Histoire de sexe sans titre.
Récit érotique écrit par Daemonely [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Histoire de sexe sans titre.
Premier article, anciens souvenirs…(histoire déjà posté sur un autre site)
Je suis brun, 1,72 m pour 62 kg, très athlétique, avec un fessier, paraît-il très
sexy…
Je me présenterai physiquement un peu mieux une prochaine fois. Ce soir, je vous
raconte juste un de mes meilleurs souvenirs.
Il y a quelque temps, je vivais dans une petite ville de province, au centre de la
France. Il y avait là un lac artificiel, avec des toilettes publiques et un petit bois
à côté.
Ce lieu était et reste un endroit de fornication homo, et bisex, même si depuis, les
toilettes ont été détruites.
Je m’y rendais souvent après la débauche pour tailler deux, trois pipes, et me faire
ramoner.
J’adorais le plaisir de la baise rapide, l’idée de vider les couilles de ces mecs qui
sortaient du boulot et venaient se défouler sexuellement dans ce lieu. J’y ai pris des
kilomètres de sexe, et des litres de foutre. Il m’arrivait même de m’y travestir, une
perruque, des bas, une guêpière, des faux seins (mais chut, ceci fait partie des
choses que j’aurai à vous conter). J’y ai aussi rencontré des couples…
Ce soir-là, un soir d’hiver relativement froid, je m’y arrêtais, et filais direct aux
pissotières.
(Passage au présent volontaire, cela facilite l’écriture)
Je m’installe devant une pissotière, baisse mon jogging, et attends. Deux, trois mecs
m’ayant repéré, me suivent. C’est la routine, peu de temps d’observation, ici on sait
pourquoi on se promène à une heure du matin.
Je patiente tout juste une petite minute, que l’un d’eux se place derrière moi, enfile
une capote, et commence à appuyer sur ma rondelle. Petit calibre, il me pénètre sans
problème, et commence à me limer. Je pose les mains sur la faïence, resserre mes
jambes, histoire de mieux le sentir me limer. Il palpe mes seins, s’accroche à mon
cul. Il accélère, je sens la capote craquer, je lui dis, mais il continue et se répand
en grognant dans ma chatte….
Il part… me laissant dégoulinant de foutre.
Je me retourne, pensant partir aussi, et me retrouve face à trois bites bien droites.
Je me penche et attrape la plus proche, épaisse, courte et bien dure. Il bouge dans ma
bouche, sans violence, mais sûrement. Je palpe ses couilles, et caresse ses fesses,
appuyant dessus pour l’encourager. Un des deux autres passe derrière moi et me lèche
la raie. Puis, il m’enfile, me lime sans ménagement, il ne peine pas, tellement je
suis déjà humide de mon premier amant. Il ressort et vient éjaculer dans ma bouche.
J’avale, en crache une partie sur le sol. Celui que je suçais prend sa place dans mon
cul, me lime aussi très fort et éjacule dans mon fondement. Il ressort et vient me
présenter sa bite flasque dans la bouche. Le troisième que je suçais laisse la place
et file m’enculer. Pendant que je nettoie la seconde bite, il me ramone et me traite
de pute, de salope, de garage à bites… Il commente mon cul, disant qu’il est bien
petit, comme celui de sa femme, mais bien plus ouvert…
J’éjacule sans me toucher… Mon sperme coule en partie sur mes jambes. Je suis en
sueur, mon cul ouvert, et mon corps ballotté sous les coups de boutoir. Et dire qu’il
fait moins de zéro degré à l’extérieur. Ici, on dirait la back room d’un sauna homo.
Le gars poursuit son travail, tout en continuant de copieusement m’insulter : « tu
aimes ça, hein, chiennasse… tu aimes servir de pute… te faire défoncer comme une bonne
bourgeoise ». Je réponds des « oui!!! » de femelle comblée. Puis, je commence à
geindre, rendant ma voix aiguë, comme celle d’une gonzesse.
« Putain t’es bonne ! Vas-y, gueule, je vais t’inonder ton cul de pouffiasse… » Je lui
obéis, criant plus fort encore mes « oui » de plaisir.
Il me défonce littéralement et se vide sur mes fesses, en longs et grands jets de
foutre. C’est chaud, brûlant même. Il étale son sperme à l’aide de sa pine et
s’enfuit…
Je m’essuie comme je peux, dégoulinant de sperme. Je marche rapidement à ma voiture…
Un mec me file au train, avant d’ouvrir ma portière, je me retourne. Pas un mot, je
lui roule une pelle, passe à l’avant de la voiture, il baisse mon pantalon, me couche,
dos sur le capot moteur. Je lève les jambes, et il s’introduit dans ma petite chatte.
Une position que j’adore, les jambes sur les épaules de mon baiseur, bien pris,
sentant parfaitement le sexe dans mon conduit. Il en arrive à me faire bander.
Il ne lui faudra que quelques instants, que quelques mouvements bien saccadés pour
jouir dans mon cul…
Je me redresse, récupère des Kleenex, et à nouveau excité, je décide de retourner
faire un tour dans les pissotières, de retourner dans l’abattoir…
La place est déjà prise. Je referme la porte. La température semble élevée, par
rapport à la rigueur de l’hiver.
Au centre des toilettes, un jeune est entouré de six hommes. Comme moi tout à l’heure,
il se fait démonter la bouche et le fondement. Lui est en jean et col roulé. Son
pantalon est sur ses chevilles, et ses baiseurs ont fait passer le pull sur son dos.
Il a le torse à l’air, il bande joliment et ses seins pointent de belle manière.
Les autres mecs sont plus vieux, pas des beaux gosses, mais ils bandent tous. Par
contre tout se passe en silence. Juste des bruits de succion, des cuisses qui claquent
sur les fesses.
Je bande, moi aussi, comme un fou. Je descends mon survêtement et commence à me
branler en jouant les voyeurs. Puis, je passe à l’action. Je touche le cul de la douce
salope… Il est assez large, mais imberbe. J’ai une vue incroyable sur la pine qui le
lime. La colonne qui entre et sort me rend dingue. J’ai encore envie.
Je chope une bite libre et commence à la branler. Puis rapidement, je suce. Le mec se
laisse faire, je m’accroupis pour être plus à l’aise. Tout se passe très vite, mais
personne ne me touche le cul. Deux mecs jouissent dans ma bouche.
La pièce se vide. Mais la p’tite pute reste en place. Je me pose sur son anus explosé
et l’enfile sans un mot. N’étant pas forcément actif avec les mecs, je prends mon
temps, savourant la rareté du moment. J’apprécie ma queue qui coulisse dans son
cratère.
Un homme rentre, il se place devant, sort sa bite et se fait mettre en forme. Son sexe
est très gros, notamment son gland et le début de la hampe.
Il passe derrière moi et tente de me prendre. La position est complexe, mais notre
excitation commune l’emporte. Il s’introduit, et mène la danse.
Il arrive à s’introduire plus loin à chaque coup. J’exulte ! La femelle que je baise
maintient une pression constante sur mes cuisses, de ce fait je n’ai pas besoin de
bouger, j’ai juste à suivre le rythme !
Puis, je l’attrape par les épaules et me vide en deux, trois mouvements dans son cul.
Le troisième poursuit son œuvre, puis se retire, il m’agenouille et balance des
rasades de sperme sur mon visage. Mon passif, lui, s’active au-dessus de mon visage et
se vide dans ma bouche.
On se relève, se rhabille, puis le dernier à partir me roule une méga pelle et
disparaît.
Cela reste un de mes meilleurs plans « bareback. » Depuis j’ai discrètement fait les
tests HIV. Rien ! Mais depuis, je reproduis ce genre de plans, notamment en sauna
(maintenant que je suis sur Paris), mais avec capotes… Bon d’accord, j’avale encore
quelques rasades….
Mais ceci est une autre histoire, que je vous raconterai prochainement.
Je suis brun, 1,72 m pour 62 kg, très athlétique, avec un fessier, paraît-il très
sexy…
Je me présenterai physiquement un peu mieux une prochaine fois. Ce soir, je vous
raconte juste un de mes meilleurs souvenirs.
Il y a quelque temps, je vivais dans une petite ville de province, au centre de la
France. Il y avait là un lac artificiel, avec des toilettes publiques et un petit bois
à côté.
Ce lieu était et reste un endroit de fornication homo, et bisex, même si depuis, les
toilettes ont été détruites.
Je m’y rendais souvent après la débauche pour tailler deux, trois pipes, et me faire
ramoner.
J’adorais le plaisir de la baise rapide, l’idée de vider les couilles de ces mecs qui
sortaient du boulot et venaient se défouler sexuellement dans ce lieu. J’y ai pris des
kilomètres de sexe, et des litres de foutre. Il m’arrivait même de m’y travestir, une
perruque, des bas, une guêpière, des faux seins (mais chut, ceci fait partie des
choses que j’aurai à vous conter). J’y ai aussi rencontré des couples…
Ce soir-là, un soir d’hiver relativement froid, je m’y arrêtais, et filais direct aux
pissotières.
(Passage au présent volontaire, cela facilite l’écriture)
Je m’installe devant une pissotière, baisse mon jogging, et attends. Deux, trois mecs
m’ayant repéré, me suivent. C’est la routine, peu de temps d’observation, ici on sait
pourquoi on se promène à une heure du matin.
Je patiente tout juste une petite minute, que l’un d’eux se place derrière moi, enfile
une capote, et commence à appuyer sur ma rondelle. Petit calibre, il me pénètre sans
problème, et commence à me limer. Je pose les mains sur la faïence, resserre mes
jambes, histoire de mieux le sentir me limer. Il palpe mes seins, s’accroche à mon
cul. Il accélère, je sens la capote craquer, je lui dis, mais il continue et se répand
en grognant dans ma chatte….
Il part… me laissant dégoulinant de foutre.
Je me retourne, pensant partir aussi, et me retrouve face à trois bites bien droites.
Je me penche et attrape la plus proche, épaisse, courte et bien dure. Il bouge dans ma
bouche, sans violence, mais sûrement. Je palpe ses couilles, et caresse ses fesses,
appuyant dessus pour l’encourager. Un des deux autres passe derrière moi et me lèche
la raie. Puis, il m’enfile, me lime sans ménagement, il ne peine pas, tellement je
suis déjà humide de mon premier amant. Il ressort et vient éjaculer dans ma bouche.
J’avale, en crache une partie sur le sol. Celui que je suçais prend sa place dans mon
cul, me lime aussi très fort et éjacule dans mon fondement. Il ressort et vient me
présenter sa bite flasque dans la bouche. Le troisième que je suçais laisse la place
et file m’enculer. Pendant que je nettoie la seconde bite, il me ramone et me traite
de pute, de salope, de garage à bites… Il commente mon cul, disant qu’il est bien
petit, comme celui de sa femme, mais bien plus ouvert…
J’éjacule sans me toucher… Mon sperme coule en partie sur mes jambes. Je suis en
sueur, mon cul ouvert, et mon corps ballotté sous les coups de boutoir. Et dire qu’il
fait moins de zéro degré à l’extérieur. Ici, on dirait la back room d’un sauna homo.
Le gars poursuit son travail, tout en continuant de copieusement m’insulter : « tu
aimes ça, hein, chiennasse… tu aimes servir de pute… te faire défoncer comme une bonne
bourgeoise ». Je réponds des « oui!!! » de femelle comblée. Puis, je commence à
geindre, rendant ma voix aiguë, comme celle d’une gonzesse.
« Putain t’es bonne ! Vas-y, gueule, je vais t’inonder ton cul de pouffiasse… » Je lui
obéis, criant plus fort encore mes « oui » de plaisir.
Il me défonce littéralement et se vide sur mes fesses, en longs et grands jets de
foutre. C’est chaud, brûlant même. Il étale son sperme à l’aide de sa pine et
s’enfuit…
Je m’essuie comme je peux, dégoulinant de sperme. Je marche rapidement à ma voiture…
Un mec me file au train, avant d’ouvrir ma portière, je me retourne. Pas un mot, je
lui roule une pelle, passe à l’avant de la voiture, il baisse mon pantalon, me couche,
dos sur le capot moteur. Je lève les jambes, et il s’introduit dans ma petite chatte.
Une position que j’adore, les jambes sur les épaules de mon baiseur, bien pris,
sentant parfaitement le sexe dans mon conduit. Il en arrive à me faire bander.
Il ne lui faudra que quelques instants, que quelques mouvements bien saccadés pour
jouir dans mon cul…
Je me redresse, récupère des Kleenex, et à nouveau excité, je décide de retourner
faire un tour dans les pissotières, de retourner dans l’abattoir…
La place est déjà prise. Je referme la porte. La température semble élevée, par
rapport à la rigueur de l’hiver.
Au centre des toilettes, un jeune est entouré de six hommes. Comme moi tout à l’heure,
il se fait démonter la bouche et le fondement. Lui est en jean et col roulé. Son
pantalon est sur ses chevilles, et ses baiseurs ont fait passer le pull sur son dos.
Il a le torse à l’air, il bande joliment et ses seins pointent de belle manière.
Les autres mecs sont plus vieux, pas des beaux gosses, mais ils bandent tous. Par
contre tout se passe en silence. Juste des bruits de succion, des cuisses qui claquent
sur les fesses.
Je bande, moi aussi, comme un fou. Je descends mon survêtement et commence à me
branler en jouant les voyeurs. Puis, je passe à l’action. Je touche le cul de la douce
salope… Il est assez large, mais imberbe. J’ai une vue incroyable sur la pine qui le
lime. La colonne qui entre et sort me rend dingue. J’ai encore envie.
Je chope une bite libre et commence à la branler. Puis rapidement, je suce. Le mec se
laisse faire, je m’accroupis pour être plus à l’aise. Tout se passe très vite, mais
personne ne me touche le cul. Deux mecs jouissent dans ma bouche.
La pièce se vide. Mais la p’tite pute reste en place. Je me pose sur son anus explosé
et l’enfile sans un mot. N’étant pas forcément actif avec les mecs, je prends mon
temps, savourant la rareté du moment. J’apprécie ma queue qui coulisse dans son
cratère.
Un homme rentre, il se place devant, sort sa bite et se fait mettre en forme. Son sexe
est très gros, notamment son gland et le début de la hampe.
Il passe derrière moi et tente de me prendre. La position est complexe, mais notre
excitation commune l’emporte. Il s’introduit, et mène la danse.
Il arrive à s’introduire plus loin à chaque coup. J’exulte ! La femelle que je baise
maintient une pression constante sur mes cuisses, de ce fait je n’ai pas besoin de
bouger, j’ai juste à suivre le rythme !
Puis, je l’attrape par les épaules et me vide en deux, trois mouvements dans son cul.
Le troisième poursuit son œuvre, puis se retire, il m’agenouille et balance des
rasades de sperme sur mon visage. Mon passif, lui, s’active au-dessus de mon visage et
se vide dans ma bouche.
On se relève, se rhabille, puis le dernier à partir me roule une méga pelle et
disparaît.
Cela reste un de mes meilleurs plans « bareback. » Depuis j’ai discrètement fait les
tests HIV. Rien ! Mais depuis, je reproduis ce genre de plans, notamment en sauna
(maintenant que je suis sur Paris), mais avec capotes… Bon d’accord, j’avale encore
quelques rasades….
Mais ceci est une autre histoire, que je vous raconterai prochainement.
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