Gloire aux matures!

- Par l'auteur HDS maximius -
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Récit libertin : Gloire aux matures! Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Gloire aux matures!
Je pouvais avoir 20 ou 22 ans, j’étais en vacances avec ma petite amie, pas plus âgée que moi et guère meilleure amante ; l’inexpérience ! (J’espère qu’elle a changé...)
Un orage violent et une fenêtre ouverte avaient inondé notre chambre de location à tel point qu’une chemise avait déteint sur un couvre lit du blanc le plus pur. Pour réparer les dégâts, nous l’avions porté dans la laverie du village. Un bel après midi je suis allé le rechercher.
Seul. Mon amie n’avait pas envie de marcher au soleil.
A mon arrivée dans la boutique, je trouve la patronne et unique employée juchée sur un escabeau s’efforçant de ranger quelque chose sur un rayonnage. Je l’ai saluée en entrant et, de là haut, elle m’a aimablement répondu avec un grand sourire et s’est remise à son rangement.
J’ai attendu un moment. Combien ? Deux minutes, trois peut-être... J’attendais et je la détaillais. C’était une belle femme brune un peu typée, bronzée, la quarantaine passée mais épanouie, des formes là où il faut et, finalement assez peu vêtue : une jupe courte que ses mouvements faisaient remonter assez haut, un chemisier léger dont les emmanchures me laissaient voir d’en bas les poils des aisselles et le soutien-gorge ; l’effort lui faisait cambrer les reins ; il y avait quelque chose comme de la sensualité chez elle, une odeur de féminité ardente qui emplissait le minuscule magasin et très vite, j’ai eu envie d’elle.
Cette femme m’excitait.
Cette proximité silencieuse m’excitait.
Sa position, en haut de l’escabeau m’excitait.
J’ai un peu perdu la tête et me suis approché de l’échelle pour regarder sous sa jupe... De belles jambes fines et bronzées, des cuisses un peu rondes, des fesses pleines et qui semblaient fermes, un slip blanc qui se serrait sur des trésors que j’aurais voulu toucher... et tout en haut un regard noir, furieux et agressif qui me fusillait.
« Non mais ça ne va pas non ? Ca vous prend souvent de regarder sous les jupes ? »
(Je ne lui ai pas dit mais, oui, ça me prend souvent, chaque fois que j’en ai l’occasion et j’aime ça. Mais ça c’est entre nous.)
est redescendue de l’escabeau et me toisait avec colère et défi, les mains sur les hanches, les yeux dans les miens.
« Qu’est ce que c’est que ces façons espèce de petit cochon, c’est comme ça que tu fais avec les femmes ? »
J’étais rouge de honte, de ma propre audace et de la fureur de la dame. Il aurait fallu que je dise quelque chose, une plaisanterie ou une excuse... Mais même la fuite me semblait impossible. J’étais au bord des larmes, la gorge nouée et le cœur affolé.
Elle s’en est rendu compte et s’est adoucie... « Pourtant tu es beau gosse. Tu dois en avoir des femmes. La jeune femme qui t’accompagnait c’est ta fiancée ? »
Ca y’ est, elle m’a reconnu et sachant où nous avons loué, elle sait où la trouver.
« Dis donc, si elle savait ça elle ne serait pas contente. Tu crois qu’elle te quitterait si j’allais me plaindre à elle ? »
Oh non ! Pas ça. Elle a lu la panique dans mes yeux et ça lui a plu. Elle avait établi un rapport de force où elle dominait largement. J’étais terrassé, elle le savait et comme le jeu lui plaisait son attitude a changé. Toute de douceur maternelle, mais un peu narquoise quand même, elle s’est approchée à me toucher, les yeux rivés aux miens et m’a pris la main. Avec un air de complicité protectrice elle m’a demandé : « Et moi, si j’allais voir dans ton pantalon, tu dirais quoi ? »
...Silence, sourire gêné.
« Tu n’ose plus rien dire hein ? Eh bien tu vas l’enlever devant moi ton pantalon, on va voir ce qu’il y a dedans... »
Hésitation, gêne, confusion : qu’est ce que je dois faire ? Elle plaisante ?
« Allez c’est un ordre. Retire ce pantalon où sans ça... » Elle m’a contourné rapidement pour retirer la poignée de la porte et baisser un store, pendant que j’hésitais encore, la main sur la boucle de ma ceinture. Puis, cajoleuse : « Allez chéri, retire le pour me faire plaisir, pour me montrer comment tu es. C’est ton gage. On ne lui dira rien à ta dame. »
Finalement, c’est elle qui a débouclé la ceinture et ouvert la fermeture éclair. Je me suis retrouvé en slip, le pantalon sur les chevilles et elle me regardait avec un air attendri et amusé. Evidemment, dans ces conditions, je n’étais pas précisément présentable et je me sentais recroquevillé de partout. Y compris là !
« Tu n’es pas très galant avec les dames. D’habitude les hommes lèvent la tête. Attends, je vais lui dire deux mots à ta coquette et on va voir si elle ne me salue pas. »
Joignant le geste à la parole, elle a baissé le devant de mon slip et s’est emparée de ma queue, petite chose flasque et inutile, mais peut-être déjà un peu échauffée. Une main caressant le dessous de mes testicules (Hum !) de l’autre elle me décalottait doucement et d’une pression légère, ouvrait le petit trou au bout de mon gland. Elle s’est mise à me masturber avec science et efficacité car très vite, je me suis mis à bander.
Je voyais la naissance de ses seins par l’échancrure de son corsage ; je voyais sa langue qui passait sur ses lèvres et je me suis mis à imaginer celles de sa chatte avec une folle envie de la toucher. Mais malgré une érection qui lui a tiré un commentaire flatteur, je n’osais toujours pas bouger, craignant de rompre le charme. Et si elle se fâchait encore de mon audace... Objet, j’étais devenu, objet je resterai. C’est d’ailleurs ce qu’elle voulait et le jeu lui plaisait. Abandonnant mes testicules, elle a glissé sa main gauche sous sa jupe et s’est mise à se caresser. «  Tu vois, elle me plaît ta queue, alors je lui prépare un petit nid pour la mettre dedans. Tu veux voir comment je fais ? . Tu as déjà eu une femme de mon âge ? Non hein, juste des gamines... Alors je vais t’apprendre. Donne-moi ta main. »
Avec dextérité elle a guidé ma main dans son slip. Au contact de ses poils, je me suis senti frémir de désir et d’émotion. Elle a rapidement enlevé son slip et soulevé sa jupe. Je n’en perdais pas une miette : elle offrait à mes yeux une toison brune et serrée ; sa main menait la mienne et elle avait saisi mon doigt pour le guider dans sa fente. Elle était trempée. De l’autre main, elle continuait à me branler et une première fois, j’ai du arrêter précipitamment son mouvement pour contrôler mon orgasme qui montait. Sa respiration devenait saccadée et je sentais ses cuisses qui se contractaient par à-coups en emprisonnant ma main.
Puis, avec une sorte de brutalité avide, elle m’a entraîné vers le comptoir, a balayé d’un geste tout ce qu’il y avait dessus et en s’asseyant sur le bord, elle a ouvert ses cuisses et a pris ma tête pour la baisser vers sa chatte : « Lèche-moi la moule, vas y dégueulasse que tu es ; mouille ton visage dans sa liqueur, mets ta langue au fond, tète mon bouton, aspire son jus... » et pendant que je m’exécutais, ses grossièretés fusaient sur un ton de plus en plus aigu, de plus en plus précipité jusqu’à ce qu’elle explose dans un cri qui m’a surpris. (L’inexpérience, encore...). La tête entre ses cuisses qui tressaillaient encore sous les ondes du plaisir je me branlais doucement et essayais de me maintenir au bord de l’orgasme. Ses soupirs se sont apaisés et elle m’a relevé en me tirant par les cheveux. « Maintenant tu vas me baiser, vas y mets- la- moi ta bitte, mets la au fond de ma chatte que tu as fait jouir ». Elle m’a pris la queue dans sa main et l’a décalottée pour la regarder encore sans doute, mais c’était une fois de trop : trop d’attente, d’émotion, de peur, de découverte. J’ai joui sur elle, dans sa main en éclaboussant ses vêtements et jusqu’à son menton. Elle a joué le jeu, en continuant à me branler et en accompagnant mes saccades jusqu’à la dernière goutte, jusqu’au dernier râle.
Après avoir repris mon souffle, j’ai voulu lui sourire mais je n’ai pas trouvé ses yeux. Elle a bondi de son comptoir avec souplesse, a vaguement rajusté sa jupe et m’a donné une tape sur les fesses : « Décidément, les jeunes, ça ne vaut pas les vieux. Ca ne fait rien c’était pas mal quand même. Maintenant tu te rhabilles et tu files. »
Sans plus s’occuper de moi, elle est allée remettre la poignée de la porte, puis elle a disparu dans l’arrière boutique, sans doute pour nettoyer mes dégâts.
Je me suis retrouvé dans la rue un peu hébété, penaud et honteux. Cette mésaventure avait duré tout au plus une demi-heure, mais j’avais l’impression d’avoir quitté le monde pendant des heures.
De plus, je n’avais même pas ramené le couvre lit !

Les avis des lecteurs

un beau texte!

J'adore... voilà une rencontre que j'aurais aimé... souvent... j'aime baiser une plus vielle... mais je ne suis plus très jeune 🤣🤣
...Mais il y a des dames de tout âge pour savoir prendre du plaisir.
Merci pour ce récit.
Rudy



Texte coquin : Gloire aux matures!
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