Haka, fin du monde
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Haka, fin du monde
La fin du monde est enfin terminée. Les curieux amateurs de sensationnel sont partis. En un sens, dommage, j’avais d’excellents rapports avec un d’eux en particulier. La chaine japonaise NHK l’avait envoyé en mission de reportage. Sans moyen de logement il avait trouvé abri chez ma grand mère, à Quillan. Hako plutôt grand pour son origine avait de sérieux atouts. Au départ ses mains attiraient le regard. Puis ses lèvres qui me tentaient.
Un soir nous nous sommes croisés quand je partais. Comme ça, je lui ai souri. Puis, c’est lui qui a cherché à me voir longuement. Nous avons diné une fois chez mon aïeule avant de continuer seuls. Je ne regrette pas la suite, sauf son départ.
Au début nous nous sommes embrassés comme des malades. Il avait envie de moi ou de baiser : il bandait au point que je le sentais contre mon ventre. J’avais un peu envie, j’ai eu envie simplement. J’étais très serrée contre son ventre. En remuant l’abdomen, je le sentais réagir comme je le voulais. Mes fesses étaient sous ses mains : il me massait longuement.
Je me suis avancé en commençant à sortir sa chemise du pantalon. Je n’osais pas aller trop loin en me méfiant de son hypothétique pudeur asiatique.
Il devait laisser tout ce qu’il avait de moralité chez lui quand il a mit sa main sur la chatte. Je sentais qu’un doigt douchait ma féminité. Ma robe se pliait en dedans selon sa volonté.
Hako devait sentir que j’étais mure, qu’il n’avait qu’à me cueillir. J’ai pu le faire venir chez moi. La nuit qui arrivait devenait presque courte. Sa queue était plus grosse que ce que je pensais, disons qu’elle était normale, à peine courbée vers la gauche. Sans me le demander il levait ma robe, la faisait passer sur la tête. J’étais presque nue dessous. Hako n’étais guère plus gentleman qu’un compatriote. Il m’a mise nue rapidement.
Il faisait encore frais, j’avais la chair de poule, même sur les seins. Quand il a embrassé mes tétons je me tendais vers lui : qu’il me baise vite. Il s’attardait sur mes seins.
Je le voulais, je lui prenait la queue dans le main. En le masturbant lentement, je découvrais un gland à peine moins rutilant que ceux que je connaissais.
Il m’a tourné le dos contre lui. Ses mains continuaient leurs caresses. Je n’arrivais que difficilement à lui prendre la pine. J’avais envie de lui en moi, je le voulais dans mes gaines, n’importe laquelle.
Il m’a fait pencher en avant. J’attendais son attaque vers mon cul. J’étais totalement pliée devant lui, je sentais sa bite entre mes fesses. Il pouvait m’enculer, j’aime. Mes mains touchaient mes pieds. Drôle de position pour une baise.
Il venait enfin, je sentais sa queue venir en moi par devant. Il tenait mes hanches, battais la cadence avec ses couilles. Normalement je prends mon temps pour jouir, là j’étais partie presque quand il entrait. Il m’a donné deux orgasmes avant qu’il parte : je le sentais jouir.
Hako m’a faite relever: il bandait encore. Il ne me demandait rien, je me suis penché sur lui, j’ai pris sa queue dans la bouche. Ses mains sont venues sur mon crane. Il ne me guidait pas, il prenait son pied sans un mot. J’ai mis un bon moment avant qu’il jouisse encore. Sa semence n’étais pas très importante, bonne au gout.
Je me suis couchée sur mon lit. J’avais envie de jouir : je ne suis masturbée sans honte devant lui. Hako devait admirer le spectacle. Il venait lécher ma chatte. Que sa langue était agile sur le clitoris. Il me regardait prendre mon pied, je le regardais me lécher. Pour être plus à l’aise, je passais mes jambes sur lui. Je le faisais descendre pendant que je jouissais encore.
Le matin se levait, Hako bandait: je me suis donnée encore une dernière fois. Il m’a enculée lentement comme à regret. Son sperme s’est perdu dans mes boyaux. Je jouissais encore quand il partait vers son pays.
Un soir nous nous sommes croisés quand je partais. Comme ça, je lui ai souri. Puis, c’est lui qui a cherché à me voir longuement. Nous avons diné une fois chez mon aïeule avant de continuer seuls. Je ne regrette pas la suite, sauf son départ.
Au début nous nous sommes embrassés comme des malades. Il avait envie de moi ou de baiser : il bandait au point que je le sentais contre mon ventre. J’avais un peu envie, j’ai eu envie simplement. J’étais très serrée contre son ventre. En remuant l’abdomen, je le sentais réagir comme je le voulais. Mes fesses étaient sous ses mains : il me massait longuement.
Je me suis avancé en commençant à sortir sa chemise du pantalon. Je n’osais pas aller trop loin en me méfiant de son hypothétique pudeur asiatique.
Il devait laisser tout ce qu’il avait de moralité chez lui quand il a mit sa main sur la chatte. Je sentais qu’un doigt douchait ma féminité. Ma robe se pliait en dedans selon sa volonté.
Hako devait sentir que j’étais mure, qu’il n’avait qu’à me cueillir. J’ai pu le faire venir chez moi. La nuit qui arrivait devenait presque courte. Sa queue était plus grosse que ce que je pensais, disons qu’elle était normale, à peine courbée vers la gauche. Sans me le demander il levait ma robe, la faisait passer sur la tête. J’étais presque nue dessous. Hako n’étais guère plus gentleman qu’un compatriote. Il m’a mise nue rapidement.
Il faisait encore frais, j’avais la chair de poule, même sur les seins. Quand il a embrassé mes tétons je me tendais vers lui : qu’il me baise vite. Il s’attardait sur mes seins.
Je le voulais, je lui prenait la queue dans le main. En le masturbant lentement, je découvrais un gland à peine moins rutilant que ceux que je connaissais.
Il m’a tourné le dos contre lui. Ses mains continuaient leurs caresses. Je n’arrivais que difficilement à lui prendre la pine. J’avais envie de lui en moi, je le voulais dans mes gaines, n’importe laquelle.
Il m’a fait pencher en avant. J’attendais son attaque vers mon cul. J’étais totalement pliée devant lui, je sentais sa bite entre mes fesses. Il pouvait m’enculer, j’aime. Mes mains touchaient mes pieds. Drôle de position pour une baise.
Il venait enfin, je sentais sa queue venir en moi par devant. Il tenait mes hanches, battais la cadence avec ses couilles. Normalement je prends mon temps pour jouir, là j’étais partie presque quand il entrait. Il m’a donné deux orgasmes avant qu’il parte : je le sentais jouir.
Hako m’a faite relever: il bandait encore. Il ne me demandait rien, je me suis penché sur lui, j’ai pris sa queue dans la bouche. Ses mains sont venues sur mon crane. Il ne me guidait pas, il prenait son pied sans un mot. J’ai mis un bon moment avant qu’il jouisse encore. Sa semence n’étais pas très importante, bonne au gout.
Je me suis couchée sur mon lit. J’avais envie de jouir : je ne suis masturbée sans honte devant lui. Hako devait admirer le spectacle. Il venait lécher ma chatte. Que sa langue était agile sur le clitoris. Il me regardait prendre mon pied, je le regardais me lécher. Pour être plus à l’aise, je passais mes jambes sur lui. Je le faisais descendre pendant que je jouissais encore.
Le matin se levait, Hako bandait: je me suis donnée encore une dernière fois. Il m’a enculée lentement comme à regret. Son sperme s’est perdu dans mes boyaux. Je jouissais encore quand il partait vers son pays.
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