Il est tard - histoire érotique

Il est tard, mon mari rentre seulement du travail, ses yeux semblent fatigués, la semaine à été longue..
Malgré cela je le trouve toujours aussi beau avec ces yeux si clairs, vert, ses cheveux bruns courts et ses abdos que je sais juste sous son tee-shirt.
Mais ce soir je le trouve étrange…
Il a un sourire inhabituel sur les lèvres, un sac à la main, il me regarde il semble presque fâché.
J’ose à peine lui demander comment il va.
Il s’approche tourne autour de moi et me demande ce que j’ai fais de ma journée.
Ce matin, je m’étais réveillée pleine de désir.. juste l’envie de jouir,… encore,…. comme la soirée précédente que l’on avait passée devant un film porno loué et pas fini .
J’avais donc bien commencé ma journée en finissant de le regarder, seule dans mon canapé avec ces images et mes doigts…
C’était bon, je me promis de lui raconter la fin dès son retour, j’étais trempé et mon clito était en feu, une douche m’a permis de me calmer en me faisant jouir encore une fois, une main qui pince doucement mon téton, l’autre faisant des va et vient avec ce gode que je cache toujours dans un tiroir de la chambre.
Mais vu mon délai de réponse lié à tout ses souvenirs dans ma tête, il m’attrape par les cheveux et me dit :
-rien comme d’habitude, j’en ai marre d’aller travailler juste pour que tu fasses en sorte que ton corps reste désirable.. alors puisque c’est ainsi, tu vas me l’abandonner ce corps, que j’en récolte au moins les fruits.
Et là sans lâcher mes cheveux, il m’arrache mon chemisier et baisse mon soutien, il relâche enfin sa main et je vois ses yeux qui brillent, son souffle est court.
Il prend mes tétons dans ses doigt, pince fort et me conduis, me tire jusqu’à la chaise de la cuisine.
Bouge pas ! Il me dit, pas d’un seul millimètre ou tu seras punie !
Ce soir tu seras ma chienne, tu ne broncheras pas et je ferai de toi ce que je veux !
Il déchire mes bas, écarte mes jambes et je le vois partir dans le couloir, je n’ose pas bouger, je suis remplie de peur et d’excitation en même temps, je sens ma chatte mouillée et ce jus trempe ma petite culotte.
Je l’entends fouiller dans le sac avec lequel il est rentré il y a quelques minutes, puis il va jusqu’à la salle de bain.
Une douche, il prend une douche !
Je ne sais pas quoi faire, je reste là ? je vais près de lui en souriant… être punie… c’est excitant..
Mais en fait je suis perdue, je n’ai pas l’habitude qu’il soit comme ça, le temps de ma réflexion lui suffit pour ressortir de la salle de bain.
Il revient, il a plein de chose en main, fouet, gode d’une taille plus grande que le mien et des pinces tétons.
Bien ! Tu n’as pas bougé tu es une bonne chienne !
Il est là devant moi, ses ustensiles en mains q’ il dépose sur la table, un jeans, torse nus, j’adore ses abdos..
Mais très vite la réalité me tire de ma contemplation, il m’attrape à nouveau par les tètons, il tire fort
-Juste pour qu’ils soient bien dure que je puisse accrocher un de tes nouveaux jouets
Ca me fais mal, mais bizarrement ça me donne aussi du plaisir, il pétri mes seins sans ménagement les lèches aussi, il a toujours aimé ça.
Maintenant que mes tètons sont tout durs et pointant, il accroche les pinces, elles sont reliées entre elles par une chaine qu’il peut agiter à sa guise pour augmenter l’effet, il s’amuse, un cri s’échappe de ma bouche.
Tais-toi pas j’ai dis ! Mais j’ai ce qu’il faut pour étouffer tes cris !
Il me fais me lever en tirant sur les chaînes, je ne peux pas résister, je ne veux pas avoir mal..
Il descend ma culotte…
- Ho elle est trempée ! Il la renifle.
- et elle sent bon en plus !
Tu es une vraie salope ! Une bonne petite salope !
Il gifle mon visage avec mon sous vêtement, m’ordonne d’ouvrir la bouche et l’enfourne dedans, bien au fond.
Je peux juste encore respirer par le nez, j’ai du mal à déglutir, il doit voir mon inconfort …
- Ne fais pas des yeux comme ça ! Attend au moins de voir ce que je vais faire de toi !
De nouveau j’ai peur, mais j’ai aussi tellement envie !
Je reste là, debout devant lui, j’attends.
Il finit de me déshabiller en me regardant comme un prédateur devant sa proie.
Il tire à nouveau sur la chaîne et me dis, à 4 pattes ! Sur la table !
J’obéis, je n’ai pas le choix…
Il me caresse, les fesses, la chatte, le liquide chaud de l’excitation coule le long de mes cuisse, mon cœur bat à tout rompre.
Il prend le fouet, d’abord passe doucement sur mes pieds, mes jambes et arrive sur ma chatte, il frappe doucement, puis de plus en plus fort, va jusqu’à mes fesses et là s’en donne à cœur joie.
Un soupir s’échappe,
- Pas un mot j’ai dis ! Et en guise de punition fouette plus fort mes fesses déjà rouge et tire encore sur la chaine, mes tètons s’allongent de plus en plus, il les lèches ensuite, joue avec sa langue sur ce qui dépasse des pinces.
Sa Main arrive sur mon clito, j’ai mal aux genoux sur cette table mais je ne me permets pas de bouger.
Je sens un doigt puis deux qui glissent à l’intérieur de moi, je suis toute ouverte et trempée.
Voici l’heure de ton deuxième jouet maintenant !
Il enfourne sans aucun ménagement ce gode que j’avais vu préalablement.
Une vague de plaisir m’envahit, je ne peux pas crier.
J’espère que tu en a profiter ! Ça risque d’être le seul pour toi ce soir ma petite putain !
Ho, ça retombe vite le plaisir parfois !
Il me regarde, je sens encore mon vagin se contracter autour du gode toujours en place, bien profond.
Maintenant, je vais enlever ce que tu as dans la bouche, je ne veux rien entendre excepté oui maitre.
Tu vas me sucer, tu as intérêt de faire ça bien sinon je vais réaliser mon fantasme, celui qui tu m’interdis depuis tant d’année.
Si tu ne me fais pas jouir en me suçant je vais te sodomiser, je vais défoncer ton petit trou bien serré.
J’ai peur, à nouveau, il me retourne, un me lèche le clito, le gode dépasse à peine, il tourne avec sa langue, il sait que j’aime ça, je sens le plaisir monter, mais il arrête, me fouette encore une, deux, trois fois et met ses doigts pour prendre cette cyprine et lubrifier mon anus.
- Au cas où tu ne sois pas assez performante, au moins ça glissera dit-il en riant !
Il revient vers moi, enlève son jeans et sort sa queue, il bande comme un fou, elle est toute dure.
- Ouvre la bouche, sors la langue et suce-moi maintenant !
J’ose un « oui maître » juste avant qu’il enfourne sa queue.
- Sors ta langue j’ai dis ! Et il prend ma tête pour la poser plus loin.
Il continu comme ça, des va et vient, de plus en plus vite. D’un coup il l’a pousse loin, très loin, je sens son gland passer dans ma gorge, il soupir, il aime ça, il maintien, je ne sais plus respirer, puis il relâche.
- Lèche-moi les couilles et la queue maintenant !
Je m’exécute, j’obéis pendant qu’il me donne la fessée avec sa main.
- Tes fesses sont bien rouges, tu mérites cette punition.
Puis sa main va plus bas, je sens son doigt glisser sur mon anus, il rentre, je suis surprise, j’ai toujours eu peur de ça, peur d’avoir mal alors pour éviter qu’il ne s’attarde je le lèche et le branle en même temps du mieux que je peux.
- Suce-moi au nouveau ! Et fais bien ! Attention à toi !
Je prends son gland tout gonflé du bout des lèvres je le lèche, avale toute sa queue, je fais de mon mieux, essai d’aller le plus loin possible, sa respiration s’accélère, je vais de plus en plus vite, c’est gagné…
Et là il tire d’un coup sec sur la chaine pendu à mes tétons pour me coller à lui, me tiens par les cheveux et enfonce sa queue dans le fond de ma gorge sans plus bouger.
Ca me semble une éternité, je sens quelques gouttes de ce liquide salé couler accompagné de très légers soubresauts
Mais non il ne jouit pas.
Il tire mes cheveux en arrière pour ôter sa queue de ma bouche. Elle dégouline, pleine de bave.
Il me regarde, il me prend le menton pour me forcer à ouvrir la bouche, y remet ma culotte toujours imprégné de ce jus de désir.
- Tu n’as pas été assez performante, dommage tu seras donc punie !
Et sans que je puisse réagir il met sa queue si dur dans mon cul, il a un soupir de plaisir immense, je ressens de la douleur mais pas trop. Ça glisse, je suis tellement excitée…
- Maintenant je vais jouir à l’intérieur de ce petit cul bien serré, le gode toujours en place, je le sens peut-être que cela t aideras à avoir toi aussi un peu de bon temps pendant que je t’encule petite chienne !
Il attrape la chaine poigne dans mes fesses pour que je bouge, que je fasse moi ces va et vient qui l’amèneront au plaisir…
Obligée et contrainte au départ, je sens aussi venir du plaisir, ce gode qui bouge en moi, sa queue qui me sodomise, je me laisse aller, je bouge moi-même de plus en plus loin de plus en plus vite et là nous jouissons ensemble dans un râlement sourd de plaisir fou.
Il essuie son sexe sur mes fesses et me gratifie d’un tu es une bonne chienne….