Histoire sans titre
Récit érotique écrit par Bayard [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Histoire sans titre
Je suis fils unique, et mon cousin était aussi seul. Donc Chaque année nos parents invitaient l'un, et l'autre année c'était ses parents qui m'invitaient.
Cette année Julien vint nous rejoindre dans maison de campagne que nous occupons tout l'été. Il connait bien la maison et la campagne magnifique qui l'entoure.
Il connait le ruisseau où nous nous baignons ou pêchons de temps en temps. Il connait notre chambre, toujours la même, avec ses deux lits jumeaux et son armoire. Il couche toujours dans le même lit et moi dans l'autre. Nous sommes comme des frères et c'est touours avec beaucoup de plaisir que nous nous retrouvons depuis notre naissance pratiquement. Les années, au fur et à mesure qu'elles s'écoulent métamorphose nos idées et nos corps...
Un matin, je me réveille. La lumière du soleil levant passant par les volets disjoints éclaire la pièce au point que on peut voir tous les détails. Et ce matin, ce fut le spectacle, dont je ne m'attendais pas : Julien nu dans son lit, une jambe sortie de dessous le drap et l'on pouvait distinguer son sexe posé sur sa cuisse. Un sexe pas très grand mais mignon, bien fait avec un long prépuce. Je ne pouvais pas détacher mon regard de cet organne si mignon, au point que je me mis à bander sévèrement.
Depuis le temps que nous nous connaisons, jamais aucune idee n'est venue me taquiner l'esprit. Quelle était belle cette petite queue surmontée de quelques poils pubiens frisés peu abondants. Julien dormait paisiblement, plein d'innocence.
Julien se mit à bouger et se retrouva sur le bord du lit me laissant le spectacle entier de son sexe au repos.
Doucement, sans faire de bruit, je décidai de me glisser tel un serpent sur la descente de lit afin de m'approcher pour voir et de sentir mieux... Maintenant son sexe est tout près de mon visage et je peux à ma guise l'admirer. Au bout de quelques minutes, n'y tenant plus j'avançais ma main et du bout des doigts j'effleurais cette tige mignonne et délectable. Elle était lisse et chaude et après deux ou trois passage elle se mit à sursauter gentiment, J'arrêtais ma caresse puis après quelques secondes je repris ma caresse... au fur et à mesure des passages je l'ai vu enfler. Je jetais un oeil sur Julien pour voir si il dormait et je continuais cette douce caresse accompagnée par mon souffle chaud... Maintenant, elle était bien dressée et en prenant de la dimenssion s'approchait de moi. Le prépuce la recouvrait à moitié et je ne pus m'empêcher de donner un tout petit coup de langue sur son méat. Je ne pouvais plus l'observer, dans ma position, mais je continuais à passer ma langue tout autour de la corolle de son prépuce (que c'était bon et bandant). Puis j'ouvris grand la bouche et je refermais mes lèvres juste derrière la base de son gland en y mettant de la salive afin de bien lubrifier mon objet de désir. Il devait être réveillé car son bassin commença à onduler et ma bouche maintenant pleine servait de receptacle. Ses reins avançaient et se retiraient pour bien coulisser entre mes lèvres gourmandes. puis il fnit par poser sa main sur ma tête :"vas-y, continue, c'est trop bon"
D'une main je caressais son ventre imberbe et de l'autre je caressais ses boules adorables. J'aspirais légèrement en rajoutant beaucoup de salive et sa queue maintenant glissait bien dans ma bouche. Je vis ses jambes se raidirent, son bassin s'avaner encore plus vers moi, il respirait très fort et de plus en plus vite, puis je sentis un flot de jus arriver sur ma langue et dans le fond de ma gorge. J'en decouvrais le goût et je fus surpris de l'aimer. Il resta le corps tendu pendant quelques minutes sa main me retenant pour ne pas m'échapper et je le bus jusqu'à la dernière goutte.
Il écarta les draps et m'invita à m'allonger près de lui. après, c'est lui qui s'occupa de moi. Il était très habile et je compris qu'il avait de l'expérience avec les garçons.
Je vous raconterais plus tard, sa façon de me faire jouir et de me dépuceler ce même jour, dans cette même chambre.
Cette année Julien vint nous rejoindre dans maison de campagne que nous occupons tout l'été. Il connait bien la maison et la campagne magnifique qui l'entoure.
Il connait le ruisseau où nous nous baignons ou pêchons de temps en temps. Il connait notre chambre, toujours la même, avec ses deux lits jumeaux et son armoire. Il couche toujours dans le même lit et moi dans l'autre. Nous sommes comme des frères et c'est touours avec beaucoup de plaisir que nous nous retrouvons depuis notre naissance pratiquement. Les années, au fur et à mesure qu'elles s'écoulent métamorphose nos idées et nos corps...
Un matin, je me réveille. La lumière du soleil levant passant par les volets disjoints éclaire la pièce au point que on peut voir tous les détails. Et ce matin, ce fut le spectacle, dont je ne m'attendais pas : Julien nu dans son lit, une jambe sortie de dessous le drap et l'on pouvait distinguer son sexe posé sur sa cuisse. Un sexe pas très grand mais mignon, bien fait avec un long prépuce. Je ne pouvais pas détacher mon regard de cet organne si mignon, au point que je me mis à bander sévèrement.
Depuis le temps que nous nous connaisons, jamais aucune idee n'est venue me taquiner l'esprit. Quelle était belle cette petite queue surmontée de quelques poils pubiens frisés peu abondants. Julien dormait paisiblement, plein d'innocence.
Julien se mit à bouger et se retrouva sur le bord du lit me laissant le spectacle entier de son sexe au repos.
Doucement, sans faire de bruit, je décidai de me glisser tel un serpent sur la descente de lit afin de m'approcher pour voir et de sentir mieux... Maintenant son sexe est tout près de mon visage et je peux à ma guise l'admirer. Au bout de quelques minutes, n'y tenant plus j'avançais ma main et du bout des doigts j'effleurais cette tige mignonne et délectable. Elle était lisse et chaude et après deux ou trois passage elle se mit à sursauter gentiment, J'arrêtais ma caresse puis après quelques secondes je repris ma caresse... au fur et à mesure des passages je l'ai vu enfler. Je jetais un oeil sur Julien pour voir si il dormait et je continuais cette douce caresse accompagnée par mon souffle chaud... Maintenant, elle était bien dressée et en prenant de la dimenssion s'approchait de moi. Le prépuce la recouvrait à moitié et je ne pus m'empêcher de donner un tout petit coup de langue sur son méat. Je ne pouvais plus l'observer, dans ma position, mais je continuais à passer ma langue tout autour de la corolle de son prépuce (que c'était bon et bandant). Puis j'ouvris grand la bouche et je refermais mes lèvres juste derrière la base de son gland en y mettant de la salive afin de bien lubrifier mon objet de désir. Il devait être réveillé car son bassin commença à onduler et ma bouche maintenant pleine servait de receptacle. Ses reins avançaient et se retiraient pour bien coulisser entre mes lèvres gourmandes. puis il fnit par poser sa main sur ma tête :"vas-y, continue, c'est trop bon"
D'une main je caressais son ventre imberbe et de l'autre je caressais ses boules adorables. J'aspirais légèrement en rajoutant beaucoup de salive et sa queue maintenant glissait bien dans ma bouche. Je vis ses jambes se raidirent, son bassin s'avaner encore plus vers moi, il respirait très fort et de plus en plus vite, puis je sentis un flot de jus arriver sur ma langue et dans le fond de ma gorge. J'en decouvrais le goût et je fus surpris de l'aimer. Il resta le corps tendu pendant quelques minutes sa main me retenant pour ne pas m'échapper et je le bus jusqu'à la dernière goutte.
Il écarta les draps et m'invita à m'allonger près de lui. après, c'est lui qui s'occupa de moi. Il était très habile et je compris qu'il avait de l'expérience avec les garçons.
Je vous raconterais plus tard, sa façon de me faire jouir et de me dépuceler ce même jour, dans cette même chambre.
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