Honte à le piscine - histoire érotique

Honte à la piscine

Je m’appelle Bruno j’ai 15 ans et chaque semaine le mercredi après midi je vais à la piscine et je retrouve plusieurs copains, et copines de ma classe ! Ou plutôt non c’est eux qui me retrouvent car j’arrive toujours le premier.

Le Mercredi en principe il n’y a qu’un coté des vestiaires et douche d’ouvert, on se change garçon ou fille dans une cabine, on met nos vêtements sur un panier et on porte le panier à la consigne, qui nous remet une pince avec un numéro.

Moi, je suis un peu voyeur et je choisi toujours une cabine en bois qui a déjà un petit trou, en plus si possible à la bonne hauteur proche du banc pour pouvoir bien mater assis, je me mets d’abord à poil dans la cabine, mais quelque fois c’est un mec de l’autre côté , alors j’attends assis sur le banc qu’il sorte, et je suis en principe toujours récompensé, car une fille arrive toujours pour venir se changer.

Je peux même parfois me régaler car beaucoup de filles aiment bien ce changer ensemble, alors je mate longtemps, sans faire de bruit il y a quelque fois des filles qui se font des léchouille cela m’excite, et moi. j’ai toujours une main sur mon zizi.

Quelque fois des personnes qui attendent une cabine pour se changer tapent à la porte, car il trouve que je mets du temps à mettre mon maillot de bain, mais elles n’insistent pas car il y a toujours une cabine qui devient libre.

Un mercredi, comme habitude je trouve la cabine recherchée, juste ce qu’il faut, prêt du banc une cabine avec un petit trou, je place mon œil, une superbe fille, je peux la voir mais pas très bien, car le trou est un peu petit, elle se déshabille complètement, et se met de la crème sur tout le Corps, sans doute pour aller au solarium, elle est juste tournée du bon coté un pied sur le banc face à moi, je me régale, je reluque bien son minou dommage le trou dans la cabine est un peu petit, elle met son maillot et sort de la cabine.

Je profite que cette cabine qui est à coté de la mienne et vide pour essayer d’agrandir le trou, mais je n’ai rien, alors avec mon petit doigt je force en le tournant, et il s’enfonce d’un seul coup, seulement me voilà bien. je ne peux plus le retirer, mon doigt est coincé.

Une personne arrive de l’autre côté, et bien sur remarque mon doigt qui dépasse dans sa cabine, alors il va prévenir une personne de la consigne, il arrive, ouvre ma porte avec juste un passe, et me surprend à poil, assis sur le banc le doigt coincé dans le trou de la cabine, il me dit :

- Que t’arrive t-il ? Tu a l’air malin comme ça, le doigt coincé, que voulais-tu faire ? heureusement que tu n’as pas mis ton zizi dans le trou.

Il passe de l’autre côté pour tenter de me décoincer le doigt, mais laisse ma porte ouverte, alors bien sur toutes les personnes qui arrivent au vestiaire viennent voir ce qui se passe, et tout le monde me voit à poil sur le banc le doigt coincé.

Au bout de cinq minutes, il n’arrive toujours pas à me décoincer le doigt qui avait bien gonflé, il était déjà bleue, alors les responsables des vestiaire ont décidé de faire appel aux pompiers.

Je ne suis pas fier de moi, car il y a de plus en plus de curieux à me mater à poil sur mon banc, tout le monde se marre bien.

Les pompiers sont arrivés, et ils ont réussi avec un cutter à agrandir le trou de la cabine pour libérer mon doigt, entre temps mes copains et copines sont arrivés, il se sont bien marré de me voir dans cette posture.

Je me suis fais bien engueuler par le directeur de la piscine, détruire une cabine pour mater les filles , déranger les pompiers, alors pour cette bêtise, il m’a dit :

- Puisque tu a voulu te rincer œil, comme punition, c’est aux filles maintenant de s’amuser tu resteras à poil jusqu’a ce que tu ai fini de reboucher tous les trous de toutes les cabines avec du mastic, et cela en laissant la porte ouverte des cabines Quand tu auras terminé je vais venir vérifier si c’est bien fait.

Je n’étais vraiment pas fier de moi, je me suis dépêché de mettre du mastic dans les trou, mais il fallait à chaque fois que je passe d’une cabine à l’autre, car le mastic ressortait de l’autre coté.

Ce travail m’a pris environ 45 minutes, et c’est long surtout , qu’il y avait de plus en plus de personnes à assister à ma punition.

Inutile de vous préciser que ce jour-là je ne me suis pas baigné, ma punition terminée j’ai pu me rhabiller et rentrer chez moi.

Je suis revenu à la piscine un mois après et des personnes qui me reconnaissaient, me disaient un : Bonjour en levant et remuant le petit doigt et en se marrant.

Depuis ce jour je mets mon maillot de bain chez moi, j'essuie bien et reviens avec mon maillot, je ne cherche plus à mater les femmes.