Hommes de chantier - histoire érotique

En ce lundi matin où je ne travaillais pas, je voulais faire la grasse matinée, mais à 8 heures j'ai été réveillé par un boucan du diable! j'entends des bruits de chantier!
J'ouvre les fenêtres pour voir que cela vient du pâté de maisons une rue plus loin où un immeuble est en construction, tiens! il va falloir que j'aille voir ça de plus près!
Depuis tout petit je suis attiré par ses gros engins de chantiers, ce qui m'impressionne le plus c'est la grue! pourquoi? je sais pas!
Finie la grasse matinée en tout cas!
Je prends mon temps au son des bruits de chantier, et ce son m'attire!

J'avais des courses à faire, et, en revenant je suis passé devant, émerveillé comme un jeune enfant devant de nouveaux jouets! Et il y avait une grue, certes pas très haute, mais c'était une grue, je voyais le mec dans la cage en haut qui manœuvrait, je suis resté un moment à regarder.

Il faisait beau, les hommes de chantier qui passaient étaient pratiquement tous torse nu et je me suis surpris à les mater!
Ils avaient tous entre 35-45 ans, mais putain! Ils n'avaient pas besoin d'aller dans une salle de sport! fallait voir les musculatures qu'ils avaient!
J'étais fasciné, si bien que je m'étais avancé sur le chantier, pour reluquer un peu plus.
-vous allez où jeune homme ? dit une vraie voix de mâle.

Je me retourne pour me trouver nez à nez avec un blanc, baraqué deux fois comme moi, en tee-shirt qui semblait deux fois trop petit pour lui! 40 ans, moustache, casque blanc sur la tête, qui me détaille avec un petit sourire ironique aux lèvres.
-nulle part dis je presque en bredouillant, je regarde, c'est tout!
-oui mais à partir de là, il me montre l'entrée, le casque est obligatoire pour aller sur le chantier dit il très sérieusement.
-désolé je ne savais pas.
-c'est pas grave dit l'homme mais sur un chantier faut faire attention.

En parlant il m'a pris par le bras pour me faire reculer, quand j'ai senti ses doigts sur mon bras, j'ai eu des frissons et ma queue s'est réveillée d'un seul coup! je me suis mis à bander alors que l'homme me regardait tout sourire.
-voilà! ici vous pouvez regarder sans casque!

Il rit et part vers ses occupations, je ne sais plus où me mettre! alors je rentre chez moi rapidement, ma queue me fait mal tellement je bande!
Jamais j'ai bandé pour un mec de 40 ans! moi le minet de 20 ans! certes j'aime les garçons, les mecs plus âgés que moi, qui me dirigent, mais le plus vieux avec qui j'ai couché devait avoir au maximum 30 ans!
J'ai pas mis longtemps à sortir ma queue et me branler en revoyant la musculature de l'homme! et dire que je n'avais même pas regardé son entrejambe!
Cela ne m'a pas empêché de jouir comme un malade! Fallait voir les giclées grimper en l'air et retomber sur mon torse, j'étais épuisé!

Bien sûr que j'y suis retourné! je restais à l'endroit qu'il fallait, mais je ne revoyais pas l'homme!
Par contre, et je suis resté les yeux hors de la tête quand j'ai vu passer un black, en tee-shirt, une peau ébène qui donnait envie de la toucher, la caresser. Il devait avoir aussi dans les 40 ans ce mec! la démarche souple, il portait sur son épaule une grosse planche, casque jaune sur la tête, je l'ai vu venir vers moi, et là j'ai regardé où il faut! putain de renflement! A chaque pas, la forme de son sexe se moulait dans le pantalon de chantier! il est passé devant moi, m'a fait un grand sourire en me disant bonjour! j'en suis resté interdit, et j'ai vu ses fesses moulées partir.

Ma queue était au beau fixe!
Je suis rentré vite fait à la maison pour une bonne partie de branle! je me suis même branlé deux fois de suite! l'image du renflement de l'entre jambe m'a fait jouir!!!!!

Il fallait que j'y retourne.
L'immeuble se construisait lentement, j'avais repéré tous les hommes de chantier, enfin ceux que je trouvais à mon gout! les autres aussi, et j'avais revu casque blanc!
Il était venu papoter avec moi, me donnant des explications sur ce qu'ils faisaient.
Branlette assurée tous les soirs!
Tous les jours j'étais là, pratiquement au moment où ils débauchaient, le plaisir de les voir retirer leur tee-shirt et de voir leurs torses de malade! j'avais repéré un arabe, certes il paraissait encore plus vieux, mais quand il a enlevé son tee-shirt et que j'ai vu son torse velu, un ours le mec! Et les muscles!
J'avais jamais vu des mecs musclés comme ça dans la salle de sport!

Casque blanc venait me voir tous les soirs et, un jour il m'a proposé de mettre un casque jaune et qu'il me ferait visiter les travaux!
Quel moment j'ai passé, dans l'antre du travail, de voir tous ces mecs en plein effort qui me regardaient l'air un peu étonné quand même.
Le black avait un regard lubrique, j'ai trouvé quand il m'a regardé, me détaillant des pieds à la tête, comme s'il voyait que je bandais!
Que dire du regard lubrique de l'arabe!
La visite n'a pas duré longtemps, heureusement il fallait que je rentre me soulager!

Casque blanc avait pris l'habitude de me voir venir, il était très sympa, m'a montré où il avait mis "mon" casque et m'a dit que s'il n'était pas là, je pouvais le prendre pour voir l'intérieur mais aller uniquement où il m'avait montré!
-promis? dit-il en posant sa main sur mon menton pour qu'on se regarde dans les yeux.

J'ai dû rougir, tellement le contact de sa main m'a fait immédiatement bander.
Si bien qu'un soir…

Lorsque je suis arrivé, c'était presque l'heure de la débauche, pas de casque blanc en vue, je suis allé chercher "mon" casque et j'ai commencé à déambuler sur le chantier.
En fait, j'étais heureux d'être tout seul et de regarder ce que ces hommes avaient construit. Je ne faisais pas tellement de bruit en me déplaçant.
Si bien, qu'à un détour, je suis resté tétanisé devant le spectacle…

"Mon" black, de profil pissait en se regardant sa queue, et quelle queue mes amis! j'en avais jamais vu de si grosse, il était à peine à deux mètres de moi, je pouvais détailler sa queue courbée vers l'avant, le gland bien décalotté, les couilles qui pendaient et un putain de jet d'urine coulait!
Je ne bougeais plus, les yeux sur le bel engin.

Il a fini de pisser, a fait quelques allers retours pour faire tomber les dernières gouttes, mais il a continué, et j'ai vu la queue se redresser, prendre de l'ampleur, grossir, remonter et il continuait à se caresser lentement.
La mienne ne savait plus quoi faire, je bandais à mort! j'avais envie de me branler en le regardant.

Quand il a bougé dans ma direction, relevant la tête.
-c'est ça que tu es venu voir petit blanc ? approche! ça mord pas mais ça adore les caresses dit il en riant.
Comme un robot j'ai fait deux ou trois pas, les yeux toujours sur cette queue démesurée!!
Il a pris ma main pour la poser sur son sexe noir!

Mon cœur battait de plus en plus vite, j'ai passé ma main autour du gros morceau, caressant cette peau noire et chaude, douce et dure.
-branle moi mon garçon! dit le black.
J'ai obéi.
J'ai senti sa main se poser sur ma tête, descendre sur mon cou et m'attirer à lui.
Il sentait l'homme, la sueur, le mâle, le vrai! son torse était dur sur ma joue.
J'ai mis les deux mains sur sa queue pour le caresser et le branler.

Je l'entendais souffler plus fort, il devait apprécier, sa main est descendue sur mon dos pour me flatter les fesses! je fondais le long de son torse.
Il a appuyé sur mes épaules.
-fait lui des bisous elle aime ça!

Je me suis mis à genoux devant lui, sa belle paire de couilles pendaient lourdement et ce morceau de viande que j'avais devant les yeux! le gland bien décalotté, le méat bien ouvert laissait couler la mouille, j'ai fait des bisous sur le gros gland, la queue tressautait dans mes mains, je me suis aventuré à le lécher, enlever la mouille qui coulait pour que mes lèvres enveloppent ce gros bout de Zan!

Ses mains sont venues me tenir la tête, et le gros boudin noir a commencé à s'enfoncer dans ma bouche, j'ai bien tirer la langue pour qu'il coulisse dessus mais le gros gland a vite touché le fond de ma gorge buttant sur la luette, j'ai craché, toussé et je pleurais comme une madeleine, il m'a laissé revenir en arrière, et est revenu à la charge plusieurs fois, pour sentir le gros morceau m'étouffer complètement et me bloquer la gorge.
Et tout n'était pas rentré!

Il m'a baisé la bouche cette première fois, je dirais tendrement, je serrais bien mes lèvres sur le gros morceau et quand j'ai senti qu'il allait éjaculer, il s'est retiré de ma bouche et tout son lait s'est éjecté sur mon visage. J'ai dû fermer les yeux, j'en avais partout et je sentais encore des choses me tomber sur le visage.
-bouge pas ! dit le black.

J'ai attendu un petit moment, pour sentir quelque chose frotter mon visage, il m'essuyait avec un rouleau de papier!
Il avait un grand sourire.
-relève toi petit blanc et fais moi voir ce que tu as dans le pantalon.
J'ai dû avoir l'air ridicule quand j'ai sorti ma queue raide, pourtant j'ai une belle queue, mais par rapport à la sienne!

Il est venu derrière moi, j'ai senti son sexe mou contre mes fesses, sa main qui s'emparait de ma queue. D'un bras, il m'a serré contre lui, j'ai relevé la tête pour la mettre sur son épaule, et il a commencé à me caresser le sexe en même temps que ses grosses lèvres me suçait, m'aspirait le cou.
Il n'a pas fait beaucoup de va-et-vient et j'ai juté dans un cri, encouragé par le black.
-c'est bien petit blanc! t'as une belle queue bien juteuse!

Il m'a fait lécher ses doigts et m'a fait un bisou sur les lèvres en me mettant une claque sur les fesses!
-allez rhabille toi, faut que je rentre!
Moi aussi il fallait que je rentre pour encore me branler! là j'avais des souvenirs!
Et voir les deux énormes suçons que j'avais dans le cou!

C'était devenu un rituel, j'étais là tous les soirs, "mon" black m'attendait, la queue à l'air.
Et, c'était parti, je le suçais d'abord, de mieux en mieux, en prenant chaque jour un peu plus, il a commencé à se vider dans ma bouche, pas tout les premières fois! fallait voir les décharges qu'il avait ce black.
Il me faisait jouir en me branlant et m'embrassant, sa longue langue s'enfonçait aussi loin dans ma gorge que sa queue!

Et le soir où il m'a bouffé le cul! cette première fois! je m'en souviendrais, sa longue langue a foré mon petit cul de pédé qui en avait vu de la bite! j'avais jamais été pénétré comme ça par une langue et, quand ses longs doigts se sont emparés de mon cul, j'ai cru devenir fou tellement ils me faisaient du bien et l'entendre dire:
-bientôt je vais t'enculer petit blanc! je sens que t'es prêt!

J'avais pas voulu le contredire.
Et, ce qui devait arriver, est arrivé!

Mais il avait amené de la pommade le coquin!
-pommade africaine petit blanc! tu vas rien sentir!
J'avais quelques doutes mais j'avais tellement envie de lui faire plaisir.
Il m'a fait tartiner sa queue de pommade et lui c'est occupé de mon petit trou.

Je ne sais pas si c'est la pommade, mais j'ai trouvé qu'elle me chauffait le cul et ses doigts en moi qui l'écartaient sur la paroi.
-penche toi en avant, tient toi au pilier de béton! y craint rien dit il en riant.

J'ai senti son gland glisser dans ma raie, trouver l'entrée, forcer lentement et, c'est vrai que la pommade aidait bien, mais dire que j'ai rien senti!
Quand le gland est passé j'ai hurlé, sa main est venue se mettre sur ma bouche et j'ai senti son morceau entrer en moi, glisser dans mon conduit! ah ça allait plus loin que dans ma gorge, mais j'avais pas vraiment mal je me sentais écartelé! ouvert! foré! percé! et le gros boudin continuait de s'enfoncer, j'ai été heureux quand j'ai senti ses poils sur mes fesses!
Il m'a redressé contre lui, mais jusqu'où allait sa queue en moi ?
-ça va petit blanc ?
J'ai fait oui de la tête, ses lèvres m'ont embrassé le cou.
-alors je vais te baiser comme un vrai africain petit blanc!

Je ne savais pas comment baisaient les africains! je ne sais pas si sa méthode est la vraie! mais vous n'avez jamais eu votre cul fourré comme ça!

Il a fini par me tenir aux hanches et faire aller et venir son gros morceau! j'avais jamais eu les boyaux raclés ainsi!!
Je me tenais au pilier et il s'en est donné à cœur joie! ses grosses couilles frappaient les miennes avec force! et mon conduit était ouvert de chez ouvert! ça pour coulisser ça coulissait!
Et quand il s'est vidé en moi, j'ai cru que c'était un karcher tant les giclées avaient de la force, de la force et de l'abondance. Je me suis dit que ça allait me ressortir par la bouche.
Il s'est retiré doucement de mon cul et j'ai senti son jus couler sur mes jambes.
Il m'a retourné dans ses bras pour m'offrir sa langue.
J'étais amoureux d'un vieux!
Heureusement qu'il y avait le week-end pour me remettre, mais dès le lundi soir j'étais au rendez vous… impatient!

Ce jour là j'ai eu une surprise.
Quand je suis arrivé, ce n'était pas le black qui pissait cette fois, mais l'ours arabe, déjà torse nu, qui a tourné la tête en m'entendant arriver.
J'allais faire demi tour.
-tu peux venir le céfran! dit il mon pote le black n'est pas là cette semaine et il m'a dit de le remplacer pour pas que tes trous se referment.
Il est parti d'un grand éclat de rire.
-viens, approche! viens voir de plus près le beau zob de Mouloud!
Bah pourquoi pas j'ai pensé! et je me suis approché.

Plus j'approchais, plus le zob de Mouloud augmentait! Mais ce qui m'attirait en fait c'est son torse, ses poils nombreux, cette toison qui recouvrait tout et mes yeux sont tombés sur les tétons, de gros tétons qui pointaient au milieu de ses poils, il y avait une continuité entre sa barbe et la toison qui descendait jusqu'à son zob! et quel engin il avait Mouloud!

Il avait un peu de ventre, j'ai avancé ma main sur la toison, j'ai été comme électrisé en la touchant, que c'était doux… Ma main est passée sous ses tétons, il a gonflé la poitrine, ses tétons apparaissaient mieux, j'ai touché du bout du doigt et j'ai senti sa main me prendre derrière la tête et m'approcher, j'ai eu de suite un téton entre les lèvres, j'ai aspiré, léché, sucé et Mouloud râlait! j'étais heureux de faire râler ce mâle arabe!

Je me suis appliqué à le caresser, mêlant mes doigts dans cette douce toison, caresser ce corps dur à la toison si douce et bouffer ses tétons, il avait l'air d'aimer ça! je me suis régaler.
-fous toi à poils le céfran que je vois bien ton petit cul de salope!

J'ai enlevé le haut, et baissé mon pantalon et boxer, ma queue était contente d'être à l'air.
Il m'a collé contre lui avec force et ses mains se sont emparées de mes fesses.
-bouffe moi les tétons mec! t'es doué!
J'ai obéi, pendant que ses doigts fouillaient déjà dans ma raie imberbe, trouvant ce qu'il cherchait et, sans ménagement un doigt est entré, s'enfonçant au plus loin qu'il pouvait!
Là, c'est moi qui râlait! j'aimais ce doigt rugueux de mâle ouvrier qui me fouillait, j'avais lâché le téton, pour frotter mon visage sur la toison en râlant.
-il t'a bien ouvert mon pote le black! le zob de Mouloud va bien entrer! suce moi en laissant ton cul en l'air!

Je me suis penché sur le zob, mes fesses bien relevées, il a introduit deux doigts et me fouillait sans ménagement le cul.
J'avais devant les yeux son gros zob hyper bandé, la mouille coulait, j'ai pris ses couilles en main, les serrant tendrement pendant que mes lèvres enveloppaient de suite le beau gland chaud et dur!
Sa queue était bien moins longue et grosse que celle du black! mais c'était quand même un sacré morceau car elle me paraissait plus épaisse!

D'un coup de reins il l'a enfoncé dans ma bouche, me tenant par le cou et deux doigts dans mon cul que je tendais un maximum.
Sans aucun ménagement pour ma bouche de salope, son zob a coulissé bien au fond! j'avais l'habitude avec la grosse queue du black, j'ai aimé le gout du zob de Mouloud, rien à voir avec celle du black!!
Ses doigts m'ouvraient en faisant des va-et-vient rapides.

Mais c'est bien mon cul qu'il voulait! Il s'est retiré de ma bouche, son zob plein de ma salive, il s'est positionné derrière moi, le gland glissait dans la raie, trouve l'entrée, ses mains qui se saisissent de mes hanches et dans un "han" de bûcheron , s'enfonce toute entière dans mon cul, me faisant encore gueuler!
Il s'en foutait Mouloud que je gueule! il ne devait plus y avoir personne sur le chantier!

Et la mécanique ouvrière s'est mise en route, se sont ses mains sur les hanches qui me serraient qui me faisaient le plus mal! Et sa queue coulissait en moi telle un vérin dans son trou, en cadence infernale, il restait au fond et donnait de petits coups de reins secs, comme s'il voulait aller encore plus loin! moi je me cramponnais au pilier, qui décidemment en voyait tous les soirs!

Il m'a fait chanter Mouloud! Mais son sgeg était formidable! Il m'a baisé, ramoné pendant un long moment! J'avais le cul en surchauffe et quand il a évacué tout son trop plein, j'ai senti la première décharge brûlante et abondante me remplir jusqu'à l'estomac tellement il y avait du jus, il y a eu une petite accalmie et les giclées se sont succédées et c'était son tour de crier que c'était bon!

Quand il a eu fini, il a fait de petits va-et-vient en moi et je sentais son zob nager dans mon cul, ça faisait un drôle d'effet!

Quand l'engin de chantier est sorti de mon cul, j'ai eu comme un grand vide et son jus coulait sur mes jambes, il m'a attiré de dos contre lui, ses mains rugueuses me caressaient la poitrine, martyrisant mes tétons, ses lèvres dans mon cou, il m'a mordu en tirant la peau.
-mon pote m'a dit que t'avais une belle queue juteuse! on va regarder ça!

Je pensais qu'il allait me branler comme "mon" black me le faisait, non, il m'a retourné face à lui et s'est agenouillé devant moi!

Ah ma grande surprise il a avalé ma queue jusqu'aux couilles, je sentais sa langue l'envelopper de salive chaude, sa main serrait mes couilles, et il m'a pipé! sucé! serrant mon gland entre ses lèvres et quand j'ai gueulé que j'allais jouir, il s'est bien enfoncé sur ma queue, me tenant par les fesses et je me suis déversé dans sa bonne bouche et j'en avais du bon jus céfran! Il a tout avalé Mouloud et s'est même léché les lèvres en me souriant, il en avait dans sa barbe que j'ai enlevé avec mes doigts qu'il a sucé!

Il s'est relevé, je me suis réfugié dans ses bras, avoir encore sa toison sur moi.
-tu les aimes mes poils hein le céfran ?
-oui on est bien dessus! dis je en lui souriant.
-eh bien on a toute la semaine pour en profiter!
Il m'a soulevé le menton et a déposé un doux baiser sur mes lèvres.

Je n'en revenais pas de la tendresse de ce beau mâle viril.
-allez faut que je rentre retrouver ma femme dit il en me donnant une claque sur les fesses, à demain!
Il est parti d'un côté, et moi de l'autre pour trouver la sortie.

J'étais presqu'arrivé, quand j'ai vu venir vers moi le chef avec son casque blanc!
-alors! tu fais faire des heures sup à mes gars ? dit il en riant.
Je devais être rouge pivoine quand il s'est approché de moi, posant sa main sur mon bras.
-t'as jamais vu les plans de l'immeuble que l'on construit! viens je vais te montrer dans mon bureau.
Et, sans attendre ma réponse, me tire dans l'algéco juste à côté.

Son bureau est vide, aucun plan n'est là! je me retourne, pour voir ce beau mâle me regarder, me toiser.
-t'es même pas venu pour me remercier de t'avoir permis d'aller sur le chantier… dit il avec un petit sourire narquois, le même que le premier jour où je l'avais rencontré, et surtout d'avoir fait la connaissance d'hommes de chantier, ils sont content de te connaitre!
Tout s'est mis à tourner autour de moi, je sentais comme si le sang se retirait de mon corps! putain mais ils en avaient parlé avec leur chef! J'en revenais pas!

Je le regardais, hagard, ne sachant que dire.
C'est lui qui a fait les pas nous séparant.
-t'en fait pas! J'ai bien vu le premier jour que c'était pas la construction qui t'intéressait, mais les queues de mes hommes, et comme j'aime qu'ils soient heureux.

Je l'ai vu retirer son tee-shirt. Pour un mec qui travaillait dans les bureaux, c'était un sacré morceau que j'avais encore devant moi!
-alors j'attends ma récompense gamin! j'ai bien vu ce que tu aimais.
-comment ça vous avez vu.
-ben j'ai des caméras de surveillance à travers le chantier que j'active pour la nuit, mais quand je vois que tu viens, je les active avant et j'ai mon porno tous les soirs!

Je le regardais ébahi.
-t'en fait pas rien n'est enregistré de ce que tu fais, mais tu vois maintenant, j'aimerais bien que tu t'occupes de moi gamin!
Il a enlevé carrément son pantalon, est allé fermer la porte à clé et en revenant vers moi a enlevé son caleçon.
Le chef a une grosse queue bien poilue!
Il est venu me déshabiller, on était nu tous les deux!
-j'ai envie de ton petit cul! tout de suite gamin! ça va rentrer facilement avec ce que Mouloud vient de déposer.

J'avais honte qu'il me parle comme ça! mais je me suis retourné, il a appuyé sur mon dos, me collant le torse sur son bureau, ses gros doigts m'ont envahi le cul, le forant bien profond!
-c'est bien ce que je pensais!
Et aussitôt j'ai senti son gland se poser sur mon anus encore ouvert et humide, cela devait lui plaire car c'est lui qui gémissait le plus!
J'avais bien vu qu'il avait un gros sexe, et il m'a baisé comme le chef qu'il est !

Il devait être excité d'avoir vu notre partie de baise avec Mouloud, car il n'a pas mis longtemps à mélanger son jus à celui de Mouloud en poussant des râles sans fin.
Il m'a pris dans ses bras, en me retournant, une main sur la nuque qui me bloquait la tête dans son épaule et l'autre qui me caressait le dos tendrement, doucement.
J'étais un peu choqué de ce qui venait de se passer.
-maintenant on va faire mieux connaissance gamin! j'avais tellement envie de toi, te voir te faire baiser par le black pendant une semaine… J'avais envie depuis longtemps de t'intercepter quand tu partais, mais j'ai jamais osé et quand j'ai vu ce soir que Mouloud avait remplacé Mamadou, je crois que j'ai été jaloux…

Là je n'en revenais pas! J'ai relevé la tête pour le regarder, surpris.
Il a fermé les yeux et a posé ses lèvres sur les miennes, me serrant fort contre lui et nous avons échangé notre premier vrai baiser!
Il a installé une grosse couverture à terre, où l'on s'est allongé et j'ai retrouvé l'ardeur des amants de mon âge!
Il était amoureux mon chef de chantier!
On a baisé encore et encore, il m'a sucé, je l'ai sucé et il m'a offert son cul!
Mon premier cul de mâle viril, d'homme de chantier!
Lorsqu'on s'est quitté ce soir là, il faisait nuit depuis longtemps!
-tu reviendras hein ?

J'avais le temps pour revenir, il y avait encore pour 18 mois de chantier!
Et, j'avais pas goûté à tous ces beaux mâles d'hommes de chantier qui me plaisaient!
J'avais beaucoup de boulot en vue!