Gode et annulingus
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Gode et annulingus
Elle aime tout expérimenter depuis que nous sommes ensemble, c’est normal, je suis sa première amante. Avant elle avait eu des aventures de ci delà, elle savait ce qu’était l’orgasme pour avoir jouis grâce à la masturbation qu’elle adore et aux deux ou trois amants qu’elle avait eu.
Quand nous nous sommes rencontrées chez des amis communs, nous ne pensions jamais finir la nuit ensemble. Elle était un peu restée innocente, une soirée avec tant de participants n’est pas une réunion mondaine. Elle était avec son ami de l’époque, un grand balèze bien monté. Je l’ai vu quand il s’est déshabillé : il avait des attributs très virils, à se demander comment il arrivait à sodomiser quelqu’un.
Elle était perdue totalement devant tant de personnes qui faisaient l’amour à ceux qui leur plaisaient. Elle a répondu favorablement à un type bien moins monté que son ami. Avant de répondre à l’invite, elle demandait à son copain la permission. Je pensais qu’elle était pour moi.
Quand elle finissait de baiser avec ce premier amant, je l’invitais à me rejoindre. J’étais sa première femme. Je l’étrennais en somme. Au début j’ai eu du mal à l’embrasser sur la bouche. Il m’a fallut un long moment de caresses plus ou moins intimes pour qu’enfin elle accepte ma bouche et ma langue. Elle s’est détendue quand ma bouche s’est posée sur un sein. Je caressais l’autre sein doucement comme j’aime le faire aux filles.
Elle allait jusqu’à me rendre ce que je lui faisais. Elle avait compris qu’elle était dans un lieu où seul le plaisir compte. A partir de là je pouvais mettre ma main dans sa chatte.
Je commençais à la masturber, un exercice qu’elle aime. C’est pour moi la meilleure façon de faire jouir une fille pour commencer. Bien sur j’arrive facilement à mon but. Pour me remercier, elle m’embrasse. A son tour après une légère hésitation je reçois sa main sur ma foufoune. Elle cherche un peu avant de trouver le bouton. Quand elle est dessus, elle me masturbe bien. Je suis obligée de lui demander d’aller moins vite, je veux faire durer mon plaisir, après tout je suis là pour ça. Son amant vient vers elle, la voyant occupée à me masturber, il bande encore plus fort. Je me demande ce qu’il va lui faire. Il ne lui fait rien, il s’occupe de moi. Son amie sort sa main, je suis déçue même si une bite entre dans mon ventre. Je ne suis pas opposée à une baise normale. J’avoue qu’il y a un long moment que je n’ai pas eu de queue dans le ventre. Un peu de sperme ne me fera pas de mal. Je suis surprise de la voir embrasser les fesses de son amant avant de passer sa langue dans la raie pour aboutir à la lui mettre dans le cul. Ce doit être la raison du lâché de semence que je reçois au fond de mon puits. Il sort vite de mon vagin. Je n’ai pas jouis. Dommage, j’aurais aimé jouir avoir un orgasme avec un bite bien bandée.
Elle revient vers moi pour continuer son œuvre. Elle s’applique à surveiller mes réactions. Quand elle suppose que je suis proche de la libération elle accélère la cadence, je me crispe et part enfin dans un immense orgasme. J’arrive à la décider de venir chez moi, nous y serons plus tranquilles.
Cette fois nous sommes nues rapidement, elle a envie de moi. Polie, elle ne se jette pas sur moi. Nous nous contentons de nous embrasser longuement, de nous caresser sans nous mettre totalement nues. J’adore ces prémices, ces avant gouts qui mettent en appétit. Je suis mouillée comme si j’avais trempé ma chatte dans une bassine. Elle veut aller plus loin.
Nous nous mettons nues. Enfin je peux voir tout son corps bien exposé. Elle me parait plus sexy que pendant cette réunion. Ses seins me donnent à nouveau envie de les embrasser, de les sucer, de les mordre. Je la tiens pas les fesses. Elles sont dodues et dures à la fois. Je les tiens bien serrées contre moi, mes mains se promènent sur sa poitrine, je lui fais bander les tétons. Mes seins contre son dos, se frottent à elle pendant qu’une main descend vers sa chatte. J’écarte lentement ses lèvres intimes à la recherche de ce qui va lui donner du plaisir.
J’hésite un instant : clitoris ou vagin ? Je choisi finalement le puits. J’y entre deux doigts pour les consacrer à l’endroit le plus rugueux. Je n’ai pas à faire d’effort. Quelques mouvements arrivent à exciter son point sensible. Je sens plusieurs choses à la fois, d’abord un afflux de liquide, ensuite les crispations de l’ensemble de son corps, puis les gémissements et enfin les crispations spasmodiques de son sexe. Je la laisse à son orgasme pour me coucher devant elle.
Je la laisse libre de me faire ce qu’elle veut. Elle a plein de bonne volonté, je sens chez elle le manque que pratique lesbienne. Alors quand elle vient je lui demande le plus facile : me lécher toute la fente. Elle pensais se mettre à mes cotés pour une autre masturbation, alors elle se met tête au pied pour mettre sa bouche sur mon sexe bien mouillé. Je me demande qu’elle va être sa réaction quand sa langue sera sur ma chatte. Je sais que ma mouille a un gout assez fort. Si elle ne le veut pas tant pis pour moi. Elle a le temps de me gouter, je lui convient. Elle commence à lécher depuis le clitoris jusqu’au petit trou. Je la laisse faire, elle va me faire jouir.
Mais voilà, elle est fort mal mise. Je lui demande de me donner son sexe sur ma bouche, elle m’enjambe facilement. Cette fois c’est un coup de langue pour un coup de langue. J’aime cette position. J’aime les 69. C’est mon vice, entre autre. J’aime jouir ainsi. Pour elle c’est la première fois qu’elle se trouve dans cette position, en tout cas avec une autre fille.
Nous arrêtons, juste pour reprendre notre souffle. Pourtant je me remet en place, je vais lui lécher l’anus et entrer ma langue dans son cul. Elle aime que je la sodomise ainsi. Quand elle en jouit, que je suis à nouveau à ces cotés entre deux baisers, elle me dit qu’elle aime se faire enculer.
J’ai ce qu’il faut pour la satisfaire, moi aussi j’aime la sodomie, seule différence avec elle, c’est moi seule qui m’encule.
Je sors du tiroir de ma table de nuit le gode en verre que j’y range. Je le lui montre pour qu’elle le prenne dans la bouche. Quand il est bien mouillé je le présente à l’entrée sud de son corps. Je ne le mets pas de suite, je commence par la sucer. Quand je sens qu’elle dégouline de partout je met le gode lentement dans son cul qui s’ouvre plus que facilement. J’arrive sans forcer presque au bout du gode. Je le fais revenir pour l’enfoncer à nouveau. Ce va et vient lui convient parfaitement. Elle gémit de plus en plus fort.
Elle jouit, je laisse le gode en place pour recommencer. Je suis presque assise sur son ventre pour bien surveiller le gode. Je le lui remet à fond avec ma main gauche. Je me sert de la main droite pour lui caresser le reste de son jardin. J’entre deux doigts dans sa fournaise, je sens le gode à travers ses fines cloisons. Elle commence à gémir plus fort pour finir pas un véritable hurlement quand elle jouit. J’aimerai continuer un bout de chemin avec elle mais elle est amoureuse de son amant.
Quand nous nous sommes rencontrées chez des amis communs, nous ne pensions jamais finir la nuit ensemble. Elle était un peu restée innocente, une soirée avec tant de participants n’est pas une réunion mondaine. Elle était avec son ami de l’époque, un grand balèze bien monté. Je l’ai vu quand il s’est déshabillé : il avait des attributs très virils, à se demander comment il arrivait à sodomiser quelqu’un.
Elle était perdue totalement devant tant de personnes qui faisaient l’amour à ceux qui leur plaisaient. Elle a répondu favorablement à un type bien moins monté que son ami. Avant de répondre à l’invite, elle demandait à son copain la permission. Je pensais qu’elle était pour moi.
Quand elle finissait de baiser avec ce premier amant, je l’invitais à me rejoindre. J’étais sa première femme. Je l’étrennais en somme. Au début j’ai eu du mal à l’embrasser sur la bouche. Il m’a fallut un long moment de caresses plus ou moins intimes pour qu’enfin elle accepte ma bouche et ma langue. Elle s’est détendue quand ma bouche s’est posée sur un sein. Je caressais l’autre sein doucement comme j’aime le faire aux filles.
Elle allait jusqu’à me rendre ce que je lui faisais. Elle avait compris qu’elle était dans un lieu où seul le plaisir compte. A partir de là je pouvais mettre ma main dans sa chatte.
Je commençais à la masturber, un exercice qu’elle aime. C’est pour moi la meilleure façon de faire jouir une fille pour commencer. Bien sur j’arrive facilement à mon but. Pour me remercier, elle m’embrasse. A son tour après une légère hésitation je reçois sa main sur ma foufoune. Elle cherche un peu avant de trouver le bouton. Quand elle est dessus, elle me masturbe bien. Je suis obligée de lui demander d’aller moins vite, je veux faire durer mon plaisir, après tout je suis là pour ça. Son amant vient vers elle, la voyant occupée à me masturber, il bande encore plus fort. Je me demande ce qu’il va lui faire. Il ne lui fait rien, il s’occupe de moi. Son amie sort sa main, je suis déçue même si une bite entre dans mon ventre. Je ne suis pas opposée à une baise normale. J’avoue qu’il y a un long moment que je n’ai pas eu de queue dans le ventre. Un peu de sperme ne me fera pas de mal. Je suis surprise de la voir embrasser les fesses de son amant avant de passer sa langue dans la raie pour aboutir à la lui mettre dans le cul. Ce doit être la raison du lâché de semence que je reçois au fond de mon puits. Il sort vite de mon vagin. Je n’ai pas jouis. Dommage, j’aurais aimé jouir avoir un orgasme avec un bite bien bandée.
Elle revient vers moi pour continuer son œuvre. Elle s’applique à surveiller mes réactions. Quand elle suppose que je suis proche de la libération elle accélère la cadence, je me crispe et part enfin dans un immense orgasme. J’arrive à la décider de venir chez moi, nous y serons plus tranquilles.
Cette fois nous sommes nues rapidement, elle a envie de moi. Polie, elle ne se jette pas sur moi. Nous nous contentons de nous embrasser longuement, de nous caresser sans nous mettre totalement nues. J’adore ces prémices, ces avant gouts qui mettent en appétit. Je suis mouillée comme si j’avais trempé ma chatte dans une bassine. Elle veut aller plus loin.
Nous nous mettons nues. Enfin je peux voir tout son corps bien exposé. Elle me parait plus sexy que pendant cette réunion. Ses seins me donnent à nouveau envie de les embrasser, de les sucer, de les mordre. Je la tiens pas les fesses. Elles sont dodues et dures à la fois. Je les tiens bien serrées contre moi, mes mains se promènent sur sa poitrine, je lui fais bander les tétons. Mes seins contre son dos, se frottent à elle pendant qu’une main descend vers sa chatte. J’écarte lentement ses lèvres intimes à la recherche de ce qui va lui donner du plaisir.
J’hésite un instant : clitoris ou vagin ? Je choisi finalement le puits. J’y entre deux doigts pour les consacrer à l’endroit le plus rugueux. Je n’ai pas à faire d’effort. Quelques mouvements arrivent à exciter son point sensible. Je sens plusieurs choses à la fois, d’abord un afflux de liquide, ensuite les crispations de l’ensemble de son corps, puis les gémissements et enfin les crispations spasmodiques de son sexe. Je la laisse à son orgasme pour me coucher devant elle.
Je la laisse libre de me faire ce qu’elle veut. Elle a plein de bonne volonté, je sens chez elle le manque que pratique lesbienne. Alors quand elle vient je lui demande le plus facile : me lécher toute la fente. Elle pensais se mettre à mes cotés pour une autre masturbation, alors elle se met tête au pied pour mettre sa bouche sur mon sexe bien mouillé. Je me demande qu’elle va être sa réaction quand sa langue sera sur ma chatte. Je sais que ma mouille a un gout assez fort. Si elle ne le veut pas tant pis pour moi. Elle a le temps de me gouter, je lui convient. Elle commence à lécher depuis le clitoris jusqu’au petit trou. Je la laisse faire, elle va me faire jouir.
Mais voilà, elle est fort mal mise. Je lui demande de me donner son sexe sur ma bouche, elle m’enjambe facilement. Cette fois c’est un coup de langue pour un coup de langue. J’aime cette position. J’aime les 69. C’est mon vice, entre autre. J’aime jouir ainsi. Pour elle c’est la première fois qu’elle se trouve dans cette position, en tout cas avec une autre fille.
Nous arrêtons, juste pour reprendre notre souffle. Pourtant je me remet en place, je vais lui lécher l’anus et entrer ma langue dans son cul. Elle aime que je la sodomise ainsi. Quand elle en jouit, que je suis à nouveau à ces cotés entre deux baisers, elle me dit qu’elle aime se faire enculer.
J’ai ce qu’il faut pour la satisfaire, moi aussi j’aime la sodomie, seule différence avec elle, c’est moi seule qui m’encule.
Je sors du tiroir de ma table de nuit le gode en verre que j’y range. Je le lui montre pour qu’elle le prenne dans la bouche. Quand il est bien mouillé je le présente à l’entrée sud de son corps. Je ne le mets pas de suite, je commence par la sucer. Quand je sens qu’elle dégouline de partout je met le gode lentement dans son cul qui s’ouvre plus que facilement. J’arrive sans forcer presque au bout du gode. Je le fais revenir pour l’enfoncer à nouveau. Ce va et vient lui convient parfaitement. Elle gémit de plus en plus fort.
Elle jouit, je laisse le gode en place pour recommencer. Je suis presque assise sur son ventre pour bien surveiller le gode. Je le lui remet à fond avec ma main gauche. Je me sert de la main droite pour lui caresser le reste de son jardin. J’entre deux doigts dans sa fournaise, je sens le gode à travers ses fines cloisons. Elle commence à gémir plus fort pour finir pas un véritable hurlement quand elle jouit. J’aimerai continuer un bout de chemin avec elle mais elle est amoureuse de son amant.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
un ami doit venir me dépanner.
je ne peu pas faire faire ce dépannage par n'importe qui car c'est spécial. il me tarde bien que ce soit pour bientôt.
grosses bises.
je ne peu pas faire faire ce dépannage par n'importe qui car c'est spécial. il me tarde bien que ce soit pour bientôt.
grosses bises.
belle histoire, charnelle, sensible et sensuelle!