Gisèle, la femme de mon collègue
Récit érotique écrit par Mes18cm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Gisèle, la femme de mon collègue
Je travaille avec Pascal depuis presque quatre ans. Sérieux, mais volontiers blagueur, toujours prêt à rendre service et à dépanner un collègue en difficulté, nous étions rapidement devenus amis. Six mois plus tard, Sophie et moi l'avions invité à dîner avec Gisèle, sa femme. Par la suite, ces repas s'étaient réitérés assez régulièrement, environ tous les deux mois, une fois chez l'un, une fois chez l'autre.
Lorsque je me suis séparé de Sophie, il y deux mois, Pascal a été là dès que j'en ai eu besoin, le moral en berne. La semaine dernière, je m'estimais sorti de cette déprime et, le samedi en fin d'après-midi, je me suis arrêté chez Pascal et Gisèle en rentrant de mon jogging, histoire de dire bonjour. C'est Gisèle qui m'a ouvert. Mon regard s'est certainement un peu attardé sur ses jolies jambes bronzées qui émergeaient d'un short blanc.
- Eh bien, Stéphane, tu es dans la lune ? m'a-t-elle dit en souriant.
J'ai levé les yeux sur elle. C'est assurément une belle femme qui porte bien sa trentaine toute récente. Pas trop grande, svelte, et sportive dans son allure, elle a le visage fin et deux jolis yeux bleus. Ses cheveux, assez courts, avaient leur couleur naturelle cette fois-là, un châtain clair aux reflets roux par endroits, mais par le passé je l'avais souvent vue blonde et parfois brune. Je lui expliquai la raison de mon passage et elle m'invita à la suivre dans la maison. Elle me conduisit dans le jardin à l'arrière de la villa où Pascal jouait avec Gaétan, leur fils de cinq ans. Alice, leur fille de dix-huit mois, dormait tranquillement dans sa chambre à l'étage.
Nous nous installâmes pour boire l'apéritif au soleil de cette fin de journée tout en discutant. De temps en temps, j'envoyais le ballon à Gaétan qui lui courait après en riant.
J'étais pris dans notre conversation, mais je ne pouvais m'empêcher de laisser mon regard glisser sur les courbes de Gisèle. Son petit haut rouge en coton lui découvrait le ventre et son petit nombril. Un jour, Sophie m'avait demandé de but en blanc si Gisèle me plaisait et si j'avais envie d'elle. J'avais bredouillé quelque chose sans vraiment la convaincre et elle m'avait avoué que, elle, elle se serait bien laissé faire si Pascal lui avait tourné autour. J'étais resté interdit devant cet aveu.
Nous poursuivions notre discussion quand le téléphone sonna dans la maison. Gisèle s'y rendit pour répondre et revint le combiné à la main, le tendant à son mari.
- C'est pour toi. Le boulot.
Pascal s'empara du téléphone et partit sur la terrasse. Ce week-end là, il était d'astreinte, et lorsqu'il revint il ne souriait plus.
- Faut que j'aille au bureau. Il y a un problème. Je pense qu'il y en a pour une heure maximum.
Gaétan s'approcha en courant, son ballon à la main.
- J'peux venir avec toi, papa ? S'il te plaît, dis oui...
Pascal échangea un regard avec sa femme, lui tirant un haussement d'épaule et une petite moue du coin des lèvres.
- D'accord, ta mère a dit oui. Allez, amène-toi champion.
Il ébouriffa les cheveux de son fils.
- Je suis désolé, Stéph, mais il faut que j'y aille.
- Pas de souci. Tu me raconteras ça lundi !
Peu avant que la voiture de mon collègue ne parte, je me penchai aux côtés de Gisèle contre la balustrade de leur terrasse pour faire signe de la main à Pascal et à son gamin. Lorsqu'ils ne furent plus en vue, je pris conscience que j'étais près de la jeune femme. Très près même, puisque j'étais calé derrière elle et qu'elle pouvait sentir mon souffle dans son cou. Elle ne bougea pas. Moi non plus. Ce moment étrange dura peut-être trente secondes, mais il me parut très long, mon désir ne cessant de croitre. Je posais finalement une main sur son épaule gauche et l'autre sur sa taille. J'approchai mon visage de sa nuque, prêt à l'embrasser. Mon corps agissait de son propre chef, ou plutôt était-ce mon excitation qui le guidait. À ma surprise, Gisèle en fit tout autant. Sans se retourner, elle lança sa main derrière elle, la glissa sous mon short pour s'emparer de mon chibre. Je ne bandais pas encore vraiment, mais cela suffisait à lui emplir la paume. Je sentais ses doigts autour de mon gland décalotté, une caresse subtile et douce.
Je l'embrassai du bout des lèvres dans le cou puis remontai vers son oreille que je léchai. Mes doigts glissèrent sur ses flancs. La peau, chaude, à peine humide de transpiration, était soyeuse. Je déboutonnai son bermuda pour glisser une main dans sa culotte. Son pubis était délicatement fourni, une petite touffe qui ne tarda pas à se tremper tandis que j'allais le long de son sillon intime. De l'autre main, je tentais de lui relever son débardeur. Je dus m'y prendre à plusieurs fois, mais je finis par lui dévoiler son petit soutien-gorge de dentelle. Il me gênait. Je voulais qu'elle s'en débarrasse pour libérer ses seins qui m'avaient tant fait fantasmer, surtout depuis que Sophie m'avait quitté. Je dois vous avouer que ces derniers temps il m'est arrivé de me branler en pensant à la poitrine de Gisèle.
- Pas ici, souffla-t-elle.
Me trainant par ma bite qu'elle tenait toujours en main, elle m'attira dans le salon où elle se défit de son short et de son débardeur. Je me mis nu et m'approchai d'elle, la queue dressée. Je lui baissai sa culotte, dévoilant sa chatte luisante, puis je la fis tourner sur elle-même pour qu'elle me tourne le dos. Je dégrafai alors son soutien-gorge qui tomba sur le canapé sans un bruit. Mes mains vinrent se placer en coupe sur ses seins. C'était encore mieux que je ne l'avais espéré. La poitrine de Gisèle n'était pas très volumineuse, mais suffisamment tout de même pour emplir mes paumes. Surtout, c'était sa fermeté qui m'étonna. De beaux nichons de sportive, aux pointes dures et saillantes.
Elle reprit mon membre dans sa main et me branla lentement pendant que je lui embrassai les épaules et le dos.
- Depuis le temps que j'avais envie de toi, lui glissai-je.
- Je le savais. Il va falloir que tu sois à la hauteur...
Je n'aimais rien tant qu'être défier de la sorte. D'une main, je lui fis écarter les cuisses, puis, toujours derrière elle et fléchissant les jambes, je me faufilai sous elle avant de remonter. Sa main guida mon pénis gorgé de désir et je l'empalai de mes dix-huit centimètres de chair. Je la sentis tressaillir quand je la pénétrai, poussant lentement jusqu'à la garde, jusqu'à ce que mon pubis bute contre ses fesses. Sa chatte trempée était chaude et accueillante, étonnamment large. Je m'y étais glissé tout seul.
Au début, mes coups de bassin étaient lents mais se firent plus vigoureux. Un bras passé autour du ventre de Gisèle, je la maintenais tout en lui caressant les seins de l'autre. Du bout des doigts, elle flattait mes cuisses tendues. À plusieurs reprises, je la fis presque décoller du sol, seule la pointe de l'un de ses pieds touchant encore le parquet. Elle poussait de petits gémissements pendant que je lui embrassais le cou, goûtant de ma langue la saveur légèrement salée du creux de ses clavicules.
Ma verge ressortit soudain de sa chatte dans un bruit de succion, ce qui permit à Gisèle de se dégager pour se mettre à quatre pattes en appui sur le sofa de cuir. Elle me présentait sa croupe, blanche à l'endroit de son habituel petit slip de bain. Je m'approchai. Ses fesses étaient fermes, musclées tout en restant féminines. Elle les releva, me les offrant. Mais je ne voulais pas l'enculer. Un pied sur le canapé, je la pris par derrière, en levrette, en glissant ma queue entre ses cuisses dans son macaron crémeux. Elle ondula son bassin, elle en voulait, elle voulait ma queue bien dure en elle. Je répondis à ses attentes en la pompant bien à fond. Mes couilles valdinguaient dans tous les sens, nos deux corps claquaient l'un contre l'autre. Gisèle tourna le visage vers moi, se mordant la lèvre du bas. Son regard se perdit dans le vague, ses joues rosirent, et je la sentis jouir. Je ne ralentissais pas le rythme, la limant toujours dans ce doggy style que j'apprécie énormément. Mais il me fallait changer, lui faire varier ses plaisirs. Et les miens. Cela faisait deux mois, depuis la fin de mon histoire avec Sophie, que je n'avais pas baisée. Avec un grand bruit humide, je me retirai d'elle, la retournai pour qu'elle se trouve face à moi, le dos et les épaules sur le canapé. Les pointes sombres de ses petits seins étaient dressées, une invitation à être pincées. Je préférai lui écarter les cuisses, dégageant sa chagatte luisante sous la broussaille foncée de son minou. Je caressai ses grandes lèvres poisseuses avant d'y insérer deux doigts. Ses pieds cherchèrent et trouvèrent ma bite. Elle commença à me branler ainsi.
- J'aime ta queue, dit-elle. Même si elle est plus petite que celle de Pascal.
En plus de se taper tous les soirs une nana aussi bien gaulée qu'elle, mon collègue était apparemment largement mieux membré que la moyenne. Cela me donna comme un coup de fouet, une bête réaction de jalousie, je dois l'avouer. Je pris Gisèle par les cuisses et la fourrai. Mes jambes prenaient bien appui sur le sol pour la pilonner. Elle mit une jambe sur mon épaule et je lui caressai le cul. Nos lèvres se trouvèrent, puis se furent nos langues.
Je ne parvins pas à la faire jouir une seconde fois avant de décharger, enfiché en elle. Lorsque je ressortis ma bite gluante, du foutre coula de sa moule. Nous étions essoufflés, elle souriait.
Il nous fallait nous dépêcher : une bonne demi-heure avait passé et Pascal pouvait revenir d'un instant à l'autre. Dans la salle de bains, nous nous lavâmes l'un l'autre puis nous nous habillâmes. Je partis peu après. Sur le trajet jusqu'à mon domicile, je ne pus m'empêcher de penser à ce à quoi Pascal allait avoir droit le soir même. Tel que j'avais chauffé sa femme, ayant échoué à la mener à son second orgasme, nul doute qu'elle allait lui demander de terminer le travail...
Lorsque je me suis séparé de Sophie, il y deux mois, Pascal a été là dès que j'en ai eu besoin, le moral en berne. La semaine dernière, je m'estimais sorti de cette déprime et, le samedi en fin d'après-midi, je me suis arrêté chez Pascal et Gisèle en rentrant de mon jogging, histoire de dire bonjour. C'est Gisèle qui m'a ouvert. Mon regard s'est certainement un peu attardé sur ses jolies jambes bronzées qui émergeaient d'un short blanc.
- Eh bien, Stéphane, tu es dans la lune ? m'a-t-elle dit en souriant.
J'ai levé les yeux sur elle. C'est assurément une belle femme qui porte bien sa trentaine toute récente. Pas trop grande, svelte, et sportive dans son allure, elle a le visage fin et deux jolis yeux bleus. Ses cheveux, assez courts, avaient leur couleur naturelle cette fois-là, un châtain clair aux reflets roux par endroits, mais par le passé je l'avais souvent vue blonde et parfois brune. Je lui expliquai la raison de mon passage et elle m'invita à la suivre dans la maison. Elle me conduisit dans le jardin à l'arrière de la villa où Pascal jouait avec Gaétan, leur fils de cinq ans. Alice, leur fille de dix-huit mois, dormait tranquillement dans sa chambre à l'étage.
Nous nous installâmes pour boire l'apéritif au soleil de cette fin de journée tout en discutant. De temps en temps, j'envoyais le ballon à Gaétan qui lui courait après en riant.
J'étais pris dans notre conversation, mais je ne pouvais m'empêcher de laisser mon regard glisser sur les courbes de Gisèle. Son petit haut rouge en coton lui découvrait le ventre et son petit nombril. Un jour, Sophie m'avait demandé de but en blanc si Gisèle me plaisait et si j'avais envie d'elle. J'avais bredouillé quelque chose sans vraiment la convaincre et elle m'avait avoué que, elle, elle se serait bien laissé faire si Pascal lui avait tourné autour. J'étais resté interdit devant cet aveu.
Nous poursuivions notre discussion quand le téléphone sonna dans la maison. Gisèle s'y rendit pour répondre et revint le combiné à la main, le tendant à son mari.
- C'est pour toi. Le boulot.
Pascal s'empara du téléphone et partit sur la terrasse. Ce week-end là, il était d'astreinte, et lorsqu'il revint il ne souriait plus.
- Faut que j'aille au bureau. Il y a un problème. Je pense qu'il y en a pour une heure maximum.
Gaétan s'approcha en courant, son ballon à la main.
- J'peux venir avec toi, papa ? S'il te plaît, dis oui...
Pascal échangea un regard avec sa femme, lui tirant un haussement d'épaule et une petite moue du coin des lèvres.
- D'accord, ta mère a dit oui. Allez, amène-toi champion.
Il ébouriffa les cheveux de son fils.
- Je suis désolé, Stéph, mais il faut que j'y aille.
- Pas de souci. Tu me raconteras ça lundi !
Peu avant que la voiture de mon collègue ne parte, je me penchai aux côtés de Gisèle contre la balustrade de leur terrasse pour faire signe de la main à Pascal et à son gamin. Lorsqu'ils ne furent plus en vue, je pris conscience que j'étais près de la jeune femme. Très près même, puisque j'étais calé derrière elle et qu'elle pouvait sentir mon souffle dans son cou. Elle ne bougea pas. Moi non plus. Ce moment étrange dura peut-être trente secondes, mais il me parut très long, mon désir ne cessant de croitre. Je posais finalement une main sur son épaule gauche et l'autre sur sa taille. J'approchai mon visage de sa nuque, prêt à l'embrasser. Mon corps agissait de son propre chef, ou plutôt était-ce mon excitation qui le guidait. À ma surprise, Gisèle en fit tout autant. Sans se retourner, elle lança sa main derrière elle, la glissa sous mon short pour s'emparer de mon chibre. Je ne bandais pas encore vraiment, mais cela suffisait à lui emplir la paume. Je sentais ses doigts autour de mon gland décalotté, une caresse subtile et douce.
Je l'embrassai du bout des lèvres dans le cou puis remontai vers son oreille que je léchai. Mes doigts glissèrent sur ses flancs. La peau, chaude, à peine humide de transpiration, était soyeuse. Je déboutonnai son bermuda pour glisser une main dans sa culotte. Son pubis était délicatement fourni, une petite touffe qui ne tarda pas à se tremper tandis que j'allais le long de son sillon intime. De l'autre main, je tentais de lui relever son débardeur. Je dus m'y prendre à plusieurs fois, mais je finis par lui dévoiler son petit soutien-gorge de dentelle. Il me gênait. Je voulais qu'elle s'en débarrasse pour libérer ses seins qui m'avaient tant fait fantasmer, surtout depuis que Sophie m'avait quitté. Je dois vous avouer que ces derniers temps il m'est arrivé de me branler en pensant à la poitrine de Gisèle.
- Pas ici, souffla-t-elle.
Me trainant par ma bite qu'elle tenait toujours en main, elle m'attira dans le salon où elle se défit de son short et de son débardeur. Je me mis nu et m'approchai d'elle, la queue dressée. Je lui baissai sa culotte, dévoilant sa chatte luisante, puis je la fis tourner sur elle-même pour qu'elle me tourne le dos. Je dégrafai alors son soutien-gorge qui tomba sur le canapé sans un bruit. Mes mains vinrent se placer en coupe sur ses seins. C'était encore mieux que je ne l'avais espéré. La poitrine de Gisèle n'était pas très volumineuse, mais suffisamment tout de même pour emplir mes paumes. Surtout, c'était sa fermeté qui m'étonna. De beaux nichons de sportive, aux pointes dures et saillantes.
Elle reprit mon membre dans sa main et me branla lentement pendant que je lui embrassai les épaules et le dos.
- Depuis le temps que j'avais envie de toi, lui glissai-je.
- Je le savais. Il va falloir que tu sois à la hauteur...
Je n'aimais rien tant qu'être défier de la sorte. D'une main, je lui fis écarter les cuisses, puis, toujours derrière elle et fléchissant les jambes, je me faufilai sous elle avant de remonter. Sa main guida mon pénis gorgé de désir et je l'empalai de mes dix-huit centimètres de chair. Je la sentis tressaillir quand je la pénétrai, poussant lentement jusqu'à la garde, jusqu'à ce que mon pubis bute contre ses fesses. Sa chatte trempée était chaude et accueillante, étonnamment large. Je m'y étais glissé tout seul.
Au début, mes coups de bassin étaient lents mais se firent plus vigoureux. Un bras passé autour du ventre de Gisèle, je la maintenais tout en lui caressant les seins de l'autre. Du bout des doigts, elle flattait mes cuisses tendues. À plusieurs reprises, je la fis presque décoller du sol, seule la pointe de l'un de ses pieds touchant encore le parquet. Elle poussait de petits gémissements pendant que je lui embrassais le cou, goûtant de ma langue la saveur légèrement salée du creux de ses clavicules.
Ma verge ressortit soudain de sa chatte dans un bruit de succion, ce qui permit à Gisèle de se dégager pour se mettre à quatre pattes en appui sur le sofa de cuir. Elle me présentait sa croupe, blanche à l'endroit de son habituel petit slip de bain. Je m'approchai. Ses fesses étaient fermes, musclées tout en restant féminines. Elle les releva, me les offrant. Mais je ne voulais pas l'enculer. Un pied sur le canapé, je la pris par derrière, en levrette, en glissant ma queue entre ses cuisses dans son macaron crémeux. Elle ondula son bassin, elle en voulait, elle voulait ma queue bien dure en elle. Je répondis à ses attentes en la pompant bien à fond. Mes couilles valdinguaient dans tous les sens, nos deux corps claquaient l'un contre l'autre. Gisèle tourna le visage vers moi, se mordant la lèvre du bas. Son regard se perdit dans le vague, ses joues rosirent, et je la sentis jouir. Je ne ralentissais pas le rythme, la limant toujours dans ce doggy style que j'apprécie énormément. Mais il me fallait changer, lui faire varier ses plaisirs. Et les miens. Cela faisait deux mois, depuis la fin de mon histoire avec Sophie, que je n'avais pas baisée. Avec un grand bruit humide, je me retirai d'elle, la retournai pour qu'elle se trouve face à moi, le dos et les épaules sur le canapé. Les pointes sombres de ses petits seins étaient dressées, une invitation à être pincées. Je préférai lui écarter les cuisses, dégageant sa chagatte luisante sous la broussaille foncée de son minou. Je caressai ses grandes lèvres poisseuses avant d'y insérer deux doigts. Ses pieds cherchèrent et trouvèrent ma bite. Elle commença à me branler ainsi.
- J'aime ta queue, dit-elle. Même si elle est plus petite que celle de Pascal.
En plus de se taper tous les soirs une nana aussi bien gaulée qu'elle, mon collègue était apparemment largement mieux membré que la moyenne. Cela me donna comme un coup de fouet, une bête réaction de jalousie, je dois l'avouer. Je pris Gisèle par les cuisses et la fourrai. Mes jambes prenaient bien appui sur le sol pour la pilonner. Elle mit une jambe sur mon épaule et je lui caressai le cul. Nos lèvres se trouvèrent, puis se furent nos langues.
Je ne parvins pas à la faire jouir une seconde fois avant de décharger, enfiché en elle. Lorsque je ressortis ma bite gluante, du foutre coula de sa moule. Nous étions essoufflés, elle souriait.
Il nous fallait nous dépêcher : une bonne demi-heure avait passé et Pascal pouvait revenir d'un instant à l'autre. Dans la salle de bains, nous nous lavâmes l'un l'autre puis nous nous habillâmes. Je partis peu après. Sur le trajet jusqu'à mon domicile, je ne pus m'empêcher de penser à ce à quoi Pascal allait avoir droit le soir même. Tel que j'avais chauffé sa femme, ayant échoué à la mener à son second orgasme, nul doute qu'elle allait lui demander de terminer le travail...
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