Hélène et ses vices - "Mission : Rencontre" ep.01
Récit érotique écrit par Littlesun [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Hélène et ses vices - "Mission : Rencontre" ep.01
Cheveux courts, couleur ébène, lèvres pulpeuses et grands yeux bleus. Taille fine, belle poitrine, joli ventre et des hanches généreuses. T-shirts de groupie, souvent des mini-ventres, jeans serrés à taille basse, boots noirs, piercing au nez et sur la langue et un tatouage derrière l’oreille… Ça, c’est Hélène, 19 ans, fille unique et très rebelle.
En classe terminale, elle a raté deux fois ses examens. Mais Hélène a beaucoup d’autres intérêts, bien meilleurs que les études. Hélène est nymphomane, et elle en est consciente. À 19 ans elle a déjà eu pas mal d’aventures, avec des garçons et des filles aussi. Elle a sucé le cousin d’une amie dans la voiture de son père, elle a léché une chatte sur le balcon de l’appartement de ses parents et elle a baisé avec son copain Antoine dans les toilettes d’une boîte de nuit. Mais Hélène a un fantasme : baiser avec un homme mature.
Hélène a essayé plusieurs fois d’accomplir son fantasme, mais sans succès. À chaque fois, elle croit aux photos qu’ils postent sur les différentes applications de rencontres : beaux, musclé, bien fournis. Et à chaque fois elle se fait avoir. Les beaux hommes musclés sont en réalité des vieillards répugnants, en surpoids et souvent chauve. Et, à chaque fois, elle s’échappe grâce à une excuse. Malgré ses mésaventures, elle accepte une troisième rencontre.
C’est samedi, 19 h 30, et Hélène descend du bus. Dans la petite place, elle se regarde autour avant de faire sortir son portable de son sac à dos. Elle commence à écrire un texto quand un homme s’approche à ses épaules.
— Salut Hélène !
Hélène se tourne, excitée, mais ce n’est pas ce à quoi elle s’attendait. Un homme, pas très beau, lui sourit. Quarante-cinq ans, jean et t-shirt polo, il porte des petites lunettes carrées sur un gros nez épais. Il a l’air d’un geek quadragénaire célibataire qui n’a jamais baisé de sa vie.
— Jacques, j’imagine…
L’homme hoche la tête. Il scrute le corps d’Hélène dans son t-shirt moulant et sa mini-jupe à petite fleurs mauves. Il est clairement excité par ce qu’il voit. Hélène se demande si elle repart comme les deux dernière fois ou pas. Il n’est pas si mal, se dit-elle en le scrutant, il n’a pas un très gros ventre au moins.
— On prend un café ?
Hélène ne répond pas. Jacques commence à suer par le stress. Il sourit, mal à l’aise, et Hélène prend sa décision. Elle veut quand même lui donner une chance.
— Elle est où ta voiture ? Demande soudainement Hélène.
— Dans le parking souterrain en face.
Ça convient à Hélène. Elle lui fait signe de la suivre et elle s’achemine vers le parking. Jacques ne comprends rien, mais il la suit quand même. Les deux rejoignent rapidement la petite Fiat Panda blanche de Jacques et montent sur la voiture.
— On va où ? Il demande en haletant.
— À l'étage inférieur il y a un coin au fond du parking où personne ne se gare, et où une lumière est cassée.
Hélène se tourne vers Jacques qui ne semble toujours pas comprendre.
— Tu ne veux pas baiser ? Elle demande.
Jacques hoche la tête, très excité. Il allume le moteur aussitôt. Hélène connaît bien le parking, elle y vient souvent avec son copain Antoine pour baiser. Jacques stationne la Fiat en marche arrière là où elle lui indique. Cet espace est quasiment vide, il n’y a pas de lumière et pas de caméras de surveillance. Jacques arrête le moteur, éteint les phares et se tourne vers Hélène.
— On fait ça où ?
— Dans le coffre! il répond en la regardant.
— T’a une capote ?
Jacques déconcerté cherche dans ses poches, et Hélène n’a même pas besoin de réponse pour comprendre. Elle prend son sac, fouille à l’intérieur et fait sortir une capote taille magnum. Jacques rigole et secoue la tête.
— C’est trop grand pour moi.
Elle regarde la main de Jacques qui masse son entrejambe. La bosse qu’elle entrevoit est vraiment ridicule. Hélène est encore plus déçue.
— Je peux te la mettre dans le cul ? ose Jacques.
Hélène hésite. Elle n’a vraiment pas envie de prendre de risque. Jacques allonge une main vers Hélène et la pose sur sa cuisse nue, il caresse sa peau et s’insinue sous la jupe. Ses mains sont moites mais douces. Il coule ses doigts vers l’intérieur et les approche des slips d’Hélène. Les dimensions ne compte pas vraiment s'il sait comment utiliser sa bite, se dit-elle.
— T’es clean ? Elle demande pendant qu’il remonte ses jupes.
Jacques hoche la tête, le visage rouge, en sueur. Il a les yeux rivés sur le fond bombé des slips en coton blanc d’Hélène. Elle écarte les jambes et sa bite tressaillit. Il effleure de l’index la vulve toute chaude de la jeune fille et s’attarde un instant à titiller son clitoris d’en-dessous le tissus. Hélène se mort les lèvres et soupir de plaisir.
— Clean clean ? S’assure Hélène.
— Je met toujours des capotes !
— D’accord, elle dit. Tu me la mets dans le cul, mais n’éjacules pas dedans.
Les deux sortent de la voiture et rejoignent son arrière. Jacques ouvre le coffre pendant qu’Hélène fait descendre ses slips. Jacques la regarde, il est nerveux et très bandant. Hélène prend les choses en mains, descend la braguette des jeans de Jacques, faufile sa main dans les slips et peine à trouver la petite bite. Elle la fait sortir et ses couilles aussi. Sa bite est fine et pas plus longue que dix centimètres, ses couilles, par contre, sont épaisses.
Hélène commence à le branler, il râle de plaisir. Une bonne dose de liquide transparent dégorge de son orifice et coule sur son gland. Hélène malaxe ses couilles d'une main et de l'autre s'attarde sur son gland cramoisi. Jacques est en sueur, ses lunettes sont toujours plus embuées : il prend un plaisir énorme. Hélène s’accroupit devant Jacques et prend la bite dans sa bouche. Elle n’a aucune difficulté à la prendre en entier, elle embrasse carrément le pubis de Jacques et y laisse la trace de rouge à lèvres. En malaxant ses couilles, elle commence à le sucer. Jacques geint de plaisir en la regardant. Il s’appuie au mur du parking, cambre le dos pour bien donner sa verge à Hélène et caresse les cheveux soyeux de la petite. Quelques minutes après, une bonne quantité de liquide pré-éjaculatoire gicle dans la bouche d’Hélène qu’elle avale sans problèmes. Jacques est au bout du plaisir, il attrape la lycéenne des bras et la met debout.
À genoux dans le coffre de la petite voiture, les slips enroulés aux chevilles, elle fait ressortir ses fesses en se penchant en avant. La petite l’excite comme jamais. Extasié par ses fesses, sa chatte épilée et aussi par son anus rose pâle, il sait qu’il ne va pas tenir beaucoup. Jacques crache sur l’anus de Hélène, la pénètre du doigt moyen pour la lubrifier et sans trop d’enjolivures il l’encule.
La bite se fait brèche facilement dans l’anus d’Hélène. Elle ne sent presque rien, mais elle essaye tout de même de prendre sa part de plaisir. Hélène couine doucement pendant qu’il commence à la baiser par des va-et-vient rapides et désordonnés. L’anus d’Hélène est serré, mais ne fait pas de résistance. Son cul aspire bien sa bite et elle ne se lamente pas, mais au contraire elle couine de plaisir. Il accélère alors son rythme en claquant les fesses de la petite de son ventre en faisant beaucoup de bruit, chose qui l’excite encore plus.
La voiture se cahote, Hélène gémit et Jacques râle fortement de plaisir. Il remonte le t-shirt de la lycéenne et empoigne ses seins tout ronds et fermes. Hélène commence à masser son clitoris. Elle n’aime pas beaucoup cet ébat, elle ne sent presque plus rien, son cul s’est relâché et la petite bite glisse trop facilement. Les coups de reins se font soudainement plus rapides. Jacques commence à haleter, il crispe ses mains sur les fesses de la petite tout en les écartant. Il regarde sa bite enculer Hélène qui, elle, comprend qu’il va jouir rapidement.
— Pas dedans, elle soupire.
Mais Jacques ne l’écoute pas. Il accélère, la voiture commence à grincer et à se cahoter encore plus fort. La bite sort par deux fois du cul d’Hélène, mais il la renfile aussitôt.
— Éjacule dehors, putain !
Mais il jouit trop vite et bien au fond dans le cul d’Hélène. Elle est déçue par le fait qu’il lui mette son foutre dans le cul, mais aussi parce qu’il a éjaculé après seulement trois minutes de baise. Il reste collé à elle un instant, la respiration sifflante, jusqu’à ce que sa bite se ramollisse vite fait dans l’anus d’Hélène qui l’expulse avec quelques gouttes de foutre. En silence, Hélène descend de la voiture et remonte ses slips pendant que Jacques, assit, reprend ses forces en rangeant sa bite au chaud dans ses caleçons. Hélène prend son sac sous le regard de Jacques.
— Je te raccompagne ?
— Je prend un taxi.
— J’ai adoré ton cul, il chuchote en saisissant Hélène des flancs.
Hélène, quelque peu désappointée, lui sourit malgré elle. Il pince ses fesses et embrasse Hélène sur le cou. Elle le repousse gentiment.
— On se revoit quand? Il demande.
— Je t’appellerai.
Mais elle n’en avait aucune intention. Hélène, à peine sortie du parking, monte aussitôt dans le premier taxi qu’elle trouve et rentre chez elle très déçue, se résignant à l’idée qu’elle ne trouvera jamais l’homme de ses fantasmes.
En classe terminale, elle a raté deux fois ses examens. Mais Hélène a beaucoup d’autres intérêts, bien meilleurs que les études. Hélène est nymphomane, et elle en est consciente. À 19 ans elle a déjà eu pas mal d’aventures, avec des garçons et des filles aussi. Elle a sucé le cousin d’une amie dans la voiture de son père, elle a léché une chatte sur le balcon de l’appartement de ses parents et elle a baisé avec son copain Antoine dans les toilettes d’une boîte de nuit. Mais Hélène a un fantasme : baiser avec un homme mature.
Hélène a essayé plusieurs fois d’accomplir son fantasme, mais sans succès. À chaque fois, elle croit aux photos qu’ils postent sur les différentes applications de rencontres : beaux, musclé, bien fournis. Et à chaque fois elle se fait avoir. Les beaux hommes musclés sont en réalité des vieillards répugnants, en surpoids et souvent chauve. Et, à chaque fois, elle s’échappe grâce à une excuse. Malgré ses mésaventures, elle accepte une troisième rencontre.
C’est samedi, 19 h 30, et Hélène descend du bus. Dans la petite place, elle se regarde autour avant de faire sortir son portable de son sac à dos. Elle commence à écrire un texto quand un homme s’approche à ses épaules.
— Salut Hélène !
Hélène se tourne, excitée, mais ce n’est pas ce à quoi elle s’attendait. Un homme, pas très beau, lui sourit. Quarante-cinq ans, jean et t-shirt polo, il porte des petites lunettes carrées sur un gros nez épais. Il a l’air d’un geek quadragénaire célibataire qui n’a jamais baisé de sa vie.
— Jacques, j’imagine…
L’homme hoche la tête. Il scrute le corps d’Hélène dans son t-shirt moulant et sa mini-jupe à petite fleurs mauves. Il est clairement excité par ce qu’il voit. Hélène se demande si elle repart comme les deux dernière fois ou pas. Il n’est pas si mal, se dit-elle en le scrutant, il n’a pas un très gros ventre au moins.
— On prend un café ?
Hélène ne répond pas. Jacques commence à suer par le stress. Il sourit, mal à l’aise, et Hélène prend sa décision. Elle veut quand même lui donner une chance.
— Elle est où ta voiture ? Demande soudainement Hélène.
— Dans le parking souterrain en face.
Ça convient à Hélène. Elle lui fait signe de la suivre et elle s’achemine vers le parking. Jacques ne comprends rien, mais il la suit quand même. Les deux rejoignent rapidement la petite Fiat Panda blanche de Jacques et montent sur la voiture.
— On va où ? Il demande en haletant.
— À l'étage inférieur il y a un coin au fond du parking où personne ne se gare, et où une lumière est cassée.
Hélène se tourne vers Jacques qui ne semble toujours pas comprendre.
— Tu ne veux pas baiser ? Elle demande.
Jacques hoche la tête, très excité. Il allume le moteur aussitôt. Hélène connaît bien le parking, elle y vient souvent avec son copain Antoine pour baiser. Jacques stationne la Fiat en marche arrière là où elle lui indique. Cet espace est quasiment vide, il n’y a pas de lumière et pas de caméras de surveillance. Jacques arrête le moteur, éteint les phares et se tourne vers Hélène.
— On fait ça où ?
— Dans le coffre! il répond en la regardant.
— T’a une capote ?
Jacques déconcerté cherche dans ses poches, et Hélène n’a même pas besoin de réponse pour comprendre. Elle prend son sac, fouille à l’intérieur et fait sortir une capote taille magnum. Jacques rigole et secoue la tête.
— C’est trop grand pour moi.
Elle regarde la main de Jacques qui masse son entrejambe. La bosse qu’elle entrevoit est vraiment ridicule. Hélène est encore plus déçue.
— Je peux te la mettre dans le cul ? ose Jacques.
Hélène hésite. Elle n’a vraiment pas envie de prendre de risque. Jacques allonge une main vers Hélène et la pose sur sa cuisse nue, il caresse sa peau et s’insinue sous la jupe. Ses mains sont moites mais douces. Il coule ses doigts vers l’intérieur et les approche des slips d’Hélène. Les dimensions ne compte pas vraiment s'il sait comment utiliser sa bite, se dit-elle.
— T’es clean ? Elle demande pendant qu’il remonte ses jupes.
Jacques hoche la tête, le visage rouge, en sueur. Il a les yeux rivés sur le fond bombé des slips en coton blanc d’Hélène. Elle écarte les jambes et sa bite tressaillit. Il effleure de l’index la vulve toute chaude de la jeune fille et s’attarde un instant à titiller son clitoris d’en-dessous le tissus. Hélène se mort les lèvres et soupir de plaisir.
— Clean clean ? S’assure Hélène.
— Je met toujours des capotes !
— D’accord, elle dit. Tu me la mets dans le cul, mais n’éjacules pas dedans.
Les deux sortent de la voiture et rejoignent son arrière. Jacques ouvre le coffre pendant qu’Hélène fait descendre ses slips. Jacques la regarde, il est nerveux et très bandant. Hélène prend les choses en mains, descend la braguette des jeans de Jacques, faufile sa main dans les slips et peine à trouver la petite bite. Elle la fait sortir et ses couilles aussi. Sa bite est fine et pas plus longue que dix centimètres, ses couilles, par contre, sont épaisses.
Hélène commence à le branler, il râle de plaisir. Une bonne dose de liquide transparent dégorge de son orifice et coule sur son gland. Hélène malaxe ses couilles d'une main et de l'autre s'attarde sur son gland cramoisi. Jacques est en sueur, ses lunettes sont toujours plus embuées : il prend un plaisir énorme. Hélène s’accroupit devant Jacques et prend la bite dans sa bouche. Elle n’a aucune difficulté à la prendre en entier, elle embrasse carrément le pubis de Jacques et y laisse la trace de rouge à lèvres. En malaxant ses couilles, elle commence à le sucer. Jacques geint de plaisir en la regardant. Il s’appuie au mur du parking, cambre le dos pour bien donner sa verge à Hélène et caresse les cheveux soyeux de la petite. Quelques minutes après, une bonne quantité de liquide pré-éjaculatoire gicle dans la bouche d’Hélène qu’elle avale sans problèmes. Jacques est au bout du plaisir, il attrape la lycéenne des bras et la met debout.
À genoux dans le coffre de la petite voiture, les slips enroulés aux chevilles, elle fait ressortir ses fesses en se penchant en avant. La petite l’excite comme jamais. Extasié par ses fesses, sa chatte épilée et aussi par son anus rose pâle, il sait qu’il ne va pas tenir beaucoup. Jacques crache sur l’anus de Hélène, la pénètre du doigt moyen pour la lubrifier et sans trop d’enjolivures il l’encule.
La bite se fait brèche facilement dans l’anus d’Hélène. Elle ne sent presque rien, mais elle essaye tout de même de prendre sa part de plaisir. Hélène couine doucement pendant qu’il commence à la baiser par des va-et-vient rapides et désordonnés. L’anus d’Hélène est serré, mais ne fait pas de résistance. Son cul aspire bien sa bite et elle ne se lamente pas, mais au contraire elle couine de plaisir. Il accélère alors son rythme en claquant les fesses de la petite de son ventre en faisant beaucoup de bruit, chose qui l’excite encore plus.
La voiture se cahote, Hélène gémit et Jacques râle fortement de plaisir. Il remonte le t-shirt de la lycéenne et empoigne ses seins tout ronds et fermes. Hélène commence à masser son clitoris. Elle n’aime pas beaucoup cet ébat, elle ne sent presque plus rien, son cul s’est relâché et la petite bite glisse trop facilement. Les coups de reins se font soudainement plus rapides. Jacques commence à haleter, il crispe ses mains sur les fesses de la petite tout en les écartant. Il regarde sa bite enculer Hélène qui, elle, comprend qu’il va jouir rapidement.
— Pas dedans, elle soupire.
Mais Jacques ne l’écoute pas. Il accélère, la voiture commence à grincer et à se cahoter encore plus fort. La bite sort par deux fois du cul d’Hélène, mais il la renfile aussitôt.
— Éjacule dehors, putain !
Mais il jouit trop vite et bien au fond dans le cul d’Hélène. Elle est déçue par le fait qu’il lui mette son foutre dans le cul, mais aussi parce qu’il a éjaculé après seulement trois minutes de baise. Il reste collé à elle un instant, la respiration sifflante, jusqu’à ce que sa bite se ramollisse vite fait dans l’anus d’Hélène qui l’expulse avec quelques gouttes de foutre. En silence, Hélène descend de la voiture et remonte ses slips pendant que Jacques, assit, reprend ses forces en rangeant sa bite au chaud dans ses caleçons. Hélène prend son sac sous le regard de Jacques.
— Je te raccompagne ?
— Je prend un taxi.
— J’ai adoré ton cul, il chuchote en saisissant Hélène des flancs.
Hélène, quelque peu désappointée, lui sourit malgré elle. Il pince ses fesses et embrasse Hélène sur le cou. Elle le repousse gentiment.
— On se revoit quand? Il demande.
— Je t’appellerai.
Mais elle n’en avait aucune intention. Hélène, à peine sortie du parking, monte aussitôt dans le premier taxi qu’elle trouve et rentre chez elle très déçue, se résignant à l’idée qu’elle ne trouvera jamais l’homme de ses fantasmes.
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Les avis des lecteurs
Pas de chance,ou mal cherché!
il aurait pourtant été facile de doubler la mise...hihihi!
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