Hélène et les imprévus de la grossesse

- Par l'auteur HDS Bertrand44 -
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Récit libertin : Hélène et les imprévus de la grossesse Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Hélène et les imprévus de la grossesse
Voici Hélène, jolie brune de 25 ans, pas un top-modèle mais l’exemple parfait de la « girl next door », la voisine mignonne qui fait rêver beaucoup d’hommes même si son attitude ne laisse jamais la place à la moindre ambiguïté. Un visage plaisant en partie dissimulé par des lunettes, soignée, toujours discrètement maquillée, beaucoup d’élégance, elle est toujours dans le contrôle et la retenue ce qui lui donne un petit côté bourgeois voir un peu coincé.

Cette jolie tête sage est posée sur un corps façonné par plus de 15 ans de tennis à haut niveau. Une silhouette tonique et harmonieuse, une poitrine pas très volumineuse mais ferme et fièrement dressée, un ventre plat et surtout de superbes jambes musclées et un fessier parfaitement bombé qui se fait s’en retourner plus d’un et même plus d’une. Son éducation bourgeoise stricte lui a enseigné la modestie et la pudeur ce qui l’empêchent de juger ce corps à sa juste valeur et d’avoir réellement conscience de l’attrait qu’elle exerce sur les hommes.

La question de savoir si son corps mérite des louanges se pose encore moins, pense-t-elle, depuis qu’elle est enceinte. Après 9 ans ensemble ils ont effectivement décidé avec Anthony son premier vrai amour et, comme souvent quand on se rencontre tôt, le seul amant qu’elle ait connu, de mettre en route leur premier enfant.

Si elle savait que son corps allait changer, avec des seins qui n’ont plus rien de petits puisqu’ils ont au minimum doublé de volume, elle ne s’attendait pas à ce que les hormones dérèglent complètement sa libido. Elle, la jeune femme pudique et pour tout dire pas plus intéressée que ça par la chose, y trouvant du plaisir à condition qu’Anthony ne lui propose que des pratiques très classiques, se retrouve bouleversée par des envies constantes et quasi incontrôlables.

Anthony avait été dans un premier temps ravi de ce regain de libido, sans se douter de son ampleur, mais si l’envie est présente chez Hélène, le poids de son éducation et de ses blocages l’empêche d’accepter quand son amour lui propose d’essayer des pratiques un peu plus osées et stimulantes pour lui. Passé les deux ou trois premiers mois, l’absence de nouveauté et un surplus d’activité au travail avaient fait baisser la motivation de monsieur et d’un rapport par jour ils étaient revenus à un rythme dépassant rarement un par semaine.

Si la libido d’Anthony est redescendue, la frustration n’a fait que renforcer encore celle d‘Hélène. Elle est continuellement assaillie de pensées érotiques, elle s’imagine prendre un sexe dans sa bouche ou sentir une verge au fond de son intimité. Alors que l’idée même de l’adultère lui était totalement étrangère quelques mois auparavant elle
est désormais réveillée toutes les nuits par des rêves où elle fait l’amour avec des collègues, des voisins ou même des étrangers. Elle essaye bien de calmer ses envies en se masturbant, allant même jusqu’à s’enfermer dans les toilettes au travail quand l’envie devient intenable, étouffant quand bien que mal ses gémissements, mais
l’apaisement obtenu par ces orgasmes solitaires est de courte durée et chaque fois l’envie revient toujours aussi puissante, toujours aussi impérative.

Sans pouvoir formuler clairement cette pensée, l’idée de céder aux avances d’un autre homme s’impose de plus en plus à elle. Elle se sait incapable de prendre les devants ou même de répondre clairement aux avances d’un homme, elle espère donc qu’elle croisera quelqu’un qui sera assez entreprenant voir dominant pour la prendre sans trop
lui demander son avis, l’absence de refus étant tout ce qu’elle se sent capable d’offrir.

Ce 10 juillet aura été compliqué pour Hélène, la chaleur est difficile à supporter arrivée à 7 mois de grossesse. Elle a mis une combinaison short sans manche pour avoir le moins de tissu sur elle mais la contrepartie c’est le nombre d’yeux masculins posés sur sa peau nue. Ces regards importuneraient la sage Hélène mais mettent l’autre Hélène,
celle que les hormones transforment en nymphomane, dans un intense état d’excitation, à chaque fois qu’elle remarque un homme la vue posée sur ses cuisses ou son impressionnant décolleté elle a la sensation qu’une brûlure part de la zone ainsi épiée pour venir enflammer son ventre.

A presque 19h elle est seule dans les bureaux, obligée de rester pour finir ses tâches quotidiennes qui n’ont pas beaucoup avancées après une journée entrecoupée de trois passages aux toilettes pour tenter de satisfaire ce corps brûlant d’envie. Elle est devant son ordinateur, luttant contre l’envie de se caresser encore une fois, s’accrochant pour
enfin finir son travail. Alors qu’elle s’apprête à céder de nouveau à ses hormones et à faire tomber sa combinaison, elle entend des pas dans le couloir et comprend que son patron est toujours dans les locaux. L’idée que, à quelques minutes près, il l’aurait surprise nue en train de se caresser allume un incendie dans son ventre.

Bertrand est un homme de 50 ans, bien bâti, joliment grisonnant, toujours élégant, en pleine canicule il n’a pas renoncé à porter une chemise impeccable même s’il a ouvert un bouton de plus qu’à l’accoutumée. Il est su isamment sûr de lui pour ne pas avoir à être arrogant ce qui lui donne une prestance qui combinée avec de très beaux yeux
bleus le dote d’un charme certain. Quelques petits compliments bien tournés, suffisamment élégants pour rester courtois, ainsi que quelques regards explicites qu’elle a surpris même s’il est plus discret que ses collègues pas toujours finauds, lui ont fait comprendre qu’elle ne le laisse pas indifférent.

Voyant qu’elle est toujours à son poste il entre dans le bureau pour entamer la conversation.

« Alors Hélène pas trop dur en ce moment avec la canicule ? vous tenez le coup ?

- Oui c’est compliqué, mais bon il faut bien que le travail soit fait même dans mon état

- En tout cas c’est un état qui vous va très bien, je vous trouve resplendissante

- C’est gentil mais je me trouve juste affreuse, je suis énorme et déformée

- Vous ne pouvez pas plus vous tromper, j’ai toujours trouvé que les femmes enceintes
ont un charme inégalable, quand en plus cette femme enceinte est aussi jolie que vous
cela donne un magnifique résultat »

Ces simples compliments, très corrects tout en ouvrant la porte à plus, suffisent à provoquer chez Hélène une nouvelle poussée d’une excitation qu’elle n’a pas eu le temps de calmer, provoquant à son grand désarroi le rougissement visible de ses joues et la libération heureusement plus discrète d’une quantité importante de liquide au
niveau de son entre-jambe. La sensation dans son sexe est tellement intense qu’elle ne peut retenir un profond soupir assez explicite. L’étonnement envahit le visage de Bertrand avant d’immédiatement laisser place à un regard qui ne laisse aucun doute sur ce qu’il se met à espérer.

Il s’avance, passe de son côté du bureau et s’assoit d’une fesse sur le bureau l’autre jambe toujours posée au sol.

« La grossesse c’est forcément beaucoup de bouleversements, c’est fou ce que les hormones peuvent faire, à de nombreux niveaux, visibles ou non, y compris intimes »

Comme elle s’y attendait Hélène est presque paralysée, 25 ans d’éducation et de réserve livrent un farouche combat intérieur à sa libido hors de contrôle, elle réussit malgré tout à répondre un petit :

« Oui ça peut même être très violent »

Bertrand pose sa main sur son poignet qu’elle ne retire pas et continue à parler des effets que les hormones avaient parfois sur les femmes et leurs désirs. Elle ne peut qu’hocher la tête pour acquiescer ce qui est suffisant pour encourager son patron à continuer son approche dans l’hypothèse où il aurait besoin d’encouragements. Se
penchant un peu vers elle il lui pose la main sur sa cuisse nue tout en continuant à parler des femmes enceintes, de leur sensualité, des fameuses envies de grossesses qui ne se limitent pas à la nourriture mais concernent aussi leur sexualité.

Tout le corps d’Hélène le supplie maintenant d’en prendre possession, l’envie est incontrôlable, sa respiration s’est accélérée, des gouttes de sueurs apparaissent derrière ses oreilles. Bertrand remonte lentement sa main le long de sa cuisse sans rencontrer la moindre opposition, lorsqu’il arrive à son sexe il découvre un short trempé à l’entre-jambe, Hélène a tellement mouillé que cela a complètement traversé sa culotte. Abandonnant toute retenue à ce contact humide il s’accroupit devant elle et l’embrasse, baisers qu’Hélène ne lui retourne que très timidement, comme figée en pensant à ce qu’elle s’apprête à faire : tromper son compagnon et coucher avec un autre pour la première fois de sa vie.

Il commence à lui frotter le sexe à travers le tissu mouillé, les soupirs sont remplacés par des gémissements, qui bientôt s’accompagnent de petits cris quand son autre main commence à lui malaxer un sein. Après quelques minutes de ce traitement Bertrand la regarde droit dans les yeux et lui demande :

« Tu veux que je te baisse ? »

Elle hoche la tête mais Bertrand insiste :

« Dis-le, je veux l’entendre de ta bouche,

- « Oui je veux que tu me baisses » dit-elle d’une voix à peine audible

- « Dis-le plus fort

- Oui vas-y baisse-moi » crie-t-elle presque

Son patron la fait se lever avec lui et une fois débout fait rapidement tomber sa petite combinaison short révélant son ventre rebondit, ses lourds seins retenus dans son soutien-gorge de grossesse et sa culotte trempée. Désormais aussi excité qu’elle il lui ôte rapidement ses sous-vêtements, prend quelques secondes pour soupeser et malaxer ses lourds seins de femme enceinte, lèche les larges tétons, puis se met à genou devant elle, soulevant une de ses jambes pour la poser sur le bout du siège de bureau et commence à lécher sa chatte détrempée, la bouche envahie de mouille.

S’agrippant à ses cheveux avec les deux mains elle profite à fond de cette langue qui fouille son intimité. Sa langue remonte ensuite pour s’occuper avec un savoir-faire certain de son clitoris déclenchant ses cris de plaisir, un plaisir intense qui loin de l’apaiser ne fait qu’intensifier son envie de se faire pénétrer. Elle profite de ces sensations qui l’envahissent jusqu’à déclencher un puissant orgasme, elle crie de plus belle pendant que son patron se régale des quantités impressionnantes de cyprine qu’elle déverse dans sa bouche.

Bertrand se relève, s’essuie le visage avec sa manche, l’embrasse profondément pour qu’elle découvre elle aussi le goût de son intimité, baisers qu’elle lui rend cette fois sans retenue, puis d’une pression douce mais franche sur l’épaule lui fait comprendre que c’est à son tour de le satisfaire. A genou devant lui elle l’aide à se déshabiller, une fois
chaussures, chaussettes et pantalon rapidement enlevés elle baisse le boxer pour dégager le sexe de son boss et le prend à pleine bouche. Quel bonheur de sentir une bite dans sa bouche, de la caresser avec sa langue !

« Vas-y, bouffe-moi la bite comme une bonne petite salope »

Elle qui n’a jamais accepté de se faire insulter pendant les rapports avec son compagnon se sent incroyablement excitée et redouble d’énergie, passe du gland à ces belles couilles pendantes et léchant la hampe sur toute sa longueur, enfourne ce sexe tout au fond de sa gorge expérimentant ainsi les joies de la gorge profonde.

Quand les premières gouttes de semence s’écoulent de cette bite dans sa bouche, annonçant une éjaculation prochaine, son patron la relève et la fait se pencher les coudes appuyés sur le bureau. Il recommence à lui lécher le sexe remontant jusqu’à son anus lui offrant encore des sensations totalement inédites. Il se recule un peu, elle si pudique d’habitude attend la suite le cul et le sexe complètement offerts, son ventre plein et ses lourds seins pendant sous elle, un mélange de salive et de mouille coulant de son sexe sur l’intérieur de ses cuisses.

Elle crie quand une grande et cuisante claque atterrie sur sa fesse gauche, rapidement suivie d’une autre sur la droite, la douleur est rapidement remplacée par le plaisir quand cette queue qu’elle a sucée avec tant d’application s’introduit dans son sexe ouvert. Bertrand commence ses vas-et-viens assez lentement accélérant progressivement
jusqu’à la pilonner avec vigueur voir avec violence, ponctuant ses coups de boutoir de quelques nouvelles claques sur ce si joli cul les accompagnant d’insultes et de commentaires :

« Qu’est-ce que tu es bonne Hélène, putain j’adore de baiser »

« Tu aimes ça sentir ma bite dans ta chatte petite cochonne ? »

« J’adore ton cul, je vais bien m’en occuper tout à l’heure »

Hélène elle ne dit rien, encore incapable de parler et préférant se concentrer sur la sensation de ce sexe qui lui remplit enfin le vagin, d’un pouce qui vient régulièrement caresser son petit trou appuyant parfois légèrement, de ses seins qui remuent sous elle. Le plaisir monte par vagues jusqu’à lui provoquer un nouvel orgasme qui secoue tout
son corps.

Bertrand la fait se redresser puis s’agenouiller

« Vas-y suce moi encore un peu » lui ordonne-t-il, « tu aimes ça sucer ma bite n’est-ce
pas ? »

« Oui j’aime ça » parvient-elle enfin à répondre, « j’adore bouffer ta bite » ajoute-t-elle même spontanément.

Elle prend cette queue à nouveau dans sa bouche, l’enfonçant au plus profond de sa gorge, constatant ainsi que la petite Hélène réservée rend progressivement les armes. Elle sent le goût de sa propre chatte sur cette bite ce qui l’excite encore plus.

Après une courte fellation Bertrand la relève pour ensuite la coucher le dos sur le bureau, Il écarte ses jambes de chaque côté et la contemple ainsi offerte, présentant son sexe largement ouvert par l’envie et la séquence précédente de pénétration, son ventre proéminent à la peau tendue, les seins pleins s’étalant au-dessus. Il contemple
son visage, cette jeune femme qu’il voit chaque jour impeccablement soignée et dans le contrôle et la retenue présente un visage totalement transformé par le sexe. Le mascara auparavant discret a légèrement coulé probablement lors des gorges profondes, le rouge à lèvre a disparu au même moment, ses joues sont rouges, son regard trouble, ses cheveux défaits. Elle a maintenant fait tomber ses barrières, être offerte ainsi ne lui
provoque plus de honte mais augmente son désir.

C’est seulement à ce moment là qu’elle réalise qu’ils n’ont pas utilisé de préservatif, qu’elle se fait prendre depuis tout à l’heure sans aucune protection mais Bertrand commence à se frotter contre son sexe et le contact du gland sur son clitoris chasse très vite cette réflexion, se faire baiser étant sa seule préoccupation du moment.

Après ses va-et-vient sur son bouton le sexe de Bertrand la pénètre de nouveau mais sa chatte est désormais tellement ouverte et mouillée que les sensations sont moins vives. Après un moment à la prendre le plus au fond possible tout en lui caressant les seins il prononce ces mots auxquels elle s’attendait mais qu’elle les redoute :

« Ta chatte est trop ouverte je vais prendre ton cul »

C’est une pratique qu’elle a toujours refusé, même un simple doigt, et qui lui a toujours fait peur, mais elle est tellement sous le coup du plaisir, tellement offerte sexuellement à son patron, qu’elle ne peut pas refuser. Hélène se remet donc dans la position précédente, les coudes sur le bureau. Elle sent sa langue venir sur son anus, le stimulant délicatement, un doigt vient alors s’introduire dans son sexe, puis deux, puis trois et enfin quatre tellement elle est dilatée par le plaisir. La sensation de cette langue sur son petit trou et de ces quatre doigts dans sa chatte est divine.

Après quelques minutes elle sent la langue s’éloigner puis un doigt quitter son sexe pour venir dans son anus. Elle se crispe et dit à l’homme derrière elle dont un doigt lui pénètre le cul pour la première fois de sa vie.

« Je ne sais pas s’y je vais y arriver je n’ai jamais fait ça

-Détends-toi, concentre-toi sur le plaisir et relâche au maximum »

Elle s’exécute et se laisse envahir encore par une nouvelle sensation qui relance son désir et l’aide à se détendre. Une fois le premier doigt coulissant librement dans son sphincter, un deuxième le rejoint, elle a maintenant deux doigts dans la chatte et deux dans le cul.

Après quelques minutes les doigts se retirent, laissant une sensation de vide. Elle sent un crachat arriver sur son sillon puis la bite de Bertrand, manifestement très excité à l’idée d’être le premier à prendre possession de son petit trou, qui se pose à l’entrée de ses fesses. Il exerce une pression, progressive mais ferme sur son anus.

Concentrée pour détendre son sphincter au maximum, Hélène est convaincue que cette bite ne rentrera pas mais son excitation est telle qu’elle finit par sentir le sexe s’enfoncer petit à petit. La sensation est très étrange, douloureuse au début mais rapidement un intense plaisir prend la place, son anus se détend alors totalement et Bertrand peut librement faire aller et venir sa bite jusqu’au fond du son cul.

« Oui vas-y encule moi à fond ! défonce-moi le cul ! putain c’est trop bon »

La petite Hélène de ce matin s’est manifestement absentée.

Assez rapidement la vue de son sexe s’enfonçant dans ce cul vierge, la sensation de ce petit trou serré, savoir que plus jamais quelqu’un n’aura la chance de le trouver si étroit, tout cela amène Bertrand au bord de l’orgasme. Hélène sent la bite devenir plus grosse, elle entend les grognements de son patron, elle passe une main sous son ventre pour se caresser le clitoris, se met à crier de plaisir et quand elle entend Bertrand se joindre à ses cris et qu’elle sent le sperme se répandre dans son cul elle est prise du plus intense orgasme qu’elle n’ait jamais eu, des spasmes parcourant tout son corps, ses jambes flagellant sous elle et son sexe se mettant à projeter des jets de liquide sur le sol.

Les deux amants s’assoient directement au sol, leurs jambes les supportant à peine. Le sol est recouvert de mouille, une intense odeur de sexe a envahi le bureau. Une certaine gêne s’installe, tous les deux sont surpris de l’intensité de cette séquence de baise et ne savent pas comment passer à la suite.

« Il va falloir faire un peu de nettoyage sinon ça va être difficile à expliquer à tes collègues demain » plaisante Bertrand pour détendre l’atmosphère. « En tout cas merci c’était un moment exceptionnel »

Une fois une toilette faite dans les sanitaires pour effacer les traces de ce moment sur
son visage, son sexe, ses cuisses et ses fesses, après s’être rhabillée et avoir aidé à finir le ménage commencé par Bertrand pendant qu’elle se lavait, ils ont échangé un rapide baiser avant de se quitter s’en en dire plus.

Hélène se retrouve maintenant seule dans sa voiture pour rentrer retrouver son conjoint à qui il ne faudra rien laisser paraitre. Elle se sent enfin satisfaite, vaguement honteuse mais heureuse d’avoir découvert de nouvelles pratiques même si comme l’aurait exprimé la Hélène de ce matin elle ressent quelques douleurs au niveau anal, « oui bon j’ai mal au cul après la sodo quoi ». Elle se demande si elle pourra reprendre sa sexualité d’avant, pourra-t-elle se contenter d’un missionnaire par semaine ? Elle ne voit pas comment expliquer à son homme qu’elle a soudainement changé au point de pratiquer toutes ces découvertes avec lui du jour au lendemain, sans parler de la peur de passer pour une salope à ses yeux.

Peut-être qu’elle pourra s’en passer, elle se sent enfin rassasiée, elle a calmé sa libido et va enfin pouvoir reprendre une vie normale. Elle se rappelle tout ce qu’il a fallu pour enfin la satisfaire mais au fur et mesure qu’elle y repense, quand elle revoit cette bite qu’elle a prise au fond de sa bouche, la sensation d’une langue sur son petit trou, les doigts dans ses orifices, la sensation d’un phallus dans son sexe puis dans ses fesses, elle sent des
sensations désormais familières revenir.

Le temps d’arriver chez elle son corps lui a fait comprendre que l’apaisement ne durera pas longtemps.

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