Il est des moments agréables........ - histoire érotique

<p>Il est des moments agréables que l’on a envie de partager. C’est ce qui vient de m’arriver. Via un site de rencontre, j’ai correspondu par e-mail avec une personne de mon âge (58 ans) pendant plusieurs semaines, avant, enfin de se rencontrer chez elle.
Malgré les descriptions qu’elle m’avait fourni sur papier, j’ai dans un premier temps été surpris par son physique très agréable. De taille moyenne, 50 kg toute mouillée, une poitrine très appétissante, cheveux courts roux, bref un flash au premier abord. Il était prévu de souper ensemble, après avoir fait plus ample connaissance de vive voix. Dans ses courriers, elle m’avait fait part qu’elle n’irait « pas au lit » dans cette première rencontre et aussi par le fait que je sois marié, mais elle désirait me voir de visu.
La discussion s’est orientée au bout d’un moment sur les coquineries, mais sans plus. Il était l’heure de partir souper au restaurant, quand elle m’a demandé la permission de s’absenter un petit moment. Son retour m’a surpris du fait de sa tenue, très déshabillée et sexy. String, soutien-gorge rouge et noir garni de dentelles, le tout assorti d’une nuisette transparente. « J’ai faim, mais de toi… » .Ses lèvres se sont emparées des miennes, nos mains se sont faites baladeuses, elle m’a demandé d’enlever le haut pendant qu’elle m’enlevait le bas, moi très vite dans le plus simple appareil, je n’ai pas résisté quant sa bouche est descendue s’emparer de mon sexe turgescent qui en fait ne demandait que cela. J’ai dû la retenir d’aller trop loin, voulant moi aussi profiter d’elle. Devant le miroir de sa chambre, positionné derrière elle pour pouvoir profiter du recto et du verso, j’ai commencé à la déshabiller en la caressant partout , une fois nue, mon regard s’est porté sur son entrejambe où surprise, aucune pilosité. Elle m’a avoué l’avoir fait chez l’esthéticienne l’après-midi même. Ma bouche, mes lèvres, ma langue se sont emparées du haut de ses cuisses, elle debout, un pied sur le lit, moi à ses genoux. Je l’ai sucée, resucée et encore resucée, jusqu’à ce qu’un torrent de cyprine m’envahisse la bouche. La soirée s’annonçait très chaude.
« J’ai envie tout d’abord de douceur me dit-elle,ensuite je te veux exigeant, tu pourra me faire tout ce que tu veux, dans tous les sens, j’ai envie de tout, de ta queue dans tous mes orifices, tu doit être mon maître… » Ce n’est pas tellement dans mes habitudes, mais mon esprit se mit à travailler.
Je l’ai fait se positionner au-dessus de moi, ses lèvres intimes touchant seulement mon gland. « Masturbe toi mais tu ne doit pas descendre t’embrocher », je l’ai obligée avec sa main à titiller son clitoris avec vigueur, une de mes mains sur ses seins, l’autre faisant faire des aller-retour à mon sexe sur ses lèvres intimes, je l’ai fait jouir sans pénétration. J’ai oublié de dire qu’elle est d’origine allemande et pendant qu’elle jouissait, elle a commencé à retrouver sa langue d’origine me disant des mots que je ne comprenait pas.
Après cet épisode, je lui ai ordonné de se positionner les fesses en l’air, au bord du lit, j’ai alors suçé sa rosette, bien humidifiée et préparée à une pénétration vigoureuse pendant que je pouvais encore. Au bout d’un moment après que 1 puis 2 doigts l’ait élargie, j’ai enfilé une capote et d’un coup sec, tout mon membre est entré entre ses fesses. Là encore, l’allemand est ressurgi, mon pubis tapait sur ses fesses sous mes coups de boutoir et ses paroles incompréhensibles m’excitaient au plus haut point. J’ai cessé aussi soudainement que j’avais débuté, l’ai fait se retourner, enlever la capote, j’ai positionné mon membre toujours dur entre ses seins et elle m’a branlé tout en avançant sa langue pour me lécher le mat. C’est alors que d’un commun accord, nous avons décidé d’ouvrir une bouteille pétillante et de fumer tranquillement une cigarette afin de se calmer quelque peu.
Nos caresses mutuelles nous ont permis de rester « chauds », sa chatte brillait d’humidité qui ruisselait sur ses cuisses, nos langues se mélangeaient, nos doigts titillaient les parties sensibles de l’autre…. Il convenait que je vide maintenant mes couilles de tout mon sperme en elle, ce qu’elle désirait, mais où et comment ? son choix fut vite fait, le missionnaire… Elle s’est installée, ses jambes autour de mes hanches, et a rythmé mes aller-retour selon ses désirs. J’ai retenu mon éjaculation le plus longtemps possible avant d’inonder cette chatte brûlante remplie de cyprine. Le moment venu de me retirer, elle a encore désiré immédiatement un 69, m’a fait coucher sur le dos et s’est installée sur moi, nos bouches étaient trempées du liquide de l’autre et les bonnes choses ayant toujours une fin, devant ma « débandade », nous avons conclu ici cette partie chaude pour nous doucher et enfin, aller souper dans un petit restaurant tout prêt de chez elle.
Naturellement en discutant au restaurant, j’ai abordé la question de quand et où remettrions nous le couvert ? j’en avait une folle envie…. Détrompe-toi me répondit-elle, je recherche des hommes sur le site de rencontre pour me faire baiser tout simplement, mais je suis très nymphomane et ne fait jamais l’amour une seconde fois avec un homme. J’ai toujours envie de nouveautés malgré que les actes se ressemblent, les corps d’hommes, les bites sont différentes et c’est ce qui me plaît le plus. Aussi, nous avons conclu ici, à ma très grande déception, cette soirée, mais je ne désespère pas une fois de la recontacter via ce site, peut-être sous un autre pseudo ? Pourquoi pas ? sera-ce possible ? mon désir est tel que je le désire énormément, mais…. L’avenir nous le dira.
Peut-être à suivre.



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