Hétéro tenté... le goût du risque.

- Par l'auteur HDS Pasal -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Hétéro tenté... le goût du risque. Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Hétéro tenté... le goût du risque.
J’ai tenu bon deux mois ! 60 jours à ne plus avoir envie de baiser Julien, le fils de mon boss. 1400 heures à ne plus repenser à ce plan cul de ouf dans la voiture à 3 h du matin. 84 000 minutes où j’ai vécu en homme hétéro, marié, fidèle et sérieux comme si de rien ne s’était passé cette nuit-là !!!

Vous y croyez ? Ben non, bien sûr ! Dès le lendemain de notre baise torride au bord de cette petite départementale, je recevais un texto de Julien, un sexto serait plus juste, du genre : « Hummm Malik, j’ai adoré ce que tu m’as fait avec ta bonne bite de rebeu, on recommence quand tu veux, le plus vite possible lol ». J’ai bandé direct mais j’ai résisté, je n’ai pas répondu. Il faut dire que je couvais une belle bronchite qui a calmé ma libido pendant quelques jours…
Le week-end suivant, alors que j’allais nettement mieux, mes potes me parlent d’une soirée d’anniversaire de l’un d’entre eux à laquelle je dois assister. Je laisse femme et enfants à la maison et me voilà parti dans un bar avec un groupe de mecs bien chauds pour fêter l’évènement.
On était bien là depuis deux bonnes heures, je n’avais pas trop bu vu que je devais conduire, je vois entrer un groupe de jeunes dont Julien qui me calcule direct. On se fait juste un petit signe, ils partent à l’autre bout de la salle, je le perds de vue. C’est terrible comme, d’un coup, mes pensées vont vers ce que je pourrais faire avec ce sacré beau gosse, je suis soudainement excité et j’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur les discussions. Je sens mon potable vibrer, je reçois un texto de Julien : « Je suis en manque et tout seul aux toilettes » avec une petite photo de lui en train de se doigter… Je ne sais pas pour vous mais moi, j’ai instantanément eu une trique d’enfer et j’ai rien vu d’autre à faire que de le rejoindre le plus vite possible.

Il m’attendait accroupi, dos au mur, face à l’entrée, il me souriait puis s’est mis à passer sensuellement sa langue sur ses lèvres. Je ferme la porte et mets le verrou, j’avance vers lui tout en déboutonnant ma braguette. Arrivé devant lui, il lève les yeux pour me regarder, je lui souris à mon tour, il entre une main dans mon pantalon et sort ma bite déjà bien raide. Il ouvre la bouche en grand, tire la langue et frappe ma bite dessus, ça claque fort, j’adore ! Il se met ensuite à lécher le gland, la pointe de sa langue titille le méat et récupère une grosse goutte de liquide pré-séminal trahissant l’ampleur de mon excitation. Il lèche toute la hampe puis arrive à mes couilles et se met à les faire sautiller avec sa langue, il les lèche et fini par les gober, d’abord une puis l’autre et, enfin, les deux. Pendant ce temps, il me branle. J’ai rejeté ma tête en arrière et fermé les yeux tous en expulsant des râles de bonheur. Ceux-ci s’intensifient quand il fait entrer ma bite dans sa bouche. La chaleur de sa bouche, sa langue, sa salive, ses doigts qui jouent avec mes couilles, tout ça me met dans un état second. Je le laisse me sucer, il fait ça tellement bien, juste, j’ai posé mes mains sur sa tête pour lui caresser tendrement les cheveux. J’ouvre les yeux, je baisse la tête pour regarder mon sexe entrer et ressortir tout luisant de sa bouche, il lève les yeux et me fixe tout en esquissant un sourire que je lui rends.
Il me fait une fellation extraordinaire, d’un coup, je le vois ouvrir la bouche en grand, me saisir par les hanches et avancer vers moi, toujours plus, je sens mon gland buter dans le fond de sa bouche, heurter la glotte et finalement passer pour entrer dans sa gorge. Son nez est collé à mes poils pubiens, mes couilles s’écrasent sur son menton. Instinctivement, mes mains se sont crispées sur sa tête pour appuyer et l’entraîner dans cette gorge profonde. C’est tellement bon, je le bloque comme ça pendant de longues secondes puis je relâche sa tête, il ressort, tousse, des larmes coulent sur ses joues, de la salive tombe au sol, il inspire et, sans lui laisser le temps de réagir, j’appuie à nouveau sur sa tête et je retourne dans sa gorge. On fait ça 5 ou 6 fois de suite puis je me mets à lui pilonner la bouche, d’abord doucement puis de plus en plus vite et de plus en plus brutalement. Je lui baise littéralement la gueule, je ne peux plus m’arrêter, il est coincé, dos au mur, il est à ma merci et j’en profite pleinement.
Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais, au même moment, j’ai entendu quelqu’un faire tourner la poignée puis frapper juste au moment où mon plaisir arrivait, j’ai posé mes mains sur ses joues et j’ai éjaculé tout mon foutre dans sa bouche. J’ai cru que je ne m’arrêterais jamais tandis que les coups à la porte se faisaient plus forts. Julien avalait mon jus comme un affamé, j’aurais voulu en profiter un peu plus mais le temps nous manquait cruellement.
Enfin vidé, j’ai ressorti ma bite de sa bouche, je me suis essuyé sur ses joues, j’ai rangé ma bite, mi molle, dans mon Jean’s puis je lui ai fait signe d’aller s’enfermer dans une cabine. J’ai déverrouillé la porte, je me suis platement excusé auprès du mec qui s’agaçait en lui disant que j’avais machinalement tiré le verrou puis je suis parti rejoindre mes potes comme si de rien n’était.
Quelques bonnes heures étaient passées, j’avais, à plusieurs reprises, aperçu Julien qui semblait bien s’amuser lui-aussi. Vers 2 heures du matin, le voilà qui arrive vers moi en me demandant si je pourrais le ramener, il avait l’air d’avoir pas mal bu et préférait laisser sa voiture dans la rue. Je n’allais pas le laisser prendre le volant dans cet état et, bizarrement, le voir aussi vulnérable m’excitait à nouveau. Nous convenons que, quand je serais prêt à partir, je lui ferais signe, il repart s’amuser de son côté.
Un bon quart d’heure plus tard, on décroche enfin, comme c’est moi qui pilote, tout le monde monte dans ma voiture ainsi que Julien. Evidemment, et même s’il eût été plus logique de le déposer en premier, je me suis débrouillé pour le raccompagner en dernier.
Arrivé chez lui, il se penche vers moi, on se roule une pelle, il me met la main au paquet, il me dit qu’il a envie de moi et m’invite à monter pour baiser dans son lit. Ce lit où je l’ai maté en train de se faire dépuceler, ça m’émoustille évidemment mais, surtout, savoir que son père, mon boss, dort à quelques mètres, m’excite à mort ! On monte sans faire de bruit, dans l’escalier, je lui caresse le cul, il se retourne et m’embrasse avant de reprendre son ascension. Plus on approche de sa chambre, plus le risque d’être surpris augmente et plus j’ai envie de lui. Enfin, on arrive dans sa chambre, on s’embrasse et on se caresse tout en enlevant nos fringues qui volent partout dans la pièce puis on se jette sur le lit, enlacés à se caresser, s’embrasser et rouler l’un sur l’autre. Déjà mes mains saisissent et pétrissent ses fesses douces, fermes, rondes et si désirables. Lui me caresse le torse, me branle, me suce à nouveau puis remonte et m’embrasse sauvagement. Un puis deux doigts pénètrent son intimité, je le lime, je les fait tourner pour l’élargir et le faire mouiller. Parfois je les ressors et je les porte à sa bouche pour qu’il les suce et les enduise de salive et je repars en lui.
Ça fait un bon moment qu’on s’amuse et qu’on s’excite avec nos préliminaires, il m’a bien sucé et mordillé les tétons, léché le ventre, embrassé les cuisses. Moi, je lui ai massé le dos, mordillé les oreilles, léché le dos en suivant la colonne vertébrale, j’ai embrassé et peloté ses fesses. Ma langue a titillé et lubrifié son trou déjà bien ouvert et mouillé. N’y tenant plus, Julien, d’une voix suave et pleine de désir me dit : « Vas-y Malik, mets-la moi, je te veux en moi, j’en peux plus ».
Il était allongé sur le ventre, je suis doucement remonté en lui embrassant le dos. Il écartait ses fesses pour m’offrir son trou. Mon gland s’est posé dans sa raie, je l’ai guidé pour le placer à l’entrée et j’ai poussé sans m’arrêter pour m’enfoncer entièrement en lui, jusqu’aux couilles. Il avait enfoui sa tête dans l’oreiller qu’il mordait, je suis resté en lui sans bouger pour qu’il s’habitue. Il a relevé la tête et m’a dit : « Défonce-moi ! ». Je n’attendais que ça, je me suis défoulé sur et en lui par des grands coups de reins forts et puissants. Le lit craquait, bougeait, mes couilles claquaient sur ses fesses, ses cris étaient étouffés par l’oreiller, je tentais de maîtriser les miens pour ne pas réveiller ses parents qui dormaient au même étage.
Il voulait être défoncé, je l’ai défoncé dans plusieurs positions ! Je l’ai pris en levrette, puis les jambes et le cul sur son lit, le buste pendant au sol. Il est venu s’empaler sur moi de face et de dos, tantôt c’est lui qui montait et descendait, tantôt, je lui donnais des coups de reins secs. Je l’ai baisé debout, lui dos au mur, les jambes enroulées autour de mes hanches et les bras autour de mon cou. Enfin, je l’ai couché sur le dos et je l’ai fini en légionnaire en l’embrassant à pleine bouche. J’ai joui en lui au moment où il crachait son jus sur nos ventres collés l’un à l’autre.
Je me suis effondré sur lui, vidé, essoufflé, exténué et en sueur. Il était 3h22 au radio réveil. On a dû s’endormir rapidement, sans s’en rendre compte. C’est un bruit qui m’a réveillé. J’étais perdu puis, d’un coup, j’ai réagi, 4h46, Pascal, le père de Julien se levait pour aller aux toilettes sûrement, j’ai reconnu sa toux de fumeur. Je suis resté sans bouger, sans même respirer, pétrifié à l’idée d’être surpris à poil dans le lit de son fils. Les idées qui me venaient étaient que j’allais me faire casser la gueule et expulser manu militari. J’imaginais les conséquences : le chômage suivi de la fin de ma famille, j’avais une trouille d’enfer ! Pendant qu’il se soulageait, je me suis levé, j’ai ramassé mes affaires comme j’ai pu, à la lueur de la bande de lumière qui passait sous la porte. Julien dormait à points fermés, je me suis habillé à la hâte et je me suis plaqué contre le mur derrière la porte. J’ai entendu Pascal repasser dans le couloir, il s’est arrêté derrière la porte et j’ai vu la poignée tourner. La porte s’est entrouverte, il a passé sa tête, a vu son fiston dormir et, sans bruit, a refermé puis est parti dans sa chambre. J’ai eu tellement peur que j’avais l’impression que les battements de mon cœur résonnaient dans toute la maison, j’avais des sueurs froides, mes jambes flageolaient et j’osais à peine respirer. Je me disais que s’il avait ouvert en allant aux toilettes, je serais mort ! J’ai dû attendre un bon quart d’heure et, espérant qu’il se soit rendormi, je suis parti sans faire le moindre bruit.
Dans la voiture, j’ai été pris d’un fou-rire de dingue ! Je l’avais échappé belle mais quel kiff !
Arrivé chez moi, je suis resté dans le salon et c’est endormi dans le canapé que ma femme m’a trouvé en se levant vers 8h30. Elle m’a même remercié de ne pas l’avoir réveillée !
A partir de ce jour et jusqu’au départ de Julien pour suivre ses études, j’ai passé deux mois ou 60 jours ou 1400 heures ou encore 84 000 minutes à imaginer des plans incroyables pour baiser avec lui….

Les avis des lecteurs

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J'aurai bien voulu être à la place de Julien ! Vivement la suite......

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super !

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salut pascal ses un plaisir de te lire ses une très belle suite je mimagine bien a ca place pourquoi pas la suite julien toi et sont père lol a bientôt bisous

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Quel pied !!! J'ai bandé et joui en rêvant d'être à la place de Julien...

Bravo pour l'histoire, c'est trop bien écrit, j'ai adoré !

Je veux une suite au moins.....



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