Home cinéma
Récit érotique écrit par Tiptoe2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Home cinéma
A la sortie du pub dans lequel le personnel de notre start-up avait célébré de récents succès, Anna offrit de me raccompagner en centre-ville. Elle était plus âgée que moi, grande, blonde, avec une coupe au bol. Son doux sourire aurait fait défaillir les plus entêtés, tandis que sa poitrine était un hymne à la joie version XXL. Il se dégageait d’elle une impression de douceur quasi-maternelle. Pus jeune, elle avait participé à un concours de beauté dans sa région, dont j’avais retrouvé et (activement) regardé les photos sur internet. Je ne savais si je devais remercier ou maudire Google pour ces plaisirs aussi faciles. Comme je n’étais pas de cet endroit – télétravail oblige, j’acceptai le taxi qu’elle proposait. Pendant le trajet dans sa mini – un véhicule de jolie fille, songeais-je – nous faisions un peu connaissance ; Anna me questionnait et semblait intéressée au plus haut point par mes réponses ; son visage était tantôt sérieux et attentif, tantôt souriant et encourageant; j’en étais un peu déstabilisé – je n’étais pas vraiment la star de l’entreprise, mais j’aurais pu prendre goût à autant d’attention. D’ailleurs, je commençai à enjoliver un peu mes propos et à parler avec plus d’aplomb. Alors que nous approchions du centre-ville, Anna prit une inspiration et me demanda si je pouvais lui rendre service : elle s’était fait livrer un home cinéma, et rien ne marchait. Elle pensait sûrement qu’en tant que programmeur informatique, je savais y faire. Elle se trompait éperdument, mais me voyant hésiter, elle prit un air légèrement suppliant qui me redonna aussitôt confiance. Bien sûr que je savais faire !
Arrivés dans sa banlieue chic aux allures de Notting Hill – c’est fou comme tout était assorti chez elle, elle passa devant et m’offrit dans l’escalier une vue royale sur ses longues jambes galbées et ses fesses moulées dans sa jupe noire. Et dire que je m’étais retenu de regarder ses jambes dans la voiture ; sans doute pour éviter de goûter des yeux ce qui m’était défendu. Je déglutis bruyamment. Anna ouvrit et me mena directement dans son salon, où elle m’énonça ses griefs vis-à-vis de la technologie pendant quelques minutes. Soudain, elle redevint joyeuse et me proposa une boisson. Après le service, elle alla prendre une douche, le temps de mon intervention. Je pris le parti de recommencer la procédure d’installation de la notice. Une décision fort sage, pensais-je. Soudain, Anna me héla depuis la salle de bain. Dans sa précipitation, elle avait oublié la serviette et ses vêtements dans sa chambre. Elle préférait que j’y aille plutôt que de sortir dans cet état, car elle ne voulait pas me faire fuir – c’était ses mots. Soit, je me dirigeai vers sa chambre et trouvai sur son lit une grande serviette blanche toute douce, une robe de couleur unie bleu foncé, ainsi qu’un soutien-gorge en dentelle noire et rouge avec des motifs à fleur et ce qui ressemblait à une culotte assortie, mais était plutôt un simple cache-sexe à attacher par des rubans rouges autour des fesses. Mon sang ne fit qu’un tour et je marquai une pause. Anna me demanda si je trouvais – ce que je perçus comme une marque de malice de sa part. J’empilai le tout et allai lui tendre à la porte de la salle de bain, qu’elle entre-ouvrit tout en se tenant derrière. Dans un sourire, elle me dit que j’étais un ange, tout en tendant les bras jusqu’à moi, ce qui ne manqua pas de révéler une épaule nue et le bout d’un sein. J’étais en arrêt pour la seconde fois en une minute ; arrêt qui fut lui aussi interrompu par une question, cette fois sur le home cinéma. Oui, cela avançait !
Je repris la notice, tentant de retrouver mes esprits, mais Anna sortit en trombe de la salle de bain, fonça sur moi, et posa ses mains sur les épaules. Elle demandait où en était son expert cinéma ; et comme je soupirai, elle me fit reculer et asseoir sur le canapé, tout en se plaçant derrière moi, à genoux, penchée sur moi. Tandis que ses mains commençaient à masser mes épaules et mon cou, je sentais sa poitrine effleurer mes omoplates. Ses genoux et le haut de ses suisses enserraient mon bassin. Elle me disait de respirer profondément, de me détendre, et œuvrait à me calmer comme elle l’aurait fait pour animal apeuré, avec des caresses et de douces paroles. Malgré mes profondes inspirations, la proximité de son corps et le frais souvenir de la vue de ses sous-vêtements excitaient mon imagination au plus haut point. Sa poitrine était désormais collée à mon dos et oscillait doucement de haut en bas. A travers mon bermuda, j’étais sûr que mon érection lui était visible, mais je gardais les yeux sur la notice, par inertie. Elle continuait, par de doux murmures, à tenter de calmer mes sens. Entre chacune de ses paroles, elle laissait un léger baiser sur ma nuque.
Lorsqu’elle sentit mon corps suffisamment relâché, elle me dit de ne pas bouger et déplia ses jambes. D’une main leste, elle déboutonna ma chemise, m’en débarrassa, puis s’assit au fond du canapé. Alors, j’entendis un frôlement de bretelles de vêtements qui glissent sur des épaules, ce qui me fit expirer de surprise et de joie. Elle me prit par les épaules et m’amena jusqu’à elle, tout contre son corps. Je sentis sa poitrine, ferme et nue, dans mon dos. Elle prit mes mains et les mis sur le bas de ses cuisses, puis elle s’appuya sur mes épaules pour imprimer à son buste un mouvement de bas en haut. Ses tétons et ses seins lourds frottaient contre mon dos, de plus en plus rapidement. Elle soupira, encore et encore, puis gémit. Elle s’arrêta pendant peut-être une minute, puis posa ses mains sur mes cuisses et remonta vers mon ventre en effleurant mon entre-jambe. Elle sentit mes frissons, s’agrippa à moi et reprit la valse des baisers sur la nuque et des mots doux. Rasséréné, je laissais ses mains glisser à nouveau vers mon entre-jambe, déboutonner mon bermuda, et l’aidait même à le faire tomber à terre. Cette fois, mon érection était bien en évidence ; une évidence qu’elle ne se priva pas d’effleurer de plus en plus à mesure qu’elle caressait mes cuisses, et qu’elle finit par serrer légèrement.
Sans me faire prier cette fois, je la laissais descendre mon caleçon le long de mes jambes. Elle reposa sa tête sur mon épaule gauche, comme pour mieux admirer le fruit de ses caresses. Tant de douceur m’avait excité comme jamais. Alors qu’elle reprenait le massage de mes cuisses, je commençai à avoir envie d’explorer son corps de mes mains. Je caressais l’extérieur de ses cuisses et remontais jusqu’à sa taille, à ses fesses bien rondes, et à sa culotte, qu’elle n’avait pas enlevée. Elle en vint à lécher ses deux mains, puis à envelopper mon sexe avec, l’une au dessus de l’autre. Je sentis monter en moi le plaisir et m’agrippai à elle, serrant sa fesse d’une main et cherchant vaguement à caresser son visage de l’autre. Elle saisit vivement mon pouce avec un léger mordillement et se mit à le téter, dans un rythme qui s’accordait avec celui de ses mains. Je gémis, eus un spasme, et dis que j’allais jouir, presque surpris. Anna, qui continuait à sucer mon pouce, me fit gicler bien en rythme, et mes jets de sperme couvrirent la table basse devant nous. A bout de souffle, je m’amusai d’avoir éjaculé partout. Lorsque je me tournais vers elle, elle attrapa ma bouche avec la sienne et nous nous enlaçâmes de longues minutes dans la paix des corps. Lorsque je repris mes esprits, elle me demanda avec une moue malicieuse si son home cinéma était finalement prêt…
Arrivés dans sa banlieue chic aux allures de Notting Hill – c’est fou comme tout était assorti chez elle, elle passa devant et m’offrit dans l’escalier une vue royale sur ses longues jambes galbées et ses fesses moulées dans sa jupe noire. Et dire que je m’étais retenu de regarder ses jambes dans la voiture ; sans doute pour éviter de goûter des yeux ce qui m’était défendu. Je déglutis bruyamment. Anna ouvrit et me mena directement dans son salon, où elle m’énonça ses griefs vis-à-vis de la technologie pendant quelques minutes. Soudain, elle redevint joyeuse et me proposa une boisson. Après le service, elle alla prendre une douche, le temps de mon intervention. Je pris le parti de recommencer la procédure d’installation de la notice. Une décision fort sage, pensais-je. Soudain, Anna me héla depuis la salle de bain. Dans sa précipitation, elle avait oublié la serviette et ses vêtements dans sa chambre. Elle préférait que j’y aille plutôt que de sortir dans cet état, car elle ne voulait pas me faire fuir – c’était ses mots. Soit, je me dirigeai vers sa chambre et trouvai sur son lit une grande serviette blanche toute douce, une robe de couleur unie bleu foncé, ainsi qu’un soutien-gorge en dentelle noire et rouge avec des motifs à fleur et ce qui ressemblait à une culotte assortie, mais était plutôt un simple cache-sexe à attacher par des rubans rouges autour des fesses. Mon sang ne fit qu’un tour et je marquai une pause. Anna me demanda si je trouvais – ce que je perçus comme une marque de malice de sa part. J’empilai le tout et allai lui tendre à la porte de la salle de bain, qu’elle entre-ouvrit tout en se tenant derrière. Dans un sourire, elle me dit que j’étais un ange, tout en tendant les bras jusqu’à moi, ce qui ne manqua pas de révéler une épaule nue et le bout d’un sein. J’étais en arrêt pour la seconde fois en une minute ; arrêt qui fut lui aussi interrompu par une question, cette fois sur le home cinéma. Oui, cela avançait !
Je repris la notice, tentant de retrouver mes esprits, mais Anna sortit en trombe de la salle de bain, fonça sur moi, et posa ses mains sur les épaules. Elle demandait où en était son expert cinéma ; et comme je soupirai, elle me fit reculer et asseoir sur le canapé, tout en se plaçant derrière moi, à genoux, penchée sur moi. Tandis que ses mains commençaient à masser mes épaules et mon cou, je sentais sa poitrine effleurer mes omoplates. Ses genoux et le haut de ses suisses enserraient mon bassin. Elle me disait de respirer profondément, de me détendre, et œuvrait à me calmer comme elle l’aurait fait pour animal apeuré, avec des caresses et de douces paroles. Malgré mes profondes inspirations, la proximité de son corps et le frais souvenir de la vue de ses sous-vêtements excitaient mon imagination au plus haut point. Sa poitrine était désormais collée à mon dos et oscillait doucement de haut en bas. A travers mon bermuda, j’étais sûr que mon érection lui était visible, mais je gardais les yeux sur la notice, par inertie. Elle continuait, par de doux murmures, à tenter de calmer mes sens. Entre chacune de ses paroles, elle laissait un léger baiser sur ma nuque.
Lorsqu’elle sentit mon corps suffisamment relâché, elle me dit de ne pas bouger et déplia ses jambes. D’une main leste, elle déboutonna ma chemise, m’en débarrassa, puis s’assit au fond du canapé. Alors, j’entendis un frôlement de bretelles de vêtements qui glissent sur des épaules, ce qui me fit expirer de surprise et de joie. Elle me prit par les épaules et m’amena jusqu’à elle, tout contre son corps. Je sentis sa poitrine, ferme et nue, dans mon dos. Elle prit mes mains et les mis sur le bas de ses cuisses, puis elle s’appuya sur mes épaules pour imprimer à son buste un mouvement de bas en haut. Ses tétons et ses seins lourds frottaient contre mon dos, de plus en plus rapidement. Elle soupira, encore et encore, puis gémit. Elle s’arrêta pendant peut-être une minute, puis posa ses mains sur mes cuisses et remonta vers mon ventre en effleurant mon entre-jambe. Elle sentit mes frissons, s’agrippa à moi et reprit la valse des baisers sur la nuque et des mots doux. Rasséréné, je laissais ses mains glisser à nouveau vers mon entre-jambe, déboutonner mon bermuda, et l’aidait même à le faire tomber à terre. Cette fois, mon érection était bien en évidence ; une évidence qu’elle ne se priva pas d’effleurer de plus en plus à mesure qu’elle caressait mes cuisses, et qu’elle finit par serrer légèrement.
Sans me faire prier cette fois, je la laissais descendre mon caleçon le long de mes jambes. Elle reposa sa tête sur mon épaule gauche, comme pour mieux admirer le fruit de ses caresses. Tant de douceur m’avait excité comme jamais. Alors qu’elle reprenait le massage de mes cuisses, je commençai à avoir envie d’explorer son corps de mes mains. Je caressais l’extérieur de ses cuisses et remontais jusqu’à sa taille, à ses fesses bien rondes, et à sa culotte, qu’elle n’avait pas enlevée. Elle en vint à lécher ses deux mains, puis à envelopper mon sexe avec, l’une au dessus de l’autre. Je sentis monter en moi le plaisir et m’agrippai à elle, serrant sa fesse d’une main et cherchant vaguement à caresser son visage de l’autre. Elle saisit vivement mon pouce avec un léger mordillement et se mit à le téter, dans un rythme qui s’accordait avec celui de ses mains. Je gémis, eus un spasme, et dis que j’allais jouir, presque surpris. Anna, qui continuait à sucer mon pouce, me fit gicler bien en rythme, et mes jets de sperme couvrirent la table basse devant nous. A bout de souffle, je m’amusai d’avoir éjaculé partout. Lorsque je me tournais vers elle, elle attrapa ma bouche avec la sienne et nous nous enlaçâmes de longues minutes dans la paix des corps. Lorsque je repris mes esprits, elle me demanda avec une moue malicieuse si son home cinéma était finalement prêt…
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