Hopital de nuit
Récit érotique écrit par Jemsa42 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2020 dans la catégorie Fétichisme
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Hopital de nuit
Ma délicieuse femme travaille à l'hôpital de St Etienne, elle fait des gardes de week-end et plus rarement des gardes de nuit. Sa fonction la fait se déplacer dans presque tous les services du bâtiment.
Un jour elle est revenu à la maison avec une liste de patients imprimées sur 3 feuilles, à côté de leur nom, leur age et de leur numéro de chambre une étiquette autocollante, chaque feuille comptait 15 noms, la dernière en comportait 12, total 42.
Elle avait édité ces pages dans la journée, consultant les dossiers de chacun de ses patients, tous, des courts séjours pour de petits soucis, et tous à la veille ou l’avant veille de partir.
Elle me dit alors“J’ai eu une idée tout à l’heure et j’aimerais avoir ton avis dessus”Ce soir elle devait donc travailler de nuit, poste de 20h à 8h le lendemain. Elle m’expliqua qu’elle devrait assurer son poste classique, 2 h de travail environ, mais que le reste de cette garde devrait être calme.
Elle me dit alors“J’ai pensé faire un tour dans quelques chambres ce soir, histoire que le séjour à l'hôpital de ces messieurs se terminent au mieux, qu’en penses tu ?”Je la regardais médusé et incapable de dire quoi que ce soit, elle rajouta“Je me suis préparé une tenue adéquate et je pensais prendre le caméscope pour immortaliser ces images, alors ton avis ?”Je ne mis pas longtemps à lui répondre“Je pense que l’idée peut être excellente, tu sais que je te fais entièrement confiance et que si tu me ramène des images je serais heureux de voir ce que tu as fait de ta nuit”Ni une ni deux, elle se prépara. Elle passa dans la chambre, pris plusieurs boîtes de préservatifs, les enfourna dans son sac et pris le départ. Il était 19h40.
Je ne la reverrais que le lendemain.
La caméra s’allumait dans le vestiaire vide, elle était seule dans une cabine. Elle posa le caméscope sur son trépied en se filmant, le disque dur était vide, la batterie chargé à bloc.
“Elle pris soin de se déshabiller entièrement et me montrait son corps, elle avait remis les anneaux à ses tétons, rares occasions d’ailleurs”Elle enfila sa blouse blanche sans rien dessous, elle lui tombaient bien à peu près à mi cuisses.
Elle prit dans le sac un porte jarretelles blanc que je connaissais bien, elle le mot sur son ventre, il était en vynil une ceinture large d’au moins dix cms, de celui ci pendait six attaches de chaque coté.
Elle sortit alors ce que je pensais être son pantalon de travail, mais celui ci était en deux parties, elle en posa une à côté d’elle.
Elle enfila une jambe seulement, le reste du pantalon avait disparu !
Elle fixa le haut de ce tissu aux six points du porte jarretelles, celui ci était équipé de petites pinces métalliques. Elle fit de même avec l’autre jambe.
Elle se contemplait ainsi, et dit alors face à l’objectif.
“Et voilà je suis prête pour ma tournée, je vais d’abord aller bosser un peu et après…”Elle ne rajouta pas un mot, je vis juste sa main sur son pubis qui grossissait face à la caméra, elle me montrait alors son piercing et ses magnifiques tatouages. La caméra s’éteint brusquement sur cette image.
22h45, la caméra se rallume, elle est de face, blouse fermée. Elle porte une charlotte sur les cheveux et un masque de chirurgie qui lui couvre presque tout le visage. Elle prends les boîtes de préservatifs les ouvrent une à une et verse leur contenu dans un sac rectangulaire, elle place à côté ce que je sais être une poubelle pour déchets de soins. Elle saisi le tout et face à la caméra elle prononce ces mots “Monsieur BENSALEM M..., chambre C214, premier de la liste” (Nom d’emprunt évidemment) Puis caméra en pause. L’image revient à 22h48 dans un couloir vide et très peu éclairé, elle approche de la chambre C214, je le vois sur l’image, elle frappe doucement, d’après l’angle de la caméra elle a dû la placer dans le sac. Elle entre et je vois de la lumière provenant d’une télé et un homme allongé dans son lit, elle le salue et fait mine de consulter ses constantes, elle avait posé le sac sur la tablette à côté d’elle, elle dit alors“Tout se passe bien pour vous ce soir monsieur, le service a un petit cadeau a vous faire avant votre sortie, si vous l'acceptez bien sur !”Le gars interloqué, dit alors “Une surprise, j’espère qu'elle est bonne au moins”A ces mots elle dégrafa les pressions de sa blouse et lui faisait face deboutLe monsieur qui devait avoir une petite soixantaine d’années se cala dans son lit et ouvrait des yeux gigantesques, il ne put dire que “Comme surprise, c’est une surprise et en plus elle est très très bonne”Sous le drap fin on voyait déjà la bosse de son sexe.
Florence écarta son masque, pris une capote la glissa sur ce bel engin et l’accueillit au fond de sa bouche, elle oeuvrait avec rapidité et avec soin, le pauvre homme dont le sexe était happée par ma femme spécialiste en fellation ne tarda pas a remplir le latex d’un long jet, il avait passé ses doigts dans le sexe lisse de Florence et la doigtais calmement.
Elle retira la capote, pris la première étiquette et la colla dessus obturant soigneusement pour éviter que le liquide ne coule, elle le regardait face à elle et dit alors“j’espère que monsieur est satisfait des prestations hospitalières, pas de dépassement d’honoraires ici tout est pris en charge” Elle le glissa dans la petite poubelle. Caméra en pause à 23h02. Moins de quinze minutes en tout et pour tout.
Seconde chambre la caméra indique 23h04. Numéro C205. Elle frappe à nouveau et rentre, même situation avec cette fois ci un homme d’environ 30 ans, tout se répète une nouvelle fois. Debout à côté du lit elle fit mine de tomber un stylo, elle se baissa, jambes tendues pour le ramasser, cette position remontait sa blouse, le regard fixa sur ses fesses, le mec découvrit ce qu’il y avait dessous ou du moins ce qu’il n’y avait pas. Elle resta ainsi et dit “Ah oui le cadeau si cela vous convient, c’est moi”Le gars n’hésita pas une seconde de plus et tendis sa main sur ses fesses, il releva un peu plus la blouse et découvrit alors ce magnifique spectacle, il claqua une main sur le haut des les fesses. Il dit alors “Si je m’attendais à cela, bien sur je prends le cadeau”il glissa deux doigts dans le sexe de ma femme, il les agitent un peu et découvre le petit objet métallique fiché dans son clitoris, surpris il recula la mainMa femme dit alors“Tu ne t'attendais surement pas à cela non plus mon garçon, cela te plait-il ?”Elle s’était relevé, le sexe tendais le drap en une tente indienne..
Elle le découvrit, enfila un second préservatif, elle défit les pressions à nouveau et chevaucha le mec sur son lit, elle lui faisait face. A genoux, ses deux jambes calées de part et d’autre de son torse. Elle monta, le guida en elle et commença a gémir quand le pieu la traversa. Elle s'agitait frénétiquement sur son sexe, jouant avec ses muscles elle le massait de l’intérieur.
Il posa ses mains sur ses hanches et au bout de quelques minutes, il déversa sa semence dans la capote.
Elle descendis du lit, se rajusta, pris la capote, colla l’étiquette et direction sa poubelle portative.
Elle l’embrassa sur la joue et disparut aussitôt.
Elle ne coupa pas la caméra dans le couloir, la troisième chambre était toute proche, elle frappa à la porte et ouvrit, dans la pénombre on ne distinguait qu’une forme allongé dans un lit. On entendait une respiration lente. Elle s’approcha et alluma le plafonnier au dessus, la lumière éclairait le plafond.
Le jeune homme ouvrit doucement les yeux encore embués par le premier sommeil. Elle ne s'embarrasse pas de bla bla cette fois ci.
Elle saisit son sexe au travers du drap et dit alors“L’établissement offre une petite gâterie ce soir, est ce envisageable la maintenant ?”Le réveil fut soudain pour lui mais le sexe qui grossissait dans sa main trahissait une excitation qui elle aussi se réveillait rapidement. Elle ôta sa blouse, monte sur le lit et se met en position de 69, le gars ne se fait pas prier et commence alors a lécher cette belle fente ouverte. Elle glisse le préservatif et s’active sur ce sexe tendu, elle remonte en aspirant le gland et descend vers la gorge profonde, son sexe correspondait sans aucun souci aux capacités buccales de Florence. Elle saisit ses couilles pour les tordre doucement quand elle eu un bel orgasme inondant la bouche de sa cyprine. Il savait donc s’y prendre ce jeune pour déclencher cela chez elle en si peu de temps. Elle se levat, défis la capote qui rejoignait les deux autres avec son étiquette. Elle lui tendis une serviette pour qu’il s’essuie le visage, elle remit de l’ordre dans sa tenue. Eteignis la lumière et partit sans mot dire.
Pause a 23h32 et nouvel image 4 minutes après.
Elle frappe à la porte et entre, elle arrive proche d’un lit ou un gars très grand était installé.
Elle vit ses muscles saillants sous sa peau, il était rudement bien bâti.
“Bonjour je viens voir si tout va bien ?”Elle s’approcha et regarda les constantes. Cette fois ci elle ne fut pas totalement maître de la situation.
Le gars l’avait empoigné par la taille et s'approchait de lui, il dit alors“C’est à cette heure tardive que vous venez c’est bien la première fois. Vous êtes très belle madame sachez le.”Il glissa sa main sur son sexe glabre et agitas deux doigts dans son antre, il fut surpris de ne rien trouvé comme obstacle mais s’en affranchit rapidement. Il agitait ses doigts rapidement, ils étaient long et fin. Il approcha sa bouche de la sienne, elle recula.
Surpris, il grimaça… pas longtemps car elle l’avait saisi au bon endroit. Il avait le sexe long et épais, il était déjà tendu comme la corde d’un arc.
Elle le couvrit d’une nouvelle capote, cette fois ci elle offrira son cul à ce gros sexe, elle le suca longuement d’abord car ses dimensions étaient importantes. Elle dégrafa et fit tomber sa blouse, il pris la pointe d’un sein et tira sur la boucle, il dit alors“Mais c’est que madame est une coquine derrière ce masque, je n’avais encore jamais vu pareil bijou”Elle grimpa sur le lit et se mit assise de dos sur ses cuisses. Le gars présenta son sexe contre le sien dans son emballage de latex, elle bougea un peu. Pris de la salive sur ces doigts et s’en enduisit le second petit trou plus étroit. Le message est claire, il changea donc d’objectif. Il pointa son sexe à l’entrée de son cul étroit.
Elle venait de se mettre à califourchon , pieds contre le matelas, elle montait un peu ses fesses. Le gars orienta son sexe droit sur son anus, elle descendait à présent, le contact fut établi. Elle se laissa glisser doucement, le gros gland forçant le petit passage étroit, elle se décontracta quand celui ci était à l’intérieur.
Elle appréciait les queues larges dans ses orifices, celui ci avait les dimensions adéquates au plaisir.
Elle montait et descendait de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus loin sur ce mat dur. Il voyait parfaitement son sexe disparaître entre ses fesses et réapparaître l’instant d’après. Il la frappa avec la plat de la main sur les fesses, comme pour la dominer un peu. Elle s’affala brutalement sur lui claquant ses fesses contre son pubis, d’une main de libre elle lui serrait les couilles, il se vida en soubresauts fiché au fond de son cul. La scène finale se répétait une nouvelle fois. Elle enfila juste sa blouse, et se pencha a son oreille pour lui dire doucement“J’espère que ça a été aussi bon pour toi que pour moi, tu es bien monté et j’ai apprécié ce moment dans mon cul. Merci”“Ce n’est pas à toi de me remercier, mais plutôt à moi, ce sont des attentions comme celle ci qui font que l’on a moins peur de venir ici” Il lui sourit, elle aussi probablement mais difficile de le voir avec le masque. Elle sortit silencieusement à 23h57, ce patient avait eu plus de chance que les précédents, mais elle avait vraiment aimé cette étreinte bestiale et puissante.
Quatre mecs en à peine plus d’une heure, elle avait un bon rythme.
La cinquième, et les deux suivantes passèrent rapidement, elle avait changé d’étage, mais pas de rythme, 00h38 elle sortaient de la septième chambre.
Elle se glissa dans la suivante, il faisait sombre, elle alluma à nouveau le plafonnier, elle découvrit un autre homme allongé de côté, dormant à poings fermés. Elle posa sa main à l’endroit adéquat. Elle massait cet engin qui paraissait lui convenir, elle ota son masque un instant et dit tout doucement, voilà encore un bien bel engin à ma disposition. Elle le remit en place quand le corps bougeait sur le lit, elle était assise au bord du lit les jambes croisées haut. Ses yeux s’ouvrit alors, il rêvait probablement encore, il se frotta les yeux un instant et les rouvrit, il lui souriait, pas un mot entre eux.
Elle commença a caresser ce pour quoi elle était là. Le gars sourit encore davantage dévoilant des dents parfaites. Il dit alors“C’est gentil de s’occuper ainsi des patients, c’est certainement très apprécié ailleurs”Florence se renfrogna, en voilà un qui n’était pas facile et que voulais dire cette phrase assassine. Elle le prit à la base et commençais a le masturber un peu.
Il posa sa main sur la sienne et stoppa son geste avec tendresse. Il s’exprima a nouveau“Ce n’est pas que vous n’êtes pas belle loin de là, je connais tant d’hommes qui apprécie à leur juste valeur cette caresse. Mais je ne suis pas hétéro, et mon plaisir n’est pas ainsi. Par contre si vous me trouvez dans le couloir le bel infirmier de cet après midi alors là je serais comblé”Florence lacha son sexe qui ne grossissait pas dans sa main, d’un coté soulagé de savoir que rien n’était de sa faute. Et d’un autre coté frustrée ce ne pas avoir pu aider ce très beau jeune homme.
Elle murmura doucement“Je comprends mais ca va être difficile de le trouver à cette heure son service est fini. Je suis désolé de vous avoir réveillé. Je vais repartir comme je suis venu comme dans un rêve”Elle éteignit la lumière et rajouta“Faites de beaux rêves tout de même en pensant à votre sortie de demain” Elle ressortit comme elle était entré,à pas de loups.
Neuviéme à 00h53, elle se glissait dans la chambre sombre, alluma le plafonnier une nouvelle fois, elle faisait face à un jeune homme qui ne devait pas dépasser les vingt cinq ans. Elle défit sa blouse et se glissa sous les draps, elle colla son corps contre lui, il bougeait mais ne se réveilla pas, je devinais sa main qui cherchait le sexe sous le drap, elle le trouva et entrepris de le caresser, le jeune homme bougeait mais ne se réveillait pas encore, elle tira sur le drap pour le découvrir, elle avait posé une jambe entre les siennes et caressait doucement le membre au gland décalotté, certainement circoncis. Elle approcha ses seins de sa poitrine et se retourna sur lui buste contre buste, il ouvrit les yeux d’un coup. Ses yeux plongeant dans les siens, il bougea brusquement mais le corps de Florence posé sur lui il cessa aussitôt, il la regardais étonné et surpris, elle dit alors “Aimerais tu que je te donne du plaisir là maintenant, sans aucunes autres formes de contrepartie. As ty déjà essayé avec une femme mure ?”Le jeune garçon ne dit rien et secoua la tête négativement, mais ces yeux disait qu’il voulait bien que cela continue.
Elle glissa doucement son corps le long du sien, ses seins caressait son sexe tendu et jeune, il glissa plusieurs fois entre eux, chaque mouvement enduisait sa poitrine de liquide transparent, il bandait dur.
Elle glissa le sexe dans sa bouche, lentement, léchant de haut en bas jusqu’au couilles qu’elle faisait rouler dans sa bouche, sa main imprimant de doux va et vients sur son sexe.
Elle caressait ce sexe encapuchonnée sous plastique, elle le caressait encore quand il jouit de longues giclées au travers du latex. Elle le regarda il avait les yeux fermés, il haletait tendu sur le lit. Elle ôta la capote et la garda dans un main, elle reprenait le sexe dans sa gorge il durcissait déjà à nouveau, elle le suca avec gourmandise et il reprenait vigueur rapidement. Il déchargea une nouvelle fois dans la bouche de Florence qui gardait le tout. Elle sourit à la caméra posé devant elle. Elle se redressa et ouvrit la capote elle place le bout de sa langue dedans et laissa couler le sperme épais et blanchâtre, nouvel étiquette et il alla rejoindre les autres dans le container. Le garçon à peine remis de ses émotions balbutia “Merci madame, c’est bien la première fois que je suis si rapide et en aussi peu de temps, merci encore”“Ne me remercie pas mon garçon, c’est moi qui te remercie de ce beau double cadeau privilège de ta jeunesse.”Elle ne rajouta rien en quittant la pièce la blouse à la main jusqu'à la porte, elle se retourna et lui fit un petit geste tendre en lui envoyant un baiser à distance, il fit de même et la regardais franchir la porte. Elle se retrouvait nu dans le couloir et se hâta a enfiler sa blouse, elle remettait de l’ordre dans sa tenue.
Elle connaissait parfaitement les lieux et savait comment éviter les tours de gardes des infirmiers mais il fallait quand même être prudente.
1h17, chambre 10, une nouvelle et longue fellationChambre 11 à 1h29, baise rapide debout contre le lit1h43 chambre 12, elle se fait sodomiser en levrette sur le bord du lit.
1h58, chambre 13, elle reprend une grosse bite entre ses fesses, cette fois elle est debout en appui sur le cadre du litElle rentre dans la 14° chambre il est 2h17. Tout est calme, elle ne percoit aucuns bruits, pas de lumière hormis celle qui provient de la ville toute proche, elle ne voit pas de forme sur le lit. Elle pense alors s’être trompé et fait de demi tour, elle saisit la poignée et entends tout à coup une profonde inspiration. Elle se retourne et soit alors une forme bouger sur le lit, elle avance jusque là, une main la saisit brutalement au poignet“Qui êtes vous donc ? ue faites vous dans ma chambre à cette heure de la nuit ?”“Je suis l’infirmière et je venais juste voir si tout allait bien.”“Cela m’étonnerait fort car j’ai appelé l’infirmière de garde il y a seulement quinze minutes. Alors je réitère ma question qui êtes vous ?”Sans une certaine répartie, elle répondit“Et si j’étais la bonne fée et que j’étais simplement là pour accorder un de vos voeux en cette heure tardive”L’étau de la main relâchait sa pression mais enserrait encore son poignet.
Il comprit assez vite il tira le drap sur un sexe encore mou mais déjà de belle taille au repos.
“Tu ne sais même pas ce dont je suis capable et tu ne pourras rien dire car ta présence ici n’est pas normal, je le sais. Tu ne pourras pas crier car si quelqu’un vient tu sera bien plus embêté que moi”Il marquait un point, c’est sur. Ma femme dit alors“Et bien faisons en sorte de ne rien dire l’un et l’autre et de faire ce que nous avons à faire en silence, de façon à ne pas réveiller les autres.”Il souriait, mais ce n’était pas un sourire des plus agréables, aux yeux de Florence qui le regardais elle comprenait que la situation était bien problématique.
Elle n’avait pas d’autres choix que de se plier à ses volontés quelles qu’elles soient ou sinon il était capable de crier pour rameuter du monde et là ce n’était pas ce qu’il fallait du tout.
“Bien je crois que tu as compris, maintenant tu va quitter cette vilaine blouse et ton masque aussi !”Florence s'exécuta et commença par la blouse, il lui demanda d’approcher un peu de lui, elle s'avança doucement, la blouse tombant au sol.
Il découvrit son corps nu, le porte jarretelles retenant les deux jambes de pantalons. Il avait l’oeil car il vit les tatouages sur son sexe.
“Approche donc et fais moi voir ce que tu as là, c’est interressant !”Elle s’éxécuta, et posa un pied sur le lit écartant ainsi les jambes. Il se pencha et découvrit les deux corps de femme tatouées ; l’ange et le démon.
Il plaqua violemment sa main sur son sexe, il venait de lui arracher un petit cri tant le coup fut porté durement. Il appréciait ce pervers et mit un doigt sur sa bouche pour lui dire de se taire.
Il repris un peu d’élan et refis de même aussi fort quatre fois encore.
Florence fermait les yeux et son visage encore masqué on devinait qu’elle serrait les dents.
Il lui fit signe d’enlever son masque, elle bougea la tête de droite à gauche.
Il insista, elle fit le même signe.
Il l’allongea brutalement en travers du lit, et immédiatement il frappa violemment ses fesses qui rougirent très vite, laissant dans la blancheur les traces de ses doigts, il lui porta sept claques et s’arrêta.
“Et maintenant tu va l’enlever ou bien je continue”Elle savait que peut importe il ne changerais pas d’idée, donc elle ôta son masque et le fit tomber au sol.
Elle avait le visage sur la matelas, il ne le voyait pas.
Il la saisit par les cheveux et redressa brutalement son visage, il la regarda.
Elle avait été a nouveau surprise par le geste et elle se mordait les lèvres, il passa un doigt dans son sexe, puis deux il fit de profonds va et vients avant de lui faire lécher ses doigts.
Elle desserra la bouche et sentis son propre goût sur ses lèvres.
“Mais c’est que j’ai à faire à une sacrée gourmande dirait-on, elle mouille bien déjà… tant mieux”Il prit ses deux poignets et les serraient ensemble dans son dos d’une seule main, il repris la fessée et dans les rares pauses il introduit ses doigts dans son sexe pour en alternance les lecher lui ou elle.
Florence remuait sous les coups plus légers désormais mais plus rapides et plus nombreux.
Il l’assit face à lui, les jambes pendantes de chaque côté du lit, il haletait et passait sa langue sur ses lèvres, il caressa son sexe avec vigueur, il était bien membré un beau sexe de 25cm épais au gland violacé.
Florence se pencha pris le sac et sortit un préservatif, il dit alors“J’aime pas ca je préfère te prendre au naturel mais comme tu m’a l’air d’une sacré chaudasse je vais prendre mes précautions avec toi” Il pris l’emballage, sorti la capote et l'enfile d’un coup sec et le déplie sur les deux tiers de sa longueur.
Il attrapa Florence par les hanches et l’assit carrément sur elle, il la tenait au dessus de son sexe sans effort, il était très costaud. Maintenant elle se doutait bien de l’ordifice qu’il allait choisir car il avait l’air très vicieux.
Elle ne se trompa pas, il la descendit et l’orienta son sexe tendu entre ses fesses.
Il chercha l’entrée, il la baissa brutalement plusieurs fois sans pouvoir la prendre. Florence savait qu’il fallait qu’elle l’aide ou sinon le supplice risquait de durer longtemps. Elle glissa sa main entre ses jambes pour le faire.
“Non passe de l’autre côté, je veux voir ma bite te casser le cul”Elle s'exécuta et le guida à l'entrée de son anus, quand il perçut qu’il était enfin au bon endroit il la laissa descendre un petit peu, son gros gland écartais le sphincter, une fois bien en place il la pénétra d’un coup sec en la laissant tomber.
Elle sentait la dureté de la pénétration presque à sec, seulement le lubrifiant de la capote pour faciliter la tâche. Il se cala au fond de ses reins profondément.
Il grognais. Dans cette position il voyait sa bite au fond de son cul et le sexe de Florence palpitant, il découvris alors le petit bijou de son clitoris. Il l’attrapa et tira dessus, elle étouffait un cri dans sa gorge. Il n’avait aucune tendresse, aucune compassion pour elle.
Il la souleva à nouveau plusieurs fois pour la faire retomber aussitôt, son anus commençait a peine à se soumettre à la pénétration devenu moins douloureuse.
Il n’en avait pas fini, il se pencha vers sa table de nuit et pris une petite bouteille d’eau, il but une gorgée et referma le bouchon, il la passait d’une main à l’autre, il dit alors à mon épouse“Vas y maintenant remue sur ma bite qui est en train de te casser le fion, dit moi que tu es une grosse salope”Florence s'exécuta sans broncher, elle voulait en terminer avec ce porc“Oui je suis une grosse salope et j’aime bien me faire remplir par ta grosse queue, vas y baise moi fort je le mérite”Elle en rajoutait un peu plus pour le détendre, mais cela ne marchait pas avec lui.
“Ah c’est comme ca tu en veut encore plus, tu es pire qu’une pute elle au moins elle gagne du fric avec son cul, tiens donc un peu plus”Il saisit la bouteille par le goulot et d’un coup la place entre ses grandes lèvres, le demi litre n’est pas énorme mais c’est la violence de la pénétration soudaine qui la fit crier à nouveau.
Il l'enfonce jusqu’à la garde, elle sentait le contact de la bouteille et du sexe dans son cul, lui aussi, il banda un peu plus.
Et comme il commençait à haleter de plus en plus elle prit d’elle même le loisir de monter et descendre sur son gros pieu.
Elle se bougeait de droite et de gauche, de haut en bas, elle serrait les dents et la giclée finale arrivé alors qu’il était bien au fond, il se secoua violemment la serrant si fort par les hanches que le lendemain elle avait un bleu de la trace des ses doigts dans la peau.
Il balança de longues rasades et s’écroula. Florence se levait, quittait la capote du sexe qui tombait peu à peu, elle le mit dans la poubelle.
“Maintenant tu va nettoyer tout cela avec ta bouche de salope, et je veux que ca brille”Elle s'exécuta contrainte et forcée. Elle s’appliqua longuement a faire disparaître les traces de son passage dans son cul. Il prit sa tête une nouvelle fois en appuyant sur sa nuque, il attendait d’être tout entier au fond de sa bouche, sa bite était à présent molle, amis elle avait encore une belle taille, il dit alors“En grosse cochonne que tu es tu va maintenant avaler aussi mes couilles pour les nettoyer” il saisit ses boules dans la main et les pressa on aurait dit deux grosses cerises jumelles. Il poussa encore un peu plus loin, elle ouvrait grand la bouche, il y introduisit une boule, Florence avait mal aux lèvres, mais il insista pour que le seconde suive le même chemin, elle s'exécuta ouvrant encore davantage la bouche la seconde rapait contre ses dents.
Il grogna et la frappa dans le dos du plat de la main.
“Ne t’avise pas de me faire mal ou tu va le regretter encore plus”Elle essaya tant bien que mal de manoeuvrer sa langue sur ce qu’elle avait en bouche, elle essayait mais la place était très réduite. Au bout de quelques minutes il se dégagea, elle avait du mal a fermer la bouche tellement les muscles lui tiraient. Lui, regardait son sexe et semblait heureux du nettoyage buccal offert.
Il ne la regarda même pas et se couchant à nouveau les bras sous la tête il dit “Allez maintenant tu peux t’en aller je t’ai bien fait ton affaire, j’espère que tu a aimé en femme salope que tu es. Va donc te faire baiser ailleurs”Elle prit son attirail dispersé dans la chambre, remis sa blouse sans la fermer et quitta ce lieu il était 2h52. Elle resta un long moment dans l’objectif et murmura a voix très basse“J’ai rarement vu un porc pareil, il était odieux et désagréable, rien dans son comportement n'est digne d’un homme, je ne pensais pas pouvoir tomber sur un déjanté pareil, ca m’apprendras à me croire invincible et irrésistible”Elle resta silencieuse un moment en reboutonnant sa blouse dans le couloir.
Elle revint vers la caméra, et dit alors“C’était l’exception qui confirme hélas les règles de la société, mais je ne vais pas abandonner en si bons chemins. On apprend aussi des mauvaises expériences” et elle me fut un clin d’oeil.
3h01, autre service, autre chambre la quinzieme.
Elle s’avanca, alluma la veilleuse et observa un homme de petite taille, il devait avoir plus de 65 ans, ses cheveux gris étaient parsemés autour de sa tête, il ronflait faiblement.
Elle pris soin de quitter sa blouse et se pencha alors à son oreille, on entendais faiblement les mots qu’elle lui disait.
“Monsieur… monsieur… c’est votre nouvelle infirmière, je suis là pour votre cadeau de départ”Le monsieur ouvrit un oeil, il regardais un sein. Il ouvrit le second et découvrit son homologue sur la poitrine de Florence. Il comprit bien vite ce qui lui arrivait, elle avait déjà en main la bite molle qui grandissait dans sa main, plus tout jeune mais encore vert.
Elle le fixa de ses yeux et dit alors“Tentez par une petite gâterie pour vous faire oubliez votre séjour ici ?”Elle n’eu pas besoin de réponse, tant le sexe gagnait de la raideur, elle s’appliquait a le sucer avec délicatesse. Ces gestes à lui étaient doux, il passait ses mains dans son dos, sur ses seins, il les caressait doucement. Quelques minutes de cette fellation et le sperme inondait le nouveau préservatif qui pris la même direction que les autres.” Elle souleva un peu son masque et embrassa le vieil homme sur la bouche, le remerciant de sa douceur bienvenu. Il ne put dire qu’une chose avant que la porte ne se referme derrière elle“Merci pour tout, chère madame, je n’oublierais jamais ce séjour ici mais je garderais caché ces moments délicieux que vous m’avez offert”Autre chambre, autre culture, autre plaisir, enfin le retour à une vie meilleure.
17 minutes plus tard elle franchissait une nouvelle porte, le même rituel ou presque dans le réveil, la fellation salvatrice avec un homme corpulent avec un sexe plutôt petit, mais la quantité de sperme dans la capote indiquais que Florence avait bien eu raison de venir cette nuit, il remplissait à lui seul au moins cinq fois la valeur moyenne des autres personnes. Florence avança a la hauteur de ses yeux cet objet de latex ou l’on pouvait voir la quantité au travers, elle dit alors“J’ai bien fait de venir cette nuit car je ne suis pas sûre que vous ayez tenu encore longtemps avec une telle quantité en stock”Il pouffa de rire et elle aussi.
Chambre 18, 3h36, une sodomie douce en levrette sur le lit pour ce maghrébin aux mains callauses.
Chambre 19, 3h57, une position en missionnaire tout ce qu’il y a de plus classique avec ce cinquantenaire ravi, il lui demanda s’il pouvait observer d’un plus près ces tatouages. Elle ne bougea pas, il avança son visage, regarda amusés les deux femmes tatouées et il la lécha longuement lui arrachant des soupirs de plaisir, sa moustache frottant son clitoris sensible.
4h18, chambre 20, elle se fit prendre couché en chien de fusil, lui pénétrais son sexe en de grands et lents mouvements, il avait relevé une de ses jambes très haut découvrant encore plus à la caméra les deux sexes en mouvement.
21° chambre, 4h37, elle aida le monsieur a assouvir une envie pressante, il croyais vraiment que Florence était là pour l’aider il fut plus surpris quand elle s’assit sur les toilettes, écarta sa blouse et pris son membre en main pour avaler la dernière petite goutte d’urine. Elle le fit grossir en bouche très vite, il jouit en se tenant au mur en face de lui, plaquant son sexe dans la gorge de ma femme.
Chambre 22, le petit asiatique n’était pas grans son sexe non plus mais il connaissait parfaitement les zones érogènes du corps féminin, il caressait Florence, un doigt dans son sexe découvrant le point G, elle le sucais dans une position 69 de coté, il pénétra ses fesses d’un autre doigt et il lui fit découvrir un autre point aussi sensible, elle jouissait sous ses mains , inondant sa bouche de cyprine odorante, il se léchait les lèvres lorsqu’il se répandait en grandes saccades.
5h25, elle passe a sa 23° chambre, elle découvrit l’homme d’ébène, athlète confirmé du club de foot local, il était connu dans toute la région. Elle ne m’avait pas montré les noms avant, prétextant tout de même une dose de secret médical.
Il n’a pas hésité très longtemps, malgré la différence d’âge, ma femme était encore plutôt mignonne. Il la prit d’abord debout contre le mur de la chambre, puis en missionnaire sur le lit. Il la sodomisa longtemps avec son gros engin à plat ventre en travers du lit avant de lui offrir un cunnilingus royale, elle aimait les grandes langues et là elle était servi. Il termina dans sa bouche essayant de l’étouffer avec son énorme engin, il imprimait lui même le rythme en lui tenant la nuque, il s'enfonçait loin on percevait sur les images son sexe qui passait dans sa gorge. Ce qu’il ne savait pas c’est que ma femme avait déjà sucer de belles queues comme la sienne et avait réussi des gorges profondes encore plus méritantes. Lorsqu’il fut secoué de plaisir il était calé tout au fond de sa bouche, le gland déformait une partie de sa gorge on l’imaginais crachant sa dose blanche directement dans l’estomac. C’était sans compter avec le préservatif qui retenait le précieux liquide.
Elle avait la bouche grande ouverte elle cherchait à respirer par de petites inspirations mais l’air ne descendais pas, elle suffoquait. Il baissa les yeux sur elle et sortit son engin avec précipitation, il dit alors“Pardon, pardon je ne voulais pas, vous allez bien ?”Ma femme fit un signe de tête positif a sa question reprenant son souffle après cela“Je m’excuse encore, comment puis je me faire pardonner… je ne sait plus où j’avais la tête, vous êtes tellement magique, je n’ai encore jamais vu telle performance chez une de mes compagnes.”“Deux places pour le prochain match, laissé à l’accueil pour Florence et Thierry, vous vous en souviendrez, ca vous convient comme deal ?”Il hocha la tête et l’embrassa sur la bouche au travers de son masque, il l’aida même à se rhabiller, un gentleman, il la complimenta pour son corps, ses performances, ses bijoux.
Il lui avoua“Si vous étiez seule et sans vous offusquez avec quelques années de moins, je crois que nous pourrions être plus que des amis… ou peut être que moi si j’avais quelques année de plus…”Ma femme n’était pas offusquée bien au contraire, les cougars ne se montrent pas souvent mais elles existent pourtant. Elle le serra dans les bras avant de partir, il fit de même lui rendant sa douce accolade.
Il n’oublierais pas sa promesse.
chambre 24, 6h12, prise en missionnaire classique sur le lit6h27, chambre 25, fellation et 69 avec un homme de nos ages, normal dans les performances comme dans le physique.
6h53, 26° chambre, le soleil pointait à l’horizon, l’homme d’origine hispanique, style plagiste toute l’année, beau teint, beau gosse. Il la calina par de longues caresses sur son dos, ses fesses, ses cuisses, puis en la retournant poursuis sur ses seins, son ventre, son sexe. Il aimait utiliser ces grande mains et sa langue ma femme lui rendit la pareille l’instant suivant le caressant pile et face avec l'intégralité de son corps. Elle terminait chevauchant sur son sexe tendu.
7h18 chambre 27, elle terminait en beauté avec le seul mec qui se refusa à elle. Fraîchement marié il ne voulait pas trompé son épouse, ca existe encore cela se dit elle. Pour le remercier de cette franchise elle baissa son masque et lui dit à visage découvert“Rien que pour le plaisir alors un baiser en cette fin de nuit, un baiser ce n’es pas trompé”Elle avançait les lèvres et il ne recula pas, leurs bouches se mélait l’une et l’autre dans un baiser passionné ou les langues virevoltent dans le palais de l’autre.
Elle s’écarta, se rajusta rapidement et dit simplement“Merci de cette sincérité et de ce baiser, je termine en beauté mon poste ici’Elle tourna les talons et disparut.
La caméra arrête de filmer à 7h23.
Ma femme est donc entré à 8h25 à la maison, et elle est parti se coucher au moment ou je partais travailler nous ne nous sommes vus la fin d’après midi même.
Avant de me montrer le film elle sortit du frigo du garage, un étrange récipient en plastique jaune, on lisait dessus “Dechets infectieux ne pas ouvrir”Elle prit un couteau et taillait les côtés.
Les enfants ne rentraient pas avant au moins deux bonnes heures aujourd'hui.
Elles versa le contenu sur la table de la cuisine, 25 préservatifs avec leur contenu, elle les prit un à un, les classe suivant l’ordre de passage.
Les liquides se ressemblaient tous allant d’une couleur blanche au légèrement jaune.
La quantité était sensiblement identique sauf dans deux bien plus gonflés.
Elle retira la quatorzième et la jette dans les WC proches, ou elle disparu aussitôt.
Elle pris un récipient avec une petite pompe style lave mains et une coupelle à proximité.
Elle prit un à un les emballages de latex et coupe au ciseau l’extrémité, laissant alors couler le précieux jus à l'intérieur du flacon. elle pressait chacun de façon a le vider parfaitement, elle posais l’objet vide dans la coupelle.
Elle fit la même chose avec toutes les capotes, le flacon était d’une contenance de 250ml, les graduations dessus indiquent légèrement plus de 100 ml au total.
Elle compléta le niveau jusqu’à 150 ml avec une lotion hydratante.
Elle pris ma main et nous sommes allés sur le lit, elle se déshabille complètement, s’allonge dos contre le matelas et me dit “Enduis mon corps avec cette lotion, n’oublie pas un endroit stp je veut sentir cela absolument partout.”J’étais assis sur son côté et elle se retourna présentant ses fesses d’abord, je pris la pompe et déposa une noix que je fis longuement pénétrer dans son dos, je la massais tendrement. Je badigeonne ses cuisses, ses épaules, la raie de ses fesses et entrepris de faire disparaître cette crème spéciale. Ses mollets et ses pieds ont eu le même droit, ses bras aussi jusqu’à ces mains.
Elle se retourna satisfaite, il était temps de faire de même de l’autre côté. J’ai commencé par son ventre, ses cuisses, ses jambes. Ensuite ce fut le tour de ses seins, ses épaules et le second coté de ses bras.
Il restait du liquide encore dans le flacon, pas loin de 30 ml de contenance.
Elle me regarda et dit “Je crois qu’il en reste encore et que tu n’a pas fait encore tout mon corps, alors s’il te plait continue”Je posais donc encore un peu de crème sur son pubis lisse, j'étais le liquide sur sa vulve, imprégnant son tatouage et les lèvres de son sexe, elle même écarta les jambes. Je m'arrêtais au confins de son sexe ne voulant pas faire couler de sperme en elle par accident.
Le gel avait complètement disparu entièrement absorbé par sa peau.
Elle me regardait, elle pris le flacon, il en restait encore beaucoup trop. Elle l’ouvrit, et dit “Et alors chéri j’ai dit tout mon corps, tu n’a pas terminé ?”Je cherchais interloqué pensant avoir passé le précieux liquide sur l'intégralité de sa peauToujours couchée, elle fermas les yeux et vida le reste du contenu dans le creux de ses yeux, sur son nez, son menton, son front, il coulait sur ses joues.
Je m'approchais donc et massait délicatement son visage, les spermes différents avaient une consistance aussi différente, je glissais dans ses oreilles , autour des yeux, le nectar coulait dans ses cheveux, dans son cou. Elle ouvrit la bouche et guida le trop plein dedans, elle m’aidait à oindre son visage de cette crème et approchant sa bouche de la mienne elle m’embrassa au milieu de ces innombrables spermes différents. Nous avons baisé comme des sauvages pendant plus d’une heure et nous nous sommes habillés quinze minutes avant que le premier enfant arrive. Quel plaisir immense pour nous deuxPS : Le week-end suivant nous sommes allés au match, nos places nous attendaient… en loge d'honneur s’il vous plaît. La chambre 23 avait tenu parole. Il a même reconnu Florence après la rencontre quand nous étions avec les joueurs dans le grand salon. Il s’est approché et à demande”Vous êtes bien Florence et Thierry, n’est ce pas ?” Florence hocha la tête positivement. Il était heureux de nous voir tous les deux, il dit à mon oreille doucement“Ne la lâchez pas c’est un cadeau du ciel pour un homme vous savez, ne la perdez pas des yeux elle est bien trop précieuse, il me glissa dans la main trois papiers, et parti rejoindre d’autres convives.
Le premier était sa carte de visite avec son numéro de portable privé noté dessus. Les deux autres des places en loge pour le reste du championnat. Les gentlemans existent, heureusement pour nous tous.
Un jour elle est revenu à la maison avec une liste de patients imprimées sur 3 feuilles, à côté de leur nom, leur age et de leur numéro de chambre une étiquette autocollante, chaque feuille comptait 15 noms, la dernière en comportait 12, total 42.
Elle avait édité ces pages dans la journée, consultant les dossiers de chacun de ses patients, tous, des courts séjours pour de petits soucis, et tous à la veille ou l’avant veille de partir.
Elle me dit alors“J’ai eu une idée tout à l’heure et j’aimerais avoir ton avis dessus”Ce soir elle devait donc travailler de nuit, poste de 20h à 8h le lendemain. Elle m’expliqua qu’elle devrait assurer son poste classique, 2 h de travail environ, mais que le reste de cette garde devrait être calme.
Elle me dit alors“J’ai pensé faire un tour dans quelques chambres ce soir, histoire que le séjour à l'hôpital de ces messieurs se terminent au mieux, qu’en penses tu ?”Je la regardais médusé et incapable de dire quoi que ce soit, elle rajouta“Je me suis préparé une tenue adéquate et je pensais prendre le caméscope pour immortaliser ces images, alors ton avis ?”Je ne mis pas longtemps à lui répondre“Je pense que l’idée peut être excellente, tu sais que je te fais entièrement confiance et que si tu me ramène des images je serais heureux de voir ce que tu as fait de ta nuit”Ni une ni deux, elle se prépara. Elle passa dans la chambre, pris plusieurs boîtes de préservatifs, les enfourna dans son sac et pris le départ. Il était 19h40.
Je ne la reverrais que le lendemain.
La caméra s’allumait dans le vestiaire vide, elle était seule dans une cabine. Elle posa le caméscope sur son trépied en se filmant, le disque dur était vide, la batterie chargé à bloc.
“Elle pris soin de se déshabiller entièrement et me montrait son corps, elle avait remis les anneaux à ses tétons, rares occasions d’ailleurs”Elle enfila sa blouse blanche sans rien dessous, elle lui tombaient bien à peu près à mi cuisses.
Elle prit dans le sac un porte jarretelles blanc que je connaissais bien, elle le mot sur son ventre, il était en vynil une ceinture large d’au moins dix cms, de celui ci pendait six attaches de chaque coté.
Elle sortit alors ce que je pensais être son pantalon de travail, mais celui ci était en deux parties, elle en posa une à côté d’elle.
Elle enfila une jambe seulement, le reste du pantalon avait disparu !
Elle fixa le haut de ce tissu aux six points du porte jarretelles, celui ci était équipé de petites pinces métalliques. Elle fit de même avec l’autre jambe.
Elle se contemplait ainsi, et dit alors face à l’objectif.
“Et voilà je suis prête pour ma tournée, je vais d’abord aller bosser un peu et après…”Elle ne rajouta pas un mot, je vis juste sa main sur son pubis qui grossissait face à la caméra, elle me montrait alors son piercing et ses magnifiques tatouages. La caméra s’éteint brusquement sur cette image.
22h45, la caméra se rallume, elle est de face, blouse fermée. Elle porte une charlotte sur les cheveux et un masque de chirurgie qui lui couvre presque tout le visage. Elle prends les boîtes de préservatifs les ouvrent une à une et verse leur contenu dans un sac rectangulaire, elle place à côté ce que je sais être une poubelle pour déchets de soins. Elle saisi le tout et face à la caméra elle prononce ces mots “Monsieur BENSALEM M..., chambre C214, premier de la liste” (Nom d’emprunt évidemment) Puis caméra en pause. L’image revient à 22h48 dans un couloir vide et très peu éclairé, elle approche de la chambre C214, je le vois sur l’image, elle frappe doucement, d’après l’angle de la caméra elle a dû la placer dans le sac. Elle entre et je vois de la lumière provenant d’une télé et un homme allongé dans son lit, elle le salue et fait mine de consulter ses constantes, elle avait posé le sac sur la tablette à côté d’elle, elle dit alors“Tout se passe bien pour vous ce soir monsieur, le service a un petit cadeau a vous faire avant votre sortie, si vous l'acceptez bien sur !”Le gars interloqué, dit alors “Une surprise, j’espère qu'elle est bonne au moins”A ces mots elle dégrafa les pressions de sa blouse et lui faisait face deboutLe monsieur qui devait avoir une petite soixantaine d’années se cala dans son lit et ouvrait des yeux gigantesques, il ne put dire que “Comme surprise, c’est une surprise et en plus elle est très très bonne”Sous le drap fin on voyait déjà la bosse de son sexe.
Florence écarta son masque, pris une capote la glissa sur ce bel engin et l’accueillit au fond de sa bouche, elle oeuvrait avec rapidité et avec soin, le pauvre homme dont le sexe était happée par ma femme spécialiste en fellation ne tarda pas a remplir le latex d’un long jet, il avait passé ses doigts dans le sexe lisse de Florence et la doigtais calmement.
Elle retira la capote, pris la première étiquette et la colla dessus obturant soigneusement pour éviter que le liquide ne coule, elle le regardait face à elle et dit alors“j’espère que monsieur est satisfait des prestations hospitalières, pas de dépassement d’honoraires ici tout est pris en charge” Elle le glissa dans la petite poubelle. Caméra en pause à 23h02. Moins de quinze minutes en tout et pour tout.
Seconde chambre la caméra indique 23h04. Numéro C205. Elle frappe à nouveau et rentre, même situation avec cette fois ci un homme d’environ 30 ans, tout se répète une nouvelle fois. Debout à côté du lit elle fit mine de tomber un stylo, elle se baissa, jambes tendues pour le ramasser, cette position remontait sa blouse, le regard fixa sur ses fesses, le mec découvrit ce qu’il y avait dessous ou du moins ce qu’il n’y avait pas. Elle resta ainsi et dit “Ah oui le cadeau si cela vous convient, c’est moi”Le gars n’hésita pas une seconde de plus et tendis sa main sur ses fesses, il releva un peu plus la blouse et découvrit alors ce magnifique spectacle, il claqua une main sur le haut des les fesses. Il dit alors “Si je m’attendais à cela, bien sur je prends le cadeau”il glissa deux doigts dans le sexe de ma femme, il les agitent un peu et découvre le petit objet métallique fiché dans son clitoris, surpris il recula la mainMa femme dit alors“Tu ne t'attendais surement pas à cela non plus mon garçon, cela te plait-il ?”Elle s’était relevé, le sexe tendais le drap en une tente indienne..
Elle le découvrit, enfila un second préservatif, elle défit les pressions à nouveau et chevaucha le mec sur son lit, elle lui faisait face. A genoux, ses deux jambes calées de part et d’autre de son torse. Elle monta, le guida en elle et commença a gémir quand le pieu la traversa. Elle s'agitait frénétiquement sur son sexe, jouant avec ses muscles elle le massait de l’intérieur.
Il posa ses mains sur ses hanches et au bout de quelques minutes, il déversa sa semence dans la capote.
Elle descendis du lit, se rajusta, pris la capote, colla l’étiquette et direction sa poubelle portative.
Elle l’embrassa sur la joue et disparut aussitôt.
Elle ne coupa pas la caméra dans le couloir, la troisième chambre était toute proche, elle frappa à la porte et ouvrit, dans la pénombre on ne distinguait qu’une forme allongé dans un lit. On entendait une respiration lente. Elle s’approcha et alluma le plafonnier au dessus, la lumière éclairait le plafond.
Le jeune homme ouvrit doucement les yeux encore embués par le premier sommeil. Elle ne s'embarrasse pas de bla bla cette fois ci.
Elle saisit son sexe au travers du drap et dit alors“L’établissement offre une petite gâterie ce soir, est ce envisageable la maintenant ?”Le réveil fut soudain pour lui mais le sexe qui grossissait dans sa main trahissait une excitation qui elle aussi se réveillait rapidement. Elle ôta sa blouse, monte sur le lit et se met en position de 69, le gars ne se fait pas prier et commence alors a lécher cette belle fente ouverte. Elle glisse le préservatif et s’active sur ce sexe tendu, elle remonte en aspirant le gland et descend vers la gorge profonde, son sexe correspondait sans aucun souci aux capacités buccales de Florence. Elle saisit ses couilles pour les tordre doucement quand elle eu un bel orgasme inondant la bouche de sa cyprine. Il savait donc s’y prendre ce jeune pour déclencher cela chez elle en si peu de temps. Elle se levat, défis la capote qui rejoignait les deux autres avec son étiquette. Elle lui tendis une serviette pour qu’il s’essuie le visage, elle remit de l’ordre dans sa tenue. Eteignis la lumière et partit sans mot dire.
Pause a 23h32 et nouvel image 4 minutes après.
Elle frappe à la porte et entre, elle arrive proche d’un lit ou un gars très grand était installé.
Elle vit ses muscles saillants sous sa peau, il était rudement bien bâti.
“Bonjour je viens voir si tout va bien ?”Elle s’approcha et regarda les constantes. Cette fois ci elle ne fut pas totalement maître de la situation.
Le gars l’avait empoigné par la taille et s'approchait de lui, il dit alors“C’est à cette heure tardive que vous venez c’est bien la première fois. Vous êtes très belle madame sachez le.”Il glissa sa main sur son sexe glabre et agitas deux doigts dans son antre, il fut surpris de ne rien trouvé comme obstacle mais s’en affranchit rapidement. Il agitait ses doigts rapidement, ils étaient long et fin. Il approcha sa bouche de la sienne, elle recula.
Surpris, il grimaça… pas longtemps car elle l’avait saisi au bon endroit. Il avait le sexe long et épais, il était déjà tendu comme la corde d’un arc.
Elle le couvrit d’une nouvelle capote, cette fois ci elle offrira son cul à ce gros sexe, elle le suca longuement d’abord car ses dimensions étaient importantes. Elle dégrafa et fit tomber sa blouse, il pris la pointe d’un sein et tira sur la boucle, il dit alors“Mais c’est que madame est une coquine derrière ce masque, je n’avais encore jamais vu pareil bijou”Elle grimpa sur le lit et se mit assise de dos sur ses cuisses. Le gars présenta son sexe contre le sien dans son emballage de latex, elle bougea un peu. Pris de la salive sur ces doigts et s’en enduisit le second petit trou plus étroit. Le message est claire, il changea donc d’objectif. Il pointa son sexe à l’entrée de son cul étroit.
Elle venait de se mettre à califourchon , pieds contre le matelas, elle montait un peu ses fesses. Le gars orienta son sexe droit sur son anus, elle descendait à présent, le contact fut établi. Elle se laissa glisser doucement, le gros gland forçant le petit passage étroit, elle se décontracta quand celui ci était à l’intérieur.
Elle appréciait les queues larges dans ses orifices, celui ci avait les dimensions adéquates au plaisir.
Elle montait et descendait de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus loin sur ce mat dur. Il voyait parfaitement son sexe disparaître entre ses fesses et réapparaître l’instant d’après. Il la frappa avec la plat de la main sur les fesses, comme pour la dominer un peu. Elle s’affala brutalement sur lui claquant ses fesses contre son pubis, d’une main de libre elle lui serrait les couilles, il se vida en soubresauts fiché au fond de son cul. La scène finale se répétait une nouvelle fois. Elle enfila juste sa blouse, et se pencha a son oreille pour lui dire doucement“J’espère que ça a été aussi bon pour toi que pour moi, tu es bien monté et j’ai apprécié ce moment dans mon cul. Merci”“Ce n’est pas à toi de me remercier, mais plutôt à moi, ce sont des attentions comme celle ci qui font que l’on a moins peur de venir ici” Il lui sourit, elle aussi probablement mais difficile de le voir avec le masque. Elle sortit silencieusement à 23h57, ce patient avait eu plus de chance que les précédents, mais elle avait vraiment aimé cette étreinte bestiale et puissante.
Quatre mecs en à peine plus d’une heure, elle avait un bon rythme.
La cinquième, et les deux suivantes passèrent rapidement, elle avait changé d’étage, mais pas de rythme, 00h38 elle sortaient de la septième chambre.
Elle se glissa dans la suivante, il faisait sombre, elle alluma à nouveau le plafonnier, elle découvrit un autre homme allongé de côté, dormant à poings fermés. Elle posa sa main à l’endroit adéquat. Elle massait cet engin qui paraissait lui convenir, elle ota son masque un instant et dit tout doucement, voilà encore un bien bel engin à ma disposition. Elle le remit en place quand le corps bougeait sur le lit, elle était assise au bord du lit les jambes croisées haut. Ses yeux s’ouvrit alors, il rêvait probablement encore, il se frotta les yeux un instant et les rouvrit, il lui souriait, pas un mot entre eux.
Elle commença a caresser ce pour quoi elle était là. Le gars sourit encore davantage dévoilant des dents parfaites. Il dit alors“C’est gentil de s’occuper ainsi des patients, c’est certainement très apprécié ailleurs”Florence se renfrogna, en voilà un qui n’était pas facile et que voulais dire cette phrase assassine. Elle le prit à la base et commençais a le masturber un peu.
Il posa sa main sur la sienne et stoppa son geste avec tendresse. Il s’exprima a nouveau“Ce n’est pas que vous n’êtes pas belle loin de là, je connais tant d’hommes qui apprécie à leur juste valeur cette caresse. Mais je ne suis pas hétéro, et mon plaisir n’est pas ainsi. Par contre si vous me trouvez dans le couloir le bel infirmier de cet après midi alors là je serais comblé”Florence lacha son sexe qui ne grossissait pas dans sa main, d’un coté soulagé de savoir que rien n’était de sa faute. Et d’un autre coté frustrée ce ne pas avoir pu aider ce très beau jeune homme.
Elle murmura doucement“Je comprends mais ca va être difficile de le trouver à cette heure son service est fini. Je suis désolé de vous avoir réveillé. Je vais repartir comme je suis venu comme dans un rêve”Elle éteignit la lumière et rajouta“Faites de beaux rêves tout de même en pensant à votre sortie de demain” Elle ressortit comme elle était entré,à pas de loups.
Neuviéme à 00h53, elle se glissait dans la chambre sombre, alluma le plafonnier une nouvelle fois, elle faisait face à un jeune homme qui ne devait pas dépasser les vingt cinq ans. Elle défit sa blouse et se glissa sous les draps, elle colla son corps contre lui, il bougeait mais ne se réveilla pas, je devinais sa main qui cherchait le sexe sous le drap, elle le trouva et entrepris de le caresser, le jeune homme bougeait mais ne se réveillait pas encore, elle tira sur le drap pour le découvrir, elle avait posé une jambe entre les siennes et caressait doucement le membre au gland décalotté, certainement circoncis. Elle approcha ses seins de sa poitrine et se retourna sur lui buste contre buste, il ouvrit les yeux d’un coup. Ses yeux plongeant dans les siens, il bougea brusquement mais le corps de Florence posé sur lui il cessa aussitôt, il la regardais étonné et surpris, elle dit alors “Aimerais tu que je te donne du plaisir là maintenant, sans aucunes autres formes de contrepartie. As ty déjà essayé avec une femme mure ?”Le jeune garçon ne dit rien et secoua la tête négativement, mais ces yeux disait qu’il voulait bien que cela continue.
Elle glissa doucement son corps le long du sien, ses seins caressait son sexe tendu et jeune, il glissa plusieurs fois entre eux, chaque mouvement enduisait sa poitrine de liquide transparent, il bandait dur.
Elle glissa le sexe dans sa bouche, lentement, léchant de haut en bas jusqu’au couilles qu’elle faisait rouler dans sa bouche, sa main imprimant de doux va et vients sur son sexe.
Elle caressait ce sexe encapuchonnée sous plastique, elle le caressait encore quand il jouit de longues giclées au travers du latex. Elle le regarda il avait les yeux fermés, il haletait tendu sur le lit. Elle ôta la capote et la garda dans un main, elle reprenait le sexe dans sa gorge il durcissait déjà à nouveau, elle le suca avec gourmandise et il reprenait vigueur rapidement. Il déchargea une nouvelle fois dans la bouche de Florence qui gardait le tout. Elle sourit à la caméra posé devant elle. Elle se redressa et ouvrit la capote elle place le bout de sa langue dedans et laissa couler le sperme épais et blanchâtre, nouvel étiquette et il alla rejoindre les autres dans le container. Le garçon à peine remis de ses émotions balbutia “Merci madame, c’est bien la première fois que je suis si rapide et en aussi peu de temps, merci encore”“Ne me remercie pas mon garçon, c’est moi qui te remercie de ce beau double cadeau privilège de ta jeunesse.”Elle ne rajouta rien en quittant la pièce la blouse à la main jusqu'à la porte, elle se retourna et lui fit un petit geste tendre en lui envoyant un baiser à distance, il fit de même et la regardais franchir la porte. Elle se retrouvait nu dans le couloir et se hâta a enfiler sa blouse, elle remettait de l’ordre dans sa tenue.
Elle connaissait parfaitement les lieux et savait comment éviter les tours de gardes des infirmiers mais il fallait quand même être prudente.
1h17, chambre 10, une nouvelle et longue fellationChambre 11 à 1h29, baise rapide debout contre le lit1h43 chambre 12, elle se fait sodomiser en levrette sur le bord du lit.
1h58, chambre 13, elle reprend une grosse bite entre ses fesses, cette fois elle est debout en appui sur le cadre du litElle rentre dans la 14° chambre il est 2h17. Tout est calme, elle ne percoit aucuns bruits, pas de lumière hormis celle qui provient de la ville toute proche, elle ne voit pas de forme sur le lit. Elle pense alors s’être trompé et fait de demi tour, elle saisit la poignée et entends tout à coup une profonde inspiration. Elle se retourne et soit alors une forme bouger sur le lit, elle avance jusque là, une main la saisit brutalement au poignet“Qui êtes vous donc ? ue faites vous dans ma chambre à cette heure de la nuit ?”“Je suis l’infirmière et je venais juste voir si tout allait bien.”“Cela m’étonnerait fort car j’ai appelé l’infirmière de garde il y a seulement quinze minutes. Alors je réitère ma question qui êtes vous ?”Sans une certaine répartie, elle répondit“Et si j’étais la bonne fée et que j’étais simplement là pour accorder un de vos voeux en cette heure tardive”L’étau de la main relâchait sa pression mais enserrait encore son poignet.
Il comprit assez vite il tira le drap sur un sexe encore mou mais déjà de belle taille au repos.
“Tu ne sais même pas ce dont je suis capable et tu ne pourras rien dire car ta présence ici n’est pas normal, je le sais. Tu ne pourras pas crier car si quelqu’un vient tu sera bien plus embêté que moi”Il marquait un point, c’est sur. Ma femme dit alors“Et bien faisons en sorte de ne rien dire l’un et l’autre et de faire ce que nous avons à faire en silence, de façon à ne pas réveiller les autres.”Il souriait, mais ce n’était pas un sourire des plus agréables, aux yeux de Florence qui le regardais elle comprenait que la situation était bien problématique.
Elle n’avait pas d’autres choix que de se plier à ses volontés quelles qu’elles soient ou sinon il était capable de crier pour rameuter du monde et là ce n’était pas ce qu’il fallait du tout.
“Bien je crois que tu as compris, maintenant tu va quitter cette vilaine blouse et ton masque aussi !”Florence s'exécuta et commença par la blouse, il lui demanda d’approcher un peu de lui, elle s'avança doucement, la blouse tombant au sol.
Il découvrit son corps nu, le porte jarretelles retenant les deux jambes de pantalons. Il avait l’oeil car il vit les tatouages sur son sexe.
“Approche donc et fais moi voir ce que tu as là, c’est interressant !”Elle s’éxécuta, et posa un pied sur le lit écartant ainsi les jambes. Il se pencha et découvrit les deux corps de femme tatouées ; l’ange et le démon.
Il plaqua violemment sa main sur son sexe, il venait de lui arracher un petit cri tant le coup fut porté durement. Il appréciait ce pervers et mit un doigt sur sa bouche pour lui dire de se taire.
Il repris un peu d’élan et refis de même aussi fort quatre fois encore.
Florence fermait les yeux et son visage encore masqué on devinait qu’elle serrait les dents.
Il lui fit signe d’enlever son masque, elle bougea la tête de droite à gauche.
Il insista, elle fit le même signe.
Il l’allongea brutalement en travers du lit, et immédiatement il frappa violemment ses fesses qui rougirent très vite, laissant dans la blancheur les traces de ses doigts, il lui porta sept claques et s’arrêta.
“Et maintenant tu va l’enlever ou bien je continue”Elle savait que peut importe il ne changerais pas d’idée, donc elle ôta son masque et le fit tomber au sol.
Elle avait le visage sur la matelas, il ne le voyait pas.
Il la saisit par les cheveux et redressa brutalement son visage, il la regarda.
Elle avait été a nouveau surprise par le geste et elle se mordait les lèvres, il passa un doigt dans son sexe, puis deux il fit de profonds va et vients avant de lui faire lécher ses doigts.
Elle desserra la bouche et sentis son propre goût sur ses lèvres.
“Mais c’est que j’ai à faire à une sacrée gourmande dirait-on, elle mouille bien déjà… tant mieux”Il prit ses deux poignets et les serraient ensemble dans son dos d’une seule main, il repris la fessée et dans les rares pauses il introduit ses doigts dans son sexe pour en alternance les lecher lui ou elle.
Florence remuait sous les coups plus légers désormais mais plus rapides et plus nombreux.
Il l’assit face à lui, les jambes pendantes de chaque côté du lit, il haletait et passait sa langue sur ses lèvres, il caressa son sexe avec vigueur, il était bien membré un beau sexe de 25cm épais au gland violacé.
Florence se pencha pris le sac et sortit un préservatif, il dit alors“J’aime pas ca je préfère te prendre au naturel mais comme tu m’a l’air d’une sacré chaudasse je vais prendre mes précautions avec toi” Il pris l’emballage, sorti la capote et l'enfile d’un coup sec et le déplie sur les deux tiers de sa longueur.
Il attrapa Florence par les hanches et l’assit carrément sur elle, il la tenait au dessus de son sexe sans effort, il était très costaud. Maintenant elle se doutait bien de l’ordifice qu’il allait choisir car il avait l’air très vicieux.
Elle ne se trompa pas, il la descendit et l’orienta son sexe tendu entre ses fesses.
Il chercha l’entrée, il la baissa brutalement plusieurs fois sans pouvoir la prendre. Florence savait qu’il fallait qu’elle l’aide ou sinon le supplice risquait de durer longtemps. Elle glissa sa main entre ses jambes pour le faire.
“Non passe de l’autre côté, je veux voir ma bite te casser le cul”Elle s'exécuta et le guida à l'entrée de son anus, quand il perçut qu’il était enfin au bon endroit il la laissa descendre un petit peu, son gros gland écartais le sphincter, une fois bien en place il la pénétra d’un coup sec en la laissant tomber.
Elle sentait la dureté de la pénétration presque à sec, seulement le lubrifiant de la capote pour faciliter la tâche. Il se cala au fond de ses reins profondément.
Il grognais. Dans cette position il voyait sa bite au fond de son cul et le sexe de Florence palpitant, il découvris alors le petit bijou de son clitoris. Il l’attrapa et tira dessus, elle étouffait un cri dans sa gorge. Il n’avait aucune tendresse, aucune compassion pour elle.
Il la souleva à nouveau plusieurs fois pour la faire retomber aussitôt, son anus commençait a peine à se soumettre à la pénétration devenu moins douloureuse.
Il n’en avait pas fini, il se pencha vers sa table de nuit et pris une petite bouteille d’eau, il but une gorgée et referma le bouchon, il la passait d’une main à l’autre, il dit alors à mon épouse“Vas y maintenant remue sur ma bite qui est en train de te casser le fion, dit moi que tu es une grosse salope”Florence s'exécuta sans broncher, elle voulait en terminer avec ce porc“Oui je suis une grosse salope et j’aime bien me faire remplir par ta grosse queue, vas y baise moi fort je le mérite”Elle en rajoutait un peu plus pour le détendre, mais cela ne marchait pas avec lui.
“Ah c’est comme ca tu en veut encore plus, tu es pire qu’une pute elle au moins elle gagne du fric avec son cul, tiens donc un peu plus”Il saisit la bouteille par le goulot et d’un coup la place entre ses grandes lèvres, le demi litre n’est pas énorme mais c’est la violence de la pénétration soudaine qui la fit crier à nouveau.
Il l'enfonce jusqu’à la garde, elle sentait le contact de la bouteille et du sexe dans son cul, lui aussi, il banda un peu plus.
Et comme il commençait à haleter de plus en plus elle prit d’elle même le loisir de monter et descendre sur son gros pieu.
Elle se bougeait de droite et de gauche, de haut en bas, elle serrait les dents et la giclée finale arrivé alors qu’il était bien au fond, il se secoua violemment la serrant si fort par les hanches que le lendemain elle avait un bleu de la trace des ses doigts dans la peau.
Il balança de longues rasades et s’écroula. Florence se levait, quittait la capote du sexe qui tombait peu à peu, elle le mit dans la poubelle.
“Maintenant tu va nettoyer tout cela avec ta bouche de salope, et je veux que ca brille”Elle s'exécuta contrainte et forcée. Elle s’appliqua longuement a faire disparaître les traces de son passage dans son cul. Il prit sa tête une nouvelle fois en appuyant sur sa nuque, il attendait d’être tout entier au fond de sa bouche, sa bite était à présent molle, amis elle avait encore une belle taille, il dit alors“En grosse cochonne que tu es tu va maintenant avaler aussi mes couilles pour les nettoyer” il saisit ses boules dans la main et les pressa on aurait dit deux grosses cerises jumelles. Il poussa encore un peu plus loin, elle ouvrait grand la bouche, il y introduisit une boule, Florence avait mal aux lèvres, mais il insista pour que le seconde suive le même chemin, elle s'exécuta ouvrant encore davantage la bouche la seconde rapait contre ses dents.
Il grogna et la frappa dans le dos du plat de la main.
“Ne t’avise pas de me faire mal ou tu va le regretter encore plus”Elle essaya tant bien que mal de manoeuvrer sa langue sur ce qu’elle avait en bouche, elle essayait mais la place était très réduite. Au bout de quelques minutes il se dégagea, elle avait du mal a fermer la bouche tellement les muscles lui tiraient. Lui, regardait son sexe et semblait heureux du nettoyage buccal offert.
Il ne la regarda même pas et se couchant à nouveau les bras sous la tête il dit “Allez maintenant tu peux t’en aller je t’ai bien fait ton affaire, j’espère que tu a aimé en femme salope que tu es. Va donc te faire baiser ailleurs”Elle prit son attirail dispersé dans la chambre, remis sa blouse sans la fermer et quitta ce lieu il était 2h52. Elle resta un long moment dans l’objectif et murmura a voix très basse“J’ai rarement vu un porc pareil, il était odieux et désagréable, rien dans son comportement n'est digne d’un homme, je ne pensais pas pouvoir tomber sur un déjanté pareil, ca m’apprendras à me croire invincible et irrésistible”Elle resta silencieuse un moment en reboutonnant sa blouse dans le couloir.
Elle revint vers la caméra, et dit alors“C’était l’exception qui confirme hélas les règles de la société, mais je ne vais pas abandonner en si bons chemins. On apprend aussi des mauvaises expériences” et elle me fut un clin d’oeil.
3h01, autre service, autre chambre la quinzieme.
Elle s’avanca, alluma la veilleuse et observa un homme de petite taille, il devait avoir plus de 65 ans, ses cheveux gris étaient parsemés autour de sa tête, il ronflait faiblement.
Elle pris soin de quitter sa blouse et se pencha alors à son oreille, on entendais faiblement les mots qu’elle lui disait.
“Monsieur… monsieur… c’est votre nouvelle infirmière, je suis là pour votre cadeau de départ”Le monsieur ouvrit un oeil, il regardais un sein. Il ouvrit le second et découvrit son homologue sur la poitrine de Florence. Il comprit bien vite ce qui lui arrivait, elle avait déjà en main la bite molle qui grandissait dans sa main, plus tout jeune mais encore vert.
Elle le fixa de ses yeux et dit alors“Tentez par une petite gâterie pour vous faire oubliez votre séjour ici ?”Elle n’eu pas besoin de réponse, tant le sexe gagnait de la raideur, elle s’appliquait a le sucer avec délicatesse. Ces gestes à lui étaient doux, il passait ses mains dans son dos, sur ses seins, il les caressait doucement. Quelques minutes de cette fellation et le sperme inondait le nouveau préservatif qui pris la même direction que les autres.” Elle souleva un peu son masque et embrassa le vieil homme sur la bouche, le remerciant de sa douceur bienvenu. Il ne put dire qu’une chose avant que la porte ne se referme derrière elle“Merci pour tout, chère madame, je n’oublierais jamais ce séjour ici mais je garderais caché ces moments délicieux que vous m’avez offert”Autre chambre, autre culture, autre plaisir, enfin le retour à une vie meilleure.
17 minutes plus tard elle franchissait une nouvelle porte, le même rituel ou presque dans le réveil, la fellation salvatrice avec un homme corpulent avec un sexe plutôt petit, mais la quantité de sperme dans la capote indiquais que Florence avait bien eu raison de venir cette nuit, il remplissait à lui seul au moins cinq fois la valeur moyenne des autres personnes. Florence avança a la hauteur de ses yeux cet objet de latex ou l’on pouvait voir la quantité au travers, elle dit alors“J’ai bien fait de venir cette nuit car je ne suis pas sûre que vous ayez tenu encore longtemps avec une telle quantité en stock”Il pouffa de rire et elle aussi.
Chambre 18, 3h36, une sodomie douce en levrette sur le lit pour ce maghrébin aux mains callauses.
Chambre 19, 3h57, une position en missionnaire tout ce qu’il y a de plus classique avec ce cinquantenaire ravi, il lui demanda s’il pouvait observer d’un plus près ces tatouages. Elle ne bougea pas, il avança son visage, regarda amusés les deux femmes tatouées et il la lécha longuement lui arrachant des soupirs de plaisir, sa moustache frottant son clitoris sensible.
4h18, chambre 20, elle se fit prendre couché en chien de fusil, lui pénétrais son sexe en de grands et lents mouvements, il avait relevé une de ses jambes très haut découvrant encore plus à la caméra les deux sexes en mouvement.
21° chambre, 4h37, elle aida le monsieur a assouvir une envie pressante, il croyais vraiment que Florence était là pour l’aider il fut plus surpris quand elle s’assit sur les toilettes, écarta sa blouse et pris son membre en main pour avaler la dernière petite goutte d’urine. Elle le fit grossir en bouche très vite, il jouit en se tenant au mur en face de lui, plaquant son sexe dans la gorge de ma femme.
Chambre 22, le petit asiatique n’était pas grans son sexe non plus mais il connaissait parfaitement les zones érogènes du corps féminin, il caressait Florence, un doigt dans son sexe découvrant le point G, elle le sucais dans une position 69 de coté, il pénétra ses fesses d’un autre doigt et il lui fit découvrir un autre point aussi sensible, elle jouissait sous ses mains , inondant sa bouche de cyprine odorante, il se léchait les lèvres lorsqu’il se répandait en grandes saccades.
5h25, elle passe a sa 23° chambre, elle découvrit l’homme d’ébène, athlète confirmé du club de foot local, il était connu dans toute la région. Elle ne m’avait pas montré les noms avant, prétextant tout de même une dose de secret médical.
Il n’a pas hésité très longtemps, malgré la différence d’âge, ma femme était encore plutôt mignonne. Il la prit d’abord debout contre le mur de la chambre, puis en missionnaire sur le lit. Il la sodomisa longtemps avec son gros engin à plat ventre en travers du lit avant de lui offrir un cunnilingus royale, elle aimait les grandes langues et là elle était servi. Il termina dans sa bouche essayant de l’étouffer avec son énorme engin, il imprimait lui même le rythme en lui tenant la nuque, il s'enfonçait loin on percevait sur les images son sexe qui passait dans sa gorge. Ce qu’il ne savait pas c’est que ma femme avait déjà sucer de belles queues comme la sienne et avait réussi des gorges profondes encore plus méritantes. Lorsqu’il fut secoué de plaisir il était calé tout au fond de sa bouche, le gland déformait une partie de sa gorge on l’imaginais crachant sa dose blanche directement dans l’estomac. C’était sans compter avec le préservatif qui retenait le précieux liquide.
Elle avait la bouche grande ouverte elle cherchait à respirer par de petites inspirations mais l’air ne descendais pas, elle suffoquait. Il baissa les yeux sur elle et sortit son engin avec précipitation, il dit alors“Pardon, pardon je ne voulais pas, vous allez bien ?”Ma femme fit un signe de tête positif a sa question reprenant son souffle après cela“Je m’excuse encore, comment puis je me faire pardonner… je ne sait plus où j’avais la tête, vous êtes tellement magique, je n’ai encore jamais vu telle performance chez une de mes compagnes.”“Deux places pour le prochain match, laissé à l’accueil pour Florence et Thierry, vous vous en souviendrez, ca vous convient comme deal ?”Il hocha la tête et l’embrassa sur la bouche au travers de son masque, il l’aida même à se rhabiller, un gentleman, il la complimenta pour son corps, ses performances, ses bijoux.
Il lui avoua“Si vous étiez seule et sans vous offusquez avec quelques années de moins, je crois que nous pourrions être plus que des amis… ou peut être que moi si j’avais quelques année de plus…”Ma femme n’était pas offusquée bien au contraire, les cougars ne se montrent pas souvent mais elles existent pourtant. Elle le serra dans les bras avant de partir, il fit de même lui rendant sa douce accolade.
Il n’oublierais pas sa promesse.
chambre 24, 6h12, prise en missionnaire classique sur le lit6h27, chambre 25, fellation et 69 avec un homme de nos ages, normal dans les performances comme dans le physique.
6h53, 26° chambre, le soleil pointait à l’horizon, l’homme d’origine hispanique, style plagiste toute l’année, beau teint, beau gosse. Il la calina par de longues caresses sur son dos, ses fesses, ses cuisses, puis en la retournant poursuis sur ses seins, son ventre, son sexe. Il aimait utiliser ces grande mains et sa langue ma femme lui rendit la pareille l’instant suivant le caressant pile et face avec l'intégralité de son corps. Elle terminait chevauchant sur son sexe tendu.
7h18 chambre 27, elle terminait en beauté avec le seul mec qui se refusa à elle. Fraîchement marié il ne voulait pas trompé son épouse, ca existe encore cela se dit elle. Pour le remercier de cette franchise elle baissa son masque et lui dit à visage découvert“Rien que pour le plaisir alors un baiser en cette fin de nuit, un baiser ce n’es pas trompé”Elle avançait les lèvres et il ne recula pas, leurs bouches se mélait l’une et l’autre dans un baiser passionné ou les langues virevoltent dans le palais de l’autre.
Elle s’écarta, se rajusta rapidement et dit simplement“Merci de cette sincérité et de ce baiser, je termine en beauté mon poste ici’Elle tourna les talons et disparut.
La caméra arrête de filmer à 7h23.
Ma femme est donc entré à 8h25 à la maison, et elle est parti se coucher au moment ou je partais travailler nous ne nous sommes vus la fin d’après midi même.
Avant de me montrer le film elle sortit du frigo du garage, un étrange récipient en plastique jaune, on lisait dessus “Dechets infectieux ne pas ouvrir”Elle prit un couteau et taillait les côtés.
Les enfants ne rentraient pas avant au moins deux bonnes heures aujourd'hui.
Elles versa le contenu sur la table de la cuisine, 25 préservatifs avec leur contenu, elle les prit un à un, les classe suivant l’ordre de passage.
Les liquides se ressemblaient tous allant d’une couleur blanche au légèrement jaune.
La quantité était sensiblement identique sauf dans deux bien plus gonflés.
Elle retira la quatorzième et la jette dans les WC proches, ou elle disparu aussitôt.
Elle pris un récipient avec une petite pompe style lave mains et une coupelle à proximité.
Elle prit un à un les emballages de latex et coupe au ciseau l’extrémité, laissant alors couler le précieux jus à l'intérieur du flacon. elle pressait chacun de façon a le vider parfaitement, elle posais l’objet vide dans la coupelle.
Elle fit la même chose avec toutes les capotes, le flacon était d’une contenance de 250ml, les graduations dessus indiquent légèrement plus de 100 ml au total.
Elle compléta le niveau jusqu’à 150 ml avec une lotion hydratante.
Elle pris ma main et nous sommes allés sur le lit, elle se déshabille complètement, s’allonge dos contre le matelas et me dit “Enduis mon corps avec cette lotion, n’oublie pas un endroit stp je veut sentir cela absolument partout.”J’étais assis sur son côté et elle se retourna présentant ses fesses d’abord, je pris la pompe et déposa une noix que je fis longuement pénétrer dans son dos, je la massais tendrement. Je badigeonne ses cuisses, ses épaules, la raie de ses fesses et entrepris de faire disparaître cette crème spéciale. Ses mollets et ses pieds ont eu le même droit, ses bras aussi jusqu’à ces mains.
Elle se retourna satisfaite, il était temps de faire de même de l’autre côté. J’ai commencé par son ventre, ses cuisses, ses jambes. Ensuite ce fut le tour de ses seins, ses épaules et le second coté de ses bras.
Il restait du liquide encore dans le flacon, pas loin de 30 ml de contenance.
Elle me regarda et dit “Je crois qu’il en reste encore et que tu n’a pas fait encore tout mon corps, alors s’il te plait continue”Je posais donc encore un peu de crème sur son pubis lisse, j'étais le liquide sur sa vulve, imprégnant son tatouage et les lèvres de son sexe, elle même écarta les jambes. Je m'arrêtais au confins de son sexe ne voulant pas faire couler de sperme en elle par accident.
Le gel avait complètement disparu entièrement absorbé par sa peau.
Elle me regardait, elle pris le flacon, il en restait encore beaucoup trop. Elle l’ouvrit, et dit “Et alors chéri j’ai dit tout mon corps, tu n’a pas terminé ?”Je cherchais interloqué pensant avoir passé le précieux liquide sur l'intégralité de sa peauToujours couchée, elle fermas les yeux et vida le reste du contenu dans le creux de ses yeux, sur son nez, son menton, son front, il coulait sur ses joues.
Je m'approchais donc et massait délicatement son visage, les spermes différents avaient une consistance aussi différente, je glissais dans ses oreilles , autour des yeux, le nectar coulait dans ses cheveux, dans son cou. Elle ouvrit la bouche et guida le trop plein dedans, elle m’aidait à oindre son visage de cette crème et approchant sa bouche de la mienne elle m’embrassa au milieu de ces innombrables spermes différents. Nous avons baisé comme des sauvages pendant plus d’une heure et nous nous sommes habillés quinze minutes avant que le premier enfant arrive. Quel plaisir immense pour nous deuxPS : Le week-end suivant nous sommes allés au match, nos places nous attendaient… en loge d'honneur s’il vous plaît. La chambre 23 avait tenu parole. Il a même reconnu Florence après la rencontre quand nous étions avec les joueurs dans le grand salon. Il s’est approché et à demande”Vous êtes bien Florence et Thierry, n’est ce pas ?” Florence hocha la tête positivement. Il était heureux de nous voir tous les deux, il dit à mon oreille doucement“Ne la lâchez pas c’est un cadeau du ciel pour un homme vous savez, ne la perdez pas des yeux elle est bien trop précieuse, il me glissa dans la main trois papiers, et parti rejoindre d’autres convives.
Le premier était sa carte de visite avec son numéro de portable privé noté dessus. Les deux autres des places en loge pour le reste du championnat. Les gentlemans existent, heureusement pour nous tous.
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Les avis des lecteurs
Je rêve d'avoir une compagne comme Florence.
Merci pour ce récit
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