Ha la jeunesse - histoire érotique

La fin de semaine dernière une amie me demande si je pouvais garder sa fille chez elle . Cette enfant je l'ai vu grandir, maintenant elle avait tous les atouts d'une vraie femme. Le vendredi soir je me présente chez elle, aprés les recommendations d'usage elle m'informe que Gabrielle (c'est sa fille) est sortie et qu'elle sera de retour vers 23 hre et qu'elle a invitée son amie Estelle à passer la fin de semaine.
Aprés le départ de Johanne je m'installe et je regarde la t.v. Vers 10hre 30, je vais me coucher, elle m'a dit de dormir dans son lit. Peu aprés 23 hre, gaby est arrivée avec son amie, je les entendais discuter sans comprendre leur discusion. Vers minuit j'ai entendu la douche et leur rire car la chambre de bain a une porte communicante avec la chambre des maîtres. Elles prenaient leur douche ensemble et à travers la porte je percevais trés bien leur rire. J'avoue que de savoir que derière cette porte 2 nymphettes étaient nues m'excitait et machinalement je me caressais. Bandé, je me suis levé pour jeter un coup d'oeil par le trou de la serrure. Quel spectable ! les deux avaient des jambes qui n'en finissaient plus, un cul, deux culs magnifiques et des seins fermes. Ce spectacle me fit bander bien dur mais la crainte qu'elles sentent ma présence, je suis retourné dans le lit tout en cherchant la boite de papier mouchoir et là malgré mes 50 ans je me suis crossé comme un petit gars de 15 ans.
Le lendemain matin, pour moi levé tôt, les filles elles ont dormi une partie de la matinée, c'est de leur age. Vers 11 hre je les vois apparaitre dans la cuisine pendant que je suis en train de lire le journal. Gaby n'est vétue que d'une nuisette qui laisse voir au moindre mouvement ses seins tandis que son amie porte un t-shirt qui lui descend a mi fesses. Je sens que je bande. Je leur demande ce qu'elles mangent pour déjeuner, elles veulent des crèpes, je me leve en espérant qu'elles ne s'attardent pas à regarder mon entre-jambe, elles ne font aucune remarque cependant.
Gaby va s'installer devant la fenétre, c'est alors qu'Estelle lui dit que de la façon qu'elle est placé on voit comme si elle était nue, tout en me demandant mon avis, je me retourne et je la regarde et elle, innocenment, me demande si c'est vrai, moi je rougis et bande de plus en plus. Gaby se léve debout, vient vers moi et demande à Estelle d'aller s'installer devant la fenêtre. Estelle s'execute mais le soleil ne traverse pas le coton de son t-shirt et lui dit "tu m'a fait marché on voit pas à travers".
On est en juin, ce sont les premières chaleurs, les filles decident pour ce faire bronser. Elles disparaisent quelques minutes pour ensuite revenir revètues chacune d'un bikini en se faisant des commentaires que depuis l'an dernier elles ont changées et que leur bikini est trop petit, mais c'est pas grave elles se font juste bronser dans la cour arrière et que les voisins n'ont pas de vue sur la cour. Pendant tout ce temps je sens ma queue qui raidit. Je les observe qui S'intallent, me montrant leur cul ou leurs seins dans ces bikinis trop petits. Gaby m'appelle et me demande de lui mettre de la crème solaire. Elle est étendue sur le dos, elle a rentré sa culotte dans sa raie, j'ai devant moi ses deux fesses rebondissantes. A mon approche elle remonte ses cheveux et me demande de détacher son soutien-george avant de la crémer. Je lui creme le dos et me dis "les jambes aussi". Je débute par les chevilles en remontant mais j'hésite, elle ouvre les jambes en me disant de ne pas oublier les cuisses autant à l'extérieur qu'à l'intérieur et la partie visible de ses fesses. En changeant de position Estelle me regarde et dit Gaby "tu lui fait de l'effet au vieux il est bandé et je ne suis par certaine qu'il va pouvoir terminer son travail et qu'il va me crémer avant de décharger dans ses bobettes". Gaby me dit "tu as oublié mon entre-jambe" tout en remontant son cul. Excuses-moi il faut que je fasse une pause sinon la nature... à ces mots Estelle s'est levée, a attrappé mon short le baissant, laissant apparaitre au rayon du soleil de juin ma graine bandée et joignant le geste à la parole "crème-là pendant ce temps je te crosse le vieux, d'ailleurs t'es gros comme un petit gars de 14 ans (je suis petit et menu). Voulant faire durer le plaisir je lui attrape la main pour ralentir le mouvement, le stopper et toujours en lui tenant je fais repartir le mouvement mais dans l'action ma main c'est placé directement sur ma queue et la sienne par-dessus tout en suivant mon mouvement et en regardant Gaby me dit "tu crosse le vieux en enlevant sa main" et moi de continuer en me déchargeant dans les mains sous leurs rires moqueurs.

A suivre