Histoire de culottes...
Récit érotique écrit par Plaisirdecouple3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2018 dans la catégorie Fétichisme
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Histoire de culottes...
Histoire de culottes…
Après cette aventure avec les deux jeunes animateurs en Martinique, la vie quotidienne reprit son cours, avec ses hauts et ses bas érotiques, mais il est clair que Martine était devenue de plus en plus coquine et décidée à profiter des moindres opportunités pour se faire, et me faire, plaisir ! La vie est courte et pour moi, elle était au sommet de son sex appeal, elle avait encore un corps superbe et la maturité lui donnait un attrait supplémentaire. Elle était toujours habillée sexy, robes ou jupes courtes, bottes, collants ou bas, j’étais ravi en tout cas et elle me confirmait qu’elle avait régulièrement droit à des regards de désir et on lui avait même proposé de poser nue. Elle avait dit non, mais avait gardé la carte quand même.
Ma femme s’était mise au judo deux ans auparavant. Or, elle avait la possibilité de faire plusieurs entraînements et notamment le mercredi après midi. Mais il fallait se déplacer, car nous sommes en campagne, et il y avait dans le club un jeune qui voulait faire plusieurs entraînements par semaine car il était engagé en compétition, avec notre fille qui passait aussi sa ceinture noire. Mais celle-ci venait directement de son lycée avec le prof. Il fallait donc emmener le jeune homme et il n’avait pas de moyen de locomotion et ses parents n’étaient pas là. C’est donc mon épouse qui l’emmenait tous les mercredis et le ramenait après avoir déposée notre fille à la maison. Je n’y faisais pas spécialement attention jusqu’au jour où nous recevions les collègues de judo de mon épouse pour un barbecue. Nous avons un grand jardin et une piscine et le temps étant beau et chaud, les enfants pouvaient profiter de cette dernière, voire les adultes. Donc la journée se passe et vers le soir, au moment de l’apéro, j’aperçois une scène qui m’interpelle. Martine était assise, sa robe remontait bien sur ses belles cuisses déjà bronzées, mais rien de trop osé. Toutefois, le dénommé Baptiste, le jeune qu’elle emmenait le mercredi, s’était débrouillé pour être assis sur le sol, faussement décontracté, mais juste à la hauteur des cuisses de ma femme. Celle-ci, tout à la conversation n’y prêtait pas attention, mais elle bougeait et de temps en temps, ses cuisses s’écartaient et le garçon, me semblait-il, faisait tout ce qu’il pouvait pour essayer de voir ce qu’il y avait dessous. Je l’observai attentivement et cette observation confirmait mes soupçons. Ma femme se leva un moment pour aller dans la cuisine, je la suivis alors et je lui fis part de mes observations quant à son voyeur. Elle me demanda si j’étais sûr, ce que je confirmai. Elle me dit alors « et bien on va vérifier et s’amuser ! »Elle revint s’installer sur son fauteuil et l’air de rien, je la voyais en effet régulièrement écarter les cuisses, croiser ses jambes et son voyeur n’en perdait pas une miette. Elle me lança un regard coquin et je la vis se lever et revenir quelques instants plus tard. Baptiste recommença son jeu, mais à voir son expression, il s’était passé quelque chose. Il finit par se lever pour aller aux toilettes, puis revint après de longues minutes. Par la suite, la soirée se déroula surtout dans le jardin et se termina vers 2 heures du matin. Je me couchai et lorsque ma femme vint, elle m’annonça que j’avais bien observé et qu’elle avait mis en place un petit piège. En fait, lorsqu’elle s’était levée, elle était allée changer de culotte et avait laissé l’autre bien en vue sur le panier à linge. Elle avait mis une culotte sage alors que la première était un tanga en dentelle bien transparent. Je compris alors l’air surpris de Baptiste, mais je commençai à comprendre le piège. Et il avait marché, en effet, la culotte avait disparu. Nous avons imaginé ce gentil garçon en train de sentir la culotte, voire la lécher et certainement se soulager avec. Tout ceci nous mit en joie et nous baisâmes avec entrain. Il n’y a pas à dire, elle était vraiment devenue coquine.
Le mercredi suivant, elle avait décidé de passer à l’attaque pour s’amuser avec Baptiste. Elle va le récupérer chez lui, en jupe courte comme souvent. Elle remarque qu’il regarde avec insistance ses cuisses et après une conversation innocente, elle lui demande d’un coup :- « A propos, tu pourras me rendre ma culotte ? ».
Là, gros blanc, puis il bafouille :- « Heu quoi ?
- Oui, celle que tu regardais samedi sous ma robe, que j’avais laissée sur le panier à linge et qui a disparu. Juste après que tu sois passé. » Elle s’amusait car elle voyait dans quel état était Baptiste.
- « Ne t’inquiète pas, je ne t’en veux pas, chacun ses fantasmes mais je tiens à cette culotte, c’est une Etam et presque neuve. Donc ?
- Heu je ne l’ai pas là.
- En rentrant alors ?
- Oui ».
Plus rien jusqu’au retour et arrivée devant chez lui, elle lui demande depuis combien de temps il farfouille dans ses culottes. Il répond depuis quelques mois et pendant qu’elle attend, il va chercher la culotte et en fait il en ramène trois ! Il s’attend à se faire copieusement engueuler lorsque ma femme lui propose un petit arrangement entre eux.
- « ça te dit si je te confie une de mes culottes de temps en temps ? Portée bien sûr ! Tu la gardes une semaine, mais tu me la rends. Je dois reconnaître que ça me plait que tu fantasmes sur une vieille dame comme moi.
- Tu n’es pas vieille ! Tu es trop belle, je t’aime !
- Houlà, calme toi, je suis mariée et j’ai presque 30 ans de plus que toi, c’est flatteur, mais ne t’imagine rien, on en reste à la culotte, d’accord ? Comme je me doutais de ta réponse, j’avais amené une culotte de rechange, je te donne celle que je portais tout à l’heure, désolée, elle est moins sexy .
- Je m’en fiche, tant que tu l’as portée, merci ».
Et c’est ainsi qu’il est parti chez lui en tenant précieusement son trophée dans la main. Martine m’avait mis dans la confidence et c’est moi qui lui avais proposé ce jeu de culotte, car les hommes sont très fétichistes. Elle avait hésité, mais avait trouvé que c’était une idée excitante de donner un bout de son intimité par le biais de ses fluides intimes à un jeune garçon.
En rentrant, nous regardâmes le tanga et nous constatâmes que le bougre l’avait copieusement rempli. A partir de ce moment là, une complicité se mit en place entre eux, elle le laissait fouiller dans le panier à linge et il lui rendait la semaine suivante. Il avait évidemment un faible pour la dentelle, ce que je comprenais parfaitement. Ce petit jeu dura quelques mois, puis je suggérai à ma femme d’aller plus loin. Elle me fit part de ses réticences en raison de son jeune âge, mais elle accepta ma proposition. L’idée était de bien remonter sa jupe ou sa robe en voiture de manière innocente de façon à ce qu’il puisse apercevoir ou ses bas, ou sa culotte suivant les circonstances. Cela marcha parfaitement, il ne pouvait s’empêcher de regarder vers cet endroit qui l’hypnotisait. Puis un jour, Martine lui dit naturellement : - « Puisque tu veux la voir, tiens la voilà » Et elle remonta sa robe de manière à bien dégager sa culotte.
- « ça te plait ?
- Oh oui, tu feras ça à chaque fois ?
- Oui, si ça te fait plaisir, et ça me fait plaisir ! » Evidemment, j’étais complice de leurs jeux et ça m’excitait beaucoup, ma femme aussi. L’étape suivant fut aussi très enthousiasmante. Elle lui demandait de choisir une culotte dans son stock et elle la mettait. Bien sûr, il choisissait toujours du très sexy, très transparent et il pouvait à loisir lorgner sur la toison de mon épouse lorsqu’elle n’avait pas de collants. Le seul souci était les limites du jeu, car nous sentions que ça nous stimulait beaucoup, nous jouions aussi avec les culottes, et ma femme reconnaissait mouiller de plus en plus dans ses culottes lorsqu’elle savait qu’elle allait les « prêter » à Baptiste. Ce qui n’était pas passé inaperçu de son amoureux qui lui en avait fait la remarque. Pour son anniversaire, ma femme me demanda si je serai d’accord pour qu’il mette lui-même la culotte qu’il aurait choisie. Elle se tiendrait debout, soulèverait sa jupe et il pourrait la mettre. Remonterait-elle sa jupe en même temps et le laisserait-elle contempler sa chatte ? Question délicate. Décision prise : c’est elle qui déciderait le jour même.
Ce fameux jour, elle sortit le grand jeu, bas couleur chair et elle prit avec elle la culotte choisie par le jeune coquin par tchat vidéo et une très sexy robe blanche et noire. Lorsque je la vis partir, je bandais en imaginant ce que pourrait ressentir Baptiste. Il me fallut attendre le soir après mon retour du rugby pour savoir ce qui s’était vraiment passé.
« -Alors ?
- Et bien j’arrive chez lui, pour une fois je descends, je sonne, il ouvre, ses yeux papillonnent. Je lui annonce que j’ai son cadeau pour lui, j’entre. Il demande, «La culotte? ». « Oui ». Et là je lui montre celle qu’il avait choisie et que j’avais à la main. « Tu ne la portes pas ? ». « Non, c’est toi qui va la mettre, tu veux ? Ou je la mets devant toi ? Que préfères-tu ? ». Il est visiblement surpris, il hésite puis il dit « Je la mets ! Mais tu ne portes rien sous ta robe ? ». « Bien sûr que non, je ne vais pas porter deux culottes ! ». Il prend la culotte, s’agenouille devant moi, je lève un pied, il enfile celle-ci, je lève le second, il passe la deuxième jambe et là il hésite. Il caresse mes mollets, remonte vers mes cuisses mais je le calme en lui disant de ne pas monter plus haut que la limite des bas. Il embrasse mes cuisses et m’a entouré avec ses bras en débordant sur mes fesses, il les a bien palpé, mais c’était son anniversaire ! Puis il a repris la culotte et l’a remonté sur mes jambes, mais comme la robe retombait un peu, il n’a pas pu voir ma chatte. Il a en profité toutefois pour bien caresser mes hanches. En tout cas, c’était très excitant, très sensuel, je n’aurai jamais imaginé que cela aurait pu me plaire, mais je dois avouer que c’était très…érotique !
- Et ensuite ?
- Il a voulu me voir avec la culotte.
- Et ?
- C’était son anniversaire !
- Ok, elle ne cachait pas grand-chose !
- Non, en effet, il a fait au passage la remarque qu’il aimait bien mes poils- Et comment tu as vécu ça ?
- J’ai un peu honte, mais j’étais très excitée. Il m’a demandé s’il pouvait mettre sa main sur ma cuisse pour la suite de son cadeau dans la voiture, et j’ai dit oui.
- Et ?
- Il est bien élevé, il l’a laissé là.
- Et s’il avait essayé d’aller plus haut ?
- Je pense que je l’aurais laissé faire si tu veux savoir !
- Cochonne !
- Oui, mais tu aimes ça !
Je dois reconnaitre que le récit de ma femme m’avait fait durcir. Comme nous étions dans notre chambre, je l’ai allongé sur le lit et j’ai commencé à lui lécher la chatte en lui demandant de me raconter le retour puisqu’il devait récupérer la culotte.
- « Et bien je l’ai autorisé à me l’enlever, au point où nous en étions ! Mais n’étant pas en avance, il a fait ça dans la voiture, il a aperçu ma chatte, il me l’a dit « Je l’ai vu, je l’ai vu ! Humm », mais ce fut très bref et très sombre !
- Il faut te raser ! (et je replonge sur son sexe)- Tu es un pervers, mais je crois que je vais le faire. Humm, continue !
- Il t’a bien excité le gamin !
- Oui, hummm- Tu accepterais qu’il te baise ?
- Je ne sais pas, j’y ai déjà pensé, mais on avait dit pas dans notre entourage, humm je vais jouir continue, hummmm…. »Et elle jouit ! Du coup, je la prends et nous imaginons qu’elle se fait sauter par Baptiste. Elle me demande si je serai d’accord et excité comme je suis je dis oui et je jouis abondamment dans son vagin inondé.
Une fois ce moment d’exaltation passé, elle revient sur mon accord.
- « Alors tu serais d’accord pour qu’il me baise ?
- Oui.
- C’est délicat, car il risque de demander à recommencer, je le vois souvent, ça peut déraper.
- Il faut clairement lui mettre les limites.
- Facile à dire, pas forcément à réaliser, il vit juste à côté. C’est un gentil garçon, mais on ne sait jamais ! Il sait où nous habitons, ce qui n’est pas le cas de mes autres amants.
- Et toi, tu as vraiment envie ?
- Franchement ? Oui, ce petit jeu commence à sérieusement m’exciter, en plus, je crois qu’il est puceau.
- Et ?
- Etre la première ne me déplait pas.
- Tu sais que c’est toi qui décide, moi je suis, tant que tu prends du plaisir, je suis heureux.
- Puisque j’ai ton accord, tu vas être de nouveau cocu mon chéri ! Et par un gamin !
- Je suis impatient !
Toutefois, il fallait le temps de trouver le moment idéal, ce qui prit un certain temps durant lequel notre amoureux dut se contenter de regarder la culotte de mon épouse. Puis un mercredi, je vis ma femme avec un grand sourire. Je lui demandais alors si c’était fait !
-« Presque !
- Presque ?
- Pas eu le temps d’aller au bout, je ne veux pas gâcher son plaisir, une première fois doit être inoubliable, donc j’attends le moment opportun.
- Et alors ?
- Je te raconte ce soir, espèce de pervers !
- Humm, impatient ».
Donc le soir j’attends le récit de cette première ratée, du moins à moitié ratée. Récit de ma coquine.
- « Je le ramène chez lui, je lui demande s’il a un peu de temps. Il répond qu’il a du travail. Je lui dis « Bon tant pis dans ce cas » et là il répond « Pourquoi ? ». « Et bien, pour tout t’avouer, aujourd’hui, si tu veux, j’ai des envies…coquines ». « Ouah ? Rien à faire de mon travail là, viens, moi aussi j’ai trop envie ! ». « ça, je sais mon chéri ». Nous rentrons chez lui, il se jette sur moi pour m’embrasser, moment toujours très érotique, c’était la première fois que je lui donnais ma langue. Nous allons dans sa chambre, il me déshabille, mais me laisse ma culotte et se jette sur moi. Ses mains s’égarent, sa bouche va d’un téton à l’autre et descend jusque vers mon sexe. Il écarte ma culotte, regarde ma chatte et ne peut s’empêcher de dire « Depuis le temps que j’en rêve ». Il approche son visage et commence à me lécher, c’est très maladroit, je dois le guider à la voix. Je me rends vite compte que l’orgasme va être compliqué à atteindre, mais je le laisse faire, ça fait chien fou et c’est plutôt agréable. Je mets mes bras derrière la tête et le laisse découvrir ma chatte. J’écarte les jambes, je suis très excitée de m’offrir ainsi à ce jeune garçon. Il me doigte maladroitement, mais heureusement, je suis mouillée, ça facilite les choses. J’ai un petit orgasme que j’exagère, il me regarde l’air heureux et je lui demande de se mettre nu. Il jette ses vêtements et se jette sur moi, j’ai à peine eu le temps d’apercevoir sa queue, très droite, mais plutôt courte. Nous nous embrassons, je sens sa queue contre ma chatte, je pose ma main dessus et là, gros geyser dans ma main ! Grosse déception chez mon soupirant, je vais me laver la main, mais il bande toujours, donc la chose parait encore possible. Mais voilà, nous apercevons la petite sœur qui arrive ! Catastrophe, ce n’était pas prévu, donc rhabillage express, facile pour moi, je passe ma robe, sans culotte, je suis certainement un peu échevelée, mais à priori, la sœur ne se rend compte de rien. « Ah Martine, tu es là ! ». Evidemment, le pauvre Baptiste est tout penaud, il était à deux doigts de me prendre, très frustrant pour lui, pour moi aussi, je suis un peu sur ma faim, mais je savais pouvoir compter sur toi pour faire passer ma frustration ! tu viens ? ».
Et voilà pour ce demi-échec, je prends ma femme, elle est bien humide et nous jouissons pendant que je la prends par derrière, c’est trop bon de l’enculer !
« - Tu lui donnerais ton cul ?
- Pourquoi pas, initiation complète !
- Et imagine qu’il te présente un copain à lui ?
- Et bien à voir, j’ai bien aimé en Martinique !
- Salope !
- On va dire que oui, mais c’est bien ce que tu voulais ?
- Humm, oui ».
Mais il fut difficile de trouver le moment adéquat, entre la sœur, nos enfants et le pauvre Baptiste dut attendre près de deux mois avant de pouvoir enfin tremper sa queue dans la chatte accueillante de mon épouse adorée. Il était seul toute un après midi, de plus notre fille avait un entretien pour une école post bac et du coup ma femme et son soupirant ne sont pas allés au judo. Elle avait sorti une superbe lingerie, un body string transparent, elle avait raccourci sa toison, maquillage discret, mais très sexy, notamment autour de ses yeux, du rouge sur ses lèvres pulpeuses, je l’aurai volontiers prise avant son départ, mais ce n’était pas mon jour. Je dois reconnaitre qu’en la voyant partir, ma queue me démangeait et tout en étant très excité, j’avais une boule au ventre en l’imaginant s’offrir à ce gamin. Elle revint à la maison vers 18 heures après trois heures de baise, elle n’était pas trop fatiguée, mais elle m’avoua qu’elle ne souhaitait pas que je la prenne le soir. Elle était plutôt contente de son après midi, elle avait joui et Baptiste avait éjaculé 4 fois, elle lui avait donné tout ce qu’elle pouvait lui donner, un dépucelage en règle et certainement inoubliable ! Elle l’avait sucé, elle l’avait laissé la prendre dans de multiples positions et elle lui avait offert son anus pour la dernière étreinte. Je lui demandais si elle avait aimé ce côté initiatrice, elle m’avoua que oui, et ceci me donnait de nouvelles idées.
Pour la petite histoire, elle recoucha avec lui 4 fois, puis après son bac il dût s’exiler et ce fut la fin de cette relation, même si elle le revit de temps en temps au judo. Il était toujours demandeur, mais elle lui fit comprendre que c’était terminé. Tout a une fin…
Après cette aventure avec les deux jeunes animateurs en Martinique, la vie quotidienne reprit son cours, avec ses hauts et ses bas érotiques, mais il est clair que Martine était devenue de plus en plus coquine et décidée à profiter des moindres opportunités pour se faire, et me faire, plaisir ! La vie est courte et pour moi, elle était au sommet de son sex appeal, elle avait encore un corps superbe et la maturité lui donnait un attrait supplémentaire. Elle était toujours habillée sexy, robes ou jupes courtes, bottes, collants ou bas, j’étais ravi en tout cas et elle me confirmait qu’elle avait régulièrement droit à des regards de désir et on lui avait même proposé de poser nue. Elle avait dit non, mais avait gardé la carte quand même.
Ma femme s’était mise au judo deux ans auparavant. Or, elle avait la possibilité de faire plusieurs entraînements et notamment le mercredi après midi. Mais il fallait se déplacer, car nous sommes en campagne, et il y avait dans le club un jeune qui voulait faire plusieurs entraînements par semaine car il était engagé en compétition, avec notre fille qui passait aussi sa ceinture noire. Mais celle-ci venait directement de son lycée avec le prof. Il fallait donc emmener le jeune homme et il n’avait pas de moyen de locomotion et ses parents n’étaient pas là. C’est donc mon épouse qui l’emmenait tous les mercredis et le ramenait après avoir déposée notre fille à la maison. Je n’y faisais pas spécialement attention jusqu’au jour où nous recevions les collègues de judo de mon épouse pour un barbecue. Nous avons un grand jardin et une piscine et le temps étant beau et chaud, les enfants pouvaient profiter de cette dernière, voire les adultes. Donc la journée se passe et vers le soir, au moment de l’apéro, j’aperçois une scène qui m’interpelle. Martine était assise, sa robe remontait bien sur ses belles cuisses déjà bronzées, mais rien de trop osé. Toutefois, le dénommé Baptiste, le jeune qu’elle emmenait le mercredi, s’était débrouillé pour être assis sur le sol, faussement décontracté, mais juste à la hauteur des cuisses de ma femme. Celle-ci, tout à la conversation n’y prêtait pas attention, mais elle bougeait et de temps en temps, ses cuisses s’écartaient et le garçon, me semblait-il, faisait tout ce qu’il pouvait pour essayer de voir ce qu’il y avait dessous. Je l’observai attentivement et cette observation confirmait mes soupçons. Ma femme se leva un moment pour aller dans la cuisine, je la suivis alors et je lui fis part de mes observations quant à son voyeur. Elle me demanda si j’étais sûr, ce que je confirmai. Elle me dit alors « et bien on va vérifier et s’amuser ! »Elle revint s’installer sur son fauteuil et l’air de rien, je la voyais en effet régulièrement écarter les cuisses, croiser ses jambes et son voyeur n’en perdait pas une miette. Elle me lança un regard coquin et je la vis se lever et revenir quelques instants plus tard. Baptiste recommença son jeu, mais à voir son expression, il s’était passé quelque chose. Il finit par se lever pour aller aux toilettes, puis revint après de longues minutes. Par la suite, la soirée se déroula surtout dans le jardin et se termina vers 2 heures du matin. Je me couchai et lorsque ma femme vint, elle m’annonça que j’avais bien observé et qu’elle avait mis en place un petit piège. En fait, lorsqu’elle s’était levée, elle était allée changer de culotte et avait laissé l’autre bien en vue sur le panier à linge. Elle avait mis une culotte sage alors que la première était un tanga en dentelle bien transparent. Je compris alors l’air surpris de Baptiste, mais je commençai à comprendre le piège. Et il avait marché, en effet, la culotte avait disparu. Nous avons imaginé ce gentil garçon en train de sentir la culotte, voire la lécher et certainement se soulager avec. Tout ceci nous mit en joie et nous baisâmes avec entrain. Il n’y a pas à dire, elle était vraiment devenue coquine.
Le mercredi suivant, elle avait décidé de passer à l’attaque pour s’amuser avec Baptiste. Elle va le récupérer chez lui, en jupe courte comme souvent. Elle remarque qu’il regarde avec insistance ses cuisses et après une conversation innocente, elle lui demande d’un coup :- « A propos, tu pourras me rendre ma culotte ? ».
Là, gros blanc, puis il bafouille :- « Heu quoi ?
- Oui, celle que tu regardais samedi sous ma robe, que j’avais laissée sur le panier à linge et qui a disparu. Juste après que tu sois passé. » Elle s’amusait car elle voyait dans quel état était Baptiste.
- « Ne t’inquiète pas, je ne t’en veux pas, chacun ses fantasmes mais je tiens à cette culotte, c’est une Etam et presque neuve. Donc ?
- Heu je ne l’ai pas là.
- En rentrant alors ?
- Oui ».
Plus rien jusqu’au retour et arrivée devant chez lui, elle lui demande depuis combien de temps il farfouille dans ses culottes. Il répond depuis quelques mois et pendant qu’elle attend, il va chercher la culotte et en fait il en ramène trois ! Il s’attend à se faire copieusement engueuler lorsque ma femme lui propose un petit arrangement entre eux.
- « ça te dit si je te confie une de mes culottes de temps en temps ? Portée bien sûr ! Tu la gardes une semaine, mais tu me la rends. Je dois reconnaître que ça me plait que tu fantasmes sur une vieille dame comme moi.
- Tu n’es pas vieille ! Tu es trop belle, je t’aime !
- Houlà, calme toi, je suis mariée et j’ai presque 30 ans de plus que toi, c’est flatteur, mais ne t’imagine rien, on en reste à la culotte, d’accord ? Comme je me doutais de ta réponse, j’avais amené une culotte de rechange, je te donne celle que je portais tout à l’heure, désolée, elle est moins sexy .
- Je m’en fiche, tant que tu l’as portée, merci ».
Et c’est ainsi qu’il est parti chez lui en tenant précieusement son trophée dans la main. Martine m’avait mis dans la confidence et c’est moi qui lui avais proposé ce jeu de culotte, car les hommes sont très fétichistes. Elle avait hésité, mais avait trouvé que c’était une idée excitante de donner un bout de son intimité par le biais de ses fluides intimes à un jeune garçon.
En rentrant, nous regardâmes le tanga et nous constatâmes que le bougre l’avait copieusement rempli. A partir de ce moment là, une complicité se mit en place entre eux, elle le laissait fouiller dans le panier à linge et il lui rendait la semaine suivante. Il avait évidemment un faible pour la dentelle, ce que je comprenais parfaitement. Ce petit jeu dura quelques mois, puis je suggérai à ma femme d’aller plus loin. Elle me fit part de ses réticences en raison de son jeune âge, mais elle accepta ma proposition. L’idée était de bien remonter sa jupe ou sa robe en voiture de manière innocente de façon à ce qu’il puisse apercevoir ou ses bas, ou sa culotte suivant les circonstances. Cela marcha parfaitement, il ne pouvait s’empêcher de regarder vers cet endroit qui l’hypnotisait. Puis un jour, Martine lui dit naturellement : - « Puisque tu veux la voir, tiens la voilà » Et elle remonta sa robe de manière à bien dégager sa culotte.
- « ça te plait ?
- Oh oui, tu feras ça à chaque fois ?
- Oui, si ça te fait plaisir, et ça me fait plaisir ! » Evidemment, j’étais complice de leurs jeux et ça m’excitait beaucoup, ma femme aussi. L’étape suivant fut aussi très enthousiasmante. Elle lui demandait de choisir une culotte dans son stock et elle la mettait. Bien sûr, il choisissait toujours du très sexy, très transparent et il pouvait à loisir lorgner sur la toison de mon épouse lorsqu’elle n’avait pas de collants. Le seul souci était les limites du jeu, car nous sentions que ça nous stimulait beaucoup, nous jouions aussi avec les culottes, et ma femme reconnaissait mouiller de plus en plus dans ses culottes lorsqu’elle savait qu’elle allait les « prêter » à Baptiste. Ce qui n’était pas passé inaperçu de son amoureux qui lui en avait fait la remarque. Pour son anniversaire, ma femme me demanda si je serai d’accord pour qu’il mette lui-même la culotte qu’il aurait choisie. Elle se tiendrait debout, soulèverait sa jupe et il pourrait la mettre. Remonterait-elle sa jupe en même temps et le laisserait-elle contempler sa chatte ? Question délicate. Décision prise : c’est elle qui déciderait le jour même.
Ce fameux jour, elle sortit le grand jeu, bas couleur chair et elle prit avec elle la culotte choisie par le jeune coquin par tchat vidéo et une très sexy robe blanche et noire. Lorsque je la vis partir, je bandais en imaginant ce que pourrait ressentir Baptiste. Il me fallut attendre le soir après mon retour du rugby pour savoir ce qui s’était vraiment passé.
« -Alors ?
- Et bien j’arrive chez lui, pour une fois je descends, je sonne, il ouvre, ses yeux papillonnent. Je lui annonce que j’ai son cadeau pour lui, j’entre. Il demande, «La culotte? ». « Oui ». Et là je lui montre celle qu’il avait choisie et que j’avais à la main. « Tu ne la portes pas ? ». « Non, c’est toi qui va la mettre, tu veux ? Ou je la mets devant toi ? Que préfères-tu ? ». Il est visiblement surpris, il hésite puis il dit « Je la mets ! Mais tu ne portes rien sous ta robe ? ». « Bien sûr que non, je ne vais pas porter deux culottes ! ». Il prend la culotte, s’agenouille devant moi, je lève un pied, il enfile celle-ci, je lève le second, il passe la deuxième jambe et là il hésite. Il caresse mes mollets, remonte vers mes cuisses mais je le calme en lui disant de ne pas monter plus haut que la limite des bas. Il embrasse mes cuisses et m’a entouré avec ses bras en débordant sur mes fesses, il les a bien palpé, mais c’était son anniversaire ! Puis il a repris la culotte et l’a remonté sur mes jambes, mais comme la robe retombait un peu, il n’a pas pu voir ma chatte. Il a en profité toutefois pour bien caresser mes hanches. En tout cas, c’était très excitant, très sensuel, je n’aurai jamais imaginé que cela aurait pu me plaire, mais je dois avouer que c’était très…érotique !
- Et ensuite ?
- Il a voulu me voir avec la culotte.
- Et ?
- C’était son anniversaire !
- Ok, elle ne cachait pas grand-chose !
- Non, en effet, il a fait au passage la remarque qu’il aimait bien mes poils- Et comment tu as vécu ça ?
- J’ai un peu honte, mais j’étais très excitée. Il m’a demandé s’il pouvait mettre sa main sur ma cuisse pour la suite de son cadeau dans la voiture, et j’ai dit oui.
- Et ?
- Il est bien élevé, il l’a laissé là.
- Et s’il avait essayé d’aller plus haut ?
- Je pense que je l’aurais laissé faire si tu veux savoir !
- Cochonne !
- Oui, mais tu aimes ça !
Je dois reconnaitre que le récit de ma femme m’avait fait durcir. Comme nous étions dans notre chambre, je l’ai allongé sur le lit et j’ai commencé à lui lécher la chatte en lui demandant de me raconter le retour puisqu’il devait récupérer la culotte.
- « Et bien je l’ai autorisé à me l’enlever, au point où nous en étions ! Mais n’étant pas en avance, il a fait ça dans la voiture, il a aperçu ma chatte, il me l’a dit « Je l’ai vu, je l’ai vu ! Humm », mais ce fut très bref et très sombre !
- Il faut te raser ! (et je replonge sur son sexe)- Tu es un pervers, mais je crois que je vais le faire. Humm, continue !
- Il t’a bien excité le gamin !
- Oui, hummm- Tu accepterais qu’il te baise ?
- Je ne sais pas, j’y ai déjà pensé, mais on avait dit pas dans notre entourage, humm je vais jouir continue, hummmm…. »Et elle jouit ! Du coup, je la prends et nous imaginons qu’elle se fait sauter par Baptiste. Elle me demande si je serai d’accord et excité comme je suis je dis oui et je jouis abondamment dans son vagin inondé.
Une fois ce moment d’exaltation passé, elle revient sur mon accord.
- « Alors tu serais d’accord pour qu’il me baise ?
- Oui.
- C’est délicat, car il risque de demander à recommencer, je le vois souvent, ça peut déraper.
- Il faut clairement lui mettre les limites.
- Facile à dire, pas forcément à réaliser, il vit juste à côté. C’est un gentil garçon, mais on ne sait jamais ! Il sait où nous habitons, ce qui n’est pas le cas de mes autres amants.
- Et toi, tu as vraiment envie ?
- Franchement ? Oui, ce petit jeu commence à sérieusement m’exciter, en plus, je crois qu’il est puceau.
- Et ?
- Etre la première ne me déplait pas.
- Tu sais que c’est toi qui décide, moi je suis, tant que tu prends du plaisir, je suis heureux.
- Puisque j’ai ton accord, tu vas être de nouveau cocu mon chéri ! Et par un gamin !
- Je suis impatient !
Toutefois, il fallait le temps de trouver le moment idéal, ce qui prit un certain temps durant lequel notre amoureux dut se contenter de regarder la culotte de mon épouse. Puis un mercredi, je vis ma femme avec un grand sourire. Je lui demandais alors si c’était fait !
-« Presque !
- Presque ?
- Pas eu le temps d’aller au bout, je ne veux pas gâcher son plaisir, une première fois doit être inoubliable, donc j’attends le moment opportun.
- Et alors ?
- Je te raconte ce soir, espèce de pervers !
- Humm, impatient ».
Donc le soir j’attends le récit de cette première ratée, du moins à moitié ratée. Récit de ma coquine.
- « Je le ramène chez lui, je lui demande s’il a un peu de temps. Il répond qu’il a du travail. Je lui dis « Bon tant pis dans ce cas » et là il répond « Pourquoi ? ». « Et bien, pour tout t’avouer, aujourd’hui, si tu veux, j’ai des envies…coquines ». « Ouah ? Rien à faire de mon travail là, viens, moi aussi j’ai trop envie ! ». « ça, je sais mon chéri ». Nous rentrons chez lui, il se jette sur moi pour m’embrasser, moment toujours très érotique, c’était la première fois que je lui donnais ma langue. Nous allons dans sa chambre, il me déshabille, mais me laisse ma culotte et se jette sur moi. Ses mains s’égarent, sa bouche va d’un téton à l’autre et descend jusque vers mon sexe. Il écarte ma culotte, regarde ma chatte et ne peut s’empêcher de dire « Depuis le temps que j’en rêve ». Il approche son visage et commence à me lécher, c’est très maladroit, je dois le guider à la voix. Je me rends vite compte que l’orgasme va être compliqué à atteindre, mais je le laisse faire, ça fait chien fou et c’est plutôt agréable. Je mets mes bras derrière la tête et le laisse découvrir ma chatte. J’écarte les jambes, je suis très excitée de m’offrir ainsi à ce jeune garçon. Il me doigte maladroitement, mais heureusement, je suis mouillée, ça facilite les choses. J’ai un petit orgasme que j’exagère, il me regarde l’air heureux et je lui demande de se mettre nu. Il jette ses vêtements et se jette sur moi, j’ai à peine eu le temps d’apercevoir sa queue, très droite, mais plutôt courte. Nous nous embrassons, je sens sa queue contre ma chatte, je pose ma main dessus et là, gros geyser dans ma main ! Grosse déception chez mon soupirant, je vais me laver la main, mais il bande toujours, donc la chose parait encore possible. Mais voilà, nous apercevons la petite sœur qui arrive ! Catastrophe, ce n’était pas prévu, donc rhabillage express, facile pour moi, je passe ma robe, sans culotte, je suis certainement un peu échevelée, mais à priori, la sœur ne se rend compte de rien. « Ah Martine, tu es là ! ». Evidemment, le pauvre Baptiste est tout penaud, il était à deux doigts de me prendre, très frustrant pour lui, pour moi aussi, je suis un peu sur ma faim, mais je savais pouvoir compter sur toi pour faire passer ma frustration ! tu viens ? ».
Et voilà pour ce demi-échec, je prends ma femme, elle est bien humide et nous jouissons pendant que je la prends par derrière, c’est trop bon de l’enculer !
« - Tu lui donnerais ton cul ?
- Pourquoi pas, initiation complète !
- Et imagine qu’il te présente un copain à lui ?
- Et bien à voir, j’ai bien aimé en Martinique !
- Salope !
- On va dire que oui, mais c’est bien ce que tu voulais ?
- Humm, oui ».
Mais il fut difficile de trouver le moment adéquat, entre la sœur, nos enfants et le pauvre Baptiste dut attendre près de deux mois avant de pouvoir enfin tremper sa queue dans la chatte accueillante de mon épouse adorée. Il était seul toute un après midi, de plus notre fille avait un entretien pour une école post bac et du coup ma femme et son soupirant ne sont pas allés au judo. Elle avait sorti une superbe lingerie, un body string transparent, elle avait raccourci sa toison, maquillage discret, mais très sexy, notamment autour de ses yeux, du rouge sur ses lèvres pulpeuses, je l’aurai volontiers prise avant son départ, mais ce n’était pas mon jour. Je dois reconnaitre qu’en la voyant partir, ma queue me démangeait et tout en étant très excité, j’avais une boule au ventre en l’imaginant s’offrir à ce gamin. Elle revint à la maison vers 18 heures après trois heures de baise, elle n’était pas trop fatiguée, mais elle m’avoua qu’elle ne souhaitait pas que je la prenne le soir. Elle était plutôt contente de son après midi, elle avait joui et Baptiste avait éjaculé 4 fois, elle lui avait donné tout ce qu’elle pouvait lui donner, un dépucelage en règle et certainement inoubliable ! Elle l’avait sucé, elle l’avait laissé la prendre dans de multiples positions et elle lui avait offert son anus pour la dernière étreinte. Je lui demandais si elle avait aimé ce côté initiatrice, elle m’avoua que oui, et ceci me donnait de nouvelles idées.
Pour la petite histoire, elle recoucha avec lui 4 fois, puis après son bac il dût s’exiler et ce fut la fin de cette relation, même si elle le revit de temps en temps au judo. Il était toujours demandeur, mais elle lui fit comprendre que c’était terminé. Tout a une fin…
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