attirée. Il me fallait des jeunes… bien pourvus… et vigoureux. A la limite, j'aurais accepté de me donner en spectacle avec un ou plusieurs amants devant quelques petits vieux libidineux, mais pas plus ! Donc ce serait repos, farniente et réflexion sur mon avenir…. Finalement une seule question se posait, faire un bout de chemin avec Fabrice ou pas ? Si c'était non, de toute façon il avait les photos et vidéo, donc je serais bien obligée de lui obéir. Si c'était oui, cela reviendrai presque au même, sauf qu'en m'accoquinant avec lui j'avais peu qu'il ne force la dose. Enfin, quand je dis "j'avais peur"… il est vrai que je redoutais ses frasques, mais en même temps…. J'étais bien forcée de reconnaître que j'étais attirée par ses vices, subjuguée même, alors….
Les premiers jours de mon séjour se passèrent bien tranquillement et je ne quittais guère le bord de la belle piscine. Pourtant, je me disais qu'il me fallait découvrir un peu les alentours. Un jour ou je "bullais" de nouveau en compulsant les dépliants touristiques un des serveurs du bar m'adressa la parole. Désignant une des brochures, il me demanda :
"Voudriez-vous visiter cet endroit ? De là-haut on a une vue magnifique !"
"Ah oui, pourquoi pas. Il y a des excursions prévues ?".
"Non, nous sommes hors saison et puis on ne peut pas se rendre là-bas avec un véhicule ordinaire, il faut du costaud, du tout terrain. Si vous le désirez, je peux vous arranger cela avec des amis qui ont ce qu'il faut."
"Ma foi… pourquoi pas !"
Le soir il me confirma un rendez-vous pour le lendemain. Pour cette excursion, j'avais choisis de mettre des sandales plates, une petite robe blanche à bretelle et des sous-vêtements blancs également. À l'heure dite je descendis rejoindre le serveur qui était en discussion avec deux hommes. Il me les présenta, puis moi à eux dans leur langue. S'adressant à moi, il me prévint :
"Ils ne parlent pratiquement pas le français, un tout petit peu d'anglais, mais ne vous inquiétez pas, ils vous conduiront à la tour. Avec eux vous ne risquez rien !"
Le trajet s'annonçait mal ! Moi et l'anglais… il y avait belle lurette que mes souvenirs de lycée s'étaient dissous. Par signe, ils me désignèrent leur véhicule…. Houuuu ! Je m'étais attendu à un genre 4x4 ou jeep…. Erreur, grossière erreur, j'étais devant un petit camion genre plateforme comme en ont un peu les maçon en France. Et encore… en France ils étaient en bon état. Je fus un peu effrayée par l'état du camion. Le serveur avait dit " il faut du costaud, du tout terrain". Costaud…il devait l'être vraiment pour avoir vécu ce qu'il semblait avoir vécu. Et tout terrain … en vérité rien ne semblait devoir l'arrêter…. Ne voulant pas jouer les bégueules, j'acceptais de monter et je me retrouvais coincée entre les deux hommes. En bringuebalant, le camion quitta la ville, puis grande route, puis s'engagea sur une sorte de piste caillouteuse. En fait il n'y avait pas de route. Les deux hommes parlaient surtout entre eux. Moi j'étais concentrée sue deux choses. Sur ma robe qui avait tendance à remonter à chaque cahot et sur laquelle je tirais désespérément et sur ma posture que je voulais droite évitant ainsi de trop me coller à mes compagnons de route à chaque embardée.
Nous stoppâmes au sommet d'une colline. C'est vrai la vue était superbe. Les hommes me firent signe de venir près de la tour. Je compris qu'ils voulaient me faire monter en haut. Je leur désignais un panneau rédigé en plusieurs langues qui disait en substance "Attention… warning… danger…". Ils rient en faisant des signes de dénégation.
"Come… come…."
Bon, je finis par accepter. Aïe, aïe, aïe… l'intérieur de cette construction était pire que l'extérieur. Que des blocs de pierre effondrés. Seul semblant défier les éléments, une sorte d'escalier qui faisait le tour avec de temps à autre des petites plateformes vestiges des paliers. L'un d'eux se mit à le gravir, me faisait signe de la suivre. Je le fis et le second monta à ma suite. La gaudriole n'était pourtant pas de mise dans cet endroit un peu dangereux, mais en un éclair, je me dis que l'homme derrière moi devait avoir les yeux rivés sur mon postérieur. Est-ce à cause de cela qu'ils intervertirent les rôles ? Il y eu un passage extrêmement périlleux. L'escalier était presque coupé à cet endroit. Nous nous plaquâmes contre la paroi et mes deux guides me prirent par la main pour assurer ma sécurité. Enfin l'éprouvante montée prit fin. Elle en valait la peine. La vue était magnifique. Un de mon guide, me montra quelque chose. Evidemment dans sa langue natale je ne comprenait rien… et de son anglais (et du mien) pas davantage. Il finit par se glisser derrière moi sur l'étroite plateforme et tendis son bras par-dessus mon épaule pour m'orienter vers ce qu'il voulait me montrer. Je finis par comprendre qu'il me faisait voir le club de vacance. Je risquais un "beautiful !". il voulut me montrer d'autres choses mais là je ne comprenait vraiment rien. Montrer… peu être, car en fait, à cause de l'exiguïté de la terrasse il était presque collé à moi, et au fur et à mesure, je pris conscience de la chose qui était au contact du bas de mon dos.
"You like ?" baragouina-t-il.
"Yes ! very much !
Répliquais-je pensant qu'il s'agissait de la vue. Là, je commis une erreur d'interprétation. Sa phrase ne devait pas concerner le paysage, mais plutôt la raideur que je sentais. J'entendis un "Gooood" et un bras me ceintura. Cette fois il était plaqué contre moi. Le temps de la surprise ou mon manque de réaction immédiate ? L'autre avait franchit le maigre espace qui sous séparait et avait posé ses mains sur mes seins. Il avançait son visage vers le mien, avec, je le supposais la volonté m'embrasser. Raisonnablement, que voulez-vous que puisse faire une femme seule au milieu de nulle part avec deux gaillards visiblement très décidés. Et puis, et puis, depuis deux ou trois jours, une envie commençait à me tenailler. Et puis encore, j'avais déjà goûté (et apprécié) les spécialités locales dispensées par Ahmed et compagnie, alors….
Alors… une bouche se posa sur la mienne. Sans obstacle, une langue s'introduisit dans ma bouche et en commença une exploration méthodique. Je ne fus pas de reste. La lui suçant avec volupté, lui glissant aussi la mienne pendant que je sentais ses mains trapues prendre mes seins. La bouche du grand joua avec mon cou, embrassa mes épaules et me lécha la nuque poussant mon excitation à son pendant que je sentais ses mains trapues soulever ma robe. Faire glisser les cordelettes de mon string sur mes hanches et m'en priver fut pour lui un jeu d'enfant. Celui de devant relâcha son étreinte et me prit par la main. Je compris que nous allions redescendre. Inutile de préciser que je savais à quoi m'en tenir lorsque nous serions arrivés en bas…. La descente dura un certain temps. Non pas tant à cause de l'étroitesse de l'escalier, mais plutôt à cause des pauses que nous effectuions à chaque petite plateforme. A chaque halte, soit j'étais coincée entre les deux hommes qui variaient entre pile et face, soit j'étais écrasé contre mur. Pelotée immodérément, ma robe demeura bientôt roulée autour de ma taille pour mieux encore faciliter les entreprises de deux hommes. Les choses se corsèrent encore juste avant le petit passage extrêmement délicat que j'ai déjà mentionné. Les quatre mains se promenaient sur moi. Je sentis que l'on faisait glisser la fermeture éclair de ma robe et j'en fus vite dépouillée. Ils la jetèrent dans le vide en riant. Mon soutien gorge suivit le même trajet ou presque. Celui de devant avait sa main gauche sur ma cuisse, la droite appuyée sur haut de mon pubis descendait paisiblement vers mon Mont de Vénus. Celui de derrière me pétrissaient les fesses avant d'en placer une sur mon autre cuisse et de laisser descendre l'autre le long de la raie de mes fesses. Le passage étroit passé ils reprirent leurs explorations. Le premier réussit à atteindre mon sexe et sa main ma vulve gonflée, puis glissa un doigt entre mes lèvres trempées lui facilitant son exploration en détail de mes replis noyés dans ma mouille abondante. Plusieurs de ses doigts se sont enfoncés dans mon vagin, le dilatant avec fermeté. Nullement en reste, son copain jouait de son index sur mon anus, forçant progressivement le passage. Ils massaient mon périnée pendant que je me tenais les cuisses largement écartées et la vulve totalement ouverte. Sans retenue ils continuaient à jouer avec leur langue dans ma bouche. Rendue folle de désir je m'abandonnais aux deux hommes. Pendant que l'un massait mon clitoris mouillant ses doigts dans mon vagin pour faciliter l'intrusion, l'autre explorait et dilatait mon anus dans lequel il avait déjà, lui aussi, enfilé plusieurs doigts qui me pénétraient. Le traitement auquel ils me soumettaient me fit craindre une séance (ou espérer) de fist-fucking que dans le fond, je n'aurais pas refusée. Il n'en fut rien et la descente se poursuivit au pas de charge.
Nous sortîmes à toute vitesse de la tour. L'un d'eux se précipita vers la camionnette et en revint muni d'un petit tapis qu'il étendit à l'ombre d'un muret, vestige de la construction. Promptement, je fus allongée sur le dos et le plus grand se laissa tomber entre mes cuisses ouvertes et me pénétra. Il se mit à me limer fougueusement comme je l'aimais. Sa virilité me faisait décoller même si je sentais dans mon dos les aspérités du relief. Un tout petit peu avant lui je jouis avant qu'il ne m'inonde l'intimité en grommelant, je le supposait des insanités à mon endroit. De suite l'autre s'abattit sur moi et me fit subir le même délicieux traitement. L'homme était, typé, très brun et très poilu, plus petit et plus trapu que l'autre. Sa pine aussi avait cette caractéristique… trapue et pas courte du tout. Il me donna un plaisir bestial par deux fois son membre me pilonnant sans répit ni temps mort. Il finit par se vider lui aussi. Ouf ! J'allais enfin pouvoir retirer les cailloux gênants. Je me mis à quatre pattes, soulevais un le tapis et retira les objets mal placés.
J'avais fait cela pour améliorer mon confort dans l'espoir "d'un second tour". Les deux hommes en eurent une interprétation un peu différente de la mienne. Je le réalisais très vite quand je sentis l'un m'immobiliser dans cette posture et la langue de l'autre investir mon anus. Sentant les choses sérieuse arriver je me suis bien cambrée. Je lui offris mes fesses et d'un coup de rein, sans aucune difficulté, il m'a pénétrée avant de ressortir une fois son sexe pour mieux prendre mon petit trou soigneusement dilaté bien son sexe fut plus large encore que je ne l'espérais. Son va-et-vient faisait ballotter mes seins et m'arrachait des petits cris de plaisir malgré la rigueur de sa sodomie. Mais c'était délicieux ! Quand il m'a redressée le tête, sa verge toujours enfoncée profondément dans mon cul, j'ai ouvert les yeux et découvert l'autre se branlant devant moi. Nos regards se croisèrent et il dut en conclure qu'il pouvait s'inviter. Il approcha sa verge de ma bouche et l'y engagea. Voilà, nous y étions… ma position préférée… une pine solidement plantée entre les fesses et bâillonnée par une deuxième. Si ce n'était le sol un peu dur pour mes genoux cela aurait été parfait surtout que mes "nouveaux amis" s'y prenaient bien, vigoureusement, fermement, sans fioriture superflue, mais très efficacement. Pendant que je pompais jusqu'à l'étouffement, l'autre m'enculait, frottant entre mes fesses pendant qu'il me pétrissait mes seins tout en continuant à me sucer le cou. J'avais pourtant un regret : la barrière linguistique ne me permettait pas de les comprendre. De plus, ils s'exprimaient dans leur langue natale. Malgré tout, comme souvent en pareil cas, je préférais penser qu'ils commentaient en qualificatifs grossiers leur activité et leur jugement sur ma personne. Leur synchronisation fut presque parfaite. Des giclées saccadées vinrent tapisser les parois de mon anus et celles de ma bouche pour ma plus grande joie. Les deux hommes m'aidèrent à me relever et m'offrirent à boire. L'eau était tiède, mais enfin….
Tapotant sa montre l'un des deux me montra qu'il était temps de rebrousser chemin. J'allais jusqu'à la tour pour y récupérer ma robe abandonnée sur le sol. Mon soutien-gorge… à passer en perte et profit… il était resté accrochée en hauteur. Voilà qui ne manquerait pas d'étonner les prochains touristes…. Mon string… également à passer en perte et profit… comme trophée de mes deux amants, je suppose. Bringuebalant, nous reprîmes le chemin, puis la route du retour. Le trajet me parut moins long qu'à l'aller. Sans doute parce que les mains des deux hommes ne quittèrent pratiquement mes cuisses et mon entrejambe qu'une fois arrivée devant l'hôtel. Avant de me laisser descendre ils me demandèrent :
"Demain ? Baiser encore ? Tomorow… fuck you again ? OK ?
Un hochement de tête, un OK rapide de confirmation… le rendez vous était pris… ici même à treize heures…. En attendant bain, dîner et surtout dodo !
Le lendemain, au petit déjeuner (que je pris fort tard) le serveur qui m'avait proposé cette pittoresque excursion me demanda, avec un petit sourire en coin si j'avais été satisfaite de mes guides. Du même ton et avec le même sourire, je lui répondis qu'ils avaient été parfaits. Je remontais me préparer. A cause de la chaleur, je ne pouvais pas trop me maquiller. Je fis néanmoins ce qu'il fallait pour être à mon avantage. Ensuite, je m'habillais. Hier elle était blanche, aujourd'hui elle serait noire… ma robe dos nu. Comme elle ne pouvait se porter avec un soutien-gorge (vu les décolletés pile et face) je décidais de me passer également de string. De toute façon, je savais à quoi m'en tenir sur mon après midi… alors…! Et puis, je n'allais pas perdre un ensemble de lingerie tous les jours….
A treize heures, le camion était là et les deux hommes aussi. Ils m'aidèrent à m'installer et à peine le moteur mit en marche qu'une main me palpait les seins. Rapidement ma robe fut relevée et les hommes ravis de trouver la voie dégagée, reprirent leur exploration où ils l'avaient temporairement stoppée la veille. Bien que cela me fit un peu drôle de me faire doigter en plein jour, excepté la hauteur du petit camion, pratiquement au vu et au su de tout le monde il n'empêche que je mouillais comme une fontaine et que j'avais hâte d'être arrivée à destination. Le camion stoppa, nous descendîmes et ils m'entraînèrent dans un dédale de petite rue blanche. Pour les quelques passants croisés, notre trio ne pouvait laissant planer aucun doute sur nos activités futures puisque ce n'était que mains aux fesses plus quelques haltes ou les deux hommes m'embrassaient. Un porche, une petite cour intérieur, un escalier, une porte, un intérieur délicieusement frais… ma robe s'envola. Je n'eus pas le temps d'avoir la moindre sensation de frais, deux corps nus étaient plaqués contre moi pour me faire éprouver d'autres genres de frissons. Dire qu'ils bandaient était presque un doux euphémisme. En vérité les deux pines plaquées contre le bas de mes reins et mon ventre étaient dures comme de l'airain. Et comme les deux hommes ne cessaient de me rouler des pelles enfiévrées et goulues cela n'était pas fait pour les calmer. Même si parfois j'avais du mal à reprendre mon souffle, ce n'est certainement pas moi qui allaient faire quoi que ce soit pour tiédir leurs ardeurs dont j'escomptais bien profiter. Ce fut bien comme je l'attendais. Impétueusement je me retrouvais à quatre pattes par terre. Le premier frotta quelque seconde son gland contre ma fente trempée et après en avoir estimé la moiteur la l'obstrua d'un seul élan musclé. En grognant, il se mit à me limer à un rythme effréné. L'autre, tranquillement, s'était assis et ce caressait la verge distraitement en regard la scène. Dans une invite muette, tout d'abord, je tirais la langue vers lui, puis la passait sur mes lèvres. Cela le fit sourire. Comme il ne daignait toujours pas bouger, je l'invitais :
"Come… come….I want you… I want to suck you !"
Il se leva et vint vers moi sans toutefois se mettre à ma portée et s'adressa à ma petite personne :
"You're a bitch !"
Ne pouvant vraiment pas dire le contraire, je confirmais :
"Oh Yes… I'm a bitch… a nasty bitch !"
Là, au lieu de proposer son sexe turgide à ma bouche impatiente, il entama un bref conciliabule avec son acolyte. Ce dernier se retira du douillet endroit ou il se trouvait et lui, vint se ficher entre mes lèvres avides. Je pensais que l'autre allait prendre la place laissée vacante. Non pas… sentant la salive couler entre mes fesses, je compris qu'il entendait me faire subir les derniers outrages… tant mieux ! Des doigts fureteurs vinrent tester l'élasticité de mon œillet encore fripé. J'échappais à mon bâillon pour quémander :
"Yes… oh Yeees…! Fuck me !"
Celui de devant me repris par les cheveux pour enfoncer son dard jusqu'à ma gorge pendant que l'autre m'ouvrait les fesses. Le gland fut contre mon anus…. Vu leur soudaine impétuosité, j'allais être traitée comme je le désirais, comme une belle salope et sûrement avec un peu brutalité ce qui n'était pas pour me déplaire. Sous la poussée, le muscle céda…. Malgré mon excitation ce fut un peu douloureux quand même, mais l'idée de me faire violer les reins l'emporta et je m'offris du mieux qu je pus. Je passais même la main entre mes suisses à la recherche de mon petit bouton que j'agaçais un peu pour ajouter encore à mon plaisir. Je me laissais aller sans limite au plaisir que procuraient les deux hommes qui se montraient très vigoureux. Je laissais le premier me baiser la bouche pendant que l'autre me limait le fion avec énergie. Conscients de mon abandon et de ma docilité ils intervertirent les postes et je me vis dans l'obligation d'absorber une fois encore une bite toute chaude et fumante sortie tout droit de mon cul. Ils s'amusèrent trois ou quatre fois à ce petit jeu me faisaient jouir intensément à deux reprises avant de me faire don de leur foutre.
Comme je le pensais et aussi comme je l’espérais, leur remise en forme fut quasiment immédiate. Pour parachever leur érection prometteuse, je dus en prendre un entre mes seins et le branler vigoureusement et en même temps sucer l’autre. Ils passèrent en fait tous les deux dans ma bouche, puisque de nouveau en parfait complice ils intervertirent les postes.
Ce fut ensuite le double attendu. Celui des deux qui n’avait pas profité de mes reins s’assit sur le canapé et me fit signe de venir m’empaler sur lui, a retro, bien entendu. Vu ma première enculade, je pus assez facilement m'asseoir sur (ou plutôt autour) de ce pal bien dressé. Une fois installée je relevais et écartais mes cuisses pour offrir ma chatte béante au second. Il se précipita et s'engouffra dans la grotte que je lui mettais à disposition. Me soulevant les cuisses pour mieux les écarter, ma vulve était ainsi concédée à ce pieux que je n'eus même pas besoin de guider et qu'il m'a introduit avec une douceur exquise, l'enfonçant jusqu'a la garde, sentant en moi le contact délicieux de ces deux sexes me faisant vivre ma énième double pénétration. C'était presque, comme toujours, trop fort et ainsi écartelée les sensations restaient assez voisines de la douleur, et sentant a tour de rôle ces membres obstruer mes deux orifices un plaisir intense l'emportait toujours. L'homme devant moi finit par mettre mes jambes sur ses épaules comme s'il voulait m'écarteler encore plus pendant qu'il me baisait avec force. L'autre, soit me soulevait par les fesses et me laissait retomber sur sa pine, soit rythmais la sodomie en s'agrippant (le mot n'est pas trop fort) à mes gros seins qu'il malmenait un peu (enfin quand je dis un peu …). Il finit par jouir en moi dans un cri de plaisir accompagnant ce que je ressentais comme une explosion chaude dans mon cul. Il jouit longuement avant de sa détumescence, libérant mon anus endolori et me livrant au seul sexe de son compère étalon qui allait et venait plus farouchement en moi et ce jusqu'à ce que l'orgasme nous délivre dans un concert de grognements ou de folles paroles échangées lui dans sa langue natale et moi en français.
Sans fioriture particulière, ils me firent signe qu'ils allaient me ramener à l'hôtel. Avant de me laisser partir ils me demandèrent :
"Demain ? Again ? Tomorow… baiser ? With others friends ? OK ?
Si j'avais bien compris, ils me proposaient une version locale du gangbang. Je déclinais et pour plusieurs raisons. D'abord c'était mon dernier jour que je comptais consacrer à quelques emplettes et puis, pour une fois j'eus un peu peur des fameux "friends". Ils ne parurent pas plus déçus que cela. Ils devaient penser se rattraper avec d'autres estivantes….
Ce fut la fin de mes petites vacances.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Gisèle ne peut pas arrêter d'offrir ses trous à d'autres clients, j'espère bien qu'elle
continuera... A quand la suite ??

Histoire Libertine
tres agreable et tentant.....

bonne vacances pour se faire mettre partout.
huguette34



Texte coquin : Gisèle 14
Histoire sexe : Une rose rouge
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