Histoires de culs - histoire érotique

C'est un samedi soir d'avril...Le soleil commence à se coucher.

Fred et Agathe s'installent comme d'habitude sur les transats de la terrasse, s'enroulent dans une grande couette et s'ouvrent une bouteille de bon Bourgogne blanc, un Saint-Aubin premier cru "la Chatenière" (tiens-donc, cette dénomination leur plaît...) et se racontent leurs vies sexuelles en contemplant le soleil qui se couche au fond du jardin.
Ils adorent tous les deux se conter leurs histoires de cul, depuis les premières expériences qu'ils n'ont jamais osé avouer à d'autres, jusqu'à la dernière jouissance pas plus tard qu'hier, avec un mec pour lui et avec Porhub pour elle...

Ils forment un couple atypique, hyper ouvert d'esprit, libertins. Ils se laissent voguer au rythme de leurs envies du moment...Sans limites...

Ils sont comme ça l'un envers l'autre : aucun tabou sexuel, on se dit tout, on se demande tout, on avoue tout ce qui nous excite...Pourquoi chipoter puisqu'ils sont tous les deux bien vicieux et pervers...et cérébraux surtout. Ils se sont trouvés enfin et ont bien l'intention d'user leurs fantasmes à la corde, de profiter de la complicité de l'autre pour assouvir des désirs les plus poussés dans la perversité. La vie ne vaut d'être vécue que si elle est laissée pour morte au crépuscule et il faut la quitter sans regret puisqu'on n'y retournera jamais...Ils cultivaient ces pensées-là.


Il lui a très vite avoué qu'il était bi, sans honte, parce qu'il s'est senti en confiance avec elle. Etre gay ou hétéro, c'est entrer dans une catégorie bien définie...Etre bi,c'est s'exclure des deux catégories. Très peu de femmes vont accepter que leur homme, aussi viril qu'il soit, aime sucer des bites et prendre ou se faire prendre par un homme. Alors qu'une femme bi, c'est normal, un homme bi, c'est un état inavouable.
Elle, ça la rendait dingue d'écouter Fred et ses comptes-rendus de coups d'un soir avec un bel ephèbe, un soumis en tout cas, un affamé de bite au cul serré et accueillant...
Il les aimait donc minces et efféminés, voire fofolles, il aimait les entendre gémir et redemander sa bite dans leur petit cul serré...Il leur parlait et les traitait de pute, les fessait, leur imposait ses assauts violents et dominants...Son endurance étonnait tout le monde et chacun ou chacune qui goûtait au sexe avec lui repartait repu(e), épuisé(e) même, en redemande...Il envoûtait tellement il en voulait...


- Il ne fait pas chaud ce soir, il faut bien s'envelopper...Quelle minéralité ce vin, le top...Avec ce qu'on va se raconter, la soirée va être bonne...Hier soir j'ai baisé un nouveau qui me tournait autour sur Grindr depuis peu. On s'est bien plus. Il suçait bien et a dévoré ma bite. Il a compris que j'aimais qu'on me montre qu'on aimait ma bite.
Je lui ai bouffé le cul et quand j'ai craché sur sa rondelle il a kiffé. Même pas eu besoin de lub pour le pénétrer, il était dilaté rien qu'à m'entendre lui parler de ce que j'allais lui faire...

- En effet, tu as l'art de bien conter tes désirs. Tu me fais bien mouiller comme ça aussi, t'es un putain de pervers toi hahaha...

- Je l'ai pris doggy un certain temps et il me demandait de le fesser donc j'ai bien rougi son petit cul, hmmmm. Vraiment étroit, je me suis senti dans son cul comme dans le tien, qui m'appartient d'ailleurs, tu vois ce que je veux dire : à l'aise de le prendre au rythme que j'aime càd bien violent. J'y allais à fond et il en redemandait, il gémissait de plus en plus, je l'insultais et il poussait des petits cris de femelle trop excitants...La garce !

- Tu l'as sucé ?

- Oui justement, je n'ai pas voulu jouir trop vite donc je l'ai couché sur le dos et je me suis amusé un peu avec sa queue. Une bonne queue d'ailleurs, je l'ai bien avalée profondément, il a failli jouir mais j'avais envie de le faire jouir autrement.

- Grrrrr tu m'excites, je me sens presqu'à sa place avec ta queue profondément dans mon cul...Je mouille déjà là...

- Fais-moi sentir...(il passe sa main sous la couette et écarte les cuisses de sa petite femme, introduit sans autorisation son majeur dans sa chatte et fait quelques aller-retour tandis qu'un petit gémissement se fait entendre...Il retire son doigt recouvert de mouille et le met en bouche, ça a le goût acide d'un prémice de plaisir qu'ils partageront certainement plus tard dans la soirée...)
- Bon je continue mon histoire sinon je vais te prendre là tout de suite et tes voisins vont une fois de plus se plaindre que tu t'exhibes...
Je l'ai sucé jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus mais je voulais voir son sperme gicler, donc je l'ai pris en missionnaire et je l'ai branlé jusqu'à ce qu'il jute sur son ventre. Il a bien éjaculé, j'ai ramassé son sperme avec mes doigts et lui ai mis dans la bouche. Il a tout bouffé. Moi aussi j'ai goûté son sperme puis je me suis retiré de son cul.
J'étais presque prêt à jouir aussi donc je me suis agenouillé près de sa tête et il a avalé ma bite. Je me suis branlé dans sa bouche jusqu'à lui déposer mon sperme au fond de la gorge. Je l'ai bien utilisée sa bouche, elle m'avalait bien sans broncher...Cette petite salope.

- Je voudrais tellement assister à tes ébats avec les hommes, ça m'excite trop de t'entendre dominer des mecs, je veux te voir en vrai et entendre ta petite chienne gémir sous tes assauts...

- Un jour on le fera. Je vais jouir dans ta chatte et il va te nettoyer. Il va lécher tout ce qui en coulera jusqu'à la dernière goutte
- oh oui je vais trop kiffer...le genre de spectacle et de sensations qui vont me faire jouir à coup sûr...

- Ecoutez-moi cette petite chienne...

Il se penche vers elle et pose ses lèvres sur les siennes, enfonce sa langue dans sa bouche et ils s'embrassent un long moment tandis qu'il saisit la bouteille vide d'une main et la fait glisser sous la couette, le long du ventre d'Agathe, puis écarte juste ce qui est nécessaire de ses cuisses pour y enfoncer le goulot dans sa chatte engluée de mouille...Elle tressaille au contact du froid mais n'oppose aucune résistance à recevoir en elle cet objet dur qui s'élargit très vite et lui fait écarter les jambes comme pour accueillir le plus loin possible le volume de la bouteille; elle est habitée par ce sextoy improvisé et il va et vient en elle et elle se laisse emporter très vite par le plaisir...Le premier orgasme de la soirée vient rapidement l'envahir...Il y en aura d'autres...

- Mhhhh elle porte bien son nom cette bouteille : "la chatenière" dit-il en remarquant la ligne de mouille. Tu l'as prise bien profond ma petite salope à moi...

Le soleil est à présent couché et ils sont transis de froid.
Ils rentrent au salon et se blottissent l'un contre l'autre dans le grand canapé et il se frotte la bite sur son ventre plat, il sait qu'elle le désire sans arrêt, qu'elle le veut le plus souvent possible en elle...Elle aime sa chatte remplie de sa bite, il aime la posséder de cette manière; entrer en elle pour la "recalibrer", se branler dans ce trou familier et offert à ses désirs. Sentir qu'elle mouille dès qu'il s'approche, dès qu'il la regarde dans les yeux, dès qu'il saisit sa taille fine et l'oblige à écarter les cuisses...Elle aime saisir son membre à travers son pantalon et constater son durcissement dans sa main. Souvent il lui interdit de déboucler sa ceinture mais elle désobéit, elle se dépêche de prendre sa bite et s'agenouille en le regardant de ses yeux de soumise qui supplient...Alors il dépose son membre sur sa langue, joue un peu, la laisse s'impatienter de l'avoir tout en elle puis prend sa tête et s'enfonce entièrement en elle. Elle l'a bien cherché, elle va ramasser...

Elle l'avale goulument et bruyamment, elle a même des hauts le coeur tant il s'enfonce, il adore ça l'étouffer, lui faire ressentir sa domination.
Il lui fait signe de se lever, la retourne et la prend par derrière, la viole. Elle n'est même pas complètement nue, il a remonté sa petite robe et écarté sa culotte. Il l'a prise comme si il était pressé de passer à l'acte, avec l'impatience de ressentir la soumission de sa femelle...

Elle se retourne et lui dit :- Raconte-moi la fois où tu as joué avec ta cousine quand vous étiez ados...J'ai envie de t'entendre m'avouer vos actes incestueux, c'est trop excitant...

- Tu aimes quand je te raconte mes secrets d'adolescence hein...Tu préfères lequel aujourd'hui ? Celui où je joue avec ma cousine ou celui ou je goûte la bite de mon pote ?

- Un épisode avec ta cousine...

- Ok, la première fois où je me suis retrouvé avec elle sur un lit.

Agathe et Fred se couchent sur le dos, côte à côte dans le canapé, comme pour mimer la position que prirent 20 ans auparavant les deux cousins adolescents sur un lit...Il commença son récit, la bouche près de l'oreille d'Agathe...Elle adorait qu'il lui chuchote ses ébats et qu'il la caresse en reproduisant ses gestes maladroits de garçon inexpérimenté de l'époque...Ils avaient cette capacité d'excitation intellectuelle de se plonger dans la scène et de revivre ensemble ces moments de plaisir.

Fred commença :
- Ma cousine Maud avait pris sa douche et était revenue dans sa chambre, enroulée dans un drap de bain. je faisais semblant de ne pas la regarder en lisant un livre mais la vue de ce drap de bain au ras de sa petite vulve intacte me donnait des frissons...Lorsqu'elle était dans sa douche j'avais secrètement pris sa culotte au sol et avait senti son odeur...J'étais déjà convaincu que je la désirais et que j'allais tenter un rapprochement. Me contenter de renifler ses culottes ne me suffisait pas, je devait toucher...La perspective de l'inceste m'excitait au plus haut point...Après tout que faisions-nous de mal, jeunes ados vierges, à part découvrir notre sexualité ? Par contre je ne savais pas si elle serait prête à se donner à moi...Je devais la jouer fine et ne pas la brusquer. Je ne savais pas où elle en était dans sa sexualité...si elle se masturbait déjà, si avait déjà connu l'orgasme... Tout ce que je savais c'est que j'allais être le premier à la toucher si du moins j'y arrivais...

Elle s'allongea sur le dos sur le lit et je vins me coller à elle avec mon livre. Je commençai à lire tout haut, comme pour lui faire profiter de cette histoire soit-disant passionnante...Par chance elle trouva ça vite ennuyeux et me proposa de jouer au jeu de la vérité...
Honteuse de sa première question, elle ne me regarda pas et fixa le plafond...

- As-tu déjà touché une fille ?

- Heu non...Pourquoi ?

- Tu veux essayer ?

Et elle saisit le livre rapidement, fait semblant de commencer à lire en cachant son visage honteux derrière ce paravent improvisé...Je la prends au mot, tant pis pour elle...Après tout, c'est elle qui me propose cette transgression...Je ne vais pas m'en priver...
Alors qu'elle fait style d'être totalement absorbée par ce roman, je descends le long de son corps jusqu'à ce que ma tête atteigne la hauteur de sa petite chatte. Mon regard n'arrive pas à se détacher de ce spectacle. Elle a pourtant les cuisses serrées l'une contre l'autre, mais la vue de ce petit triangle avec quelques poils pubiens me fascine déjà et je sens ma bite durcir en 5 secondes. Si elle ne me donnait que ça aujourd'hui je serais déjà satisfait, mais elle écarte soudain un peu les cuisses en toussotant, et me laisse entrevoir le reste de son intimité. Mes yeux sont encore plus excités que mon membre. Ils sont à 30 cms de sa chatte et n'hésiteraient pas une seconde à sortir de leurs orbites si ils le pouvaient...Ils me poussent à me rapprocher encore et c'est mon odorat qui prend le relais. Ce n'est pas l'odeur de sa culotte que je sens puisqu'elle sort de sa douche mais une odeur d'abricot laissée par le gel douche et qui me pousse inexorablement à approcher ma tête et renifler cette odeur gourmande qui émane de sa peau...

- MMMMhhhh tu sens bon...
Et j'ose poser ma main sur sa cuisse et remonter doucement vers mon objectif ultime...Je suis tellement près du but que j'en tremble... Je vais toucher pour la première fois une chatte et celle de ma cousine en plus, le graal pour moi qui fantasme depuis des mois sur cette petite effrontée qui me provoque en laissant traîner ses culottes au pied de son lit quand je viens la voir...Si ça ce n'est pas un message...

Elle re-toussotte et resserre les cuisses sur ma main...Elle l'emprisonne comme pour mieux la sentir contre son clitoris, comme pour mieux faire passer le message : vas-y, j'ai envie de découvrir avec toi des plaisirs interdits...
J'interprète le message comme une invitation à continuer bien sûr et lui écarte alors les cuisses pour pouvoir y mettre la tête...J'ai besoin de contempler en face le cadeau qu'elle me fait. Je vois enfin en 3D une chatte et je vais dans quelques secondes peut-être y goûter...
Je décide de caresser doucement du bout des doigts sa petite vulve qui s'humidifie au fur et à mesure de mes vas et vient maladroits mais doux...
De petits gémissements s'échappent de derrière le livre et cette petite chaudasse fait toujours semblant de ne rien sentir...ou en tout cas fait mine de ne pas se rendre compte que son cousin est en train de la caresser...
Je continue, galvanisé par l'excitation. je n'en reviens pas de réaliser mon premier fantasme : jouer au docteur avec ma cousine...
Ma bite est dure comme du bois et je dois détacher les boutons de mon jeans. J'en profite pour changer de position et cette fois d'atteindre du bout de la langue ses lèvres juteuses...Voilà j'y suis : je lèche doucement, je goûte, je déguste...Elle gémit à très basse fréquence, elle n'arrive pas à retenir ses bruits. Surtout ne pas alerter les parents en-bas. Ne pas se laisser surprendre dans ce moment magique...Ni l'un ni l'autre ne souhaite que ça s'arrête...L'excitation est palpable et inavouable des deux côtés...On sait tous les deux que c'est interdit mais les barrières sont à présents franchies donc à quoi bon lutter, on doit aller au bout de ces jeux clandestins, le point de non-retour est dépassé.

- Tu aimes ? J'ose lui demander car elle mouille tellement que je n'ai pas peur de la réponse...

- ouiiii me répond-elle timidement, tout en continuant à "lire" en boucle la même page. Alors que ma langue se promène doucement sur toute la surface de sa petite chatte offerte, je perçois son regard fasciné en direction de ma tête mais j'évite de le croiser, car ça pourrait la gêner au point qu'elle décide soudainement de stopper nos jeux. Donc surtout ne pas commettre cette imprudence, la laisser me regarder la goûter et me concentrer sur les sensations que me procurent ce moment.

Alors que j'accélère involontairement la cadence à cause de mon excitation, je prends ma bite en main et m'astique discrètement, en me frottant contre la couette et je ne peux finalement pas m'empêcher de juter dans ma main. Elle entend mon orgasme étouffé et sent pour la première fois l'odeur du sperme. Elle gardera à jamais cette odeur avec pour première référence celle du sperme de son cousin...Elle a enfin vu une éjaculation en vrai et c'est elle qui l'a provoquée...Cette vue l'excite tellement qu'elle plaque ma tête contre sa chatte et se frotte violemment contre ma bouche...Quelques aller-retours suffisent à lui déclencher des balancements incontrôlés du bassin....Elle a joui, oui elle a joui, elle a joui...Je n'en reviens pas...J'ai réussi à faire jouir du premier coup une fille avec ma langue...et qui plus-est ma cousine, mon fantasme ultime...Elle s'écarte soudain de moi, honteuse mais étourdie du plaisir, elle se lève et marche en titubant et s'habille rapidement. Moi je sors de la chambre pour aller dans la sdb, en faisant gaffe de ne croiser personne dans le couloir, car j'ai ma main pleine de sperme et le cerveau qui pétille. Je tiens à peine debout, ennivré par ce moment d'interdits mais que nous ne regretterons jamais...



D'ailleurs il a servi à faire jouir Agathe à l'instant...En contant son histoire si précisément et en reproduisant exactement tous les gestes, Fred avait transporté Agathe vingt ans en arrière, elle avait revécu l'expérience de Maud, dans cette chambre d'ados, de cousins complices et Fred gardait encore dans un coin de sa tête pleins de récits de faits avérés qui lui donneraient encore l'occasion de faire jouir facilement sa petite chienne actuelle.

Agathe et Fred avaient justement dernièrement croisé cette fameuse cousine Maud dans un restaurant et le moment où elle était venue leur dire bonjour et le regard complice qu'elle avait échangé avec Fred avait trahi un contact dépassant une relation classique et pudique de cousin-cousine. Agathe avait capté une connivence qui dépassait les bienséances. Lorsque la cousine s'était éloignée de leur table, il avait immédiatement laché à Agathe qu'il avait joué au docteur avec cette cousine...Juste assez pour l'exciter et éveiller en elle l'impatience d'en savoir plus sur la consistance de ces jeux...

- HHHHmmmmm trop excitante ton histoire...Tu sens comme je suis mouillée...Mon orgasme était trop puissant. Vivement la prochaine histoire...