Gros gicleur
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Gros gicleur
Bonjour,
À la suite du récit des filles, je suis allé voir la porte passager de la voiture pour constater qu’il y avait bien du sperme.
Lorsque je suis arrivé devant, j’ai été surpris par la trace sur la vitre mais que le sperme était en grande quantité et la goulotte du joint de la vitre était encore pleine et il avait coulé jusqu’au bas de caisse.
J’ai sorti le tuyau d’arrosage pour laver la portière afin qu’il n’y ait plus de traces.
Je rentre à la maison et je reprends la préparation du repas.
Les filles sont parties sans doute se mettre à l’aise.
Je les appelle lorsque c’est prêt et je vois Éva qui apparait habillé d’une nuisette et d’un short couleur crème en soie. Je reconnais tout de suite cet ensemble de Valérie. Il est un peu grand pour elle et il laisse apparaitre presque ses petits seins.
Je propose à Éva d’aller mettre un peignoir pour passer à table car rien qu’à la vue, je ne garantis pas que je ne rentre pas en érection pendant le repas.
Valérie arrive entre temps et se positionne derrière elle, l’attrape par les anches et l’embrasse dans le cou.
Je ne peux pas me retenir de dire à Valérie de se retenir un peu surtout ses envies mais elle me rétorque, qu’elle ne fait pas de mal et demande à Éva de me confirmer.
Éva avoue que depuis 3 jours, elle est très agréablement surprise de la chaleur et les attentions que Valérie lui procure.
Nous passons à table, malgré la tenue d’Éva.
Après le repas, Valérie et Éva vont d’installer dans le canapé et discutent.
Je fini de ranger la vaisselle et je les rejoins.
Valérie me demande si j’accepterai de faire une partie à trois le week-end prochain mais je devrai être attaché et les yeux bandés. C’est une demande d’Éva pour pouvoir se libérer d’une appréhension.
Comme d’habitude, j’accepte pour faire plaisir à ma petite femme et je rajoute, que je consentirai à toutes les envies et surprises qu’elles ont envie.
Nous sommes allés nous coucher et Valérie m’a demandé de lui faire l’amour.
Je me suis exécuté et ont été plus que chaud. Valérie s’est lâchée et elle a exprimé par beaucoup de gémissements le bien que je lui donnais. C’est à la fin qu’elle est montée sur moi pour gérer mon éjaculation dans son vagin.
Dès que j’ai eu fini la dernière giclée, Valérie s’est levée pour aller dans la salle de bains. Enfin, c’est se que je pensais mais comme j’étais positionné à l’opposé de la porte de la chambre, je n’avais pas vu qu’Éva nous avait maté pendant tout notre rapport.
C’est quand je me suis repositionné sur le lit, que j’ai vu Valérie qui était à la porte d’entrée de la chambre avec une jambe relevée et Éva qui lui léchait le minou.
Incroyable, ma petite femme qui offre mon sperme à Éva.
Valérie lui dit : « Vas-y, lèche bien le foutre de mon homme, comme tu l’aime, on pourra le faire, à chaque fois que tu le souhaiteras. ».
Valérie faisait des coups de reins pour qu’Éva lèche bien sa chatte sur toute la longueur et qu’elle n’en perde pas une goutte.
Je suis médusé de les voir toutes les deux et ma femme qui souhaite venger l’incompétence de l’ex-copain d’Éva. Elle me regarde entre deux, pour me faire savoir qu’elle est heureuse d’être la maitresse d’une apprentie de l’amour.
Rien que de la voir fermer les yeux à chaque coup de langue d’Éva, cela me démontre qu’elle fait ça pour son plaisir et celui de sa partenaire.
Lorsqu’ Éva a eu fini, elles sont partie toutes les deux vers la salle de bain.
J’ai entendu que Valérie avait été accompagner Éva dans sa chambre et lui faire quelques bisous pour qu’elle s’endorme.
Lorsque Valérie est revenue se coucher, elle m’a aussitôt dit qu’elle m’aimait encore plus fort que toutes ces années que nous avons passé ensemble et qu’aujourd’hui, elle aimait d’une façon différente les femmes. Elle m’avoue que notre nouvelle vie sexuelle depuis la première rencontre avec sa patronne, lui a fait sauter les barrages des tabous du sexe.
Jusqu’à la fin de semaine, nous avons été sérieux, enfin moi, car les filles étaient de plus en plus joyeuses.
Le samedi soir arriva, et les filles avaient décidé d’aller au resto qui n’est pas très loin de la maison.
Pendant le repas nous avons discuté de plein de trucs et surtout de leur ébats dans le fond du parking. Elles rigolaient en me regardant et elles n’arrêtaient pas de regarder les autres clients des tables voisines.
Je ne comprenais pas où elles voulaient en venir.
Nous sommes rentrés à la maison, nous avons pris un petit café et Valérie a entamé le détail de la demande d’Éva, pour ce soir.
Je dois aller me changer et mettre les vêtements qu’elles ont préparé sur le lit et après je dois attendre qu’elles viennent m’attacher sur le lit et qu’elle me mette un masque pour ne rien voir.
Je vais dans la chambre et je vois sur le lit un ensemble, corsé, porte-jarretelles, bas et un masque, le tout en vinyle noir brillant. Il y avait aussi des cordes en nylon blanc et je me doutais que c’était pour m’attacher.
Je me déshabille et je passe l’ensemble. Il m’aura fallu un bon moment tout seul pour enfiler le tout.
J’enfile au dernier moment le masque et je m’allonge en croix sur le lit. Je dis que je suis prêt. J’entends Valérie qui arrive et elle me dit que je me suis bien débrouillé. Elle m’attache alors chaque main et chaque pied aux angle du lit.
Je ne suis pas bridé mais avec un peu de longueur pour pouvoir bouger.
Valérie me dit doucement : « maintenant, tu vas être notre soumis et faire voir à Éva que tu sais être le meilleur des hommes… ».
A voie haute elle dit à Éva : « Vas-y il est prêt à tout ».
Je n’ai que l’ouïs pour discerner ce qu’il se passe et j’entends la porte d’entrée claquer et un homme dire, « vous êtes sûr ? ».
Instinctivement, je demande se qu’elles manigancent.
Valérie dit à Éva « j’ai oublié de lui mettre un bâillon mais t’inquiète j’ai une idée. ».
Elle revient vers la chambre à grands pas et lorsqu’elle est près de moi elle me dit « Ouvre la bouche ! », mais je garde les dents serrées.
« Allé ! ouvre la bouche mon chéri ! »
Alors que je voulais demander qui était rentré dans la maison, Valérie m’a introduit entre les dents une pomme et elle a forcé pour que le fruit m’écarte bien la mâchoire.
Après ça plus un bruit pendant quelques minutes.
J’entends que les filles rentrent dans la chambre mais je sens aussi la présence de quelqu’un d’autre, rien que par le parfum et les bruits de déplacements.
Elles ne font pas de bruits mais murmure seulement.
Je sens qu’une main glacée se pose sur mon ventre et caresse les sous-vêtements que je porte.
Je ne devine pas qui a commencé à vouloir m’exciter.
Impossible de parler et je ne peux que grogner.
Je sens un claquement sur mes cuisses, il s’agit d’un fouet et les coups se répètent mais toujours doucement. Je saisis instinctivement que les deux femmes viennent de se transformer en dominatrice.
Valérie dit à Éva, qu’elle peut faire de moi ce qu’elle veut et que j’accepterai de lui faire tous ses désirs.
Je comprends qu’elle monte sur moi et elle vient s’assoir les jambes écartées sur mon ventre. Les lèvres de son vagin, son sur ma peau et je ressens les bouts de chaire s’écarter à chaque mouvement qu’elle fait pour que ses lèvres s’écartent bien. A un moment je sens la chaleur de l’entrebâillement du vagin sur mon ventre. La sensation est agréable.
Quelqu’un me saisi les couilles pour tirer dessus et me faire sortir une excitation et une monter du pic. Cela ne peut être que ma petite femme car elle sait comment faire pour me tirer rapidement une érection.
Elle me saisie le membre et me décoiffe le gland à fond.
Sur le coup cela me fait mal mais elle passe deux doigts avec sa salive autour de mon gland. Le plaisir et plus fort que la douleur.
Éva continue et elle vient me lécher le lobe de l’oreille. Je sens au contact qu’elle porte une robe en vinyle mais la chaleur de son corps se propage rapidement à travers le tissu.
Ça y est ! ma bitte est prise en bouche mais lorsqu’elle est arrivée à la garde, je sens des poils de barbes. Mais quel mâle est donc en train de me sucer ?
J’entends Valérie qui ricane et elle vient se placer au-dessus de ma tête.
Elle embrasse Éva et des gouttes de baves me tombent dessus.
Mais lorsque son vagin est sur ma tête, j’entends les vibrations d’un engin qu’elle doit avoir dans la fente.
Éva dit à Valérie, qu’elles pourraient me retirer la pomme pour que ma langue serve à quelque chose et Valérie me retire le fruit.
Je bave comme un malade et je n’ai pas le temps de dire un mot qu’Éva vient positionner sa vulve sur ma bouche.
Le pompeur quant à lui, continue de me faire monter le gland en excitation par les sussions qu’il est en train de me prodiguer.
Éva grogne lorsque je la lèche et elle coule de bonheur dans ma bouche.
Valérie bricole quelque chose mais je n’arrive à deviner.
Éva change de sens mais laisse sa chatte sur ma bouche et fait face à l’homme qui me suce.
Éva dit « suce le bien, il le mérite »
Le mec lâche ma bite et pousse un cri et Valérie lui dit « alors chochotte, mon gode te fait du bien ? » il lui répond « tu viens de m’éclater le cul, mais continu à me bourrer comme une chienne »
Le mec est soumis comme moi et j’aimerai bien voir sa gueule.
Il me chope le membre pour me branler et il aspire mon gland.
C’est difficile pour moi de bouger mais je me tortille pour exciter Éva et que ma bite frotte l’intérieur de la bouche de ce dévergondé.
Je profite qu’ Éva se relève pour dire que mon excitation est bientôt à me faire gicler.
Éva s’écrit « à non !, ta semence est pour moi… ». La petite Éva ordonne à ‘Dominique’ de se retirer et elle se penche directement pour me prendre en bouche.
Le mec est en train de se faire pilonner par ma petite femme et j’entends les claquements contre son culs.
Je grogne de plaisir et je dis que je vais larguer la totale.
Éva enfourne le maximum de mon chiffre et reste bloquée en faisant tourner sa langue autour de ma bite.
Je n’en peu plus et je décharge ma semence dans sa gorge.
Après 7 rasades de foutre, Éva se relève et dit avec la bouche pleine à Valérie de venir l’embrasser pour séparer la liqueur.
Lorsque Valérie s’est retirée, j’ai entendu le gémissement du Dominique.
Les deux femelles se sont embrassées jusqu’à se qu’il n’y est plus rien a se délecter.
Je pensais en avoir fini mais non.
Valérie dit « Regarde Éva, maintenant c’est Dominique qui va se faire François. Regarde bien comment deux mecs peuvent prendre leurs pieds »
Éva « François, rassure-moi ! tu es consentant ?
Moi « Oui mais j’aimerai bien que vous me retiriez le masque pour que je vois qui est ce Dominique ! »
Aussitôt Valérie tire sur le masque et je vois un bonhomme de 70 ans environ et qui a une bite normale mais des couilles monumentales.
Il monte sur le lit et les filles me libèrent les cordes des deux jambes.
Dominique me relève aussitôt les genoux et présente sa bite à l’entrée de ma rondelle.
Moi « peux tu me préparer avant de me pénétrer ? »
Lui « j’exécute les désirs de ces dames, elles veulent que je te prenne à sec ! mais je vais seulement te mettre un doigt pour m’assurer que tu es bien propre et après tu t’accroche pour que je te la mette bien profond ma salope ! tu t’es bien habillée en pute pour m’exciter ? tu ne vas pas le regretter ! »
Il met son majeur dans la bouche pour mettre sa salive et il me le bourre directement dans le cul et tourne pour bien me dilater.
Valérie encourage Dominique à m’astiquer la rondelle. Éva est médusée.
Il retirer son doigt et chose promise et me pénètre d’un coup sec mais seulement le gland rentre. Alors je pour sur mon anus pour faciliter l’entrée de l’engin qui va me dévaster le cul.
Le pilonnage est parti et il va durer pendant plus de vingt minutes et je peux vous dire que chaque minute qui se sont passées, je les ai vues défilées car le radio réveil projet au plafond l’heure.
Les première minutes m’ont parue longue et les autres plutôt rapide.
Lorsque j’ai senti le gonflement de sa bite à l’entrée de ma rondelle, j’ai compris qu’il allait décharger son sperme dans mon cul.
Eh bien non ! il s’est retiré du train en marche pour larguer son sperme sur moi.
Incroyable, sa bite n’arrêtait pas de balancer des saccades de liquide crémeux et odorant. Je me demandais quand il allait arrêter de gicler le taureau en rut.
J’ai compté le nombre de giclée mais au bout de 7, j’ai regardé où elles atterrissaient. Les filles poussaient des cries de joies à chaque jet comme si elles se doutaient du résultat.
Ma poitrine et mon visage étaient bardés de sperme, jusque dans les cheveux.
Une fois terminé, Dominique est sortie de la chambre et il est parti.
Je n’aurais pas pu le remercier mais les deux femmes en chaleur, sont venues sur moi pour lécher toutes les traces de spermes sur mon corps.
Les deux filles faisaient une course contre la montre pour récolter un maximum de sperme. Dès qu’elles ont eu fini, elles se sont embrassées et elles se sont enfourné la totalité du sperme.
Le Dominique était le mec qui avait giclé quelques jours au par avant sur la portière de la voiture.
J’aurai quand même bien aimé, qu’il décharge dans mon cul, il m’aurait bien rempli.
J’espère le revoir ce taureau….
Voilà, n’hésitez pas à me faire savoir si j’ai bien raconté et si je dois améliorer.
À la suite du récit des filles, je suis allé voir la porte passager de la voiture pour constater qu’il y avait bien du sperme.
Lorsque je suis arrivé devant, j’ai été surpris par la trace sur la vitre mais que le sperme était en grande quantité et la goulotte du joint de la vitre était encore pleine et il avait coulé jusqu’au bas de caisse.
J’ai sorti le tuyau d’arrosage pour laver la portière afin qu’il n’y ait plus de traces.
Je rentre à la maison et je reprends la préparation du repas.
Les filles sont parties sans doute se mettre à l’aise.
Je les appelle lorsque c’est prêt et je vois Éva qui apparait habillé d’une nuisette et d’un short couleur crème en soie. Je reconnais tout de suite cet ensemble de Valérie. Il est un peu grand pour elle et il laisse apparaitre presque ses petits seins.
Je propose à Éva d’aller mettre un peignoir pour passer à table car rien qu’à la vue, je ne garantis pas que je ne rentre pas en érection pendant le repas.
Valérie arrive entre temps et se positionne derrière elle, l’attrape par les anches et l’embrasse dans le cou.
Je ne peux pas me retenir de dire à Valérie de se retenir un peu surtout ses envies mais elle me rétorque, qu’elle ne fait pas de mal et demande à Éva de me confirmer.
Éva avoue que depuis 3 jours, elle est très agréablement surprise de la chaleur et les attentions que Valérie lui procure.
Nous passons à table, malgré la tenue d’Éva.
Après le repas, Valérie et Éva vont d’installer dans le canapé et discutent.
Je fini de ranger la vaisselle et je les rejoins.
Valérie me demande si j’accepterai de faire une partie à trois le week-end prochain mais je devrai être attaché et les yeux bandés. C’est une demande d’Éva pour pouvoir se libérer d’une appréhension.
Comme d’habitude, j’accepte pour faire plaisir à ma petite femme et je rajoute, que je consentirai à toutes les envies et surprises qu’elles ont envie.
Nous sommes allés nous coucher et Valérie m’a demandé de lui faire l’amour.
Je me suis exécuté et ont été plus que chaud. Valérie s’est lâchée et elle a exprimé par beaucoup de gémissements le bien que je lui donnais. C’est à la fin qu’elle est montée sur moi pour gérer mon éjaculation dans son vagin.
Dès que j’ai eu fini la dernière giclée, Valérie s’est levée pour aller dans la salle de bains. Enfin, c’est se que je pensais mais comme j’étais positionné à l’opposé de la porte de la chambre, je n’avais pas vu qu’Éva nous avait maté pendant tout notre rapport.
C’est quand je me suis repositionné sur le lit, que j’ai vu Valérie qui était à la porte d’entrée de la chambre avec une jambe relevée et Éva qui lui léchait le minou.
Incroyable, ma petite femme qui offre mon sperme à Éva.
Valérie lui dit : « Vas-y, lèche bien le foutre de mon homme, comme tu l’aime, on pourra le faire, à chaque fois que tu le souhaiteras. ».
Valérie faisait des coups de reins pour qu’Éva lèche bien sa chatte sur toute la longueur et qu’elle n’en perde pas une goutte.
Je suis médusé de les voir toutes les deux et ma femme qui souhaite venger l’incompétence de l’ex-copain d’Éva. Elle me regarde entre deux, pour me faire savoir qu’elle est heureuse d’être la maitresse d’une apprentie de l’amour.
Rien que de la voir fermer les yeux à chaque coup de langue d’Éva, cela me démontre qu’elle fait ça pour son plaisir et celui de sa partenaire.
Lorsqu’ Éva a eu fini, elles sont partie toutes les deux vers la salle de bain.
J’ai entendu que Valérie avait été accompagner Éva dans sa chambre et lui faire quelques bisous pour qu’elle s’endorme.
Lorsque Valérie est revenue se coucher, elle m’a aussitôt dit qu’elle m’aimait encore plus fort que toutes ces années que nous avons passé ensemble et qu’aujourd’hui, elle aimait d’une façon différente les femmes. Elle m’avoue que notre nouvelle vie sexuelle depuis la première rencontre avec sa patronne, lui a fait sauter les barrages des tabous du sexe.
Jusqu’à la fin de semaine, nous avons été sérieux, enfin moi, car les filles étaient de plus en plus joyeuses.
Le samedi soir arriva, et les filles avaient décidé d’aller au resto qui n’est pas très loin de la maison.
Pendant le repas nous avons discuté de plein de trucs et surtout de leur ébats dans le fond du parking. Elles rigolaient en me regardant et elles n’arrêtaient pas de regarder les autres clients des tables voisines.
Je ne comprenais pas où elles voulaient en venir.
Nous sommes rentrés à la maison, nous avons pris un petit café et Valérie a entamé le détail de la demande d’Éva, pour ce soir.
Je dois aller me changer et mettre les vêtements qu’elles ont préparé sur le lit et après je dois attendre qu’elles viennent m’attacher sur le lit et qu’elle me mette un masque pour ne rien voir.
Je vais dans la chambre et je vois sur le lit un ensemble, corsé, porte-jarretelles, bas et un masque, le tout en vinyle noir brillant. Il y avait aussi des cordes en nylon blanc et je me doutais que c’était pour m’attacher.
Je me déshabille et je passe l’ensemble. Il m’aura fallu un bon moment tout seul pour enfiler le tout.
J’enfile au dernier moment le masque et je m’allonge en croix sur le lit. Je dis que je suis prêt. J’entends Valérie qui arrive et elle me dit que je me suis bien débrouillé. Elle m’attache alors chaque main et chaque pied aux angle du lit.
Je ne suis pas bridé mais avec un peu de longueur pour pouvoir bouger.
Valérie me dit doucement : « maintenant, tu vas être notre soumis et faire voir à Éva que tu sais être le meilleur des hommes… ».
A voie haute elle dit à Éva : « Vas-y il est prêt à tout ».
Je n’ai que l’ouïs pour discerner ce qu’il se passe et j’entends la porte d’entrée claquer et un homme dire, « vous êtes sûr ? ».
Instinctivement, je demande se qu’elles manigancent.
Valérie dit à Éva « j’ai oublié de lui mettre un bâillon mais t’inquiète j’ai une idée. ».
Elle revient vers la chambre à grands pas et lorsqu’elle est près de moi elle me dit « Ouvre la bouche ! », mais je garde les dents serrées.
« Allé ! ouvre la bouche mon chéri ! »
Alors que je voulais demander qui était rentré dans la maison, Valérie m’a introduit entre les dents une pomme et elle a forcé pour que le fruit m’écarte bien la mâchoire.
Après ça plus un bruit pendant quelques minutes.
J’entends que les filles rentrent dans la chambre mais je sens aussi la présence de quelqu’un d’autre, rien que par le parfum et les bruits de déplacements.
Elles ne font pas de bruits mais murmure seulement.
Je sens qu’une main glacée se pose sur mon ventre et caresse les sous-vêtements que je porte.
Je ne devine pas qui a commencé à vouloir m’exciter.
Impossible de parler et je ne peux que grogner.
Je sens un claquement sur mes cuisses, il s’agit d’un fouet et les coups se répètent mais toujours doucement. Je saisis instinctivement que les deux femmes viennent de se transformer en dominatrice.
Valérie dit à Éva, qu’elle peut faire de moi ce qu’elle veut et que j’accepterai de lui faire tous ses désirs.
Je comprends qu’elle monte sur moi et elle vient s’assoir les jambes écartées sur mon ventre. Les lèvres de son vagin, son sur ma peau et je ressens les bouts de chaire s’écarter à chaque mouvement qu’elle fait pour que ses lèvres s’écartent bien. A un moment je sens la chaleur de l’entrebâillement du vagin sur mon ventre. La sensation est agréable.
Quelqu’un me saisi les couilles pour tirer dessus et me faire sortir une excitation et une monter du pic. Cela ne peut être que ma petite femme car elle sait comment faire pour me tirer rapidement une érection.
Elle me saisie le membre et me décoiffe le gland à fond.
Sur le coup cela me fait mal mais elle passe deux doigts avec sa salive autour de mon gland. Le plaisir et plus fort que la douleur.
Éva continue et elle vient me lécher le lobe de l’oreille. Je sens au contact qu’elle porte une robe en vinyle mais la chaleur de son corps se propage rapidement à travers le tissu.
Ça y est ! ma bitte est prise en bouche mais lorsqu’elle est arrivée à la garde, je sens des poils de barbes. Mais quel mâle est donc en train de me sucer ?
J’entends Valérie qui ricane et elle vient se placer au-dessus de ma tête.
Elle embrasse Éva et des gouttes de baves me tombent dessus.
Mais lorsque son vagin est sur ma tête, j’entends les vibrations d’un engin qu’elle doit avoir dans la fente.
Éva dit à Valérie, qu’elles pourraient me retirer la pomme pour que ma langue serve à quelque chose et Valérie me retire le fruit.
Je bave comme un malade et je n’ai pas le temps de dire un mot qu’Éva vient positionner sa vulve sur ma bouche.
Le pompeur quant à lui, continue de me faire monter le gland en excitation par les sussions qu’il est en train de me prodiguer.
Éva grogne lorsque je la lèche et elle coule de bonheur dans ma bouche.
Valérie bricole quelque chose mais je n’arrive à deviner.
Éva change de sens mais laisse sa chatte sur ma bouche et fait face à l’homme qui me suce.
Éva dit « suce le bien, il le mérite »
Le mec lâche ma bite et pousse un cri et Valérie lui dit « alors chochotte, mon gode te fait du bien ? » il lui répond « tu viens de m’éclater le cul, mais continu à me bourrer comme une chienne »
Le mec est soumis comme moi et j’aimerai bien voir sa gueule.
Il me chope le membre pour me branler et il aspire mon gland.
C’est difficile pour moi de bouger mais je me tortille pour exciter Éva et que ma bite frotte l’intérieur de la bouche de ce dévergondé.
Je profite qu’ Éva se relève pour dire que mon excitation est bientôt à me faire gicler.
Éva s’écrit « à non !, ta semence est pour moi… ». La petite Éva ordonne à ‘Dominique’ de se retirer et elle se penche directement pour me prendre en bouche.
Le mec est en train de se faire pilonner par ma petite femme et j’entends les claquements contre son culs.
Je grogne de plaisir et je dis que je vais larguer la totale.
Éva enfourne le maximum de mon chiffre et reste bloquée en faisant tourner sa langue autour de ma bite.
Je n’en peu plus et je décharge ma semence dans sa gorge.
Après 7 rasades de foutre, Éva se relève et dit avec la bouche pleine à Valérie de venir l’embrasser pour séparer la liqueur.
Lorsque Valérie s’est retirée, j’ai entendu le gémissement du Dominique.
Les deux femelles se sont embrassées jusqu’à se qu’il n’y est plus rien a se délecter.
Je pensais en avoir fini mais non.
Valérie dit « Regarde Éva, maintenant c’est Dominique qui va se faire François. Regarde bien comment deux mecs peuvent prendre leurs pieds »
Éva « François, rassure-moi ! tu es consentant ?
Moi « Oui mais j’aimerai bien que vous me retiriez le masque pour que je vois qui est ce Dominique ! »
Aussitôt Valérie tire sur le masque et je vois un bonhomme de 70 ans environ et qui a une bite normale mais des couilles monumentales.
Il monte sur le lit et les filles me libèrent les cordes des deux jambes.
Dominique me relève aussitôt les genoux et présente sa bite à l’entrée de ma rondelle.
Moi « peux tu me préparer avant de me pénétrer ? »
Lui « j’exécute les désirs de ces dames, elles veulent que je te prenne à sec ! mais je vais seulement te mettre un doigt pour m’assurer que tu es bien propre et après tu t’accroche pour que je te la mette bien profond ma salope ! tu t’es bien habillée en pute pour m’exciter ? tu ne vas pas le regretter ! »
Il met son majeur dans la bouche pour mettre sa salive et il me le bourre directement dans le cul et tourne pour bien me dilater.
Valérie encourage Dominique à m’astiquer la rondelle. Éva est médusée.
Il retirer son doigt et chose promise et me pénètre d’un coup sec mais seulement le gland rentre. Alors je pour sur mon anus pour faciliter l’entrée de l’engin qui va me dévaster le cul.
Le pilonnage est parti et il va durer pendant plus de vingt minutes et je peux vous dire que chaque minute qui se sont passées, je les ai vues défilées car le radio réveil projet au plafond l’heure.
Les première minutes m’ont parue longue et les autres plutôt rapide.
Lorsque j’ai senti le gonflement de sa bite à l’entrée de ma rondelle, j’ai compris qu’il allait décharger son sperme dans mon cul.
Eh bien non ! il s’est retiré du train en marche pour larguer son sperme sur moi.
Incroyable, sa bite n’arrêtait pas de balancer des saccades de liquide crémeux et odorant. Je me demandais quand il allait arrêter de gicler le taureau en rut.
J’ai compté le nombre de giclée mais au bout de 7, j’ai regardé où elles atterrissaient. Les filles poussaient des cries de joies à chaque jet comme si elles se doutaient du résultat.
Ma poitrine et mon visage étaient bardés de sperme, jusque dans les cheveux.
Une fois terminé, Dominique est sortie de la chambre et il est parti.
Je n’aurais pas pu le remercier mais les deux femmes en chaleur, sont venues sur moi pour lécher toutes les traces de spermes sur mon corps.
Les deux filles faisaient une course contre la montre pour récolter un maximum de sperme. Dès qu’elles ont eu fini, elles se sont embrassées et elles se sont enfourné la totalité du sperme.
Le Dominique était le mec qui avait giclé quelques jours au par avant sur la portière de la voiture.
J’aurai quand même bien aimé, qu’il décharge dans mon cul, il m’aurait bien rempli.
J’espère le revoir ce taureau….
Voilà, n’hésitez pas à me faire savoir si j’ai bien raconté et si je dois améliorer.
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