GWEN ET PAUL
Récit érotique écrit par GwenaelBlondinet [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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GWEN ET PAUL
Chapitre 3
La Déclaration Part 1
La semaine qui suivit fut un vrai calvaire pour Gwen, il n’a pas arrêté de penser à Paul, cet homme l’a envoûté, il lui manque, il pense à lui sans cesse, il a beau sortir avec ses amis, faire des rencontres rien n’y fait, il l’obsède, il ne risque pas de l’oublier, même sa copine Steph l’a remarqué et lui a dit.
- Ma cocotte, je crois que tu es tombée amoureuse.
Alors quand Paul l’appelle, son coeur se met à battre la chamade et il se comporte comme « une petite ado » sensible et fleur bleue, totalement amoureuse.
- Bonjour Gwen, c’est Paul, tu te souviens de moi ?
- Bonjour, bien sur, comment pourrais je oublier un vieux de 30 ans qui a profité d’un faible et innocent ado de 20 ans hihihi.
- Ah ah ah, très drôle ma belle, je t’appelle comme promis, j’aimerais vraiment te revoir tu m’as manqué.
- Moi aussi tu m’as manqué.
- Très bien, je voudrais t’inviter à passer un week end en mer sur mon bateau qui est à Monaco.
- Cool ça sera avec plaisir.
- Super, je t’envoie mon chauffeur qui t’emmènera à l’aéroport vendredi et je t’attendrais à Nice avant d’aller à la marina de Monaco.
- Jolie programme- Et ce n’est que le début, on discutera de ta faiblesse et surtout de ton innocence ahahah, bisou ma belle à vendredi.
Le jour J, Gwen est emmené à l’aéroport par Charles le majordome de Paul et après un court vol jusqu’à Nice, il fut accueilli par son homme qui dans le hall d’arrivée le pris tendrement dans ces bras pour lui donner un baiser très romantique comme deux amoureux se retrouvant.
- Bonjour Princesse, tu as fais bon voyage ?
- très bon je te remercie, j’avais hâte de te voir.
- Moi aussi ma belle, maintenant t’es à moi pour tout le week end, viens on a un peu de chemin avant Monaco.
Paul pris Gwen par la taille et ils allèrent vers le parking, en chemin certains regards noirs sur leur couple, pas que certains voyaient 2 hommes ensemble mais plutôt, vu que Gwen faisait bien plus jeune que 20 ans, ils se demandaient pourquoi un homme mure enlaçait tendrement une jeune adolescente qui devait être mineure, surtout que Gwen avait mis le paquet coté sexy, jean slip taille basse moulant outrageusement son petit cul, un top à fines bretelles faisant ressortir ses pointes de tétons tendus sous le tissu, des sandales à lanières et sa longue chevelure blonde et lisse tombant sur son dos, lui donnant un style de Lolita à faire bander un curé.
- Tu es magnifique Gwen, t’as du te faire draguer dans l’avion.
- Bah j’avoue qu’il y a eu quelques tentatives mais je m’en suis débarrassé assez facilement en jouant la blonde froide et prétentieuse hihihi.
- Ah ah ah ah, ça j’en doute pas, j’ai pu déjà constaté cette attitude lors de notre première rencontre.
- Oui c’est vrai mais je me suis rattrapé depuis non ?
- Oh oui tu t’es très bien rattrapé et tu hantes mes nuits depuis…Après une demi-heure de voiture, ils arrivèrent devant la marina de Monaco, un voiturier est venu prendre la voiture et les 2 amoureux s’engagèrent sur le ponton ou étaient alignés de superbes yachts, arrivant au bout du ponton Paul s’arrête face à une passerelle devant un bateau gigantesque.
- C’est le tien ?
- Oui, pourquoi ?
- Il est… très grand, immense.
- C’est un 55 pieds… enfin 16,75 m à peu près.
- Mais on peut vivre là-dessus, c’est dingue.
- Eh oui et c’est ce qu’on va faire tout les 2 ce week end.
Il pose la valise de Gwen sur le bateau, puis revient vers lui, passe un bras sous ses genoux, l’autre sous ses bras et voilà Gwen transportée sur lepont comme une poupée, Paul l’assoit sur son genou, le débarrasse de ses chaussures.
- C’est interdit sur un bateau ma belle.
Il lui tend des « Crocs » blanches.
- C’est tout ce à quoi tu as droit ou pieds nus.
Paul le guide dans le bateau, lui fait la visite, jusqu’à la chambre grande et luxueuse avec une vue magnifique sur la mer.
- Voila votre cabine princesse.
- Juste la mienne ?
- Si mademoiselle veut bien de moi, je partagerais cette modeste couche avec elle.
- Cher monsieur, si j’ai accepté de te rejoindre c’est pas pour dormir seul.
Gwen se colla à Paul pour l’enlacer et lui tendre sa bouche pour un baiser langoureux.
- Installe-toi ma puce, je te laisse te rafraichir après ton vol, nous allons appareiller tout de suite si on veut passer la nuit au mouillage en face de Monaco, tu vas voir on aura une vue magnifique sur la côte.
Après un petit bisou sur son nez mutin, il le laissa installer ses affaires dans les placards et se changer enfilant un short en toile et un polo, les cheveux attachés en queue de cheval. Lorsque Gwen ressort, ils sont déjà dans le chenal, les voiles sont de sortie, un génois tout d’abord et la grand voile ensuite. Paul est installé sur la banquette du skipper et barre d’une main, il y a de la place à ses cotés Gwen s’installe mi-allongée, le dos appuyé contre lui. Mais le bateau prend de la gîte, il glisse, Paul n’hésite pas une seconde, il tient Gwen par la taille, une main sous son sein gauche l’empêchant de tomber sur le pont, Gwen est bien, il sent le souffle chaud de son homme dans son cou, la chaleur de son corps irradie dans le sien, le vent, le soleil, la chaleur et sa position tout contre Paul ont eu raison de lui, il s’endort.
C’est une caresse agréable sur son petit sein qui sort Gwen de ses rêveries, le pouce de Paul va-et-vient sur son sein et agace mon téton, qui se distingue et prend des proportions anormales, il est gonflé et tendu. Une multitude de petits baisers dans le cou lui font ouvrir les yeux, non il ne rêve pas, Paul l’embrasse dans le cou, mais comment peut-il bien savoir que cette caresse le rend folle d’excitation, Paul lui chuchote à l’oreille.
- Si nous ne bougeons pas, dans dix minutes, nous allons nous échouer…- Huuumm, c’est merveilleux, échouer tous les deux en pleine mer.
Il ne me répond pas mais mord doucement la chair tendre de son cou, Gwen se relève en criant.
- Au secours, je suis attaquée par un vampire.
Ils riaient comme 2 ados et quelques minutes plus tard, le bateau est arrimé, le soleil décline vite et commence à se coucher, Paul descend dans le bateau et revient vers Gwen.
- Si mademoiselle veut bien venir, le repas est prêt.
- Ah comme même j’ai faillie attendre hihihi.
- Mille excuses princesse, cela ne se reproduira plus promis, bon sérieusement petite enfant gâtée, si je sors, je pense que c’est toi qui sera le repas des requins du coin.
- Tu n’oserais pas.
- Ne me tentes pas bébé.
Gwen lui offre un grand sourire et se fait câline.
- Je préfère que tu me gardes dans tes bras.
- Si tu es sage…Et il disparaît de nouveau, Gwen se lève et entre dans le bateau, Paul a dressé une table dans le carré, elle est magnifique, tout est prêt.
- Installe-toi chérie.
En passant auprès de lui, Gwen ne peut se retenir, il passe ses bras autour de sa taille et le serre contre lui, Paul l’enlace par les épaules et lui dépose un baiser sur le front comme il le ferait avec une petite fille, Gwen enrage et doucement va s’asseoir. Ils dinèrent les yeux dans les yeux, parlant de tout et de rien, bercés par la houle, il est tard lorsque le dîner se termine. Pendant que Paul va sur le pont pour préparer le bateau pour la nuit en vérifiant les amarres, Gwen va dans la chambre prendre une douche et se glisse dans le lit attendant son homme. La chambre est dans la pénombre juste éclairée par le Sky-dôme qui laisse pénétrer la lumière de la lune, quand Paul revient dans la chambre, voyant Gwen déjà au lit, il a un petit sourire du mâle triomphant.
- Hum, hum, cela sent la passagère clandestine ici.
Il va à son tour prendre une douche et revient tout nu et se couche tranquillement, allongé sur le dos. Gwen se tourne vers lui, se colle à son corps viril, ronronnant comme une chatte. C’est alors que le mâle se met en action, son bras l’enlace et sa main se pose sur ses fesses, Gwen tourne la tête vers son homme qui prend ses lèvres, sa langue entre en contact avec la sienne, elles se retrouvent, se reconnaissent, mais surtout l’une possède l’autre. Pendant ce long baiser, les mains de chacun redécouvrent le corps de l’autre, Paul caresse les fesses de Gwen titillant avec ces doigts son puit d’amour pendant que celui ci entame un va et vient sensuel sur la virilité de son amant lui donnant son volume et sa dureté.
Puis, Paul, en bon mâle dominant prit l’initiative, avec une autorité toute masculine, il bascula sa petite femelle sur le ventre et sans cesser de caresser ce frêle corps, ses mains explorent ses cuisses, remontant vers ses hanches, appréciant son tour de taille de guêpe, remontant vers ses petits seins de fillette qu’elles prennent à pleine main, découvrant un téton érigé, dressé, la technique de Paul est incroyable, il prend entre ses doigts un téton, le serre un peu et l’agace, cette sensation irradie le corps tout entier de la belle, la faisant gémir en déclarant son plaisir.
- Oooooh Ouuiiiiii, tu me rends folle.
- Et je ne fais que commencer ma chérie, j’ai envie de me servir de toi comme d’une femelle.
- Ouiiii mon mâle, je suis ta femelle soumise.
Toujours au dessus de Gwen, Paul avec ses mains, descend sur sa chute de reins puis sur son adorable fessier et atteint son petit trou tout lisse, ses doigts glissent entre les lobes, curieusement celles-ci se séparent, laissant le champ libre à l’accès des doigts inquisiteurs qui trouvent sa corolle, ils courent tout le long, Gwen est tellement excitée qu’il mouille comme une fille. Les caresses cumulées sur son téton et son anus le font chavirer, c’est comme une boule qui se contracte dans son ventre, il se mis à 4 pattes offrant son anus et ses fesses aux mains expertes de Paul.
- Viens mon amour, j’en peux plus, prends moi.
- Vos désirs sont des ordres ma princesse, je vais te faire l’amour et tu seras mienne.
Paul cessa ses caresses, il s’installa entre les cuisses largement ouvertes, instinctivement Gwen les écarte encore plus offrant son trou au sexe de son homme, passe une main entre les deux corps pour toucher le pieu qui va le pourfendre, d’autorité Paul lui retire la main, le gland caresse sa fente humide, puis pousse doucement, la sensation est délicieuse, les mouvements de son amant sont lents et incessants, sa porte intime est entre ouverte par l’imposant gland qui est en lui, un vrai bonheur. Et puis soudain Paul lui porta l’estocade, son sexe le pénétra enfin d’un coup violent lui arrachant un cri aigüe de femelle transpercée par son mâle. La queue énorme l’écartèle, le déchira, la douleur est immense mais, que c’est bon. À peine est-il entré, qu’il reste bien au fond pour laisser sa belle s’habituer à son engin, pour Gwen c’est la sensation énorme que ce sexe bute au tréfonds de sa matrice anale, il le remplit entièrement, totalement, la sensation est incroyable, il a l’impression d’être coupé en deux, sa queue est longue, puissante, il semble que rien ne peut l’arrêter, Gwen souffle, cherche sa respiration, il plante ses ongles dans les draps pour mieux supporter la douleur de cette pénétration, cet homme est trop fort, ce n’est pas un sexe qu’il a, c’est une batte de base-ball.
- T’es prête pour la chevauchée ma belle ? Une semaine sans ta petite chatte de mec, je vais pas me retenir, je vais te défoncer comme jamais.
- Prends-moi maintenant mon chéri.
Gwen le supplia de le baiser et Paul ne se fit pas prier, il commença ses va-et-vient doucement pour commencer, Gwen haletait comme une petite chienne en chaleur, l’énorme engin dilatait son anus, il pouvait sentir le frottement de son canon sur chaque paroi intérieure, il perdit très vite le contrôle de son corps, il se sentait faible en-dessous de ce corps musclé et cela décuplait son excitation, en criant son plaisir. Les va-et-vient se firent plus puissants, à chaque coup de boutoir un « clac » retentissait suivi d'un cri de plaisir de Gwen, les cuisses musclées de Paul lui permirent d'accélérer la cadence, la bite était si longue qu'elle tapait contre le fond de son fourreau, Gwen se faisait littéralement défoncer la chatte et il ne pouvait plus contenir son bonheur. Des vagues de plaisirs le frappaient alors que ses vocalises partirent dans les aigus, il devint comme possédée. Son orgasme anale fut d'une violence si inouïe que Paul dut arrêter son martèlement, il se retira, observant Gwen se tordre de plaisir alors que tous les muscles de son corps se contractaient.
- Ooooohhh Ouuuiiiiiiiiii.
Il se tordait, se retournait, mordait les draps tant l'orgasme le ravageait, il ne savait plus où il était, perdant toute notion du temps. Paul, un sourire de vainqueur en coin, le vit se débattre ainsi pendant une bonne minutes. Gwen sortit peu à peu de sa torpeur, les yeux à moitié ouverts, il mit un bon moment à reprendre ses esprits. Sans un mot, Paul vint s'allonger à côté de lui.
- Tu m'as démonté, tu m’as baisée comme un dieu, c’était juste trop bon.
- J’ai cru que t'allais mourir de plaisir, j’ai eu du mal à tenir, tétait tellement sexy quand tu criais.
- T’as pas encore joui ?
- Non, mais pas loin, pourquoi t'en veux encore ? Petite coquine.
C'est à ce moment-là que Gwen se rendit compte que l'énorme bite était dressée comme un obélisque, comme si elle attendait que quelqu'un s'empale dessus. L'idée ne lui paraissait pas mauvaise et il enjamba son homme, posant ses belles petites fesses bien rondes sur ses cuisses et se mit à se frotter contre lui, la sensation était très agréable. Il présenta le gland palpitant à l'entrée de son anus et glissa lentement vers le bas, il adorait le picotement de que cela produisait et ne put retenir ses gémissements alors qu’il descendait, centimètre par centimètre, sur l'énorme mandrin de son mâle, sa respiration s'accéléra, il n’arriva pas jusqu'au bout de la grosse bite et entama alors des va-et-vient, il remontait puis se laisser empaler sur l'énorme pieu, et à chaque retombée, son plaisir était décuplé. Peu à peu, il prenait dans son anus de plus en plus de centimètres jusqu'à ce qu’il parvienne finalement à tout prendre, il était assis sur lui, avec sa bite fourrée jusqu'au fond de son fourreau.
Il s'arrêta un instant, et vit Paul le regarder d'un air impressionné, il était complètement remplie et adorait cette sensation de plénitude, il commença alors à bouger ses hanches d'arrière en avant. Dans cette position, le petit corps sportif de Gwen était parfaitement mis en avant.
Paul pouvait sentir ses fesses rondes lui caresser le bassin, il admirait sa taille fine et remarqua que son ventre plat se dessinaient très bien alors qu’il ondulait sur lui, son corps cambré mettait en avant ses petits tétons, il en attrapa un en se mit à le titiller. Quelle petite femelle magnifique, il sentait la pression dans sa bite monter d'un cran, en bon mâle dominant il décida de reprendre les choses en main.
Il proposa de changer de position et de prendre Gwen en missionnaire, celui-ci se mit sur le dos jambes bien écartées et Paul se positionna entre ses jambes, les releva pour bien dégager le trou de la belle puis introduisit son membre bien raide dans son intimité sans ménagement, excité comme un taureau en rut, il commença à le baiser sauvagement, chaque coup de rein se traduisait par un tremblement du corps de Gwen qui haletait, couinait, gémissait et criait son plaisir de femelle. Il adorait cette position, il se sentait comme une fille qui avait besoin de satisfaire ses besoins primitifs, il ne pensait plus à rien, il voulait juste se faire baiser jusqu'à satiété.
- Ooooohhhh mon dieu, vas y défonce moi, suis ta salope.
Ces mots crus semblaient avoir un effet sur Paul qui redoubla d'efforts, Gwen s’agrippait au bras musclés de son pourfendeur pour ne pas flancher sous les coups de massue, soudain, Paul se saisit de ses cheveux, la douleur provoqua chez Gwen une surexcitation, il était au bord de l'orgasme. Encore quelques coups de ce gourdin sur dimensionné et les portes du paradis allaient s'ouvrir à lui, Paul aussi semblait à la limite de l'orgasme, il grognait bruyamment. L'orgasme les frappa en même temps, tous les membres de Gwen se mirent à trembler convulsivement, ses yeux partirent en arrière et son corps tout entier était occupé par la jouissance, Paul serrait les dents alors que son membre viril crachait tout ce qu'il avait retenu jusque-là, fécondant sa femelle de son jus de mâle, il s'écroula de tout son poids sur Gwen et les deux restèrent ainsi de longues minutes, haletant, leurs orgasmes simultanés mirent du temps à s'estomper, ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre.
C’est un rayon de soleil à travers le sky-dôme qui réveille Gwen, il est dos à son homme, un bras l’encerclant par la taille et une main posée sur sa hanche, le sexe de Paul au repos contre ses fesses lui rappelle la présence à ses cotés d’un mâle, de son homme, de son amoureux, encore endormi. Il se dégage délicatement de son emprise pour se retrouver face à lui, admirant son homme, son visage viril, son corps d’athlète malgré ses 30 ans sans un gramme de graisse et bien sur sa queue qui même au repos est lourde et imposante, sa bite est à portée de main, il la prend et la masturbe doucement et délicatement, elle commence à grossir, Gwen en petite gourmande se déplace vers l’engin, et dire qu’il c’est régalée de cette belle verge une partie de la nuit, sa vue l’obsède, la regarde avec envie, la contemple, une queue qui grossit encore et qu’il peine maintenant à tenir dans sa petite main, il ne peut s’empêcher de déposer un petit bisou sur le bout du gland écarlate à la peau lisse. Approchant son visage de cette chose douce et dure à la fois, il la couvre de baisers avec amusement, la branle doucement, décalotte le gland, l’humecte de sa langue pointue. Il commence à la lécher, arrondissant ses lèvres, le prend dans sa bouche chaude, ses commissures sont étirées car la bête est d’un volume conséquent, il la gobe malgré tout, la déguste, tout investi dans ses caresses, il sursaute de surprise quand il sent une main lui caresser les cheveux et se poser sur sa tête. Le mâle est réveillé, sa main empoigne vigoureusement la longue chevelure de sa belle pour imprimer un rythme plus viril à la fellation, enfonçant sa queue bien au fond de sa gorge l’étouffant presque, les larmes aux yeux Gwen laisse son membre sortir de sa bouche pour reprendre mon souffle, Paul le rattrape par les cheveux, tirant doucement sa tête vers lui comme s’il ne voulait pas que sa caresse cesse.
- Laisse-moi respirer un peu s’il te plaît.
- Excuse-moi ma chérie, c’est trop bon, continue ne t’arrêtes pas.
Gwen reprend de plus belle sa fellation, il le suce avec application, titillant le gland imposant de la pointe de sa langue, parcourant la tige gonflée,dure et cernée de veines saillantes, la queue saute dans sa bouche, il la sens se gonfler, prendre encore plus de volume. Un gémissement de satisfaction de Paul l’encourage dans sa manœuvre. Des gouttes de liquide séminal s’échappent de la petite fente qui orne la tête du gland, il s’empresse de laper la liqueur de l’homme qu’il aime, il a bon goût, en même temps sa main droite continue de caresser doucement les grossestesticules velues et tendues, sa main et sa langue conjuguent leurs actions pour accentuer, exacerber le désir de Paul, alternant coups de langue, caresses manuelles et buccales tout le long de son sexe et sur le gland, l’envie de Paul se fait de plus en plus pressante, percevant des spasmes dans sa verge.
- C’est bon, très bon, trop bon, je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir très longtemps ma puce.
Gwen abandonne la verge de son homme et le regarde amoureusement, la tête posée sur l’oreiller, il le regarde aussi tendrement, Gwen le reprend en bouche tout en le regardant droit dans les yeux, Paul lui sourit et s’abandonne complètement à sa femelle, sa main retrouve sachevelure, glissant ses doigts dans ses cheveux, les agrippant virilement- Gwen, mon amour, suce-moi encore.
Gwen ouvre la bouche pour lui répondre mais Paul en profite, sans violence, pour lui renforcer sa queue dans sa bouche, maintenant sa tête avec sa main d’un mouvement lent du bassin, Gwen en bonne femelle vaincue et soumise, entame la fellation attendue par son mâle, qui n’a pas besoin de le forcer tellement son envie de le sucer est grande, envie de sexe, de ce sexe qu’il lui offre. L’engouffrant dans sa bouche, il suce avidement son compagnon qui enfonce sa queue le plus profondément possible dans sa gorge, sa langue s’enroule autour de cette chaude colonne, le gland est tellement turgescent que Gwen manque d’étouffer. Paul ne cesse de grogner doucement, Gwen sens le bonheur qu’il offre à son homme, à l’homme qu’il aime, les yeux fermés, les lèvres humides, il absorbe consciencieusement le membre triomphant, qui se gonfle encore, qui devient de plus en plus gros, de plus en plus long, bref de plus en plus imposant, annonçant les prémices d’une éruption, des tremblements pré-orgasmiques, ponctués par de petits gémissements, son corps s’agite, se crispe, se tend, il lutte sans volonté, plaquant le visage de la belle contre son pubis.
- Aaaarrh, ouiiiiiii, je jouis, petite salope.
Le cri du mâle, bestial, guttural, la première giclée est fulgurante, elle se fracasse dans les profondeurs de sa gorge, puis une autre vient tapisser son palais, sa langue, d’autres suivent, sa bouche sature, il déglutit doucement, aspire, lèche son gland dans un dernier baiser et, presque à regret libère ce mât triomphant qui doucement perd de sa superbe. Malgré sa déglutition, les jets répétés ne lui ont pas permis d’avaler toute cette production, le surplus dégouline le long de la hampe, lui poisse la main et souille le pubis de Paul, il finit de déguster la semence mâle, légèrement salée, il lève les yeux vers Paul, son visage respire la sérénité et la fierté du mâle qui vient de féconder sa femelle, Gwen ne peux pas laisser son homme dans cet état, alors, consciencieusement, il reprend en bouche le sexe masculin qui perd un peu de sa fermeté, le nettoie, le lèche pour faire disparaître toute trace de semence, une fois la verge propre, il continue et nettoie aussi de la langue le pubis, les testicules et les cuisses de Paul qui ouvre les yeux et lui dit.
- Oh bébé, c’était merveilleux, quel réveil, je veux ça tout les jours.
- Ca t’as plu ?
- Tu plaisantes, personne ne c’est occupé aussi bien de moi avec sa bouche.
- Je suppose que c’est un compliment alors.
Paul ne peut retenir un rire en caressant tendrement la longue chevelure blonde de Gwen qui, allongé contre le corps de son amant, a toujours dans sa main son sexe au repos, il ne peux pas se retenir de jouer avec, la réaction de l’homme ne se fit pas attendre, sa main se lève de sa hanche et retombe en claquant sur les fesses de l’impertinente femelle.
- Soit sage petite fille si tu veux pas que la bête se réveille.
- Je crois que j’ai très envie de voir la bête se réveiller.
- Chère petite demoiselle, vous n’avez pas honte, dévergonder un homme de mon âge.
- Te dévergonder ? Tu plaisantes, j’espère, c’est toi le pervers qui guide un petit adolescent innocent sur les chemins de la perversité.
Pour toute réponse, une deuxième claque retentit sur ses fesses.
- Petite cochonne, tu ne penses qu’à ça.
- J’avoue mon amour, oui je ne pense qu’à ta belle queue.
- allé viens ma belle, on va prendre une douche avant le petit déjeuner.
Paul se lève et emporte Gwen dans ses bras pour rejoindre la salle de douche, une fois propres ils montèrent vers le pont ou ils prirent un copieux petit déjeuner bien mérité, le week end ne faisait que commencer pour les deux tourtereaux et la journée s’annonçait pleine d’amour et de plaisir.
A suivre…
La Déclaration Part 1
La semaine qui suivit fut un vrai calvaire pour Gwen, il n’a pas arrêté de penser à Paul, cet homme l’a envoûté, il lui manque, il pense à lui sans cesse, il a beau sortir avec ses amis, faire des rencontres rien n’y fait, il l’obsède, il ne risque pas de l’oublier, même sa copine Steph l’a remarqué et lui a dit.
- Ma cocotte, je crois que tu es tombée amoureuse.
Alors quand Paul l’appelle, son coeur se met à battre la chamade et il se comporte comme « une petite ado » sensible et fleur bleue, totalement amoureuse.
- Bonjour Gwen, c’est Paul, tu te souviens de moi ?
- Bonjour, bien sur, comment pourrais je oublier un vieux de 30 ans qui a profité d’un faible et innocent ado de 20 ans hihihi.
- Ah ah ah, très drôle ma belle, je t’appelle comme promis, j’aimerais vraiment te revoir tu m’as manqué.
- Moi aussi tu m’as manqué.
- Très bien, je voudrais t’inviter à passer un week end en mer sur mon bateau qui est à Monaco.
- Cool ça sera avec plaisir.
- Super, je t’envoie mon chauffeur qui t’emmènera à l’aéroport vendredi et je t’attendrais à Nice avant d’aller à la marina de Monaco.
- Jolie programme- Et ce n’est que le début, on discutera de ta faiblesse et surtout de ton innocence ahahah, bisou ma belle à vendredi.
Le jour J, Gwen est emmené à l’aéroport par Charles le majordome de Paul et après un court vol jusqu’à Nice, il fut accueilli par son homme qui dans le hall d’arrivée le pris tendrement dans ces bras pour lui donner un baiser très romantique comme deux amoureux se retrouvant.
- Bonjour Princesse, tu as fais bon voyage ?
- très bon je te remercie, j’avais hâte de te voir.
- Moi aussi ma belle, maintenant t’es à moi pour tout le week end, viens on a un peu de chemin avant Monaco.
Paul pris Gwen par la taille et ils allèrent vers le parking, en chemin certains regards noirs sur leur couple, pas que certains voyaient 2 hommes ensemble mais plutôt, vu que Gwen faisait bien plus jeune que 20 ans, ils se demandaient pourquoi un homme mure enlaçait tendrement une jeune adolescente qui devait être mineure, surtout que Gwen avait mis le paquet coté sexy, jean slip taille basse moulant outrageusement son petit cul, un top à fines bretelles faisant ressortir ses pointes de tétons tendus sous le tissu, des sandales à lanières et sa longue chevelure blonde et lisse tombant sur son dos, lui donnant un style de Lolita à faire bander un curé.
- Tu es magnifique Gwen, t’as du te faire draguer dans l’avion.
- Bah j’avoue qu’il y a eu quelques tentatives mais je m’en suis débarrassé assez facilement en jouant la blonde froide et prétentieuse hihihi.
- Ah ah ah ah, ça j’en doute pas, j’ai pu déjà constaté cette attitude lors de notre première rencontre.
- Oui c’est vrai mais je me suis rattrapé depuis non ?
- Oh oui tu t’es très bien rattrapé et tu hantes mes nuits depuis…Après une demi-heure de voiture, ils arrivèrent devant la marina de Monaco, un voiturier est venu prendre la voiture et les 2 amoureux s’engagèrent sur le ponton ou étaient alignés de superbes yachts, arrivant au bout du ponton Paul s’arrête face à une passerelle devant un bateau gigantesque.
- C’est le tien ?
- Oui, pourquoi ?
- Il est… très grand, immense.
- C’est un 55 pieds… enfin 16,75 m à peu près.
- Mais on peut vivre là-dessus, c’est dingue.
- Eh oui et c’est ce qu’on va faire tout les 2 ce week end.
Il pose la valise de Gwen sur le bateau, puis revient vers lui, passe un bras sous ses genoux, l’autre sous ses bras et voilà Gwen transportée sur lepont comme une poupée, Paul l’assoit sur son genou, le débarrasse de ses chaussures.
- C’est interdit sur un bateau ma belle.
Il lui tend des « Crocs » blanches.
- C’est tout ce à quoi tu as droit ou pieds nus.
Paul le guide dans le bateau, lui fait la visite, jusqu’à la chambre grande et luxueuse avec une vue magnifique sur la mer.
- Voila votre cabine princesse.
- Juste la mienne ?
- Si mademoiselle veut bien de moi, je partagerais cette modeste couche avec elle.
- Cher monsieur, si j’ai accepté de te rejoindre c’est pas pour dormir seul.
Gwen se colla à Paul pour l’enlacer et lui tendre sa bouche pour un baiser langoureux.
- Installe-toi ma puce, je te laisse te rafraichir après ton vol, nous allons appareiller tout de suite si on veut passer la nuit au mouillage en face de Monaco, tu vas voir on aura une vue magnifique sur la côte.
Après un petit bisou sur son nez mutin, il le laissa installer ses affaires dans les placards et se changer enfilant un short en toile et un polo, les cheveux attachés en queue de cheval. Lorsque Gwen ressort, ils sont déjà dans le chenal, les voiles sont de sortie, un génois tout d’abord et la grand voile ensuite. Paul est installé sur la banquette du skipper et barre d’une main, il y a de la place à ses cotés Gwen s’installe mi-allongée, le dos appuyé contre lui. Mais le bateau prend de la gîte, il glisse, Paul n’hésite pas une seconde, il tient Gwen par la taille, une main sous son sein gauche l’empêchant de tomber sur le pont, Gwen est bien, il sent le souffle chaud de son homme dans son cou, la chaleur de son corps irradie dans le sien, le vent, le soleil, la chaleur et sa position tout contre Paul ont eu raison de lui, il s’endort.
C’est une caresse agréable sur son petit sein qui sort Gwen de ses rêveries, le pouce de Paul va-et-vient sur son sein et agace mon téton, qui se distingue et prend des proportions anormales, il est gonflé et tendu. Une multitude de petits baisers dans le cou lui font ouvrir les yeux, non il ne rêve pas, Paul l’embrasse dans le cou, mais comment peut-il bien savoir que cette caresse le rend folle d’excitation, Paul lui chuchote à l’oreille.
- Si nous ne bougeons pas, dans dix minutes, nous allons nous échouer…- Huuumm, c’est merveilleux, échouer tous les deux en pleine mer.
Il ne me répond pas mais mord doucement la chair tendre de son cou, Gwen se relève en criant.
- Au secours, je suis attaquée par un vampire.
Ils riaient comme 2 ados et quelques minutes plus tard, le bateau est arrimé, le soleil décline vite et commence à se coucher, Paul descend dans le bateau et revient vers Gwen.
- Si mademoiselle veut bien venir, le repas est prêt.
- Ah comme même j’ai faillie attendre hihihi.
- Mille excuses princesse, cela ne se reproduira plus promis, bon sérieusement petite enfant gâtée, si je sors, je pense que c’est toi qui sera le repas des requins du coin.
- Tu n’oserais pas.
- Ne me tentes pas bébé.
Gwen lui offre un grand sourire et se fait câline.
- Je préfère que tu me gardes dans tes bras.
- Si tu es sage…Et il disparaît de nouveau, Gwen se lève et entre dans le bateau, Paul a dressé une table dans le carré, elle est magnifique, tout est prêt.
- Installe-toi chérie.
En passant auprès de lui, Gwen ne peut se retenir, il passe ses bras autour de sa taille et le serre contre lui, Paul l’enlace par les épaules et lui dépose un baiser sur le front comme il le ferait avec une petite fille, Gwen enrage et doucement va s’asseoir. Ils dinèrent les yeux dans les yeux, parlant de tout et de rien, bercés par la houle, il est tard lorsque le dîner se termine. Pendant que Paul va sur le pont pour préparer le bateau pour la nuit en vérifiant les amarres, Gwen va dans la chambre prendre une douche et se glisse dans le lit attendant son homme. La chambre est dans la pénombre juste éclairée par le Sky-dôme qui laisse pénétrer la lumière de la lune, quand Paul revient dans la chambre, voyant Gwen déjà au lit, il a un petit sourire du mâle triomphant.
- Hum, hum, cela sent la passagère clandestine ici.
Il va à son tour prendre une douche et revient tout nu et se couche tranquillement, allongé sur le dos. Gwen se tourne vers lui, se colle à son corps viril, ronronnant comme une chatte. C’est alors que le mâle se met en action, son bras l’enlace et sa main se pose sur ses fesses, Gwen tourne la tête vers son homme qui prend ses lèvres, sa langue entre en contact avec la sienne, elles se retrouvent, se reconnaissent, mais surtout l’une possède l’autre. Pendant ce long baiser, les mains de chacun redécouvrent le corps de l’autre, Paul caresse les fesses de Gwen titillant avec ces doigts son puit d’amour pendant que celui ci entame un va et vient sensuel sur la virilité de son amant lui donnant son volume et sa dureté.
Puis, Paul, en bon mâle dominant prit l’initiative, avec une autorité toute masculine, il bascula sa petite femelle sur le ventre et sans cesser de caresser ce frêle corps, ses mains explorent ses cuisses, remontant vers ses hanches, appréciant son tour de taille de guêpe, remontant vers ses petits seins de fillette qu’elles prennent à pleine main, découvrant un téton érigé, dressé, la technique de Paul est incroyable, il prend entre ses doigts un téton, le serre un peu et l’agace, cette sensation irradie le corps tout entier de la belle, la faisant gémir en déclarant son plaisir.
- Oooooh Ouuiiiiii, tu me rends folle.
- Et je ne fais que commencer ma chérie, j’ai envie de me servir de toi comme d’une femelle.
- Ouiiii mon mâle, je suis ta femelle soumise.
Toujours au dessus de Gwen, Paul avec ses mains, descend sur sa chute de reins puis sur son adorable fessier et atteint son petit trou tout lisse, ses doigts glissent entre les lobes, curieusement celles-ci se séparent, laissant le champ libre à l’accès des doigts inquisiteurs qui trouvent sa corolle, ils courent tout le long, Gwen est tellement excitée qu’il mouille comme une fille. Les caresses cumulées sur son téton et son anus le font chavirer, c’est comme une boule qui se contracte dans son ventre, il se mis à 4 pattes offrant son anus et ses fesses aux mains expertes de Paul.
- Viens mon amour, j’en peux plus, prends moi.
- Vos désirs sont des ordres ma princesse, je vais te faire l’amour et tu seras mienne.
Paul cessa ses caresses, il s’installa entre les cuisses largement ouvertes, instinctivement Gwen les écarte encore plus offrant son trou au sexe de son homme, passe une main entre les deux corps pour toucher le pieu qui va le pourfendre, d’autorité Paul lui retire la main, le gland caresse sa fente humide, puis pousse doucement, la sensation est délicieuse, les mouvements de son amant sont lents et incessants, sa porte intime est entre ouverte par l’imposant gland qui est en lui, un vrai bonheur. Et puis soudain Paul lui porta l’estocade, son sexe le pénétra enfin d’un coup violent lui arrachant un cri aigüe de femelle transpercée par son mâle. La queue énorme l’écartèle, le déchira, la douleur est immense mais, que c’est bon. À peine est-il entré, qu’il reste bien au fond pour laisser sa belle s’habituer à son engin, pour Gwen c’est la sensation énorme que ce sexe bute au tréfonds de sa matrice anale, il le remplit entièrement, totalement, la sensation est incroyable, il a l’impression d’être coupé en deux, sa queue est longue, puissante, il semble que rien ne peut l’arrêter, Gwen souffle, cherche sa respiration, il plante ses ongles dans les draps pour mieux supporter la douleur de cette pénétration, cet homme est trop fort, ce n’est pas un sexe qu’il a, c’est une batte de base-ball.
- T’es prête pour la chevauchée ma belle ? Une semaine sans ta petite chatte de mec, je vais pas me retenir, je vais te défoncer comme jamais.
- Prends-moi maintenant mon chéri.
Gwen le supplia de le baiser et Paul ne se fit pas prier, il commença ses va-et-vient doucement pour commencer, Gwen haletait comme une petite chienne en chaleur, l’énorme engin dilatait son anus, il pouvait sentir le frottement de son canon sur chaque paroi intérieure, il perdit très vite le contrôle de son corps, il se sentait faible en-dessous de ce corps musclé et cela décuplait son excitation, en criant son plaisir. Les va-et-vient se firent plus puissants, à chaque coup de boutoir un « clac » retentissait suivi d'un cri de plaisir de Gwen, les cuisses musclées de Paul lui permirent d'accélérer la cadence, la bite était si longue qu'elle tapait contre le fond de son fourreau, Gwen se faisait littéralement défoncer la chatte et il ne pouvait plus contenir son bonheur. Des vagues de plaisirs le frappaient alors que ses vocalises partirent dans les aigus, il devint comme possédée. Son orgasme anale fut d'une violence si inouïe que Paul dut arrêter son martèlement, il se retira, observant Gwen se tordre de plaisir alors que tous les muscles de son corps se contractaient.
- Ooooohhh Ouuuiiiiiiiiii.
Il se tordait, se retournait, mordait les draps tant l'orgasme le ravageait, il ne savait plus où il était, perdant toute notion du temps. Paul, un sourire de vainqueur en coin, le vit se débattre ainsi pendant une bonne minutes. Gwen sortit peu à peu de sa torpeur, les yeux à moitié ouverts, il mit un bon moment à reprendre ses esprits. Sans un mot, Paul vint s'allonger à côté de lui.
- Tu m'as démonté, tu m’as baisée comme un dieu, c’était juste trop bon.
- J’ai cru que t'allais mourir de plaisir, j’ai eu du mal à tenir, tétait tellement sexy quand tu criais.
- T’as pas encore joui ?
- Non, mais pas loin, pourquoi t'en veux encore ? Petite coquine.
C'est à ce moment-là que Gwen se rendit compte que l'énorme bite était dressée comme un obélisque, comme si elle attendait que quelqu'un s'empale dessus. L'idée ne lui paraissait pas mauvaise et il enjamba son homme, posant ses belles petites fesses bien rondes sur ses cuisses et se mit à se frotter contre lui, la sensation était très agréable. Il présenta le gland palpitant à l'entrée de son anus et glissa lentement vers le bas, il adorait le picotement de que cela produisait et ne put retenir ses gémissements alors qu’il descendait, centimètre par centimètre, sur l'énorme mandrin de son mâle, sa respiration s'accéléra, il n’arriva pas jusqu'au bout de la grosse bite et entama alors des va-et-vient, il remontait puis se laisser empaler sur l'énorme pieu, et à chaque retombée, son plaisir était décuplé. Peu à peu, il prenait dans son anus de plus en plus de centimètres jusqu'à ce qu’il parvienne finalement à tout prendre, il était assis sur lui, avec sa bite fourrée jusqu'au fond de son fourreau.
Il s'arrêta un instant, et vit Paul le regarder d'un air impressionné, il était complètement remplie et adorait cette sensation de plénitude, il commença alors à bouger ses hanches d'arrière en avant. Dans cette position, le petit corps sportif de Gwen était parfaitement mis en avant.
Paul pouvait sentir ses fesses rondes lui caresser le bassin, il admirait sa taille fine et remarqua que son ventre plat se dessinaient très bien alors qu’il ondulait sur lui, son corps cambré mettait en avant ses petits tétons, il en attrapa un en se mit à le titiller. Quelle petite femelle magnifique, il sentait la pression dans sa bite monter d'un cran, en bon mâle dominant il décida de reprendre les choses en main.
Il proposa de changer de position et de prendre Gwen en missionnaire, celui-ci se mit sur le dos jambes bien écartées et Paul se positionna entre ses jambes, les releva pour bien dégager le trou de la belle puis introduisit son membre bien raide dans son intimité sans ménagement, excité comme un taureau en rut, il commença à le baiser sauvagement, chaque coup de rein se traduisait par un tremblement du corps de Gwen qui haletait, couinait, gémissait et criait son plaisir de femelle. Il adorait cette position, il se sentait comme une fille qui avait besoin de satisfaire ses besoins primitifs, il ne pensait plus à rien, il voulait juste se faire baiser jusqu'à satiété.
- Ooooohhhh mon dieu, vas y défonce moi, suis ta salope.
Ces mots crus semblaient avoir un effet sur Paul qui redoubla d'efforts, Gwen s’agrippait au bras musclés de son pourfendeur pour ne pas flancher sous les coups de massue, soudain, Paul se saisit de ses cheveux, la douleur provoqua chez Gwen une surexcitation, il était au bord de l'orgasme. Encore quelques coups de ce gourdin sur dimensionné et les portes du paradis allaient s'ouvrir à lui, Paul aussi semblait à la limite de l'orgasme, il grognait bruyamment. L'orgasme les frappa en même temps, tous les membres de Gwen se mirent à trembler convulsivement, ses yeux partirent en arrière et son corps tout entier était occupé par la jouissance, Paul serrait les dents alors que son membre viril crachait tout ce qu'il avait retenu jusque-là, fécondant sa femelle de son jus de mâle, il s'écroula de tout son poids sur Gwen et les deux restèrent ainsi de longues minutes, haletant, leurs orgasmes simultanés mirent du temps à s'estomper, ils s'endormirent dans les bras l'un de l'autre.
C’est un rayon de soleil à travers le sky-dôme qui réveille Gwen, il est dos à son homme, un bras l’encerclant par la taille et une main posée sur sa hanche, le sexe de Paul au repos contre ses fesses lui rappelle la présence à ses cotés d’un mâle, de son homme, de son amoureux, encore endormi. Il se dégage délicatement de son emprise pour se retrouver face à lui, admirant son homme, son visage viril, son corps d’athlète malgré ses 30 ans sans un gramme de graisse et bien sur sa queue qui même au repos est lourde et imposante, sa bite est à portée de main, il la prend et la masturbe doucement et délicatement, elle commence à grossir, Gwen en petite gourmande se déplace vers l’engin, et dire qu’il c’est régalée de cette belle verge une partie de la nuit, sa vue l’obsède, la regarde avec envie, la contemple, une queue qui grossit encore et qu’il peine maintenant à tenir dans sa petite main, il ne peut s’empêcher de déposer un petit bisou sur le bout du gland écarlate à la peau lisse. Approchant son visage de cette chose douce et dure à la fois, il la couvre de baisers avec amusement, la branle doucement, décalotte le gland, l’humecte de sa langue pointue. Il commence à la lécher, arrondissant ses lèvres, le prend dans sa bouche chaude, ses commissures sont étirées car la bête est d’un volume conséquent, il la gobe malgré tout, la déguste, tout investi dans ses caresses, il sursaute de surprise quand il sent une main lui caresser les cheveux et se poser sur sa tête. Le mâle est réveillé, sa main empoigne vigoureusement la longue chevelure de sa belle pour imprimer un rythme plus viril à la fellation, enfonçant sa queue bien au fond de sa gorge l’étouffant presque, les larmes aux yeux Gwen laisse son membre sortir de sa bouche pour reprendre mon souffle, Paul le rattrape par les cheveux, tirant doucement sa tête vers lui comme s’il ne voulait pas que sa caresse cesse.
- Laisse-moi respirer un peu s’il te plaît.
- Excuse-moi ma chérie, c’est trop bon, continue ne t’arrêtes pas.
Gwen reprend de plus belle sa fellation, il le suce avec application, titillant le gland imposant de la pointe de sa langue, parcourant la tige gonflée,dure et cernée de veines saillantes, la queue saute dans sa bouche, il la sens se gonfler, prendre encore plus de volume. Un gémissement de satisfaction de Paul l’encourage dans sa manœuvre. Des gouttes de liquide séminal s’échappent de la petite fente qui orne la tête du gland, il s’empresse de laper la liqueur de l’homme qu’il aime, il a bon goût, en même temps sa main droite continue de caresser doucement les grossestesticules velues et tendues, sa main et sa langue conjuguent leurs actions pour accentuer, exacerber le désir de Paul, alternant coups de langue, caresses manuelles et buccales tout le long de son sexe et sur le gland, l’envie de Paul se fait de plus en plus pressante, percevant des spasmes dans sa verge.
- C’est bon, très bon, trop bon, je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir très longtemps ma puce.
Gwen abandonne la verge de son homme et le regarde amoureusement, la tête posée sur l’oreiller, il le regarde aussi tendrement, Gwen le reprend en bouche tout en le regardant droit dans les yeux, Paul lui sourit et s’abandonne complètement à sa femelle, sa main retrouve sachevelure, glissant ses doigts dans ses cheveux, les agrippant virilement- Gwen, mon amour, suce-moi encore.
Gwen ouvre la bouche pour lui répondre mais Paul en profite, sans violence, pour lui renforcer sa queue dans sa bouche, maintenant sa tête avec sa main d’un mouvement lent du bassin, Gwen en bonne femelle vaincue et soumise, entame la fellation attendue par son mâle, qui n’a pas besoin de le forcer tellement son envie de le sucer est grande, envie de sexe, de ce sexe qu’il lui offre. L’engouffrant dans sa bouche, il suce avidement son compagnon qui enfonce sa queue le plus profondément possible dans sa gorge, sa langue s’enroule autour de cette chaude colonne, le gland est tellement turgescent que Gwen manque d’étouffer. Paul ne cesse de grogner doucement, Gwen sens le bonheur qu’il offre à son homme, à l’homme qu’il aime, les yeux fermés, les lèvres humides, il absorbe consciencieusement le membre triomphant, qui se gonfle encore, qui devient de plus en plus gros, de plus en plus long, bref de plus en plus imposant, annonçant les prémices d’une éruption, des tremblements pré-orgasmiques, ponctués par de petits gémissements, son corps s’agite, se crispe, se tend, il lutte sans volonté, plaquant le visage de la belle contre son pubis.
- Aaaarrh, ouiiiiiii, je jouis, petite salope.
Le cri du mâle, bestial, guttural, la première giclée est fulgurante, elle se fracasse dans les profondeurs de sa gorge, puis une autre vient tapisser son palais, sa langue, d’autres suivent, sa bouche sature, il déglutit doucement, aspire, lèche son gland dans un dernier baiser et, presque à regret libère ce mât triomphant qui doucement perd de sa superbe. Malgré sa déglutition, les jets répétés ne lui ont pas permis d’avaler toute cette production, le surplus dégouline le long de la hampe, lui poisse la main et souille le pubis de Paul, il finit de déguster la semence mâle, légèrement salée, il lève les yeux vers Paul, son visage respire la sérénité et la fierté du mâle qui vient de féconder sa femelle, Gwen ne peux pas laisser son homme dans cet état, alors, consciencieusement, il reprend en bouche le sexe masculin qui perd un peu de sa fermeté, le nettoie, le lèche pour faire disparaître toute trace de semence, une fois la verge propre, il continue et nettoie aussi de la langue le pubis, les testicules et les cuisses de Paul qui ouvre les yeux et lui dit.
- Oh bébé, c’était merveilleux, quel réveil, je veux ça tout les jours.
- Ca t’as plu ?
- Tu plaisantes, personne ne c’est occupé aussi bien de moi avec sa bouche.
- Je suppose que c’est un compliment alors.
Paul ne peut retenir un rire en caressant tendrement la longue chevelure blonde de Gwen qui, allongé contre le corps de son amant, a toujours dans sa main son sexe au repos, il ne peux pas se retenir de jouer avec, la réaction de l’homme ne se fit pas attendre, sa main se lève de sa hanche et retombe en claquant sur les fesses de l’impertinente femelle.
- Soit sage petite fille si tu veux pas que la bête se réveille.
- Je crois que j’ai très envie de voir la bête se réveiller.
- Chère petite demoiselle, vous n’avez pas honte, dévergonder un homme de mon âge.
- Te dévergonder ? Tu plaisantes, j’espère, c’est toi le pervers qui guide un petit adolescent innocent sur les chemins de la perversité.
Pour toute réponse, une deuxième claque retentit sur ses fesses.
- Petite cochonne, tu ne penses qu’à ça.
- J’avoue mon amour, oui je ne pense qu’à ta belle queue.
- allé viens ma belle, on va prendre une douche avant le petit déjeuner.
Paul se lève et emporte Gwen dans ses bras pour rejoindre la salle de douche, une fois propres ils montèrent vers le pont ou ils prirent un copieux petit déjeuner bien mérité, le week end ne faisait que commencer pour les deux tourtereaux et la journée s’annonçait pleine d’amour et de plaisir.
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe, à quand la suite ?
Les histoires mêlant domination (même soft) et romantisme sont plutôt rares, que ce soit hétéro, lesb ou gay.
Qui plus est, l'histoire (3 ep.) est bien écrite, en bon français et quasi sans fautes, ce qui est encore plus rare.
Ne laissez pas une histoire comme ça sans suite et sans fin.
Les histoires mêlant domination (même soft) et romantisme sont plutôt rares, que ce soit hétéro, lesb ou gay.
Qui plus est, l'histoire (3 ep.) est bien écrite, en bon français et quasi sans fautes, ce qui est encore plus rare.
Ne laissez pas une histoire comme ça sans suite et sans fin.