Gros Bob - Novembre 2009
Récit érotique écrit par Titesam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Gros Bob - Novembre 2009
Salut !
Oups, je suis à la bourre car j'aurais dû envoyer ça, il y a bien 1 mois.
J'espère que vous avez tous passés d'excellents réveillons et je vous souhaite une bonne année.
Bien, alors je continue (tant pis pour vous !).
Voilà, vous savez maintenant ce que veut dire "le coup de la serviette".
Les copines, si, à la plage, vous êtes seules et qu'un mec se pointe et étale sa serviette de bain à côté de la vôtre : méfiance…
Si, en plus, il vous propose de vous aider à étaler votre crème solaire ; alors là : gare à vos miches !
Quant aux miennes, elles ont été servies au plus grand bonheur de mon Homme. Je ne suis pas une flèche mais je ne suis pas totalement gourde non plus (enfin je l'espère…). Car, à cette époque et après quelques expériences vécues depuis que Niba était mon amant, ces dernières m'ont confortée dans ce que j'avais deviné en lui. Pour faire simple, il adorait me regarder en train de me faire baiser par d'autres types. C'était un gros cochon de voyeur (Ouais, en fait, je ne devrais pas lui jeter la pierre car sur ce sujet, je ne suis plus une âme blanche…) et, ne pouvant sans doute pas réaliser son fantasme avec sa femme, il avait trouvé une proie facile : moi.
Proie d'autant plus facile qu'à l'époque, je n'étais qu'une petite gourde bien vierge et surtout malléable. Bon, je ne vais pas le calculer car grâce à lui, je me suis aussi révélée.
Avant de croiser son chemin, j'ignorais que j'aimais à ce point, une certaine forme de sexe et que j'avais un net penchant à être dominée (sans doute un héritage de mon papa militaire). Adroit comme il est, Niba a su m'entraîner peu à peu vers cet état d'esprit. Au fil du temps, il m'a éduquée pour m'amener vers des plaisirs que je ne soupçonnais même pas. Mais, cela s'est fait graduellement. J'étais une gamine qui ne connaissait rien aux choses du sexe. Aussi, je ne me suis pas posée de questions ; j'ai cru que tout ce qu'il m'apprenait, était normal. En quelque sorte, il a été le premier à me faire comprendre et ressentir que j'aimais être soumise. Chacun a son petit jardin secret ; moi, c'est la soumission avec une grosse pincée de masochisme et (j'ai découvert par la suite) un rien de sadisme dans le bon sens du terme. En fait, plutôt que sadisme, je devrais préciser : un goût prononcé pour la manipulation qui m'a permis de mettre en application tout ce que l'on m'a appris.
Bref, mon gros péché pignon, c'est de trouver des ''innocents/tes'' célibataires ou en couples et de les pervertir afin qu'ils révèlent leur véritable personnalité. C'est fou ce que les gens peuvent se cacher…
Mais ce n'est pas Niba qui m'a éduquée sur ce sujet. Si j'osais, je dirais qu'il a effectué le gros-œuvre et d'autres se sont chargés de la finition. Ainsi, j'ai découvert d'autres désirs qui, jusqu'à maintenant, comble ma vie. Au risque de choquer certains(es) d'entre vous, je dois confesser que cet état de dépendance totale envers eux, me satisfait pleinement. Je suis libre et je peux partir si je veux mais c'est librement que je leur appartiens. Je ne vais pas tomber dans le cliché habituel de Maître/esclave, mais cet état d'assujettissement intellectuel et sexuel, satisfait, pour l'instant, ma vie.
Donc, au départ, c'est bien ce petit malin de Niba qui a bâti mon éducation.
C'est bien plus tard que je me suis aperçue (En découvrant par hasard le pot aux roses) qu'il n'était que la partie visible de l'iceberg. Mais je raconterai ça sans doute plus tard, si vous le souhaitez.
En attendant, revenons après l'été 2009.
Les vacances étaient déjà terminées et j'avais perdu mon bronzage depuis longtemps (Nan, j'rigole! J'ai en fait une teinte assez claire pour une "sang-mêlé"). Bien qu'il fasse souvent beau ici, même en cette saison, j'étais d'humeur morose.
A partir de septembre, Niba s'absenta très souvent et, en plus de devoir tenir la maison, je devais effectuer des remplacements à la boutique de lingerie de Safi. Bref, les journées étaient longues et le soir, je rentrais crevée. C'est vrai, je n'étais pas dans mon assiette car en plus, je ne faisais qu'occasionnellement l'amour avec lui.
Septembre et octobre se sont écoulés ainsi. La femme de Niba se rendait bien compte que je ne tournais pas rond. Malgré ses tentatives pour me dérider, je restais, genre encéphalo plat !
Je vais vous faire peur les filles mais j'ai utilisé tout ce temps à faire le ménage à fond ; histoire de m'occuper l'esprit.
Et du travail ménager, il y en avait (Safi n'est pas la reine du chiffon !).
Quelques mois avant qu'ils ne me prennent à leur service, mes patrons avaient acheté un vieux corps de ferme situé à la campagne. C'est ce qu'ils recherchaient : pas trop loin de la ville et un truc à retaper.
Les gros travaux étaient terminés quand je suis arrivée mais il restait encore pas mal de choses à finir.
La bâtisse était (est) en L, sur 2 étages ; avec l'ancienne habitation donnant sur la cours d'entrée. Dans la petite partie du L, le rez-de-chaussée (qui avait dû être une haute grange) servait de garage pour les 2 voitures et à l'étage, surélevé par rapport à l'habitation principale et tout en longueur, Safi avait installé un énorme dressing (quand je l'ai vu la première fois, j'ai cru que c'était la remise d'un magasin de fringues !!!) et un bureau pour eux, où ils travaillaient parfois.
Ah oui, il y a aussi une petite pièce avec un coin toilette mais qui était à l'époque de mon arrivée, inutilisée.
Petite anecdote, juste après avoir donné ma fleur à Niba, j'étais si jalouse qu'il baise encore sa femme, que le soir venu, j'allais en catimini, me cacher derrière les persiennes en bois du dressing, histoire de regarder ce que mes patrons faisaient dans leur chambre. Comme l'étage était plus haut que leur chambre et la mienne, j'avais une vue plongeante sur leur fenêtre, à peine à quelques mètres, de là où je me tenais. Hélas, ils tiraient le double rideau et j'en étais pour mes frais !
Enfin, Niba se posa durant le mois de novembre 2009. Et, ô bonheur, c'est à ce moment là que sa femme décida d'aller passer 10 jours en club au Maroc avec ses copines. La perspective d'avoir mon Homme à moi pendant presque 2 semaines m'enchanta positivement. Je devins brusquement plus joyeuse ; à tel point que Safi, pour me taquiner, me demanda si le fait qu'elle parte, me ravissait. J'allais pouvoir me la couler douce.
Prise au dépourvu, je réussis, malgré tout, à balbutier que ce n'était pas la cas. Pour rajouter à mon trouble, elle surenchérit en me disant que comme son mari allait devoir aussi s'absenter, j'allais enfin pouvoir me trouver un petit ami. Elle me précisa qu'à mon âge, il était temps que je fréquente un garçon.
Compte tenu du contexte, je m'abstins de tout commentaire. Je n'allais tout de même pas lui dire qu'en guise de petit ami, c'est son mari qui me baisait quand elle avait le dos tourné !
Donc, ce fameux et tant attendu samedi midi arriva et elle se décida enfin à partir. Au comble de la gentillesse, j'allais jusqu'à l'aider à porter ses valises dans le coffre du taxi (histoire de la voir partir plus vite).
Youpi ! Enfin seule avec mon Homme ! Vous auriez dû voir ma tête : la banane !
Le soir même, quand Niba revint à la maison, je lui sautai carrément au cou. Ma joie fût à sa comble car il ne revenait pas les mains vides. En effet, en passant par la ville, il s'était arrêté dans un magasin de fringues et avait fait quelques emplettes pour moi.
Oui, oui, rien que pour moi !
<Tiens!< : Me dit-il. <Ce soir, on sort et tu vas porter ça<.
Je déballai les paquets sur mon lit à la vitesse de l'éclair. J'ai tout de suite essayé la robe noire en Lycra. Elle était courte, à mi cuisse. Elle avait un col capuchon qui laissait sagement voir la naissance de mes seins. Ajustée à la taille, elle retombait en drapé sur le devant. Sur chaque bras, les manches étaient ouvertes et exposaient ma peau : des épaulettes jusqu'au dessous du coude où elles étaient fermées par un bouton. Le haut de la robe était retenue, au niveau du cou, par un long cordon fin. Enfin, derrière, elle était entrouverte jusqu'au bas du dos. Mais juste ce qu'il fallait. C'était vraiment une robe à la fois jolie et sexy. En plus, elle me collait comme une deuxième peau. J'étais absolument ravie car je n'avais jamais porté une chose aussi luxueuse. Niba avait même pensé aux escarpins en vernis. Il y avait aussi des sous-vêtements. Quand il me demanda de les essayer, il eut un drôle de petit scintillement dans son regard.
Il faut dire qu'il m'avait acheté (sans doute pas dans la boutique de sa femme…) : un ensemble string et soutien-gorge en voile blanc. Là, où j'ai été un peu interdite, c'est quand j'ai vu le porte-jarretelles de la même couleur.
Et voilà, on y était : le vieux fantasme des mecs. Un truc chiant et inconfortable à porter mais qui fait bander les types. Pour lui faire plaisir, j'ai essayé le tout et… bah il s'est mis à bander. Je n'ai même pas été étonnée quand il m'a demandé de m'agenouiller devant lui et de le sucer en gardant uniquement mes sous-vêtements. J'y ai mis une ardeur reconnaissante vu ce qu'il venait de m'offrir.
Je suis en train de me rendre compte que ce que je viens d'écrire à propos de mes fringues, a dû sacrément gaver les mecs qui me lisent peut-être. A part les nanas, s'il y en a, ce genre de trucs, les mecs, il s'en fiche totalement. Sauf, ceux qui sont d'un certain âge…
Bon, autant que j'arrête ici, ce défilé de mode.
Bref, vers 21 heures, j'étais équipée à la grande satisfaction de Niba.
Il faut dire, sans déc, que j'en jetais ! Mes fringues faisaient plutôt classe. Il est vrai que l'on pouvait apercevoir mon soutif de temps en temps mais comme il était ravissant, cela passait. Il aurait fallu être devin pour savoir qu'en dessous de cette merveille de robe, j'étais équipée "sexe".
A ce sujet, j'ai fini par me faire à ce fichu porte-jarretelles et faire croire à Niba que j'adore ce machin.
Pas besoin de faire un dessin aux nanas qui vont me lire. Avec un peu d'imagination, on peut faire gober n'importe quoi aux mecs. On n'a peut être pas de couilles mais on a un cerveau… nous… Mouarf !
On alla d'abord dîner dans un restaurant indien. Purée, leur bouffe, c'est de la dynamite. J'ai rapidement eu la gorge en feu. Les plats étaient bons mais trop pimentés ; quant au vin : à chier ! J'ai quand même été obligée de descendre plusieurs verres de leur infâme Rosé pour éteindre l'incendie qui brûlait mon gosier.
Quand on est sorti vers 23 h du resto, j'étais gaie comme un pinçon !
Niba m'a annoncé que pour finir la soirée en beauté, on allait rendre visite à un de ses copains qui tenait un bar où l'on pouvait aussi danser.
L'idée de ne pas rentrer à la maison immédiatement ne m'emballait pas (j'avais un petite idée dans ma tête pour cette fin de soirée) mais comme je ne voulais pas déplaire à mon chéri, j'ai fait mine d'être ravie.
Là, où j'ai tiqué, c'est quand on est arrivé dans le même quartier où se trouvait le fameux cinéma porno. Heureusement, Niba ne s'est pas arrêté car je ne me voyais pas refaire une autre "séance". On a roulé une dizaine de minutes et il s'est garé à côté d'un café. Il était fermé : pas d'enseigne lumineuse et aucune lumière ne filtrait de l'intérieur. La devanture ne payait pas de mine et aurait eu besoin d'un sacré coup de peinture. Bref, je n'y serais jamais allée toute seule.
Niba a cogné contre la porte et quelques minutes après, quelqu'un l'a entrouverte. Niba a échangé quelques mots dans une drôle de langue et on est entré. Juste après la porte, j'ai immédiatement été intriguée par l'épaisse tenture en velours qu'il a fallu écarter pour pénétrer dans le bar.
A l'intérieur, le peu de lumière était presque occultée par l'épaisse fumée qui planait dans la salle. J'étais surprise car je croyais qu'on n'avait plus le droit de fumer dans les cafés et les restaurants. En tous cas, ici, ils s'en foutaient royalement. En plus, il y avait comme une drôle d'odeur d'encens. Cela prenait à la tête.
La salle où se trouvait le bar était assez petite ; bref propre mais un peu glauque. Il y avait une dizaine de tables avec des chaises. La clientèle, 10 ou 15 personnes, était majoritairement composée d'hommes, tous noirs. Il y avait seulement 2 femmes, des blanches, assez vulgaires.
Moi, avec ma petite robe bon chic bon genre, je dénotais. La preuve, dès que je suis entrée, tous les regards se sont portés sur moi. Mais, je dois reconnaître qu'il n'y avait aucune animosité à mon encontre ; même les femmes m'ont souri. Je me suis rendue compte, très rapidement, que tous ces sourires ne s'adressaient pas à moi mais plutôt à Niba qui paraissait être très connu dans ce bar (Ma fierté en a pris un coup…).
Il y eut un tas d'embrassades et de cris de joie quand il a commencé à faire le tour des tables. Mais quand il s'est attardé avec ces 2 pouffes, là, j'avoue que j'ai tiré la tronche…
Enfin, on s'est assis tous les deux à une table et le patron est arrivé avec 2 verres : les cocktails de bienvenu (moitié gas-oil, moitié Javel). J'ai bien failli m'étouffer ; c'était immonde et fort à assommer un bœuf. En plus, il y avait comme un machin verdâtre qui flottait dans le verre ! Mais il a fallu que je finisse mon verre car, sur les conseils de Niba, je ne devais pas fâcher le patron et lui manquer de respect, en ne terminant pas le cocktail qu'il nous avait offert généreusement.
Généreusement… Tu parles ! Des excédents de produits pour la déforestation en Afrique, oui ! Heureusement qu'il y avait une carafe d'eau sur la table, j'ai pu me désaltérer un peu.
Une fois nos verres vides, Niba m'a dit qu'on allait voir dans l'autre pièce, s'il y avait des amis à lui. On s'est levé et arrivé derrière le bar, Niba a ouvert une porte. Une fois entrée, je me suis rendue compte qu'il y avait aussi peu de lumière et autant de fumée : pourtant, il y avait un grand ventilateur qui tournait au plafond.
A l'intérieur de cette pièce, il y avait quelques tables et chaises et, alignées contre les murs, de vieux canapés en cuir rouge. Au fond, dans une espèce de petit box, un type qui passait de la musique. Musique qui était aussi entêtante que la fumée.
Il y avait beaucoup de monde, tous noirs avec des nanas blanches et noires. Ce qui est amusant, c'est que toutes les femmes blanches présentes étaient blondes ; naturelles ou non. Presque tout ce beau monde dansait collé-serré.
Avec Niba, on s'est assis non loin du David Guetta local. Bon, là j'exagère un peu, les gars… Guetta façon Rasta-Reggae !
Y a un type qui s'est approché et Niba a commandé une bouteille de Vodka avec une carafe de jus d'orange et des glaçons.
Il était impossible d'avoir une conversation à cause de la musique ; aussi je me suis contentée de picoler le verre que Niba m'avait servi.
Au bout d'un moment, l'inhabituel survint : Niba m'invita à danser! J'étais aux anges. Sans être une grande danseuse, j'assure quand même le service minimum. Et puis, c'était mon Homme qui dansait avec moi, alors…
Je dois avouer qu'il avait une drôle de façon de danser. En fait, on a fait du sur-place et pendant tout ce temps, j'ai eu l'impression qu'il s'efforçait de retenir mon fessier de peur qu'il tombe. Car en fait, pendant toute la danse, ses mains ont emprisonnés fermement mes fesses ! A dire vrai, je me suis aperçue qu'ici, c'était la principale crainte de tous les mecs qui dansaient avec leurs nanas…
Quand Niba en a eu marre, on est retourné s'asseoir et il m'a resservi un verre de Vodka-orange. J'étais tranquillement en train de boire quand, tout à coup, 2 types sont venus s'installer à notre table. Comme Niba n'a rien dit, j'ai supposé qu'il les connaissait. En fait, si, puisqu'ils ont commencé à discuter dans la langue de leur pays. Je n'y comprenait rien.
Pendant qu'ils parlaient, je les ai détaillés : l'un ressemblait à une grande tige ; quant à l'autre, c'était tout le contraire. Plus grand que Niba, il était monstrueux. Enfin, j'exagère mais il était épais et légèrement bedonnant.
Tandis qu'ils discutaient, tous les 3 faisaient de véritables moulinets avec leurs bras, comme si ils s'engueulaient. En fait, non, ils se marraient comme des baleines et je ne m'en suis aperçue qu'au bout d'une dizaine de minutes quand ils se sont mis à se balancer de grandes baffes dans le dos. Je les regardais bouche bée sans comprendre un fifrelin de ce qu'ils se disaient !
A un moment, la grande tige s'est levée et a dit quelque chose à Niba.
Celui-ci s'est mis à rire et ensuite il s'est adressé à moi : <Sam, vas danser avec lui et soit gentille, c'est un ami<.
J'allais rétorquer que je n'en avais pas envie quand "Jo, la tige" m'a prise par la main et m'a sortie littéralement de ma chaise.
Je me suis retrouvée vite fait, bien fait, au milieu de la piste improvisée.
Dès les premières mesures, il s'est collé contre moi et je me suis très vite aperçue qu'il était comme les autres : il avait peur que mes fesse...s'affaissent. Je sentais ses mains qui me malaxaient effrontément le cul. Je me serais bien reculée mais il me maintenait fermement.
Je vous le jure, pourtant je n'ai rien fait mais au bout d'un moment, j'ai senti un truc tout dur, se mettre à gonfler contre mon ventre ! Le mec s'existait lui-même et il se mit à se frotter contre moi.
Dès que je le pouvais, je jetais un regard désespéré vers Niba. Et bah lui, cette cruche, ça le faisait marrer !
Cela dura un moment avant que je ne profite d'un changement de rythme pour m'évader.
Hélas, à peine ai-je bu un autre verre de Vodka-orange bien frais que "Bob, la montagne" m'enleva prestement de ma chaise sous les hochements approbateurs de mon Niba. Tout cela le faisait se gondoler, le salaud.
J'ai failli étouffer entre les bras du Bob ! Décidément, mes fesses attiraient les mains comme le miel, les abeilles (J'évite la comparaison avec la mouche que je trouve moins flatteuse pour moi…).
Moi, pauvre petite chose, je disparaissais totalement dans les replis de ce type. Je l'entendais respirer fortement. La musique lancinante et sa forte odeur musquée m'étourdissaient. Bientôt, nous fûmes cernés par d'autres couples qui nous bousculaient en dansant.
Merde, qu'est-ce que c'est ?
Brusquement j'ai senti deux paumes chaudes sur mes fesses, à même la chair! "Bob" était parvenu à soulever le derrière de ma robe pour y glisser ses mains. Lui aussi s'excitait (L'effet porte-jarretelles, assurément) et me montrait ''durement" le plaisir qu'il avait à danser avec moi. Quand bien même j'aurais voulu m'extirper de ses bras que j'en aurais été incapable tant il était costaud, le bougre.
Vous auriez vu le bond que j'ai fait quand ce cochon a réussi à glisser un ou plusieurs, je ne m'en souviens plus, dans mon entrejambe. J'ai certes fait un bond mais pas suffisant pour desserrer son étreinte.
A un moment, tout en dansant… bon on faisait plutôt du sur-place… je n'ai pas compris pourquoi il s'abaissait légèrement contre moi. Jusqu'à ce que je sente l'une de ses mains écarter mon string et un de ses doigts farfouiller dans ma chatte. J'ai tenté une ultime manœuvre pour qu'il me lâche, mais que dalle. Son gros doigt s'est mis à remuer en moi et malgré le fait de savoir que j'avais les fesses à l'air, plus il l'activait, plus ça commençait à me faire un certain effet.
A force, je me suis rendue compte que je devenais de plus en plus humide à l'intérieur. J'ai quand même eu un choc quand "Bob" me confia à l'oreille : "Tu mouilles bien, t'es en chaleur. Nib a raison, t'es une sacrée salope".
A peine revenue de ma surprise que Niba vint nous rejoindre sur la piste. Il dit quelques mots à son pote "Bob" et m'avisa que nous allions rentrer.
Enfin ! J'avais hâte d'être à la maison avec lui.
Du moins, c'est ce que j'espérais jusqu'au moment où le gros Bob nous a rejoint à la sortie du bar. On s'est tous les 3 dirigés vers la voiture de Niba. Je me suis assise à l'avant et son copain s'est installé à l'arrière, juste derrière moi.
A moins de me retourner, je ne pouvais pas le voir ; aussi j'ai évité de m'adosser sur le siège.
Oh, allez, il m'a bien laissée tranquille pendant au moins 15 minutes. Puis, j'ai senti sa main droite sur mon épaule et doucement mais fermement, il m'a repoussée contre mon siège. Sans s'occuper de Niba, il a commencé à me tripoter la poitrine par-dessus ma robe. La premier pensée qui m'est venue à l'esprit, fût : <Mais il va m'abîmer ma robe, ce con!<.
Je me suis mise à jeter des regards désespérés vers Niba mais celui-ci se contentait de regarder la route sans rien dire.
Tout à coup, sans que je m'y attende, "Gros Bob" a réussi à glisser sa main dans l'échancrure de ma robe. Le bougre était adroit car il est parvenu sans difficulté à sortir mon sein droit du balconnet de mon soutif.
J'ai distinctement entendu son ''hon'' d'appréciation et reçu sur ma nuque le souffle chaud de sa respiration haletante, tandis qu'il me pétrissait sans douceur. Puis, sans que je m'y attende, il a abandonné le terrain.
Pfutt ! Disparu Bob la Montagne ! Rien jusqu'à la maison.
Une fois arrivés, nous avons pris un verre au salon. Moi je me contentais d'écouter les deux autres discuter avec entrain, moitié français, moitié ???
zaïrois, je présume.
Au bout d'une heure et quelques verres, Niba m'a fait signe de m'approcher de lui. Puis il m'a glissé à l'oreille : <Monte dans ma chambre et enlève ta robe. Mais garde le reste… j'adore!<.
Bon, Ok l'autre allait enfin se tirer !
En bonne petite fille obéissante, je me suis exécutée. Arrivée en haut, j'étais excitée comme une puce. Je suis allée directement dans ma chambre et pour faire bonne mesure, histoire de lui faire monter la température, je me suis aspergée "d'Opium". Je voulais le rendre dingue.
Puis, je me suis rendue dans sa chambre. J'ai allumé une des 2 petites lampes de chevet, me suis allongée sur leur lit en soutif, string et porte-jarretelles ; en prenant la pose comme je l'avais vu faire au cinéma ; du style "Viens mon bébé, je vais te faire ta fête !".
Au bout d'un quart d'heure qui m'a paru une éternité, la porte de la chambre s'est ouverte sur Niba. Je l'ai accueilli avec un large sourire qui s'est éteint en voyant Gros Bob le suivre.
<Alors, elle est pas bandante, la gamine ?< : Dit Niba à son copain. Lui, il avait les yeux qui lui ressortaient de la tête. Bon, il faut dire, sans me vanter, que je l'étais… bandante. Même si je faisais quand même un peu pute de bordel dans mon attirail !
Niba s'est approché de moi et m'a tendu la main pour que je me lève du lit.
Une fois debout, il s'est posté derrière moi ; il a descendu lentement les bretelles de mon soutien-gorge et a dégrafé l'attache dans le dos. "Bob" avait les yeux rivés sur ma poitrine tout en s'avançant vers moi.
<Déshabille-le< : Me souffla Niba à l'oreille. Devant mon hésitation, il a insisté, menaçant : <Tu vas le faire, oui ; ou je dois encore me fâcher ?<. Je connaissais cette intonation, il ne plaisantait pas. Alors, je me suis exécutée.
Tandis que je déboutonnais un à un sa chemise, je recevais sur mon visage, son souffle chaud. Puis, après avoir ouvert sa ceinture, j'ai dégrafé son pantalon tandis qu'il retirait sa chemise. Dès que celui-ci est tombé sur ses chevilles, j'ai aperçu le gros paquet qui déformait son slip. J'ai senti comme une bouffée d'air chaud.
J'ai regardé Gros Bob. Il était certes assez enveloppé mais aussi très musclé. Je l'imaginais beaucoup plus bedonnant.
<Vas-y, sors-la< : Murmura Niba. Le ton de sa voix m'indiquait que lui aussi, était très excité.
J'avançais donc ma menotte et la glissait dans le slip du mec en face de moi. Il émit un petit couinement quand mes doigts ont emprisonné sa queue déjà toute raide. Merde, me suis-je dit : quel paquet!
J'ai abaissé le slip et j'ai regardé l'engin. Bon, pas aussi long que celle de mon Niba, mais la bite du gars était d'une épaisseur très imposante. A tel point qu'elle débordait de ma main. En plus, il avait de très grosses couilles velues.
Histoire de me venger un peu, je me suis mise à les lui presser comme des citrons. Et bien ce con, il adorait ça ! Il me suffisait de l'entendre grogner de plaisir pour m'en rendre compte. Sa hampe palpitait sous mes doigts.
Je commençais à me prendre au jeu. Sans que Niba m'oblige à le faire, je me suis mise à genoux devant son copain et j'ai approché sa queue de mes lèvres.
Et bien je peux vous dire qu'elle était épaisse car ma bouche a eu du mal à l'engloutir. J'ai même failli vomir car le mec m'avait agrippée par les cheveux pour imprimer à ma tête, un mouvement de va-et-vient. L'élasticité de mes lèvres ayant fini par s'habituer à l'épaisseur de sa queue, je me suis appliquée à le sucer comme Niba m'avait appris.
Well, well ! Monsieur appréciait, semble-t-il… Je lui ai tout léché, du haut jusqu'en bas bien lentement tout en le branlant.
Au bout d'un moment, le mec m'a repoussé. Alors, Niba m'a relevée et a fait glisser mon string à mes pieds.
J'ai bien cru que les yeux du Gros Bob allaient ressortir de ses orbites quand il a remarqué mon abricot tout lisse. Sans plus attendre, Il s'est dessapé complètement devant moi, la queue fièrement dressée.
Tandis que Bob m'entourait de ses bras pour m'embrasser dans le cou, j'aperçus Niba qui se dirigeait vers une petite commode située près du lit et que je savais appartenir à sa femme, Safi.
Là, je dois vous avouer un truc peu reluisant. Je suis assez fouineuse mais je n'ai jamais pu ouvrir cette bon dieu de commode. Et pourtant, j'ai essayé ; fouillant partout dans leur chambre pour trouver la clé.
Hélas, le mystère resta entier car, alors que Niba se penchait dessus, l'autre idiot de Gros Bob me boucha la vue. J'étais vénère !!
J'entendis le tiroir se refermer et aperçu Niba qui s'approchait de nous.
Il se pencha à l'oreille de Bob et lui murmura un truc dans leur langue.
Aussitôt, celui-ci se tourna vers mon Homme et lui prit quelque chose dans la main. Puis, se retournant vers moi, il me montra un truc bizarre qu'il avait enfilé sur son index.
Gros Bob s'approcha de moi et me montra son doigt. Il y avait glissé dessus, une espèce de machin en caoutchouc vert foncé ; comme une sorte de long dès à coudre. Il me l'a présenté devant les yeux en souriant et j'ai remarqué que ce truc avait plein de petites aspérités arrondies, comme des picots. Cela me faisait penser au truc que le type de la Poste du village utilise pour compter les billets.
Je ne comprenais pas à quoi cela rimait. Mais quand Bob a dirigé son doigt en caoutchouc vers mon ventre, j'ai eu un mouvement de recul. Sauf que Niba me tenait fermement.
<Ecarte tes cuisses! Tu vas voir, c'est une spécialité de la maison mais il va, lui aussi, savoir s'en servir. Allez, écarte donc< : m'ordonna Niba.
J'ai résisté un peu mais Niba s'est arrangé pour que j'obéisse.
Dès que l'index caoutchouté a touché mon sexe, j'ai sursauté. Je n'avais pas l'habitude de sentir du caoutchouc à cet endroit…
Il a fait tourner son doigt contre mon sexe, comme s'il voulait l'enfouir entre mes lèvres. Puis, il l'a fait bouger plusieurs fois, partant de mon clitoris jusqu'à ma raie culière. Au début, le froid du caoutchouc n'avait rien de bien excitant, mais à la longue, le truc s'est réchauffé et, pour ne rien vous cacher, je me suis mise à y prendre goût. Ce que je ressentais, était étrange, les picots pointus agissaient comme une râpe sur ma chair.
Puis, du bout du doigt, Bob s'est mis à gratter doucement mon clitoris. Les petites aspérités m'ont tout de suite procuré de nouvelles sensations ; disons-le, délicieuses. Il s'est amusé quelques minutes avec mon petit bouton ; tirant sur le capuchon pour mieux qu'il ressorte. Ensuite, il est descendu entre mes petites lèvres et l'instant d'après, le capuchon en caoutchouc est entré dans mon vagin.
Dès ce moment là, j'ai eu l'impression de sentir chacune des petites pointes s'enfoncer dans ma chair ; je sentais son doigt tourner lentement en moi.
Je crois bien que pendant une demi-heure, il a "joué" ainsi avec mon sexe. Son doigt ressortait de mon vagin, assez doucement pour que je sente bien le caoutchouc et ses pointes, venait rouler sur mon clitoris en appuyant de plus en plus fort et allait de temps en temps entre mes fesses pour titiller mon anus.
Je dois avouer que ce simple petit morceau de caoutchouc m'a donné un plaisir incroyable. Bien que fermement maintenu par Niba, je me tortillais dans tous les sens en poussant de profonds gémissements. A force, je ne me lassai pas de ce contact étrange. Dès que les picots proéminents effleuraient en de lents va-et-vient, l'intérieur de mes petites lèvres, je tremblais comme une feuille. C'était une véritable torture, à la fois douloureuse et jouissive. Cela me mettait les nerfs à vif.
Quand il introduisait son doigt dans mon vagin et frottait rapidement la parois interne de mon sexe avec le caoutchouc, je me mettais à brailler comme une folle en gesticulant de tous les côtés. Heureusement que Niba me maintenait fermement sinon, je me serais écroulée au sol.
En une demi-heure, j'ai bien joui au moins 2 fois, sans qu'il fasse autre chose que de me toucher de son doigt de latex ; avec des moments intenses quand il le courbait vers le haut, à peine entré. C'était un truc du Diable, ce dé en caoutchouc !
Ma chatte ruisselait littéralement de mouille. J'en avais plein les cuisses.
Rien à redire : Niba avait raison, ce petit ustensile bien utilisé était redoutable !!
Après le traitement que Bob venait de me faire subir, j'étais devenue une toute petite chose tremblante entre les bras de Niba qui me soutenait.
C'est alors que Niba fit l'article à son pote. Ce n'est pas du mot à mot mais en tous cas, c'était bien dans l'esprit : <Alors ? Elle paraît timide et réservée, hein ? Pourtant, je te l'avais bien dit ; elle aime ça ! Lorsqu'elle est en train, elle perd toute retenue. Je l'ai dressée pour ça. Quand elle se fait baiser, c'est une vraie salope qui veut se faire mettre et, plus c'est gros, plus elle aime<.
Son copain prenait l'air intéressé tandis que je me sentais rougir jusqu'aux oreilles. Sans s'occuper de moi, Niba ajouta que j'étais certainement en train de penser à sa bite ; enfin je veux dire celle de son copain. Il n'avait pas tout à fait tort, d'ailleurs… mais je me suis empressée de protester du contraire (Pourtant, j'étais dans tous mes états…).
<Ah, tu joues les prudes maintenant ? Les vierges effarouchées ! Ne la crois pas, c'est une vraie salope qui aime les gros mandrins. Tiens, je viens d'avoir une idée et je vais te prouver ce que je te dis< : Lança-t-il à son pote.
Niba me balança sans ménagement sur le lit et se dirigea vers la petite commode de sa femme. Il ouvrit un tiroir et farfouilla dedans. Soudain, je le vis brandir triomphalement un machin qu'il me colla sur le nez : c'était un godemiché noir assez impressionnant.
<Alors, tu n'aimes pas ça, te faire remplir d'une bonne grosse bite bien chaude ?< Me dit Niba, hors de lui, tout à coup terriblement excité par la situation.
Je me suis sentie tout à coup extrêmement gênée, je ne pouvais plus parler mais j'étais bizarrement toute chaude en moi sous le regard de ces 2 hommes.
Niba s'est approché du lit où j'étais allongée sur le dos. Sans un mot, il m'a forcée à écarter les cuisses et a introduit l'engin sans douceur. Il était pourtant gros mais il s'est enfoncé tout seul jusqu'au fond, tellement j'étais déjà mouillée.
J'ai poussé un cri de stupeur. Mais il ne m'a pas laissé le temps de réagir. Il a commencé à remuer le gode dans mon vagin lentement, juste de quelques centimètres. Au début, je n'ai eu aucun plaisir, je pensais trop à ce truc qui n'était pas naturel. Puis, peu à peu, au fur et à mesure qu'il faisait bouger la fausse bite en moi, cela a commencé à me faire de l'effet. je ne voulais pas le montrer à son copain qui me fixait à quelques pas de moi, tout en se caressant la queue. Il avait les yeux exorbités. C'est tout juste s'il ne bavait pas, ce malade !
Mais quand Niba a ressorti complètement le gode de mon sexe et qu'il l'a replacé doucement en moi, j'ai émis un couinement de souris.
C'est à cet instant que j'ai remarqué le sourire étrange de Niba. Il a posé sa main libre sur mon cou et j'ai senti ses doigts se refermer dessus.
Au début, je n'ai pas compris mais bizarrement, j'étais persuadée qu'il ne cherchait pas à m'étrangler. La pression de ses doigts sur mon cou était juste assez ferme pour que je sois légèrement asphyxiée.
Je sais, cela va vous paraître dingue mais au bout d'un moment, ma jouissance s'est mise à décupler. Vicieusement, il alternait les périodes entre relâchement et pression de ses doigts sur mon cou. C'était la première fois qu'il me faisait subir cela et passée la stupeur, j'ai commencé à aimer cet état de soumission totale. A cet instant, j'étais profondément dépendante de son bon vouloir.
Aussi, quand il s'est mis à activer le godemiché dans ma chatte et le faire aller et venir rapidement en moi, de toute sa longueur ; je n'ai pas pu me contenir ; j'ai commencé à hurler avec le peu d'air que j'avais, tout en gesticulant comme une dingue sur le lit. Incroyable, ce truc là avait beau n'être pas naturel, il me procurait un énorme plaisir.
Alors, que son copain me mate en train de me faire baiser par ce gode, hé bien, je m'en foutais royalement. D'ailleurs, j'ai fini par l'oublier complètement car j'étais toute à mon plaisir...
Jusqu'à ce que je le surprenne en train de dire à son pote "Gros Bob" :
<Tiens, tu sais ce qu'on va faire ? Vas-y, finis-la !<. Abasourdie, je le vis tendre le sexe de plastique à son copain.
<Tu vas le lui mettre dans la chatte, et tu vas voir si elle n'aime pas ça. Après, elle va bien se branler devant nous. Je suis sûr que ça va l'exciter<.
Certes, j'étais excitée mais pas au point de le faire devant son copain. Mais mon Niba, c'est une fine mouche ; il a bien vu ma réticence et, comme d'habitude, il a trouvé la solution.
Du coin de l'œil, je l'ai vu se diriger une nouvelle fois vers la commode de sa femme et en revenir avec une sorte de boîtier et un machin noir dans la main (Décidément, me suis-je dit sur le coup :"C'est une vraie caverne d'Ali Baba, ce meuble !". <Tiens, puisque t'es trop timide, je vais te mettre ça< : Me dit-il, tout en me montrant un walkman et un bandeau qui sert à mieux dormir la nuit.
Je me suis laissée faire. Il a posé sur mes yeux le bandeau et placé l'élastique derrière ma tête. Je ne voyais rien ; le noir absolu. Puis, j'ai senti qu'il me mettait les écouteurs sur les oreilles. Une fraction de secondes et des gémissements de femmes ont résonnés dans ma tête.
Ensuite, sans un mot, on a écarté mes cuisses et j'ai senti qu'on me mettait le gode dans la main. Puis, on l'a dirigé jusqu'à ce que je sente le bout sur mes petites lèvres. Une poussée ferme sur mon poignet et le gode s'est enfoncé tout seul, sans problème, jusqu'au fond de mon vagin.
Il faut dire que j'étais à la limite du ruissellement (Bon, ok j'exagère un peu mais pas loin).
L'un des deux gars (j'ignore lequel) m'a aidé à agiter rapidement le gode en moi. Plusieurs fois, jusqu'à ce que le plaisir m'ôte toute raison.
Au début, j'ai laissé cette main diriger la mienne et orienter le gode dans ma chatte. Puis quand ''on'' a compris que je n'avais plus besoin d'encouragements, on a abandonné ma main et sans aucune pudeur, je me suis mise à me goder toute seule. Je n'avais plus besoin de personne pour me donner du plaisir.
J'ai attrapé plus fermement la bite en plastique et je l'ai poussée bien au fond de moi.
Tandis que je me donnais du plaisir, le lit a bougé et je les ai sentis s'installer près de moi. Ils devaient être agenouillés et ils se masturbaient certainement en me regardant me baiser. Je percevais leur souffle court.
Je les imaginais, les yeux rivés sur le gode que je faisais aller et venir dans mon sexe trempé. Le fait de les deviner en train de se branler à quelque centimètres de ma tête, me mettait dans tous mes états.
Puis, nouveau mouvement sur le lit. Je compris qu'ils venaient de m'abandonner. Bizarrement, je ne voulais pas qu'ils s'en aillent ; je désirais qu'ils restent à mes côtés ; je voulais les ''deviner'' en train de se branler pour moi.
Alors, j'ai perdu le peu de dignité qu'il me restait et pour les exciter encore plus, j'ai joué avec le gode, allant jusqu'à le sucer comme si c'était une vraie bite. Je me suis branler avec ; le laissant parfois au bord puis l'enfonçant tout à coup en poussant un cri de joie. Je suis même allée jusqu'à le laisser de côté pour me caresser avec mes doigts, les enfonçant dans ma chatte.
N'étant pourtant pas une experte en la matière, j'ai réussi à mettre en marche la vibration en tournant la molette placée au bout du gode.
Immédiatement, j'ai rugi de plaisir en sentant les trépidations dans mon vagin. J'ai été secouée par un profond spasme et j'ai eu l'impression que mon ventre était en fusion. Très vite le plaisir est monté en moi, je sentais des picotements de partout. J'avais tellement de plaisir que j'ai continué à me branler de plus en plus vite en gémissant. Le gode et moi, on ne faisait plus qu'un et je le faisais entrer et sortir de ma chatte en variant la vitesse de pénétration. C'était divin !
Mais le pied, c'est que, à un moment, la fausse bite a ripé et a frôlé mon clitoris. Je n'ai pu maitriser un hurlement. C'était trop fort, c'était trop bon ! A la fin, je faisais vibrer le gode sur mon clito, juste quelques secondes, pour mieux me l'enfoncer profond juste après.
J'aurais voulu que cela ne s'arrête jamais !
Mais j'ai préféré m'en séparer et obtenir ce dont j'avais besoin en utilisant mes doigts au lieu du gode.
Accompagnée par les gémissements de mes deux voisins qui étaient revenus s'installer près de mi sur le lit, je me suis masturbée comme une folle en faisant parfois glisser mes doigts dans ma chatte jusqu'à ce que je pousse un hurlement et m'écroule sans force sur le lit.
Je suis restée ainsi, aveugle et haletante, quelques minutes quand, tout à coup, j'ai senti un liquide chaude se répandre sur mes seins, mon ventre. Surprise, j'ai retiré vivement mon bandeau et découvert mes 2 cochons de voisins en train de me gicler dessus. Quand ils eurent bien secoué les dernières gouttes sur moi, ils m'ont regardée avec un sourire vicelard et sont sortis de ma chambre.
De toutes façons, je n'avais plus rien à leur offrir…
En aparté, je vais vous avouer un petit secret : en cours d'année dernière, j'ai enfin réussi à dénicher l'endroit où mes patrons cachaient la clé de la commode. En ouvrant les tiroirs, j'ai découvert, effarée, outre une collection impressionnante d'objets sexuels, dont certains plus que bizarres ; mais surtout, des photos qui avaient été prises par ces 2 salauds sans doute au cours de cette soirée. On me voyait en train de me goder, de me caresser ; mes doigts enfoncés dans ma chatte. Mais, je n'ai rien dit : je ne pouvais pas avouer à Safi que j'avais fouillé sa commode comme une voleuse.
Bien plus tard, je n'eus plus à jouer les cambrioleuses car Safi me montra où elle planquait sa clé, par contre, les photos originales de moi, avaient disparu.
… Autant vous dire que je n'ai plus revu mes 2 coquins cette nuit là. Je me suis endormie comme une masse ; Niba ayant eu la bonne idée de me laisser tranquille.
Le lendemain, il m'exprima sa satisfaction en me disant que l'on recommencerait.
De fait, avant que Safi ne revienne du Maroc, j'eus le droit à une nouvelle visite de l'ami ''Gros Bob".
Ce fût une première pour moi.
Quand, ce jour-là, je vis le petit mot posé sur mon lit après le départ de Niba, je me rendis compte qu'il voulait me tester. Ou plutôt, s'assurer de ma totale obéissance.
Il avait inscrit : "Gros Bob (je ne me souviens plus de son prénom exact… trop compliqué) viendra ce soir à la maison mais je serai absent. Je veux que tu sois sexy et que tu le serves comme si c'était moi. Je veux que tu l'excites jusqu'à ce qu'il n'ait d'autre choix que de te baiser. Il pense que je serai présent mais tu lui diras que je viens de te prévenir que je ne rentrerais pas de la nuit. Tu me raconteras tout quand je reviendrai. Ne me déçois pas. Niba".
Bonjour le choc, sur le coup. Je n'étais pas vraiment prête pour ce genre d'expérience ; mais je me doutais que si je refusais de lui obéir, il y aurait des conséquences pour moi.
J'ai pensé à cela toute la journée. J'en ai fait des essayages !!
Quand arrivé le soir, la sonnerie de l'entrée a retenti et que j'ai ouvert la porte sur Gros Bob, mon esprit s'est vidé d'un coup et c'est comme une automate que j'ai réagi. Malgré une trouille bleue, j'avais en tête une idée fixe, envahissante : ne pas décevoir Niba.
Aussi, j'avais donc suivi les instructions de mon Homme, question vestimentaire ; sans pour autant faire dans le luxe. Après tout, ce n'était qu'un rustre ; donc pas la peine de faire des frais… Juste un léger chemisier blanc en tulle et satin, suffisamment transparent pour qu'il puisse bien voir que je ne portais aucun soutif. En plus, ce gros nigaud avait de la chance car le tissu avait tendance à frotter sur mes tétons ; ce qui les mettaient en érection.
Pareil pour le bas : une jupe courte portefeuille blanche, en lin, attachée à la ceinture. Pour en accentuer la transparence, j'avais poussé le vice jusqu'à mettre un petit, mais alors tout rikiki, string ficelle noir. (Je sais, je suis salope ! Lol).
Malgré mon anxiété, j'avais bien l'intention de ''l'énerver'', le gros Bob !
C'est sans doute pour cette raison que je n'avais pas oublier de mettre ma chainette en or autour de la taille…
Une fois entré, sans qu'il me le demande, je lui ai offert un apéritif et l'accompagnai, bien que je n'apprécie pas le Whisky. Mais c'était pour me donner du courage.
Au bout d'une demi-heure ; alors que je nous resservais un verre, il me demanda, enfin, à quelle heure arrivait Niba. J'ai dû lui apprendre que celui-ci avait eu un empêchement de dernière minute et que je me retrouvais avec un dîner sur les bras.
Ok, ce n'était pas une invite directe mais le gros balourd a sauté sur l'occasion (entre autre…) pour s'inviter. Bah oui, on allait quand même pas gâcher toutes ces bonnes choses, nan ?...
Au début, il n'était pas bien bavard et pendant le dîner, il s'est contenté de me poser des questions sur mes origines, la raison de ma présence ici. Bref, une conversation, juste ce qu'il faut, pour que ce ne soit pas pesant.
Après, le repas, il m'a réclamé un café et un verre de Cognac et a insisté pour que j'en prenne un aussi. En fait, c'est grâce à ce Cognac (bien tassé…) que j'ai enfin pu me détendre tout à fait. J'ai même réussi à me montrer une hôtesse très acceptable, allant jusqu'à lui poser des questions. Confortablement assis sur le canapé à 2 places, gros Bob faisait comme s'il se trouvait chez lui (Safi aurait été ravie…) et me répondait sans détour. Je devrais préciser, sans détourner son regard de mes jambes. Car, c'est sans arrière-pensée, que je m'étais installée dans un fauteuil, en face de lui. Mais, sur le moment, je n'y faisais pas attention.
Dans la conversation, il m'apprit, qu'apparemment, j'avais fait une forte impression sur le patron du bar (son cousin, mais ils sont tous cousins, semble-t-il…) et sur quelques clients. "Et, encore, crût-il bon de préciser, il ne te connaisse pas comme moi…". Ceci énoncé avec une œil égrillard. Je laissais passer l'allusion graveleuse. Sur ce, il m'encouragea à revenir trinquer dans le bar de son cousin, j'allais, paraît-il être très chaleureusement accueillie (Tu m'étonnes…). Je lui rétorquai qu'il me faudrait, pour ce faire, l'autorisation de Niba. Cela n'a pas eu l'air de le décourager outre mesure. Pour me convaincre, il me précisa qu'il travaillait là-bas et qu'ainsi, je n'aurai aucune consommation à payer (Bah voyons…).
Je m'arrangeai pour détourner la conversation en lui proposant un autre Cognac. Il accepta en insistant pour que je l'accompagne.
A force, j'allais devenir alcolo ! Néanmoins, pour avoir la paix, je me versai aussi un verre.
Alors que je revenais de la table roulante, chargée des alcools, et que je m'apprêtais à regagner mon fauteuil, Bob me saisit par la taille au passage et me fit installer à côté de lui. Les mains prises par les verres, je dus m'exécuter de peur de les renverser.
Bon, après tout, s'il ne voulait plus mater mes jambes, pourquoi pas…
Pour calmer ma nervosité, je lampai presque entièrement mon verre.
Après une ou deux minutes de silence, Bob commença à me parler de ''notre'' soirée et du plaisir qu'il avait eu à expérimenter le doigt magique en caoutchouc. Avais-je renouvelé l'expérience ? Non ?! Mais, il était disponible pour m'assister. Je lui dis que je ne possédais pas ce matériel, de toutes façons. S'ensuivit une conversation, plutôt un monologue, sur le déroulement de cette soirée. Il m'expliqua, par le détail, le plaisir qu'il avait ressenti à me voir me goder, à se branler à coté de moi et à me gicler dessus. C'était si précis, si vivant, que ; je l'avoue, ça m'émoustillait.
C'est qu'il racontait bien, le bougre ! Nerveuse, je croisais et décroisais mes jambes dont l'une touchait son blue-jean. Sa cuisse était chaude contre la mienne.
Il attendit que mon verre soit vide pour le poser sur la table basse et, lentement, me fixant dans les yeux, son visage s'est rapproché du mien.
Il se mit à me parler de ma bouche pulpeuse, de mes yeux rieurs, du plaisir qu'il avait eu en me voyant nue devant lui, avec ma chatte rasée et mes tétons dressés.
J'ai comme hypnotisée par la description qu'il faisait de mon corps. Si bien que je ne me suis pas immédiatement rendue compte que ses doigts caressaient mon cou. Ce n'est que lorsque je les ai senti descendre le long de mon dos, que j'ai frissonné.
Alors, sans un mot, tout en me fixant du regard, il a ôté un à un les boutons de mon chemisier. Je l'ai laissé faire. Il a fait jaillir mes seins qui se mirent à durcir sous ses caresses et les petites touches de ses lèvres et de sa langue. Il m'a retiré mon chemisier et prise par la taille pour que je me lève.
Docile, face à lui, il a fait choir ma jupe à mes pieds et, je me suis retrouvée seulement vêtue de mon minuscule string ficelle et de ma chainette en or.
Il me dévorait littéralement des yeux. C'était hyper troublant !
Il me prit une nouvelle fois par la taille et m'amena à m'asseoir sur ses cuisses. J'avais les yeux fixés sur le fauteuil en face de moi et je pouvais sentir son souffle chaude contre mon cou. Mes fesses nues comprimaient son sexe gonflé, emprisonné dans son Jean. Dieu comme il bandait !
Il me serra brusquement contre lui et glissant ses mains sous mes aisselles, il les plaqua contre ma poitrine. Dès que ses doigts pétrirent mes seins et pincèrent mes tétons saillants, je ne pus étouffer les gémissements qui sortirent de ma bouche. Tournant la tête vers lui, ses lèvres se posèrent sur les miennes et nous échangeâmes un baiser haletant.
Tout en l'embrassant, j'imaginais Niba. C'était Niba et personne d'autre !
Après ce baiser fougueux, il me fit lever et quitta le canapé. Face à face, sa bouche soudée à la mienne, mes seins serrés contre son torse, sa main parcourait ma taille. Je sentais sa queue dure comme du bois contre mon ventre.
Une de ses mains s'insinua entre nos deux corps et rapidement, ses doigts se glissèrent sous mon string. Ma chatte devint de plus en plus humide et j'entendis un petit bruit de succion quand il parvint à introduire un doigt dans ma chatte. Sans qu'il me le demande, j'ai déboutonné sa chemise. Bientôt il plaqua sa peau nu contre mes seins. Une forte odeur musquée se dégageait de son corps et, inexplicablement, cela me fit frémir.
Me sentant à sa merci, il fit descendre mon string sur mes cuisses et se reculant, me dit :"T'es vraiment bandante !".
J'acceptai cet étrange compliment, tout en le regardant retirer son Jean et son slip. Je vis sa queue dressée à la verticale et je fus troublée.
M'attirant contre lui, il me serra dans ses bras et je sentis son sexe dur contre mon ventre. Il me prit la main et la posa sur sa queue. Elle était chaude et palpitait.
Je ne me suis même pas posée de questions. Je l'ai masturbée un peu puis, je me suis mise à genoux. Il a posé ses mains sur ma tête tandis que ma langue goûtait son gland rosé en l'aspirant.
Bob caressa mes cheveux, massa ma nuque en me confiant ''tu sais y faire, toi !". Je n'avais pas besoin d'être flattée, Niba m'avait tout appris. J'ai ouvert la bouche si fort que mes mâchoires me firent mal. Sa bite n'était pas longue mais très épaisse. Je le suçai encore et le léchai de longues minutes jusqu'à ce qu'il me dise d'arrêter. Je fus à la fois surprise et déçue. Je dois reconnaître que la fellation, c'est un peu mon péché mignon. J'adore sentir les mecs vibrer dans ma bouche…
Il me demanda où se trouvait ma chambre et il m'y emmena.
Arrivé dans ma chambre, Gros Bob me prit dans ses bras et, se dirigeant vers le lit, m'y déposa… presque délicatement.
Allongée sur le dos, genoux pliés, cuisses ouvertes, j'offris ma chatte à la bouche gourmande de mon amant noir. Sa langue était si agile et nerveuse que bientôt, des petits jets de cyprine coulèrent dans sa bouche. Ne pouvant pas me contenir, je lui échappai et vins ramper entre ses cuisses. Saisissant sa bite, je la lui lécha sur toute la longueur ; surprise d'apprécier sa peau odorante au goût de musc. Mes mains se mirent à jouer avec ses testicules lourds et sa toison frisée.
Apparemment, il était au bord de l'apoplexie car, il me bascula sur le dos et écarta rudement mes cuisses. Se saisissant de sa queue, il entreprit de masser un instant, mon clitoris avec son gland circoncis ; puis, tout à coup, il le glissa entre mes petites lèvres. Par petits coups de reins, il fit se distendre ma vulve quasiment ruisselante. Ma gorge ne put retenir de petits cris de plaisir, mais aussi de douleur qui devinrent de plus en plus aigus au fur et à mesure que sa hampe s'enfonçait dans mon ventre. Planté en moi jusqu'à la racine, nous étions soudés l'un à l'autre ; mes pieds se croisaient sur ses reins, ses bourses battaient sur mes fesses, son torse poilu massait mes seins. Je n'aurais jamais cru que ce balourd me mettrait en transe !
Et puis, lentement, Bon commença à bouger son bassin d'avant en arrière ; puis de plus en plus vite. Ma chatte était en fusion et, peu à peu des vagues de plaisir se succédèrent. La bouche ouverte, manquant d'air, je ne pouvais émettre aucun cri.
Je sentais que cela montait, montait, montait. J'allais jouir…
et, c'est au moment précis où j'allais m'offrir un très bel orgasme, que ce con me balança : "Quand j'aurai fini avec toi, j'appellerai mes potes et on te baisera par tous les trous !".
Ma jouissance dégringola aussi vite que le baromètre en Sibérie !
Le commentaire de cet idiot me glaça immédiatement. Dans ma tête, je voyais débouler ses copains et passer de mains en mains comme une loque dans une baraque de chantier.
Fini le pied, adieu mon bel orgasme. Gros Bob m'aurait piqué le cul avec un clou que cela aurait eu le même effet. Le repoussant brutalement, je me suis levée d'un coup du lit. J'étais furax pour un tas de raisons.
Je lui ai dit qu'i pouvait aller se faire enc… lui et ses potes ; que je n'étais pas sa salope de service et qu'il pouvait dégager illico presto !
Mais ce con insista ; alors hors de moi, j'ai pris ce qui se trouvait le plus proche de ma main ; à savoir, la lame de chevet… et je la lui ai envoyé dans la tronche.
Bon, j'avoue qu'il n'a pas eu de bol, au lieu de le frôler, la lampe lui est arrivé directement sur le pif qui s'est mis à saigner.
Pendant un instant, j'ai bien cru qu'il allait me foutre une raclée.
Mais il a dû se raviser, préférant me traiter de tous les noms.
Je ne vous détaillerai pas les noms d'oiseaux dont il m'a affublée avant de redescendre dans le salon.
Ouais, bah je n'ai pas été vraiment sympa car, quand j'ai aperçu ses grosses fesses sortirent de ma chambre, je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rires… Bon, Ok je n'aurais pas dû mais c'est à cause de la pression qui tombait.
Je l'ai quand même suivi et me suis assurée qu'il ne piquait rien dans la maison.
Avant de partir, cet idiot m'a menacée de représailles. Bof…
Dès que j'ai entendu sa bagnole sortir de la cour, je ne sais pas pourquoi mais j'ai brusquement éclaté en sanglots. Ensuite, j'ai dû emprunter les somnifères de Safi, pour m'endormir.
Je croyais cette affaire terminée, mais les menaces du Bob,
c'était pas du pipeau !
M'enfin, ça, ce sera pour une autre fois, sans doute
Bibi
Sam
Oups, je suis à la bourre car j'aurais dû envoyer ça, il y a bien 1 mois.
J'espère que vous avez tous passés d'excellents réveillons et je vous souhaite une bonne année.
Bien, alors je continue (tant pis pour vous !).
Voilà, vous savez maintenant ce que veut dire "le coup de la serviette".
Les copines, si, à la plage, vous êtes seules et qu'un mec se pointe et étale sa serviette de bain à côté de la vôtre : méfiance…
Si, en plus, il vous propose de vous aider à étaler votre crème solaire ; alors là : gare à vos miches !
Quant aux miennes, elles ont été servies au plus grand bonheur de mon Homme. Je ne suis pas une flèche mais je ne suis pas totalement gourde non plus (enfin je l'espère…). Car, à cette époque et après quelques expériences vécues depuis que Niba était mon amant, ces dernières m'ont confortée dans ce que j'avais deviné en lui. Pour faire simple, il adorait me regarder en train de me faire baiser par d'autres types. C'était un gros cochon de voyeur (Ouais, en fait, je ne devrais pas lui jeter la pierre car sur ce sujet, je ne suis plus une âme blanche…) et, ne pouvant sans doute pas réaliser son fantasme avec sa femme, il avait trouvé une proie facile : moi.
Proie d'autant plus facile qu'à l'époque, je n'étais qu'une petite gourde bien vierge et surtout malléable. Bon, je ne vais pas le calculer car grâce à lui, je me suis aussi révélée.
Avant de croiser son chemin, j'ignorais que j'aimais à ce point, une certaine forme de sexe et que j'avais un net penchant à être dominée (sans doute un héritage de mon papa militaire). Adroit comme il est, Niba a su m'entraîner peu à peu vers cet état d'esprit. Au fil du temps, il m'a éduquée pour m'amener vers des plaisirs que je ne soupçonnais même pas. Mais, cela s'est fait graduellement. J'étais une gamine qui ne connaissait rien aux choses du sexe. Aussi, je ne me suis pas posée de questions ; j'ai cru que tout ce qu'il m'apprenait, était normal. En quelque sorte, il a été le premier à me faire comprendre et ressentir que j'aimais être soumise. Chacun a son petit jardin secret ; moi, c'est la soumission avec une grosse pincée de masochisme et (j'ai découvert par la suite) un rien de sadisme dans le bon sens du terme. En fait, plutôt que sadisme, je devrais préciser : un goût prononcé pour la manipulation qui m'a permis de mettre en application tout ce que l'on m'a appris.
Bref, mon gros péché pignon, c'est de trouver des ''innocents/tes'' célibataires ou en couples et de les pervertir afin qu'ils révèlent leur véritable personnalité. C'est fou ce que les gens peuvent se cacher…
Mais ce n'est pas Niba qui m'a éduquée sur ce sujet. Si j'osais, je dirais qu'il a effectué le gros-œuvre et d'autres se sont chargés de la finition. Ainsi, j'ai découvert d'autres désirs qui, jusqu'à maintenant, comble ma vie. Au risque de choquer certains(es) d'entre vous, je dois confesser que cet état de dépendance totale envers eux, me satisfait pleinement. Je suis libre et je peux partir si je veux mais c'est librement que je leur appartiens. Je ne vais pas tomber dans le cliché habituel de Maître/esclave, mais cet état d'assujettissement intellectuel et sexuel, satisfait, pour l'instant, ma vie.
Donc, au départ, c'est bien ce petit malin de Niba qui a bâti mon éducation.
C'est bien plus tard que je me suis aperçue (En découvrant par hasard le pot aux roses) qu'il n'était que la partie visible de l'iceberg. Mais je raconterai ça sans doute plus tard, si vous le souhaitez.
En attendant, revenons après l'été 2009.
Les vacances étaient déjà terminées et j'avais perdu mon bronzage depuis longtemps (Nan, j'rigole! J'ai en fait une teinte assez claire pour une "sang-mêlé"). Bien qu'il fasse souvent beau ici, même en cette saison, j'étais d'humeur morose.
A partir de septembre, Niba s'absenta très souvent et, en plus de devoir tenir la maison, je devais effectuer des remplacements à la boutique de lingerie de Safi. Bref, les journées étaient longues et le soir, je rentrais crevée. C'est vrai, je n'étais pas dans mon assiette car en plus, je ne faisais qu'occasionnellement l'amour avec lui.
Septembre et octobre se sont écoulés ainsi. La femme de Niba se rendait bien compte que je ne tournais pas rond. Malgré ses tentatives pour me dérider, je restais, genre encéphalo plat !
Je vais vous faire peur les filles mais j'ai utilisé tout ce temps à faire le ménage à fond ; histoire de m'occuper l'esprit.
Et du travail ménager, il y en avait (Safi n'est pas la reine du chiffon !).
Quelques mois avant qu'ils ne me prennent à leur service, mes patrons avaient acheté un vieux corps de ferme situé à la campagne. C'est ce qu'ils recherchaient : pas trop loin de la ville et un truc à retaper.
Les gros travaux étaient terminés quand je suis arrivée mais il restait encore pas mal de choses à finir.
La bâtisse était (est) en L, sur 2 étages ; avec l'ancienne habitation donnant sur la cours d'entrée. Dans la petite partie du L, le rez-de-chaussée (qui avait dû être une haute grange) servait de garage pour les 2 voitures et à l'étage, surélevé par rapport à l'habitation principale et tout en longueur, Safi avait installé un énorme dressing (quand je l'ai vu la première fois, j'ai cru que c'était la remise d'un magasin de fringues !!!) et un bureau pour eux, où ils travaillaient parfois.
Ah oui, il y a aussi une petite pièce avec un coin toilette mais qui était à l'époque de mon arrivée, inutilisée.
Petite anecdote, juste après avoir donné ma fleur à Niba, j'étais si jalouse qu'il baise encore sa femme, que le soir venu, j'allais en catimini, me cacher derrière les persiennes en bois du dressing, histoire de regarder ce que mes patrons faisaient dans leur chambre. Comme l'étage était plus haut que leur chambre et la mienne, j'avais une vue plongeante sur leur fenêtre, à peine à quelques mètres, de là où je me tenais. Hélas, ils tiraient le double rideau et j'en étais pour mes frais !
Enfin, Niba se posa durant le mois de novembre 2009. Et, ô bonheur, c'est à ce moment là que sa femme décida d'aller passer 10 jours en club au Maroc avec ses copines. La perspective d'avoir mon Homme à moi pendant presque 2 semaines m'enchanta positivement. Je devins brusquement plus joyeuse ; à tel point que Safi, pour me taquiner, me demanda si le fait qu'elle parte, me ravissait. J'allais pouvoir me la couler douce.
Prise au dépourvu, je réussis, malgré tout, à balbutier que ce n'était pas la cas. Pour rajouter à mon trouble, elle surenchérit en me disant que comme son mari allait devoir aussi s'absenter, j'allais enfin pouvoir me trouver un petit ami. Elle me précisa qu'à mon âge, il était temps que je fréquente un garçon.
Compte tenu du contexte, je m'abstins de tout commentaire. Je n'allais tout de même pas lui dire qu'en guise de petit ami, c'est son mari qui me baisait quand elle avait le dos tourné !
Donc, ce fameux et tant attendu samedi midi arriva et elle se décida enfin à partir. Au comble de la gentillesse, j'allais jusqu'à l'aider à porter ses valises dans le coffre du taxi (histoire de la voir partir plus vite).
Youpi ! Enfin seule avec mon Homme ! Vous auriez dû voir ma tête : la banane !
Le soir même, quand Niba revint à la maison, je lui sautai carrément au cou. Ma joie fût à sa comble car il ne revenait pas les mains vides. En effet, en passant par la ville, il s'était arrêté dans un magasin de fringues et avait fait quelques emplettes pour moi.
Oui, oui, rien que pour moi !
<Tiens!< : Me dit-il. <Ce soir, on sort et tu vas porter ça<.
Je déballai les paquets sur mon lit à la vitesse de l'éclair. J'ai tout de suite essayé la robe noire en Lycra. Elle était courte, à mi cuisse. Elle avait un col capuchon qui laissait sagement voir la naissance de mes seins. Ajustée à la taille, elle retombait en drapé sur le devant. Sur chaque bras, les manches étaient ouvertes et exposaient ma peau : des épaulettes jusqu'au dessous du coude où elles étaient fermées par un bouton. Le haut de la robe était retenue, au niveau du cou, par un long cordon fin. Enfin, derrière, elle était entrouverte jusqu'au bas du dos. Mais juste ce qu'il fallait. C'était vraiment une robe à la fois jolie et sexy. En plus, elle me collait comme une deuxième peau. J'étais absolument ravie car je n'avais jamais porté une chose aussi luxueuse. Niba avait même pensé aux escarpins en vernis. Il y avait aussi des sous-vêtements. Quand il me demanda de les essayer, il eut un drôle de petit scintillement dans son regard.
Il faut dire qu'il m'avait acheté (sans doute pas dans la boutique de sa femme…) : un ensemble string et soutien-gorge en voile blanc. Là, où j'ai été un peu interdite, c'est quand j'ai vu le porte-jarretelles de la même couleur.
Et voilà, on y était : le vieux fantasme des mecs. Un truc chiant et inconfortable à porter mais qui fait bander les types. Pour lui faire plaisir, j'ai essayé le tout et… bah il s'est mis à bander. Je n'ai même pas été étonnée quand il m'a demandé de m'agenouiller devant lui et de le sucer en gardant uniquement mes sous-vêtements. J'y ai mis une ardeur reconnaissante vu ce qu'il venait de m'offrir.
Je suis en train de me rendre compte que ce que je viens d'écrire à propos de mes fringues, a dû sacrément gaver les mecs qui me lisent peut-être. A part les nanas, s'il y en a, ce genre de trucs, les mecs, il s'en fiche totalement. Sauf, ceux qui sont d'un certain âge…
Bon, autant que j'arrête ici, ce défilé de mode.
Bref, vers 21 heures, j'étais équipée à la grande satisfaction de Niba.
Il faut dire, sans déc, que j'en jetais ! Mes fringues faisaient plutôt classe. Il est vrai que l'on pouvait apercevoir mon soutif de temps en temps mais comme il était ravissant, cela passait. Il aurait fallu être devin pour savoir qu'en dessous de cette merveille de robe, j'étais équipée "sexe".
A ce sujet, j'ai fini par me faire à ce fichu porte-jarretelles et faire croire à Niba que j'adore ce machin.
Pas besoin de faire un dessin aux nanas qui vont me lire. Avec un peu d'imagination, on peut faire gober n'importe quoi aux mecs. On n'a peut être pas de couilles mais on a un cerveau… nous… Mouarf !
On alla d'abord dîner dans un restaurant indien. Purée, leur bouffe, c'est de la dynamite. J'ai rapidement eu la gorge en feu. Les plats étaient bons mais trop pimentés ; quant au vin : à chier ! J'ai quand même été obligée de descendre plusieurs verres de leur infâme Rosé pour éteindre l'incendie qui brûlait mon gosier.
Quand on est sorti vers 23 h du resto, j'étais gaie comme un pinçon !
Niba m'a annoncé que pour finir la soirée en beauté, on allait rendre visite à un de ses copains qui tenait un bar où l'on pouvait aussi danser.
L'idée de ne pas rentrer à la maison immédiatement ne m'emballait pas (j'avais un petite idée dans ma tête pour cette fin de soirée) mais comme je ne voulais pas déplaire à mon chéri, j'ai fait mine d'être ravie.
Là, où j'ai tiqué, c'est quand on est arrivé dans le même quartier où se trouvait le fameux cinéma porno. Heureusement, Niba ne s'est pas arrêté car je ne me voyais pas refaire une autre "séance". On a roulé une dizaine de minutes et il s'est garé à côté d'un café. Il était fermé : pas d'enseigne lumineuse et aucune lumière ne filtrait de l'intérieur. La devanture ne payait pas de mine et aurait eu besoin d'un sacré coup de peinture. Bref, je n'y serais jamais allée toute seule.
Niba a cogné contre la porte et quelques minutes après, quelqu'un l'a entrouverte. Niba a échangé quelques mots dans une drôle de langue et on est entré. Juste après la porte, j'ai immédiatement été intriguée par l'épaisse tenture en velours qu'il a fallu écarter pour pénétrer dans le bar.
A l'intérieur, le peu de lumière était presque occultée par l'épaisse fumée qui planait dans la salle. J'étais surprise car je croyais qu'on n'avait plus le droit de fumer dans les cafés et les restaurants. En tous cas, ici, ils s'en foutaient royalement. En plus, il y avait comme une drôle d'odeur d'encens. Cela prenait à la tête.
La salle où se trouvait le bar était assez petite ; bref propre mais un peu glauque. Il y avait une dizaine de tables avec des chaises. La clientèle, 10 ou 15 personnes, était majoritairement composée d'hommes, tous noirs. Il y avait seulement 2 femmes, des blanches, assez vulgaires.
Moi, avec ma petite robe bon chic bon genre, je dénotais. La preuve, dès que je suis entrée, tous les regards se sont portés sur moi. Mais, je dois reconnaître qu'il n'y avait aucune animosité à mon encontre ; même les femmes m'ont souri. Je me suis rendue compte, très rapidement, que tous ces sourires ne s'adressaient pas à moi mais plutôt à Niba qui paraissait être très connu dans ce bar (Ma fierté en a pris un coup…).
Il y eut un tas d'embrassades et de cris de joie quand il a commencé à faire le tour des tables. Mais quand il s'est attardé avec ces 2 pouffes, là, j'avoue que j'ai tiré la tronche…
Enfin, on s'est assis tous les deux à une table et le patron est arrivé avec 2 verres : les cocktails de bienvenu (moitié gas-oil, moitié Javel). J'ai bien failli m'étouffer ; c'était immonde et fort à assommer un bœuf. En plus, il y avait comme un machin verdâtre qui flottait dans le verre ! Mais il a fallu que je finisse mon verre car, sur les conseils de Niba, je ne devais pas fâcher le patron et lui manquer de respect, en ne terminant pas le cocktail qu'il nous avait offert généreusement.
Généreusement… Tu parles ! Des excédents de produits pour la déforestation en Afrique, oui ! Heureusement qu'il y avait une carafe d'eau sur la table, j'ai pu me désaltérer un peu.
Une fois nos verres vides, Niba m'a dit qu'on allait voir dans l'autre pièce, s'il y avait des amis à lui. On s'est levé et arrivé derrière le bar, Niba a ouvert une porte. Une fois entrée, je me suis rendue compte qu'il y avait aussi peu de lumière et autant de fumée : pourtant, il y avait un grand ventilateur qui tournait au plafond.
A l'intérieur de cette pièce, il y avait quelques tables et chaises et, alignées contre les murs, de vieux canapés en cuir rouge. Au fond, dans une espèce de petit box, un type qui passait de la musique. Musique qui était aussi entêtante que la fumée.
Il y avait beaucoup de monde, tous noirs avec des nanas blanches et noires. Ce qui est amusant, c'est que toutes les femmes blanches présentes étaient blondes ; naturelles ou non. Presque tout ce beau monde dansait collé-serré.
Avec Niba, on s'est assis non loin du David Guetta local. Bon, là j'exagère un peu, les gars… Guetta façon Rasta-Reggae !
Y a un type qui s'est approché et Niba a commandé une bouteille de Vodka avec une carafe de jus d'orange et des glaçons.
Il était impossible d'avoir une conversation à cause de la musique ; aussi je me suis contentée de picoler le verre que Niba m'avait servi.
Au bout d'un moment, l'inhabituel survint : Niba m'invita à danser! J'étais aux anges. Sans être une grande danseuse, j'assure quand même le service minimum. Et puis, c'était mon Homme qui dansait avec moi, alors…
Je dois avouer qu'il avait une drôle de façon de danser. En fait, on a fait du sur-place et pendant tout ce temps, j'ai eu l'impression qu'il s'efforçait de retenir mon fessier de peur qu'il tombe. Car en fait, pendant toute la danse, ses mains ont emprisonnés fermement mes fesses ! A dire vrai, je me suis aperçue qu'ici, c'était la principale crainte de tous les mecs qui dansaient avec leurs nanas…
Quand Niba en a eu marre, on est retourné s'asseoir et il m'a resservi un verre de Vodka-orange. J'étais tranquillement en train de boire quand, tout à coup, 2 types sont venus s'installer à notre table. Comme Niba n'a rien dit, j'ai supposé qu'il les connaissait. En fait, si, puisqu'ils ont commencé à discuter dans la langue de leur pays. Je n'y comprenait rien.
Pendant qu'ils parlaient, je les ai détaillés : l'un ressemblait à une grande tige ; quant à l'autre, c'était tout le contraire. Plus grand que Niba, il était monstrueux. Enfin, j'exagère mais il était épais et légèrement bedonnant.
Tandis qu'ils discutaient, tous les 3 faisaient de véritables moulinets avec leurs bras, comme si ils s'engueulaient. En fait, non, ils se marraient comme des baleines et je ne m'en suis aperçue qu'au bout d'une dizaine de minutes quand ils se sont mis à se balancer de grandes baffes dans le dos. Je les regardais bouche bée sans comprendre un fifrelin de ce qu'ils se disaient !
A un moment, la grande tige s'est levée et a dit quelque chose à Niba.
Celui-ci s'est mis à rire et ensuite il s'est adressé à moi : <Sam, vas danser avec lui et soit gentille, c'est un ami<.
J'allais rétorquer que je n'en avais pas envie quand "Jo, la tige" m'a prise par la main et m'a sortie littéralement de ma chaise.
Je me suis retrouvée vite fait, bien fait, au milieu de la piste improvisée.
Dès les premières mesures, il s'est collé contre moi et je me suis très vite aperçue qu'il était comme les autres : il avait peur que mes fesse...s'affaissent. Je sentais ses mains qui me malaxaient effrontément le cul. Je me serais bien reculée mais il me maintenait fermement.
Je vous le jure, pourtant je n'ai rien fait mais au bout d'un moment, j'ai senti un truc tout dur, se mettre à gonfler contre mon ventre ! Le mec s'existait lui-même et il se mit à se frotter contre moi.
Dès que je le pouvais, je jetais un regard désespéré vers Niba. Et bah lui, cette cruche, ça le faisait marrer !
Cela dura un moment avant que je ne profite d'un changement de rythme pour m'évader.
Hélas, à peine ai-je bu un autre verre de Vodka-orange bien frais que "Bob, la montagne" m'enleva prestement de ma chaise sous les hochements approbateurs de mon Niba. Tout cela le faisait se gondoler, le salaud.
J'ai failli étouffer entre les bras du Bob ! Décidément, mes fesses attiraient les mains comme le miel, les abeilles (J'évite la comparaison avec la mouche que je trouve moins flatteuse pour moi…).
Moi, pauvre petite chose, je disparaissais totalement dans les replis de ce type. Je l'entendais respirer fortement. La musique lancinante et sa forte odeur musquée m'étourdissaient. Bientôt, nous fûmes cernés par d'autres couples qui nous bousculaient en dansant.
Merde, qu'est-ce que c'est ?
Brusquement j'ai senti deux paumes chaudes sur mes fesses, à même la chair! "Bob" était parvenu à soulever le derrière de ma robe pour y glisser ses mains. Lui aussi s'excitait (L'effet porte-jarretelles, assurément) et me montrait ''durement" le plaisir qu'il avait à danser avec moi. Quand bien même j'aurais voulu m'extirper de ses bras que j'en aurais été incapable tant il était costaud, le bougre.
Vous auriez vu le bond que j'ai fait quand ce cochon a réussi à glisser un ou plusieurs, je ne m'en souviens plus, dans mon entrejambe. J'ai certes fait un bond mais pas suffisant pour desserrer son étreinte.
A un moment, tout en dansant… bon on faisait plutôt du sur-place… je n'ai pas compris pourquoi il s'abaissait légèrement contre moi. Jusqu'à ce que je sente l'une de ses mains écarter mon string et un de ses doigts farfouiller dans ma chatte. J'ai tenté une ultime manœuvre pour qu'il me lâche, mais que dalle. Son gros doigt s'est mis à remuer en moi et malgré le fait de savoir que j'avais les fesses à l'air, plus il l'activait, plus ça commençait à me faire un certain effet.
A force, je me suis rendue compte que je devenais de plus en plus humide à l'intérieur. J'ai quand même eu un choc quand "Bob" me confia à l'oreille : "Tu mouilles bien, t'es en chaleur. Nib a raison, t'es une sacrée salope".
A peine revenue de ma surprise que Niba vint nous rejoindre sur la piste. Il dit quelques mots à son pote "Bob" et m'avisa que nous allions rentrer.
Enfin ! J'avais hâte d'être à la maison avec lui.
Du moins, c'est ce que j'espérais jusqu'au moment où le gros Bob nous a rejoint à la sortie du bar. On s'est tous les 3 dirigés vers la voiture de Niba. Je me suis assise à l'avant et son copain s'est installé à l'arrière, juste derrière moi.
A moins de me retourner, je ne pouvais pas le voir ; aussi j'ai évité de m'adosser sur le siège.
Oh, allez, il m'a bien laissée tranquille pendant au moins 15 minutes. Puis, j'ai senti sa main droite sur mon épaule et doucement mais fermement, il m'a repoussée contre mon siège. Sans s'occuper de Niba, il a commencé à me tripoter la poitrine par-dessus ma robe. La premier pensée qui m'est venue à l'esprit, fût : <Mais il va m'abîmer ma robe, ce con!<.
Je me suis mise à jeter des regards désespérés vers Niba mais celui-ci se contentait de regarder la route sans rien dire.
Tout à coup, sans que je m'y attende, "Gros Bob" a réussi à glisser sa main dans l'échancrure de ma robe. Le bougre était adroit car il est parvenu sans difficulté à sortir mon sein droit du balconnet de mon soutif.
J'ai distinctement entendu son ''hon'' d'appréciation et reçu sur ma nuque le souffle chaud de sa respiration haletante, tandis qu'il me pétrissait sans douceur. Puis, sans que je m'y attende, il a abandonné le terrain.
Pfutt ! Disparu Bob la Montagne ! Rien jusqu'à la maison.
Une fois arrivés, nous avons pris un verre au salon. Moi je me contentais d'écouter les deux autres discuter avec entrain, moitié français, moitié ???
zaïrois, je présume.
Au bout d'une heure et quelques verres, Niba m'a fait signe de m'approcher de lui. Puis il m'a glissé à l'oreille : <Monte dans ma chambre et enlève ta robe. Mais garde le reste… j'adore!<.
Bon, Ok l'autre allait enfin se tirer !
En bonne petite fille obéissante, je me suis exécutée. Arrivée en haut, j'étais excitée comme une puce. Je suis allée directement dans ma chambre et pour faire bonne mesure, histoire de lui faire monter la température, je me suis aspergée "d'Opium". Je voulais le rendre dingue.
Puis, je me suis rendue dans sa chambre. J'ai allumé une des 2 petites lampes de chevet, me suis allongée sur leur lit en soutif, string et porte-jarretelles ; en prenant la pose comme je l'avais vu faire au cinéma ; du style "Viens mon bébé, je vais te faire ta fête !".
Au bout d'un quart d'heure qui m'a paru une éternité, la porte de la chambre s'est ouverte sur Niba. Je l'ai accueilli avec un large sourire qui s'est éteint en voyant Gros Bob le suivre.
<Alors, elle est pas bandante, la gamine ?< : Dit Niba à son copain. Lui, il avait les yeux qui lui ressortaient de la tête. Bon, il faut dire, sans me vanter, que je l'étais… bandante. Même si je faisais quand même un peu pute de bordel dans mon attirail !
Niba s'est approché de moi et m'a tendu la main pour que je me lève du lit.
Une fois debout, il s'est posté derrière moi ; il a descendu lentement les bretelles de mon soutien-gorge et a dégrafé l'attache dans le dos. "Bob" avait les yeux rivés sur ma poitrine tout en s'avançant vers moi.
<Déshabille-le< : Me souffla Niba à l'oreille. Devant mon hésitation, il a insisté, menaçant : <Tu vas le faire, oui ; ou je dois encore me fâcher ?<. Je connaissais cette intonation, il ne plaisantait pas. Alors, je me suis exécutée.
Tandis que je déboutonnais un à un sa chemise, je recevais sur mon visage, son souffle chaud. Puis, après avoir ouvert sa ceinture, j'ai dégrafé son pantalon tandis qu'il retirait sa chemise. Dès que celui-ci est tombé sur ses chevilles, j'ai aperçu le gros paquet qui déformait son slip. J'ai senti comme une bouffée d'air chaud.
J'ai regardé Gros Bob. Il était certes assez enveloppé mais aussi très musclé. Je l'imaginais beaucoup plus bedonnant.
<Vas-y, sors-la< : Murmura Niba. Le ton de sa voix m'indiquait que lui aussi, était très excité.
J'avançais donc ma menotte et la glissait dans le slip du mec en face de moi. Il émit un petit couinement quand mes doigts ont emprisonné sa queue déjà toute raide. Merde, me suis-je dit : quel paquet!
J'ai abaissé le slip et j'ai regardé l'engin. Bon, pas aussi long que celle de mon Niba, mais la bite du gars était d'une épaisseur très imposante. A tel point qu'elle débordait de ma main. En plus, il avait de très grosses couilles velues.
Histoire de me venger un peu, je me suis mise à les lui presser comme des citrons. Et bien ce con, il adorait ça ! Il me suffisait de l'entendre grogner de plaisir pour m'en rendre compte. Sa hampe palpitait sous mes doigts.
Je commençais à me prendre au jeu. Sans que Niba m'oblige à le faire, je me suis mise à genoux devant son copain et j'ai approché sa queue de mes lèvres.
Et bien je peux vous dire qu'elle était épaisse car ma bouche a eu du mal à l'engloutir. J'ai même failli vomir car le mec m'avait agrippée par les cheveux pour imprimer à ma tête, un mouvement de va-et-vient. L'élasticité de mes lèvres ayant fini par s'habituer à l'épaisseur de sa queue, je me suis appliquée à le sucer comme Niba m'avait appris.
Well, well ! Monsieur appréciait, semble-t-il… Je lui ai tout léché, du haut jusqu'en bas bien lentement tout en le branlant.
Au bout d'un moment, le mec m'a repoussé. Alors, Niba m'a relevée et a fait glisser mon string à mes pieds.
J'ai bien cru que les yeux du Gros Bob allaient ressortir de ses orbites quand il a remarqué mon abricot tout lisse. Sans plus attendre, Il s'est dessapé complètement devant moi, la queue fièrement dressée.
Tandis que Bob m'entourait de ses bras pour m'embrasser dans le cou, j'aperçus Niba qui se dirigeait vers une petite commode située près du lit et que je savais appartenir à sa femme, Safi.
Là, je dois vous avouer un truc peu reluisant. Je suis assez fouineuse mais je n'ai jamais pu ouvrir cette bon dieu de commode. Et pourtant, j'ai essayé ; fouillant partout dans leur chambre pour trouver la clé.
Hélas, le mystère resta entier car, alors que Niba se penchait dessus, l'autre idiot de Gros Bob me boucha la vue. J'étais vénère !!
J'entendis le tiroir se refermer et aperçu Niba qui s'approchait de nous.
Il se pencha à l'oreille de Bob et lui murmura un truc dans leur langue.
Aussitôt, celui-ci se tourna vers mon Homme et lui prit quelque chose dans la main. Puis, se retournant vers moi, il me montra un truc bizarre qu'il avait enfilé sur son index.
Gros Bob s'approcha de moi et me montra son doigt. Il y avait glissé dessus, une espèce de machin en caoutchouc vert foncé ; comme une sorte de long dès à coudre. Il me l'a présenté devant les yeux en souriant et j'ai remarqué que ce truc avait plein de petites aspérités arrondies, comme des picots. Cela me faisait penser au truc que le type de la Poste du village utilise pour compter les billets.
Je ne comprenais pas à quoi cela rimait. Mais quand Bob a dirigé son doigt en caoutchouc vers mon ventre, j'ai eu un mouvement de recul. Sauf que Niba me tenait fermement.
<Ecarte tes cuisses! Tu vas voir, c'est une spécialité de la maison mais il va, lui aussi, savoir s'en servir. Allez, écarte donc< : m'ordonna Niba.
J'ai résisté un peu mais Niba s'est arrangé pour que j'obéisse.
Dès que l'index caoutchouté a touché mon sexe, j'ai sursauté. Je n'avais pas l'habitude de sentir du caoutchouc à cet endroit…
Il a fait tourner son doigt contre mon sexe, comme s'il voulait l'enfouir entre mes lèvres. Puis, il l'a fait bouger plusieurs fois, partant de mon clitoris jusqu'à ma raie culière. Au début, le froid du caoutchouc n'avait rien de bien excitant, mais à la longue, le truc s'est réchauffé et, pour ne rien vous cacher, je me suis mise à y prendre goût. Ce que je ressentais, était étrange, les picots pointus agissaient comme une râpe sur ma chair.
Puis, du bout du doigt, Bob s'est mis à gratter doucement mon clitoris. Les petites aspérités m'ont tout de suite procuré de nouvelles sensations ; disons-le, délicieuses. Il s'est amusé quelques minutes avec mon petit bouton ; tirant sur le capuchon pour mieux qu'il ressorte. Ensuite, il est descendu entre mes petites lèvres et l'instant d'après, le capuchon en caoutchouc est entré dans mon vagin.
Dès ce moment là, j'ai eu l'impression de sentir chacune des petites pointes s'enfoncer dans ma chair ; je sentais son doigt tourner lentement en moi.
Je crois bien que pendant une demi-heure, il a "joué" ainsi avec mon sexe. Son doigt ressortait de mon vagin, assez doucement pour que je sente bien le caoutchouc et ses pointes, venait rouler sur mon clitoris en appuyant de plus en plus fort et allait de temps en temps entre mes fesses pour titiller mon anus.
Je dois avouer que ce simple petit morceau de caoutchouc m'a donné un plaisir incroyable. Bien que fermement maintenu par Niba, je me tortillais dans tous les sens en poussant de profonds gémissements. A force, je ne me lassai pas de ce contact étrange. Dès que les picots proéminents effleuraient en de lents va-et-vient, l'intérieur de mes petites lèvres, je tremblais comme une feuille. C'était une véritable torture, à la fois douloureuse et jouissive. Cela me mettait les nerfs à vif.
Quand il introduisait son doigt dans mon vagin et frottait rapidement la parois interne de mon sexe avec le caoutchouc, je me mettais à brailler comme une folle en gesticulant de tous les côtés. Heureusement que Niba me maintenait fermement sinon, je me serais écroulée au sol.
En une demi-heure, j'ai bien joui au moins 2 fois, sans qu'il fasse autre chose que de me toucher de son doigt de latex ; avec des moments intenses quand il le courbait vers le haut, à peine entré. C'était un truc du Diable, ce dé en caoutchouc !
Ma chatte ruisselait littéralement de mouille. J'en avais plein les cuisses.
Rien à redire : Niba avait raison, ce petit ustensile bien utilisé était redoutable !!
Après le traitement que Bob venait de me faire subir, j'étais devenue une toute petite chose tremblante entre les bras de Niba qui me soutenait.
C'est alors que Niba fit l'article à son pote. Ce n'est pas du mot à mot mais en tous cas, c'était bien dans l'esprit : <Alors ? Elle paraît timide et réservée, hein ? Pourtant, je te l'avais bien dit ; elle aime ça ! Lorsqu'elle est en train, elle perd toute retenue. Je l'ai dressée pour ça. Quand elle se fait baiser, c'est une vraie salope qui veut se faire mettre et, plus c'est gros, plus elle aime<.
Son copain prenait l'air intéressé tandis que je me sentais rougir jusqu'aux oreilles. Sans s'occuper de moi, Niba ajouta que j'étais certainement en train de penser à sa bite ; enfin je veux dire celle de son copain. Il n'avait pas tout à fait tort, d'ailleurs… mais je me suis empressée de protester du contraire (Pourtant, j'étais dans tous mes états…).
<Ah, tu joues les prudes maintenant ? Les vierges effarouchées ! Ne la crois pas, c'est une vraie salope qui aime les gros mandrins. Tiens, je viens d'avoir une idée et je vais te prouver ce que je te dis< : Lança-t-il à son pote.
Niba me balança sans ménagement sur le lit et se dirigea vers la petite commode de sa femme. Il ouvrit un tiroir et farfouilla dedans. Soudain, je le vis brandir triomphalement un machin qu'il me colla sur le nez : c'était un godemiché noir assez impressionnant.
<Alors, tu n'aimes pas ça, te faire remplir d'une bonne grosse bite bien chaude ?< Me dit Niba, hors de lui, tout à coup terriblement excité par la situation.
Je me suis sentie tout à coup extrêmement gênée, je ne pouvais plus parler mais j'étais bizarrement toute chaude en moi sous le regard de ces 2 hommes.
Niba s'est approché du lit où j'étais allongée sur le dos. Sans un mot, il m'a forcée à écarter les cuisses et a introduit l'engin sans douceur. Il était pourtant gros mais il s'est enfoncé tout seul jusqu'au fond, tellement j'étais déjà mouillée.
J'ai poussé un cri de stupeur. Mais il ne m'a pas laissé le temps de réagir. Il a commencé à remuer le gode dans mon vagin lentement, juste de quelques centimètres. Au début, je n'ai eu aucun plaisir, je pensais trop à ce truc qui n'était pas naturel. Puis, peu à peu, au fur et à mesure qu'il faisait bouger la fausse bite en moi, cela a commencé à me faire de l'effet. je ne voulais pas le montrer à son copain qui me fixait à quelques pas de moi, tout en se caressant la queue. Il avait les yeux exorbités. C'est tout juste s'il ne bavait pas, ce malade !
Mais quand Niba a ressorti complètement le gode de mon sexe et qu'il l'a replacé doucement en moi, j'ai émis un couinement de souris.
C'est à cet instant que j'ai remarqué le sourire étrange de Niba. Il a posé sa main libre sur mon cou et j'ai senti ses doigts se refermer dessus.
Au début, je n'ai pas compris mais bizarrement, j'étais persuadée qu'il ne cherchait pas à m'étrangler. La pression de ses doigts sur mon cou était juste assez ferme pour que je sois légèrement asphyxiée.
Je sais, cela va vous paraître dingue mais au bout d'un moment, ma jouissance s'est mise à décupler. Vicieusement, il alternait les périodes entre relâchement et pression de ses doigts sur mon cou. C'était la première fois qu'il me faisait subir cela et passée la stupeur, j'ai commencé à aimer cet état de soumission totale. A cet instant, j'étais profondément dépendante de son bon vouloir.
Aussi, quand il s'est mis à activer le godemiché dans ma chatte et le faire aller et venir rapidement en moi, de toute sa longueur ; je n'ai pas pu me contenir ; j'ai commencé à hurler avec le peu d'air que j'avais, tout en gesticulant comme une dingue sur le lit. Incroyable, ce truc là avait beau n'être pas naturel, il me procurait un énorme plaisir.
Alors, que son copain me mate en train de me faire baiser par ce gode, hé bien, je m'en foutais royalement. D'ailleurs, j'ai fini par l'oublier complètement car j'étais toute à mon plaisir...
Jusqu'à ce que je le surprenne en train de dire à son pote "Gros Bob" :
<Tiens, tu sais ce qu'on va faire ? Vas-y, finis-la !<. Abasourdie, je le vis tendre le sexe de plastique à son copain.
<Tu vas le lui mettre dans la chatte, et tu vas voir si elle n'aime pas ça. Après, elle va bien se branler devant nous. Je suis sûr que ça va l'exciter<.
Certes, j'étais excitée mais pas au point de le faire devant son copain. Mais mon Niba, c'est une fine mouche ; il a bien vu ma réticence et, comme d'habitude, il a trouvé la solution.
Du coin de l'œil, je l'ai vu se diriger une nouvelle fois vers la commode de sa femme et en revenir avec une sorte de boîtier et un machin noir dans la main (Décidément, me suis-je dit sur le coup :"C'est une vraie caverne d'Ali Baba, ce meuble !". <Tiens, puisque t'es trop timide, je vais te mettre ça< : Me dit-il, tout en me montrant un walkman et un bandeau qui sert à mieux dormir la nuit.
Je me suis laissée faire. Il a posé sur mes yeux le bandeau et placé l'élastique derrière ma tête. Je ne voyais rien ; le noir absolu. Puis, j'ai senti qu'il me mettait les écouteurs sur les oreilles. Une fraction de secondes et des gémissements de femmes ont résonnés dans ma tête.
Ensuite, sans un mot, on a écarté mes cuisses et j'ai senti qu'on me mettait le gode dans la main. Puis, on l'a dirigé jusqu'à ce que je sente le bout sur mes petites lèvres. Une poussée ferme sur mon poignet et le gode s'est enfoncé tout seul, sans problème, jusqu'au fond de mon vagin.
Il faut dire que j'étais à la limite du ruissellement (Bon, ok j'exagère un peu mais pas loin).
L'un des deux gars (j'ignore lequel) m'a aidé à agiter rapidement le gode en moi. Plusieurs fois, jusqu'à ce que le plaisir m'ôte toute raison.
Au début, j'ai laissé cette main diriger la mienne et orienter le gode dans ma chatte. Puis quand ''on'' a compris que je n'avais plus besoin d'encouragements, on a abandonné ma main et sans aucune pudeur, je me suis mise à me goder toute seule. Je n'avais plus besoin de personne pour me donner du plaisir.
J'ai attrapé plus fermement la bite en plastique et je l'ai poussée bien au fond de moi.
Tandis que je me donnais du plaisir, le lit a bougé et je les ai sentis s'installer près de moi. Ils devaient être agenouillés et ils se masturbaient certainement en me regardant me baiser. Je percevais leur souffle court.
Je les imaginais, les yeux rivés sur le gode que je faisais aller et venir dans mon sexe trempé. Le fait de les deviner en train de se branler à quelque centimètres de ma tête, me mettait dans tous mes états.
Puis, nouveau mouvement sur le lit. Je compris qu'ils venaient de m'abandonner. Bizarrement, je ne voulais pas qu'ils s'en aillent ; je désirais qu'ils restent à mes côtés ; je voulais les ''deviner'' en train de se branler pour moi.
Alors, j'ai perdu le peu de dignité qu'il me restait et pour les exciter encore plus, j'ai joué avec le gode, allant jusqu'à le sucer comme si c'était une vraie bite. Je me suis branler avec ; le laissant parfois au bord puis l'enfonçant tout à coup en poussant un cri de joie. Je suis même allée jusqu'à le laisser de côté pour me caresser avec mes doigts, les enfonçant dans ma chatte.
N'étant pourtant pas une experte en la matière, j'ai réussi à mettre en marche la vibration en tournant la molette placée au bout du gode.
Immédiatement, j'ai rugi de plaisir en sentant les trépidations dans mon vagin. J'ai été secouée par un profond spasme et j'ai eu l'impression que mon ventre était en fusion. Très vite le plaisir est monté en moi, je sentais des picotements de partout. J'avais tellement de plaisir que j'ai continué à me branler de plus en plus vite en gémissant. Le gode et moi, on ne faisait plus qu'un et je le faisais entrer et sortir de ma chatte en variant la vitesse de pénétration. C'était divin !
Mais le pied, c'est que, à un moment, la fausse bite a ripé et a frôlé mon clitoris. Je n'ai pu maitriser un hurlement. C'était trop fort, c'était trop bon ! A la fin, je faisais vibrer le gode sur mon clito, juste quelques secondes, pour mieux me l'enfoncer profond juste après.
J'aurais voulu que cela ne s'arrête jamais !
Mais j'ai préféré m'en séparer et obtenir ce dont j'avais besoin en utilisant mes doigts au lieu du gode.
Accompagnée par les gémissements de mes deux voisins qui étaient revenus s'installer près de mi sur le lit, je me suis masturbée comme une folle en faisant parfois glisser mes doigts dans ma chatte jusqu'à ce que je pousse un hurlement et m'écroule sans force sur le lit.
Je suis restée ainsi, aveugle et haletante, quelques minutes quand, tout à coup, j'ai senti un liquide chaude se répandre sur mes seins, mon ventre. Surprise, j'ai retiré vivement mon bandeau et découvert mes 2 cochons de voisins en train de me gicler dessus. Quand ils eurent bien secoué les dernières gouttes sur moi, ils m'ont regardée avec un sourire vicelard et sont sortis de ma chambre.
De toutes façons, je n'avais plus rien à leur offrir…
En aparté, je vais vous avouer un petit secret : en cours d'année dernière, j'ai enfin réussi à dénicher l'endroit où mes patrons cachaient la clé de la commode. En ouvrant les tiroirs, j'ai découvert, effarée, outre une collection impressionnante d'objets sexuels, dont certains plus que bizarres ; mais surtout, des photos qui avaient été prises par ces 2 salauds sans doute au cours de cette soirée. On me voyait en train de me goder, de me caresser ; mes doigts enfoncés dans ma chatte. Mais, je n'ai rien dit : je ne pouvais pas avouer à Safi que j'avais fouillé sa commode comme une voleuse.
Bien plus tard, je n'eus plus à jouer les cambrioleuses car Safi me montra où elle planquait sa clé, par contre, les photos originales de moi, avaient disparu.
… Autant vous dire que je n'ai plus revu mes 2 coquins cette nuit là. Je me suis endormie comme une masse ; Niba ayant eu la bonne idée de me laisser tranquille.
Le lendemain, il m'exprima sa satisfaction en me disant que l'on recommencerait.
De fait, avant que Safi ne revienne du Maroc, j'eus le droit à une nouvelle visite de l'ami ''Gros Bob".
Ce fût une première pour moi.
Quand, ce jour-là, je vis le petit mot posé sur mon lit après le départ de Niba, je me rendis compte qu'il voulait me tester. Ou plutôt, s'assurer de ma totale obéissance.
Il avait inscrit : "Gros Bob (je ne me souviens plus de son prénom exact… trop compliqué) viendra ce soir à la maison mais je serai absent. Je veux que tu sois sexy et que tu le serves comme si c'était moi. Je veux que tu l'excites jusqu'à ce qu'il n'ait d'autre choix que de te baiser. Il pense que je serai présent mais tu lui diras que je viens de te prévenir que je ne rentrerais pas de la nuit. Tu me raconteras tout quand je reviendrai. Ne me déçois pas. Niba".
Bonjour le choc, sur le coup. Je n'étais pas vraiment prête pour ce genre d'expérience ; mais je me doutais que si je refusais de lui obéir, il y aurait des conséquences pour moi.
J'ai pensé à cela toute la journée. J'en ai fait des essayages !!
Quand arrivé le soir, la sonnerie de l'entrée a retenti et que j'ai ouvert la porte sur Gros Bob, mon esprit s'est vidé d'un coup et c'est comme une automate que j'ai réagi. Malgré une trouille bleue, j'avais en tête une idée fixe, envahissante : ne pas décevoir Niba.
Aussi, j'avais donc suivi les instructions de mon Homme, question vestimentaire ; sans pour autant faire dans le luxe. Après tout, ce n'était qu'un rustre ; donc pas la peine de faire des frais… Juste un léger chemisier blanc en tulle et satin, suffisamment transparent pour qu'il puisse bien voir que je ne portais aucun soutif. En plus, ce gros nigaud avait de la chance car le tissu avait tendance à frotter sur mes tétons ; ce qui les mettaient en érection.
Pareil pour le bas : une jupe courte portefeuille blanche, en lin, attachée à la ceinture. Pour en accentuer la transparence, j'avais poussé le vice jusqu'à mettre un petit, mais alors tout rikiki, string ficelle noir. (Je sais, je suis salope ! Lol).
Malgré mon anxiété, j'avais bien l'intention de ''l'énerver'', le gros Bob !
C'est sans doute pour cette raison que je n'avais pas oublier de mettre ma chainette en or autour de la taille…
Une fois entré, sans qu'il me le demande, je lui ai offert un apéritif et l'accompagnai, bien que je n'apprécie pas le Whisky. Mais c'était pour me donner du courage.
Au bout d'une demi-heure ; alors que je nous resservais un verre, il me demanda, enfin, à quelle heure arrivait Niba. J'ai dû lui apprendre que celui-ci avait eu un empêchement de dernière minute et que je me retrouvais avec un dîner sur les bras.
Ok, ce n'était pas une invite directe mais le gros balourd a sauté sur l'occasion (entre autre…) pour s'inviter. Bah oui, on allait quand même pas gâcher toutes ces bonnes choses, nan ?...
Au début, il n'était pas bien bavard et pendant le dîner, il s'est contenté de me poser des questions sur mes origines, la raison de ma présence ici. Bref, une conversation, juste ce qu'il faut, pour que ce ne soit pas pesant.
Après, le repas, il m'a réclamé un café et un verre de Cognac et a insisté pour que j'en prenne un aussi. En fait, c'est grâce à ce Cognac (bien tassé…) que j'ai enfin pu me détendre tout à fait. J'ai même réussi à me montrer une hôtesse très acceptable, allant jusqu'à lui poser des questions. Confortablement assis sur le canapé à 2 places, gros Bob faisait comme s'il se trouvait chez lui (Safi aurait été ravie…) et me répondait sans détour. Je devrais préciser, sans détourner son regard de mes jambes. Car, c'est sans arrière-pensée, que je m'étais installée dans un fauteuil, en face de lui. Mais, sur le moment, je n'y faisais pas attention.
Dans la conversation, il m'apprit, qu'apparemment, j'avais fait une forte impression sur le patron du bar (son cousin, mais ils sont tous cousins, semble-t-il…) et sur quelques clients. "Et, encore, crût-il bon de préciser, il ne te connaisse pas comme moi…". Ceci énoncé avec une œil égrillard. Je laissais passer l'allusion graveleuse. Sur ce, il m'encouragea à revenir trinquer dans le bar de son cousin, j'allais, paraît-il être très chaleureusement accueillie (Tu m'étonnes…). Je lui rétorquai qu'il me faudrait, pour ce faire, l'autorisation de Niba. Cela n'a pas eu l'air de le décourager outre mesure. Pour me convaincre, il me précisa qu'il travaillait là-bas et qu'ainsi, je n'aurai aucune consommation à payer (Bah voyons…).
Je m'arrangeai pour détourner la conversation en lui proposant un autre Cognac. Il accepta en insistant pour que je l'accompagne.
A force, j'allais devenir alcolo ! Néanmoins, pour avoir la paix, je me versai aussi un verre.
Alors que je revenais de la table roulante, chargée des alcools, et que je m'apprêtais à regagner mon fauteuil, Bob me saisit par la taille au passage et me fit installer à côté de lui. Les mains prises par les verres, je dus m'exécuter de peur de les renverser.
Bon, après tout, s'il ne voulait plus mater mes jambes, pourquoi pas…
Pour calmer ma nervosité, je lampai presque entièrement mon verre.
Après une ou deux minutes de silence, Bob commença à me parler de ''notre'' soirée et du plaisir qu'il avait eu à expérimenter le doigt magique en caoutchouc. Avais-je renouvelé l'expérience ? Non ?! Mais, il était disponible pour m'assister. Je lui dis que je ne possédais pas ce matériel, de toutes façons. S'ensuivit une conversation, plutôt un monologue, sur le déroulement de cette soirée. Il m'expliqua, par le détail, le plaisir qu'il avait ressenti à me voir me goder, à se branler à coté de moi et à me gicler dessus. C'était si précis, si vivant, que ; je l'avoue, ça m'émoustillait.
C'est qu'il racontait bien, le bougre ! Nerveuse, je croisais et décroisais mes jambes dont l'une touchait son blue-jean. Sa cuisse était chaude contre la mienne.
Il attendit que mon verre soit vide pour le poser sur la table basse et, lentement, me fixant dans les yeux, son visage s'est rapproché du mien.
Il se mit à me parler de ma bouche pulpeuse, de mes yeux rieurs, du plaisir qu'il avait eu en me voyant nue devant lui, avec ma chatte rasée et mes tétons dressés.
J'ai comme hypnotisée par la description qu'il faisait de mon corps. Si bien que je ne me suis pas immédiatement rendue compte que ses doigts caressaient mon cou. Ce n'est que lorsque je les ai senti descendre le long de mon dos, que j'ai frissonné.
Alors, sans un mot, tout en me fixant du regard, il a ôté un à un les boutons de mon chemisier. Je l'ai laissé faire. Il a fait jaillir mes seins qui se mirent à durcir sous ses caresses et les petites touches de ses lèvres et de sa langue. Il m'a retiré mon chemisier et prise par la taille pour que je me lève.
Docile, face à lui, il a fait choir ma jupe à mes pieds et, je me suis retrouvée seulement vêtue de mon minuscule string ficelle et de ma chainette en or.
Il me dévorait littéralement des yeux. C'était hyper troublant !
Il me prit une nouvelle fois par la taille et m'amena à m'asseoir sur ses cuisses. J'avais les yeux fixés sur le fauteuil en face de moi et je pouvais sentir son souffle chaude contre mon cou. Mes fesses nues comprimaient son sexe gonflé, emprisonné dans son Jean. Dieu comme il bandait !
Il me serra brusquement contre lui et glissant ses mains sous mes aisselles, il les plaqua contre ma poitrine. Dès que ses doigts pétrirent mes seins et pincèrent mes tétons saillants, je ne pus étouffer les gémissements qui sortirent de ma bouche. Tournant la tête vers lui, ses lèvres se posèrent sur les miennes et nous échangeâmes un baiser haletant.
Tout en l'embrassant, j'imaginais Niba. C'était Niba et personne d'autre !
Après ce baiser fougueux, il me fit lever et quitta le canapé. Face à face, sa bouche soudée à la mienne, mes seins serrés contre son torse, sa main parcourait ma taille. Je sentais sa queue dure comme du bois contre mon ventre.
Une de ses mains s'insinua entre nos deux corps et rapidement, ses doigts se glissèrent sous mon string. Ma chatte devint de plus en plus humide et j'entendis un petit bruit de succion quand il parvint à introduire un doigt dans ma chatte. Sans qu'il me le demande, j'ai déboutonné sa chemise. Bientôt il plaqua sa peau nu contre mes seins. Une forte odeur musquée se dégageait de son corps et, inexplicablement, cela me fit frémir.
Me sentant à sa merci, il fit descendre mon string sur mes cuisses et se reculant, me dit :"T'es vraiment bandante !".
J'acceptai cet étrange compliment, tout en le regardant retirer son Jean et son slip. Je vis sa queue dressée à la verticale et je fus troublée.
M'attirant contre lui, il me serra dans ses bras et je sentis son sexe dur contre mon ventre. Il me prit la main et la posa sur sa queue. Elle était chaude et palpitait.
Je ne me suis même pas posée de questions. Je l'ai masturbée un peu puis, je me suis mise à genoux. Il a posé ses mains sur ma tête tandis que ma langue goûtait son gland rosé en l'aspirant.
Bob caressa mes cheveux, massa ma nuque en me confiant ''tu sais y faire, toi !". Je n'avais pas besoin d'être flattée, Niba m'avait tout appris. J'ai ouvert la bouche si fort que mes mâchoires me firent mal. Sa bite n'était pas longue mais très épaisse. Je le suçai encore et le léchai de longues minutes jusqu'à ce qu'il me dise d'arrêter. Je fus à la fois surprise et déçue. Je dois reconnaître que la fellation, c'est un peu mon péché mignon. J'adore sentir les mecs vibrer dans ma bouche…
Il me demanda où se trouvait ma chambre et il m'y emmena.
Arrivé dans ma chambre, Gros Bob me prit dans ses bras et, se dirigeant vers le lit, m'y déposa… presque délicatement.
Allongée sur le dos, genoux pliés, cuisses ouvertes, j'offris ma chatte à la bouche gourmande de mon amant noir. Sa langue était si agile et nerveuse que bientôt, des petits jets de cyprine coulèrent dans sa bouche. Ne pouvant pas me contenir, je lui échappai et vins ramper entre ses cuisses. Saisissant sa bite, je la lui lécha sur toute la longueur ; surprise d'apprécier sa peau odorante au goût de musc. Mes mains se mirent à jouer avec ses testicules lourds et sa toison frisée.
Apparemment, il était au bord de l'apoplexie car, il me bascula sur le dos et écarta rudement mes cuisses. Se saisissant de sa queue, il entreprit de masser un instant, mon clitoris avec son gland circoncis ; puis, tout à coup, il le glissa entre mes petites lèvres. Par petits coups de reins, il fit se distendre ma vulve quasiment ruisselante. Ma gorge ne put retenir de petits cris de plaisir, mais aussi de douleur qui devinrent de plus en plus aigus au fur et à mesure que sa hampe s'enfonçait dans mon ventre. Planté en moi jusqu'à la racine, nous étions soudés l'un à l'autre ; mes pieds se croisaient sur ses reins, ses bourses battaient sur mes fesses, son torse poilu massait mes seins. Je n'aurais jamais cru que ce balourd me mettrait en transe !
Et puis, lentement, Bon commença à bouger son bassin d'avant en arrière ; puis de plus en plus vite. Ma chatte était en fusion et, peu à peu des vagues de plaisir se succédèrent. La bouche ouverte, manquant d'air, je ne pouvais émettre aucun cri.
Je sentais que cela montait, montait, montait. J'allais jouir…
et, c'est au moment précis où j'allais m'offrir un très bel orgasme, que ce con me balança : "Quand j'aurai fini avec toi, j'appellerai mes potes et on te baisera par tous les trous !".
Ma jouissance dégringola aussi vite que le baromètre en Sibérie !
Le commentaire de cet idiot me glaça immédiatement. Dans ma tête, je voyais débouler ses copains et passer de mains en mains comme une loque dans une baraque de chantier.
Fini le pied, adieu mon bel orgasme. Gros Bob m'aurait piqué le cul avec un clou que cela aurait eu le même effet. Le repoussant brutalement, je me suis levée d'un coup du lit. J'étais furax pour un tas de raisons.
Je lui ai dit qu'i pouvait aller se faire enc… lui et ses potes ; que je n'étais pas sa salope de service et qu'il pouvait dégager illico presto !
Mais ce con insista ; alors hors de moi, j'ai pris ce qui se trouvait le plus proche de ma main ; à savoir, la lame de chevet… et je la lui ai envoyé dans la tronche.
Bon, j'avoue qu'il n'a pas eu de bol, au lieu de le frôler, la lampe lui est arrivé directement sur le pif qui s'est mis à saigner.
Pendant un instant, j'ai bien cru qu'il allait me foutre une raclée.
Mais il a dû se raviser, préférant me traiter de tous les noms.
Je ne vous détaillerai pas les noms d'oiseaux dont il m'a affublée avant de redescendre dans le salon.
Ouais, bah je n'ai pas été vraiment sympa car, quand j'ai aperçu ses grosses fesses sortirent de ma chambre, je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rires… Bon, Ok je n'aurais pas dû mais c'est à cause de la pression qui tombait.
Je l'ai quand même suivi et me suis assurée qu'il ne piquait rien dans la maison.
Avant de partir, cet idiot m'a menacée de représailles. Bof…
Dès que j'ai entendu sa bagnole sortir de la cour, je ne sais pas pourquoi mais j'ai brusquement éclaté en sanglots. Ensuite, j'ai dû emprunter les somnifères de Safi, pour m'endormir.
Je croyais cette affaire terminée, mais les menaces du Bob,
c'était pas du pipeau !
M'enfin, ça, ce sera pour une autre fois, sans doute
Bibi
Sam
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Salut Sam !!! T texte sont vraiment super bien écrit ! Je me suis plongé dans tes histoires ! Mais je tavou que la suite commence a ce faire attendre donc j'espère vraiment te lire très bientôt !!!