Huguette, mon seul amour
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Huguette, mon seul amour
Pourvu qu’elle ne me surprenne pas. J’ai la mauvaise (bonne) habitude de me masturber quand elle part au travail. Et là, j'en crève d’envie, aussi je fais tomber le jean, je fais suivre le string. Je suis plus libre pour me livrer à mon plaisir quotidien. Pourtant elle me baise au moins une fois par jour (plutôt le soir).
Je reste assise pour commencer. Ma main caresse l’intérieur des jambes, en montant depuis le genou vers ma chatte déjà humide. Quand mes doigts arrivent là où j’aime, je ferme les yeux. Je me concentre sur ma caresse. C’est meilleur que bon de sentir mes doigt aller et venir pour arriver au but : un orgasme. Je me sers de l’index et du majeur repliés légèrement. La pulpe des doigts est souple, elle fait ressortir mon petit rocher.
Je le frotte doucement, et je me sens flotter vers un monde ignoré. Je prends un peu de cyprine dans mes doigts : je veux me gouter un fois de plus. Elle est toujours aussi bonne. C’est meilleur que le sperme : je n’en ai gouté qu’une seule fois il y a longtemps. Berk…
J’entre mes doigts au fond du vagin. J’aime me doigter à ce moment.
Un soir, au pensionnat, j’ai fait un essai avec ma culotte. Je l’enfonçais en moi. Je devais forcer un peu. J’arrivais à la faire pénétrer là bas au fond de mon ventre. Je me souvient encore de cette sensation d’être remplie. Elle était toute entière en moi. Avec deux doigts je la poussais encore un peu puis elle revenait vers le haut. Je recommençais pour le même résultat, sauf que je sentais mon plaisir plus fort à chaque fois. Je ne pouvais m’empêcher de gémir et dire tout haut ce que je ressentais. Si j’avais du me taire, je n’aurais pas connu les caresses d’Huguette, ma voisine, qui un soir juste avant que je jouisse est venue tout contre moi, ses mains sur mon corps. Je les sentais me caresser à peu près partout, surtout quand sa main a remplacé la mienne. Oh, cette nouvelle masturbation en compagnie d’une autre copine. J’allais étouffer quand sa bouche est venue sur le mienne.
Sa langue état douce contre la mienne, pendant que sa main prenait en entier ma chatte offerte. Je me souviens de l’effet qu’elle me faisait avoir : je me laissais branler par une autre. Elle savait bien me donner du plaisir, elle était la championne de la branlette.
Je cherchais à rendre ce qu’elle me faisait. Je commençais par caresser un sein, puis je descendais vers sa chatte. Qu’elle joie d’arriver sur ses poils. Je le peignais un peu avant d’enfoncer ma main dans sa fente. Ma première fente autre que la mienne. Elle changeait de position, venait sur le dos, écartait ses jambes. J’avais libre accès à son intimité. Elle était toute mouillée, mes doigts glissaient en elle. Le clitoris état gonflé, je le caressais sans cesse. Elle se tordait sous la caresse : je devinais que je la faisais jouir. Elle voulait d’avantage :
• Lèche-moi la chatte.
• Branles moi.
• Oui, encore, lèche moi n’arrête pas.
C’est là que j’ai compris que je n’avais plus besoin de garçon, qu’une fille me suffisait que j’aime les filles. En plus mes relations avec Huguette étaient toutes sensuelles. J’aimais sa foune, elle aimait la mienne. Nous ne passion pas un soir sans nous aimer à notre façon.
Tout a une fin : un soir nous étions sur le point de partie au 7° ciel quand la surveillante nous a surprise. Il a fallu la suivre vers sa couchette séparée.
Là elle nous a ordonné de nous mettre nues devant elle. Nous avions un peu honte.
Elle nous a fait assoir sur son lit, nous a obligés à nous caresser encore. Le faire devant une autre femme devenait plus érotique, pour moi en tout cas. J’avais envie qu’Huguette entre ses doigts au fond de moi. Elle l’a fait en se trompant de trou. J’étais tourné vers la surveillante, elle pouvait tout voir. Je devais l’exciter pour qu’elle ouvre se jambes, qu’elle se branle aussi devant nous. En plus les doigts dans mon anus me faisaient du bien. Sur le moment j’aurais même autorisé une bite à m’enculer. Je ne sais plus ce que faisait Huguette. Je sais que la surveillante jouissait en gémissant devant moi. J’avais envie de la faire jouir. Je me penchais vers elle qui me laissait la lécher. Je découvrais un autre clitoris, un gout légèrement différent, mais un con de fille.
Je me souviens des spasmes de ce sexe sous mes caresses, de ma fierté d’avoir donné du plaisir à une autre fille. J’ai vue qu’Huguette se donnait aussi à cette langue. Elle se faisait lécher plusieurs fois en me regardant. Je lui donnais mes doigts dans sa bouche : elle me les léchait aussi, la garce.
Le temps a tourné, nous vivons ensemble. Huguette seule travaille. Des fois elle rentre tard : je crois bien qu’elle se fait mettre par un homme dehors. Je ne l’envie pas du tout.
Je reste assise pour commencer. Ma main caresse l’intérieur des jambes, en montant depuis le genou vers ma chatte déjà humide. Quand mes doigts arrivent là où j’aime, je ferme les yeux. Je me concentre sur ma caresse. C’est meilleur que bon de sentir mes doigt aller et venir pour arriver au but : un orgasme. Je me sers de l’index et du majeur repliés légèrement. La pulpe des doigts est souple, elle fait ressortir mon petit rocher.
Je le frotte doucement, et je me sens flotter vers un monde ignoré. Je prends un peu de cyprine dans mes doigts : je veux me gouter un fois de plus. Elle est toujours aussi bonne. C’est meilleur que le sperme : je n’en ai gouté qu’une seule fois il y a longtemps. Berk…
J’entre mes doigts au fond du vagin. J’aime me doigter à ce moment.
Un soir, au pensionnat, j’ai fait un essai avec ma culotte. Je l’enfonçais en moi. Je devais forcer un peu. J’arrivais à la faire pénétrer là bas au fond de mon ventre. Je me souvient encore de cette sensation d’être remplie. Elle était toute entière en moi. Avec deux doigts je la poussais encore un peu puis elle revenait vers le haut. Je recommençais pour le même résultat, sauf que je sentais mon plaisir plus fort à chaque fois. Je ne pouvais m’empêcher de gémir et dire tout haut ce que je ressentais. Si j’avais du me taire, je n’aurais pas connu les caresses d’Huguette, ma voisine, qui un soir juste avant que je jouisse est venue tout contre moi, ses mains sur mon corps. Je les sentais me caresser à peu près partout, surtout quand sa main a remplacé la mienne. Oh, cette nouvelle masturbation en compagnie d’une autre copine. J’allais étouffer quand sa bouche est venue sur le mienne.
Sa langue état douce contre la mienne, pendant que sa main prenait en entier ma chatte offerte. Je me souviens de l’effet qu’elle me faisait avoir : je me laissais branler par une autre. Elle savait bien me donner du plaisir, elle était la championne de la branlette.
Je cherchais à rendre ce qu’elle me faisait. Je commençais par caresser un sein, puis je descendais vers sa chatte. Qu’elle joie d’arriver sur ses poils. Je le peignais un peu avant d’enfoncer ma main dans sa fente. Ma première fente autre que la mienne. Elle changeait de position, venait sur le dos, écartait ses jambes. J’avais libre accès à son intimité. Elle était toute mouillée, mes doigts glissaient en elle. Le clitoris état gonflé, je le caressais sans cesse. Elle se tordait sous la caresse : je devinais que je la faisais jouir. Elle voulait d’avantage :
• Lèche-moi la chatte.
• Branles moi.
• Oui, encore, lèche moi n’arrête pas.
C’est là que j’ai compris que je n’avais plus besoin de garçon, qu’une fille me suffisait que j’aime les filles. En plus mes relations avec Huguette étaient toutes sensuelles. J’aimais sa foune, elle aimait la mienne. Nous ne passion pas un soir sans nous aimer à notre façon.
Tout a une fin : un soir nous étions sur le point de partie au 7° ciel quand la surveillante nous a surprise. Il a fallu la suivre vers sa couchette séparée.
Là elle nous a ordonné de nous mettre nues devant elle. Nous avions un peu honte.
Elle nous a fait assoir sur son lit, nous a obligés à nous caresser encore. Le faire devant une autre femme devenait plus érotique, pour moi en tout cas. J’avais envie qu’Huguette entre ses doigts au fond de moi. Elle l’a fait en se trompant de trou. J’étais tourné vers la surveillante, elle pouvait tout voir. Je devais l’exciter pour qu’elle ouvre se jambes, qu’elle se branle aussi devant nous. En plus les doigts dans mon anus me faisaient du bien. Sur le moment j’aurais même autorisé une bite à m’enculer. Je ne sais plus ce que faisait Huguette. Je sais que la surveillante jouissait en gémissant devant moi. J’avais envie de la faire jouir. Je me penchais vers elle qui me laissait la lécher. Je découvrais un autre clitoris, un gout légèrement différent, mais un con de fille.
Je me souviens des spasmes de ce sexe sous mes caresses, de ma fierté d’avoir donné du plaisir à une autre fille. J’ai vue qu’Huguette se donnait aussi à cette langue. Elle se faisait lécher plusieurs fois en me regardant. Je lui donnais mes doigts dans sa bouche : elle me les léchait aussi, la garce.
Le temps a tourné, nous vivons ensemble. Huguette seule travaille. Des fois elle rentre tard : je crois bien qu’elle se fait mettre par un homme dehors. Je ne l’envie pas du tout.
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