Vive les femmes - histoire érotique

Les plus âgés d’entre nous doivent se rappeler de ce film tiré de la BD de Reiser. Certes, ce n’était pas un chef d’œuvre du 7 ème art, mais il avait donné lieu à une chanson qui a connu un succès certain à l’époque, notamment dans les soirées que je fréquentais souvent en ces temps bénis de ma jeunesse estudiantine. Rappelez-vous de ce refrain : « dites, heu, ça vous dirait d’aller tirer un p’tit coup avec moi ? A l’hôtel ? ». Toujours est-il qu’un soir où nous avions essayé différentes bières avec mes potes, l’un d’entre nous lança comme un défi : « ça vous dirait de faire la même chose ? On va dans un coin à Paris et on demande à des nanas si elles veulent aller tirer un p’tit coup avec nous ? ». Enthousiasme éthylique de certains, circonspection des autres, dont moi ! Mais je pensais que ce serait vite oublié une fois les vapeurs d’alcool évanouies. Et bien non, quelques semaines plus tard, le défi revient sur la table et nous voici deux ou trois jours plus tard à arpenter les Champs Elysées ; espérant y trouver la perle rare. Perso, j’étais plutôt en retrait dans cette affaire, peu convaincu de la faisabilité de la chose, d’autant plus que nous pouvions simplement proposer une minable chambre de bonne avenue d’Iéna en guise d’hôtel. Nous avions décidé pour nous donner du courage d’y aller par deux, quand bien même la dame était seule. Je ne me précipitai pas vraiment, laissant le champ libre à mes camarades. Au bout d’une heure et quelques jeunes filles abordées, échec total sur toute la ligne ! Certaines offusquées, d’autres amusées, une seule nous donnant un numéro de téléphone ! Une demie victoire. J’avais pour ma part fait une seule tentative couronnée d’un « ça va pas non ! » retentissant, comme dans la chanson d’ailleurs !
L’après-midi avançait, il était près de 16 heures et certains commençaient à déserter. Je décidai une dernière tentative avant de partir. Je cherchai une cible et je repérai deux femmes d’une quarantaine d’années, très sexy. Après tout, j’avais déjà couché avec plusieurs femmes de cet âge et j’avais un faible pour elles et celles-ci étaient vraiment très bien ! Les autres m’ont immédiatement dit que je n’étais pas net et du coup, je me retrouvai seul. Bon, j’avance, je me tortille et je me plante devant elles et je leur sors la fameuse tirade. Elles s’arrêtent et me regardent d’un air assez stupéfait.
- Pardon ?
Je regarde mes potes et je répète la phrase magique !
- Et bien vous êtes gonflé vous ! me dit la plus âgée des deux. Nous sommes mariées et en plus vous ne seriez pas un peu trop jeune pour nous ? ajouta-t-elle en regardant sa copine en riant. Qu’est-ce que tu en penses toi ?
- Ben il est mignon ! Mais c’est un gamin !
- Et votre hôtel, c’est le Georges V ?
Là, carrément, elles riaient toutes deux franchement ! Bon, au moins, ça se passait dans une bonne ambiance.
- Excusez-moi pour vous avoir dérangé.
- Au moins, vous nous avez amusées, merci !
Et elles reprirent leur descente de la célèbre avenue en discutant et en jetant un dernier coup d’œil dans ma direction. Quant à moi, je m’apprêtai à rejoindre mes camarades lorsque la plus âgée se retourne et reviens vers moi.
- C’est vraiment sérieux votre proposition ? Vous avez envie de nous ? Pas trop vieilles ?
- Mais vous êtes superbes !
- Et c’est où votre hôtel ?
- Heu, en fait, c’est la chambre de bonne d’un copain, pas très loin d’ici.
Je n’avais pas eu le temps de réfléchir, mais les idées se bousculaient dans ma tête, putain, elles étaient d’accord ?
- Bon, et bien, c’est inattendu, mais ça me tente bien, dit la plus âgée. Et toi ?
- Il est mignon, mais je n’ai vraiment pas le temps, faut que je sois rentrée avant les enfants.
- Du coup jeune homme, vous vous contenterez de moi, ça vous va ?
Whaou, bien sûr que ça me va, je n’en reviens pas de la chance que j’ai. Les autres me regardent d’un air étrange, je vais vers eux et je demande la clé à mon camarade. Ils sont sur le cul !
- Elle veut bien la vieille ?
- Ouais, elle est d’accord, et l’autre était pas contre, je vous avais dit d’essayer avec les femmes mariées !
- C’est vrai qu’elle est bandante !
- Salut, je vous raconterai !
Je rejoins les deux femmes et nous partons.
- C’était vos amis ?
- Oui.
- En fait, c’était un pari si je comprends bien !
- Oui, ça vous embête ?
- Pas du tout, c’est bien un truc de mec !
Arrivé au métro, la copine nous quitte avec un grand sourire :- Amusez-vous bien !
Et elle disparaît ! Nous prenons le bus avec ma conquête, le temps de quelques échanges :- Vous abordez souvent les femmes mariées ?
- Ça m’arrive, j’ai un faible pour les femmes comme vous !
- Je ne suis pas la première alors.
- J’ai eu quelques aventures.
- Je vais être franche, j’ai déjà trompé mon mari, mais jamais comme ça ; de manière inattendue et surtout pas avec quelqu’un qui pourrait être mon fils ! Mais ça me plaît bien ! J’espère que tu ne seras pas déçu quand tu me verras nue !
- Je ne pense pas !
Nous descendons deux stations plus loin et nous voilà dans un escalier certes propre, mais pour le moins rustique, 6 étages.
- Et bien, il faut avoir envie !
- J’ai très envie de vous !
- Coquin !
Nous entrons, c’est toujours propre chez lui, mais comme c’est très petit, il y a juste une chaise et un bureau en plus du lit. Anne (j’ai appris son prénom) s’assoie directement sur le lit, moi sur la chaise, de ce fait j’ai une vue directe sur sa culotte ! (En effet, je n’ai pas précisé qu’elle portait une jupe blanche d’été qui descendait juste en dessous des genoux) - Qu’aimez-vous chez les femmes de mon âge ?
- Je ne sais pas trop, en fait, j’aime tout, votre assurance, cette maturité qui vous rend belle, le temps qui a rendu votre corps encore plus attirant, votre classe.
- Viens maintenant, on n’a pas toute la soirée mon chéri ! J’ai très envie de toi à présent ! Montre-moi ta queue !
Aussitôt demandé, aussitôt exécuté.
- Tu bandes déjà ? Je ne t’ai même pas touché, ni embrassé ! Je suis flattée. Dis-moi ce que tu veux que je te fasse.
- Vous voulez me sucer s’il vous plait ?
- Mais oui mon chéri, approche-toi. Tu peux même jouir dans ma bouche, j’aime bien, mais encore faut-il que tu bandes après, j’ai très envie que tu me fasses l’amour mon grand !
Elle me fit une très belle fellation, elle savait y faire, elle me regardait en même temps, ce qui ne manqua pas de déclencher assez vite une éjaculation abondante dont je lui fis part, et conformément à ce qu’elle m’avait dit, elle avala tout sans sourciller, me nettoyant ensuite la verge et me confirmant :- J’aime le sperme ! Beaucoup de femmes sucent pour faire plaisir aux hommes, moi, j’aime vraiment ça, je suce mon mari presque tous les jours !
- Le veinard !
- Mais maintenant, je veux que tu me rendes la pareille, dit-elle en s’allongeant, en enlevant sa culotte et en écartant les cuisses. Me voici face à une abondante toison noire. Je m’acquitte du mieux possible de la mission et sur ses conseils je réussis à la faire jouir.
- J’ai connu mieux, mais c’était très agréable, ma chatte ne sentait pas trop fort ? Pas eu le temps de me rafraîchir, ce n’était pas prévu ! Mais après tout, c’est toi qui m’a abordé, alors faudra faire avec ! Tu bandes bien, viens me prendre.
Et je suis vite en train de m’agiter entre ses cuisses, j’ai mon pantalon aux chevilles, elle est encore habillée, mais j’arrive à libérer un sein que je tète avidement.
- Oui, tète moi bien, c’est bon, baise-moi fort.
Ce fut un coït assez brutal, elle était très excitée et moi aussi. Je ne sais pas si elle jouit, mais moi oui, très fort ! Elle avait l’air très contente quand même !
- Une baise comme ça, ça me rappelle ma jeunesse, brutal, intense, c’est très agréable !
Elle finit par se déshabiller, très belle femme et elle me demanda de la reprendre en levrette.
- Je ne pense pas recommencer de sitôt à me taper un gamin, alors j’en profite !
Ce fut aussi une levrette très vigoureuse, elle avait un super cul ! Et en plus, la dame se lâchait !
- Tu aimes voir mon cul, petit cochon, hein !
Bien sûr, je répondais que oui et c’était vrai ! Elle se caressait en même temps et on jouit plus ou moins ensemble, on était en sueur tous les deux. Il y avait juste un petit évier dans la chambre et elle se lava la chatte devant moi, ce qui provoqua chez moi une nouvelle érection !
- Et il bande encore le salaud ! Viens me baiser encore !
Et tout en restant debout, elle avança son cul vers moi, me prit la queue et la glissa dans sa chatte toute propre. Elle prit appui sur le lavabo et me laissa la baiser longtemps, elle m’encourageait régulièrement à la pilonner plus fort ! Encore un gros orgasme, peut-être le meilleur pour moi ! En plus, pour me récompenser de l’avoir si bien baisé, à ses dires, elle me nettoya la queue. Elle me quitta vers 19 heures, en souriant à l’idée qu’elle allait rentrer en retard et sans douche, elle risquait de sentir la bite comme elle disait ! La sueur au moins ! Je retrouvai mes potes quelques instants plus tard, ils étaient envieux ! J’avais eu beaucoup de chance, une bonne idée ce pari ! Mais je ne le fis qu’une fois, il convient de rester sur un succès !
Vive les femmes !