Grandes premières à la fête de classe. - histoire érotique

J'ai toujours adoré le sexe, depuis ma première branlette vers 12-13 ans, où j'ai découvert le plaisir que cela m'a procuré, je peux vous dire que j'adore le sexe, et sous toutes ses formes.
J'adore faire l'amour, la masturbation, les films porno, la littérature érotique, les échanges de textos coquins, bref je suis un vrai sex addict, je ne peux pas m'en passer.
J'aime le sexe, et j'aime également "LA" femme. J'ai toujours aimé être entouré de femmes, j'ai beaucoup d'amies, j'aime discuter avec elles, les découvrir,les faire rire. J'ai toujours aimé séduire, être au coeur des attentions. Je suis très tolérant à l'égard de la gente féminine, je suis toujours à l'écoute des femmes et de leurs désirs. Je n'ai jamais critiqué une femme sur sa sexualité en la traitant de salope par exemple, comme beaucoup le font, si un mec se tape une nana différente rente tous les soirs c'est un Don Juan et si c'est une femme qui fait ça on la traite de pute, j'ai jamais compris.
Bref, depuis quelques temps je me suis mis à lire quelques histoires sur différents sites, et je m'en délecte. Certaines me font rires, d'autres m'excitent et parfois me donnent envie. J'ai donc décidé de partager ici quelques-unes de mes histoires, réelles ou imaginaires.

Dans mes histoires qui m'ont marquées, il y a bien sûr r ma première fois, elle nous marque tous généralement. Mais je vous passerais les détails car ça a été un fiasco. J'avais 15 ans, la fille était plus âgée et déjà bien expérimentée, le stress mélangé à l'excitation ont fait que ça a été bref, la loose, je me suis même demandé pendant plusieurs jours après si j'étais précoce.

L'histoire que j'ai eu envie de vous raconter est arrivée bien après cette première fois, et voici comment cela s'est déroulé.
Typhaine et moi étions ensemble au lycée. Typhaine était un fille assez timide, réservée, on ne l'entendait jamais en classe. Elle était blonde aux cheveux courts, les yeux bleus, quelques taches de rousseur, elle faisait la même taille que moi à peu près, elle n'était pas franchement belle, mais ce n'était pas un laidron non plus. Pas de gros seins, pas un super cul, une fille banale tout simplement.
En 1ère , elle était assise devant moi dans quelques cours, mais on discutait rarement, moi je faisais le con avec mes potes, ça la faisait rire. Elle avait le sens de l'humour et était vraiment toute gentille, toute douce.Mais je ne l'ai jamais considérée comme une possible future conquête, de toutes façon je n'avais d'yeux que pour une autre nana de la classe.
La fin d'année arriva et on organisa une fête de classe, on avait loué une salle dans la commune de Typhaine justement, ils étaient plusieurs de ma classe à venir de ce village. A 16-17 ans ce genre de soirées, un samedi soir, se résumait à prendre une bonne cuite.
Durant cette fête de classe, tout le monde s'éclatait, ça chantait, ça dansait, ça rigolait et l'alcool a échaudé quelques esprits. Soudain, alors que je déconnais avec 2-3 copains, nous avons pu observer sur l'estrade, qui nous servait de piste de danse, un rapprochement entre Typhaine et Arnaud, un gars de la classe. Ils dansaient ensemble, se câlinaient et finirent par s'embrasser. Tant mieux pour eux se disait-on entre nous.
Lorsque la fiesta se termina, la plupart d'entre nous est resté dormir sur place dans nos sacs de couchage. Typhaine, qui habitait pourtant à 10 minutes de là, était restée pour dormir avec son nouveau petit copain. Il ne se passa rien, enfin on n'avait rien entendu en tout cas.

Mais le lundi suivant, à peine arriver au lycée, un camarade de classe me balançait l'info du jour: le mec de Typhaine racontait partout qu'elle l'avait sucé comme une chienne pendant la nuit. La rumeur s'empliffia et au bout d'une heure toute la classe était au courant de l'histoire. Avec un pote on s'est dit que Typhaine cachait bien son jeu sous ses airs d'ado timide, quand d'autres la conspuaient. Le regard de certaines nanas en disaient long sur leurs pensées. Lors de la pause, Typhaine était allée parler avec son mec, et elle le giffla devant tout le monde, bref elle était de nouveau célibataire et heureusement pour elle les vacances d'été arrivèrent.

L'année suivante en terminale, nous étions à nouveau dans la même classe, les grandes vacances avaient fait oublier la petite réputation de salope que Typhaine avait traîné la dernière semaine de cours et elle ne parla plus du tout à Arnaud.
L'année se passa comme la précédente, mais Typhaine discutait un peu plus, enfin avec moi. Peut-être avait elle compris que je ne l'avais pas jugée, elle se sentait à l'aise avec moi. Mais moi toujours attiré par une autre je la considérais simplement comme une bonne copine de classe.
En fin d'année, nous organisons une nouvelle fête de classe. Le BAC est dans 15 jours, alors chacun veut profiter de cette soirée. Comme l'an dernier nous avions loué la même salle, on était une trentaine et la fête fut géniale.
Vers 4h du matin, nous étions encore une dizaine debout, quelques potes, Typhaine, sa copine Karine et moi. Pendant que certains jouaient au cartes, je regardais les 2 filles danser, je les ai rejointes, nous dansions tous les 3 et soudain c'est un zouk, j'ai proposé à Karine de danser avec moi,elle n'en avait pas envie. Sans me sentir vexé, j'ai alors proposé à Typhaine qui a accepté aussitôt.
Nous dansions collé-serré , je voyais bien qu'elle aimait ça, elle me souriait et me disait que je dansais super bien, que j'avais un bon déhanché. Une certaine complicité s'installa entre nous, les yeux dans les yeux, on dansa plusieurs chansons ensemble, tous les 2 seuls sur la piste, on rigolait, on se chatouillait, il se passait quelque chose. Nous avons passé le reste de la soirée à discuter ensemble en buvant de la vodka, l'alcool aidant ,elle si réservée habituellement, elle était devenue une vraie piplette.
Aux alentours de 6h du matin, il n' y avait plus que nous et 3 courageux. Typhaine fatiguée et bien saoule (tout comme moi) me disa qu'elle allait rentrer dormir chez elle.Habitant à 10 min de là, je lui ai proposé de la raccompagner, ce qu'elle accepta. J'ai prévenu les autres que je revenais après et nous sommes partis.
En sortant de la salle, on s'est allumé une clope, et on a commencé à marcher en discutant de la soirée. Soudain, Typhaine a failli tomber, un trottoir qu'elle n'avait pas vu lui faisait obstacle. J'ai donc décidé de la prendre par la taille en passant mon bras dans son dos, pour éviter qu'elle ne titube de trop. Elle en fit de même. On riait beaucoup et je l'ai taquiné en mettant ma main sur ses fesses.
Moi : Ca te gêne ?
Elle : non, la preuve...en mettant elle aussi sa main sur mes fesses
Puis j'ai osé glisser ma main dans son pantalon, je sentais son string, et j'ai posé ma main sur sa fesse froide, et sa peau si douce.
Moi : Et là, ça te gêne?
Elle : Non ça ne me gêne pas non plus.
Elle a alors glissé sa main dans mon pantalon et mon boxer et m'a palpé une fesse.
Nous avons continué notre ballade ainsi,  plus elle me tripotait les fesses, plus ça m'excitait et j'ai commencé à bander. A ce moment-là, je pense qu'on avait tous les deux envie d'aller plus loin mais personne n'a osé faire le premier pas.

En arrivant devant la porte de chez ses parents, on a fumé une dernière clope et au moment de se faire la bise pour se dire au revoir que j'ai été saisi d'une pulsion. Je l'ai embrassé. Sans trop de surprise, elle ne m'a pas repoussé, au contraire, elle n'attendait que ça. Typhaine m'a ensuite attiré contre elle pour me rouler une grosse pelle. La fougue s'est emparé de nous immédiatement, on a commencé à se caresser par dessus nos vêtements. La tension sexuelle qui s'était installée entre nous depuis le fameux zook, me poussa à lui proposer de l'accompagner dans sa chambre. Mais Typhaine refusa par peur de se faire surprendre par ses parents qui n'allait pas tarder à se réveiller.
- J'ai une meilleure idée, me dit-elle, attends-moi là.
Typhaine entra seule dans sa maison et revint quelques instants plus tard avec une couverture.
- Je connais un petit coin sympa, où l'on pourra se poser tranquillement, t'es partant ?
- Oui bien évidemment, dis-je en souriant.
Ma copine de classe m'a pris par la main pour que je la suive. Nous avons traversé un petit bois, qui se trouvait à 50 mètres plus loin et nous sommes arrivé sur un petit bout de plage. Vu qu'il faisait nuit, Typhaine était persuadé que personne ne pourrait nous voir ici.
On a retiré chaussures et chaussettes, on a installé la couverture et on s'est allongé dessus. Aussitôt, on s'est câliné et on s'est embrassé fougueusement, nos langues s'enroulaient. Avec hâte, j'ai déboutonné son jean's pour avoir accès plus facilement à ses fesses. Docile, elle s'est laissé faire quand j'ai retiré son haut et défait son soutien-gorge. La lumière re de la lune éclairait ses jolis petits seins pointus. La main toujours sur ses fesses que je malaxais sans cesse, je lui léchais les seins, lui suçais ses beaux tétons, j'étais complètement excité, ma verge gonflée à bloc dans mon caleçon qui me serrait. Elle aussi était de plus en plus excitée, tout en me caressant le sexe par dessus mon pantalon, elle m'a chuchoté à l'oreille:
- J'ai très envie de toi...
- Moi aussi, lui répondis-je
Elle a retiré ma main de son pantalon, pour retirer mon pull et mon tee shirt, puis elle m'a allongé sur le dos, s'est positionnée au dessus de moi et elle s'est mise a m'embrasser partout, dans le cou, puis elle est descendue sur mes pectoraux, suçant au passage mes tétons, qui ont rapidement durcis sous l'effet de sa bouche. Elle a poursuivi sa descente en embrassant mes abdos, puis elle est remontée d'un coup pour m'embrasser. Je l'ai serré contre moi pour sentir ses seins contre mon torse.
Le désir nous envahissait de plus en plus, Typhaine s'est alors mise à genoux pour retirer mon pantalon, et elle a regardé en direction de la bosse formée dans mon boxer. Après quelques secondes d'observation, elle a tiré tout doucement l'élastique de mon caleçon afin de libérer ma tige. Sa première réaction en la voyant a été :
- Whaou putain!!!
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Bah, elle est grosse, tu pourrais faire du porno avec un machin comme ça, plaisanta-t-elle.
- Ca va, je ne suis pas Rocco n'ont plu
- Je sais, mais c'est la première fois que j'en vois une de cette taille d'aussi près.
- Bah profites-en alors
- J'y comptes bien, dit-elle en esquissant un large sourire.
La jeune fille blonde, après avoir enlevé mon boxer, s'est installée entre mes cuisses, a pris ma queue avec une main et elle  a commencé à me branler. Elle était conquise par mon membre.
- T'as vraiment une belle queue, bien grosse, un beau gland et des belles couilles bien rondes, t'imagines pas comment tu m'excites, j'espère qu'elle est aussi bonne que belle.
- Qu'est ce que tu attends pour la goûter ?
Ni une, ni deux, elle s'est mise à me lécher de bas en hauts, le long de la grosse veine, puis du bout de la langue, elle me léchait le gland,  je gémissais, quand soudain, elle l'a mise dans sa bouche, je devenais dingue, elle faisait des va-et-vient, m'avalant de plus en plus loin, sa langue tournait autour de mon gland, puis elle me léchait le frein, j'en pouvais plus, à tel point qu'au bout de quelques minutes, alors qu'elle me suçait rapidement, je lui ai dit que j'allais jouir. Elle m'a alors fini à la main et dans un grand râle de plaisir, j'ai éjaculé une quantité impressionnante sur mon ventre, tellement j'étais excité, car il faut le dire c'était ma PREMIERE fellation. Je m'en souviendrais toute ma vie.

Une fois que nettoyé avec quelques mouchoirs, je lui ai dit que j'allais m'occuper d'elle, alors je l'ai allongée sur le dos, j'ai retiré son pantalon, et j'ai attrapé l'élastique de son string pour le faire descendre jusqu'à ses chevilles. Le soleil était sur le point de se lever et une petite lueur me permettait de voir ce trésor, son sexe était totalement épilé, c'était la PREMIERE fois pour moi que je voyais ça de si près. Je me suis allongé sur elle et tout en l'embrassant je lui caressais la chatte, elle ronronnait, elle était très humide, et mon majeur s'est engouffré facilement dans ce nid de plaisir. Puis je lui en ai glissé un second, elle gémissait, j'ai accéléré le rythme, sa respiration augmentait. Je me suis ensuite glissé entre ses cuisses et j'ai posé ma bouche sur sa chatte toute lisse. Elle était trempée, j'ai découvert le goût de sa mouille que j'ai savouré en fourrant ma langue au fond de son minou. C'était la PREMIERE fois que je faisais un cuni, alors je me suis appliqué pour lui faire le plus de bien possible. Je lui ai sucé le clito, je l'ai aspiré, Typhaine gémissait de plus en plus fort, puis je lui ai remis 2 doigts. Ca la rendait folle, elle ne tenait plus et tout en se pinçant les tétons, elle m'a dit :

-Tu as une capote?
- Oui toujours, dis-je amusé
Je l'ai prise dans mon porte feuille et le temps que je la glisse sur ma queue, Typhaine était en train de se caresser le clito devant moi, je bandais à nouveau comme un dingue. Je me suis ensuite faufilé entre ses cuisses et je me suis introduit entièrement en elle qui poussa un petit cri. J'étais sur elle en parfait missionnaire, on s'embrassait pendant qu'on faisait l'amour, ses mains sur mes fesses, elle me poussait pour que j'aille bien au fond d'elle. j'ai accéléré le rythme, la faisant couiner à chaque va-et-vient. J'ai glissé mes mains sous ses fesses, pour remonter son bassin et j'ai encore augmenté le tempo, mes couilles claquaient entre ses cuisses, j'étais à fond et soudain j'ai senti que je venais et j'ai pressé ses fesses fermement. Comprenant que j'allais jouir, ma partenaire a perdu pied et s'est mise à jouir bruyamment en tremblant de tout son corps. Elle venait d'avoir un orgasme, un vrai. Je ne savais pas si c'était son premier, mais pour moi, c'était la PREMIÈRE fois que j'en donnais un. Fier de moi et plus excité que jamais, j'ai fini par éjaculer quelques secondes plus tard en grognant.
Je suis resté en elle quelques instants, puis en me retirant, elle tira sur le bout de la capote et la mis dans un mouchoir. On s'est rhabillé, je l'ai embrassé une dernière fois, et en partant elle m'a dit d'en parler à personne, qu'elle n'avait pas envie de passer à nouveau pour une salope. Je lui ai promis de ne rien révéler, qu'elle pouvait me faire confiance. Je suis retourné à la salle, tout le monde dormait, il était plus de 7h du mat.

Le lundi suivant, on s'est dit bonjour normalement avec un certain sourire coquin. On avait tous les 2 aimé cette nuit là , mais que ça s'arrêtait là. On a passé notre Bac qu'on a eu tous les 2 et depuis on s'est perdu de vue.