Il était une fois sur la route... suite 3 et fin - histoire érotique

J’avais le gland tout rouge, écarlate, à cause du passage de sa main en salivée dessus, je gémissais de plaisirs, de double plaisirs à vrai dire et lorsqu’il descendit sa bouche pour gouter au résultat de sa masturbation, je ne pus m’empêcher de lancer un « Ohhh » d’approbation sur cette nouvelle caresse ; Il la laissa néanmoins, remontant la hampe de mon sexe, me triturant les bourses, puis décida d’empaler ma queue dans sa bouche m’écartant un peu plus les jambes tout en les effeuillant.

Les râles de plaisirs fusaient, surtout pour moi car je sentais ma jouissance poindre à l’horizon , mais Etienne sentant cela arrêta net, me fixa avec un sourire mi-vicieux, mi-complice, descendant le regard sur son sexe en érection avec une micro-expression qui demandait implicitement la pareille ; Vu le gros morceau entre mes fesses qui me fixait sur place, je ne puis dire non, de toute façon une part de moi était curieuse de savoir quel goût ça avait, c’était si gentiment demandé en plus, qu’à son approche je me penchais pour engloutir ce beau pénis offert avec tant de sollicitudes ; Etienne commença alors de petits va et vient, en rythme avec son pote qui se régalait de me l’enfoncer doucement avec juste un mouvement lascif des hanches, moi je tenais le premier par les fesses , cela me permettait aussi de tenir en équilibre, en essayant d’explorer de mes doigts agiles sa rosette, mais juste le bord, puis d’une main je me mis à le branler en mouillant mes doigts au passage de ma bouche, y a pas meilleur lubrifiant pour attaquer les petits trous récalcitrants, il se pencha un peu en avant en écartant les jambes, me donnant le feu vert pour poursuivre ma quête, lui aussi gémissait vraiment beaucoup, seul le camionneur brun restait réservé, discret.

J’avais maintenant mes deux index dans le fion d’Etienne qui accélérait la cadence dangereusement jusqu’à me l’introduire jusqu’au gosier en me retenant la tête de ses deux mains, je sentis un liquide crémeux, acide et en même temps sucré, coller à mon palais :

- Houf, ça a été dur mais je me suis retenu à temps, j’ai encore des choses à te faire mon garçon. Allez lèche bien ce qui reste et vient te recoller à moi, j’ai pas pu avoir ce que je voulais tout à l’heure, je pense que c’est le moment non ?
- Si tu veux, ton pote m’a bien décontracté et j’ai envie de le gouter lui aussi, tu veux bien ? Demandais-je au brun.
- Bien sur que j’ai envie de gouter à ta bouche délicieusement gourmande. Dis-t'il en me pressant contre lui, me pénétrant de toute sa longueur.

Je sentis ma prostate vibrer. Il resta quelques secondes comme ça, me faisant un câlin de son torse et une léchouille dans le cou, enleva délicatement sa bite de mon orifice, me retourna, puis m’embrassa goulument en me caressant le dos, puis les fesses qu’il ouvrit comme pour inviter son copain à entrer. Etienne reprit là où il s’était arrêté dans le hangar en se branlant entre mon postérieur mais ne perdit pas de temps aux prémices et m’encula au troisième passage sur ma raie, puis commença sans attendre le coït. Le brun s’amusa de me regarder hébété en profitant de ma bouche grande ouverte pour avoir son dû.

Les rôles étaient inversés, mais meilleurs. Je m’aperçu qu’il était plus excitant d’avoir un gros membre dans la bouche et le plus long dans les entrailles, Etienne était un peu plus brusque que son copain, me tenant par les hanches pour avoir une bonne prise, me besognant avec plus de facilité . Je m’accrochais de toutes mes forces aux cuisses musclées de mon étalon brun qui se délectait de me mater en train de lui bouffer le sexe, je m’appliquais à ne manquer aucun centimètre carré, descendant de temps en temps sur ses couilles, les gobant comme pour en extraire prématurément le nectar qui était en train de bouillir pour mieux remonter, et quand c’était le cas, je revenais sur le gland pour l’emboucher au fond de ma gorge profitant de ce goût doux-amer au passage.

L’attitude de ce type me faisait beaucoup d’effet, nonchalant, sûr de lui, il était détendu, les coudes en arrière du corps, le stabilisant sur le banc pour lui éviter de se coucher complètement, ses abdos et pectoraux ressortaient puissamment dans cette position, ce qui n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. Il se laissa aller un instant, comme pour profiter d’un massage réparateur, mais ensuite, lorsque je sentis qu’il relevait son torse vers moi en me caressant la tête pour m’aider dans mon labeur, je compris qu’il voulait passer à autre chose.

Ses mains passèrent sur mon dos, s’arrêtèrent sur mes fesses qu’il ouvrit au maximum, il devait aimer voir une queue en pleine action dans un tunnel maintenant bien formaté et souple. Sa nouvelle position m’obligea à contenir sa virilité au fond de mon gosier, m’injectant un avant goût du fruit de ses envies. Je sentis sa langue me caresser les fesses puis me refroidir mon petit trou incandescent tout en léchant la queue d’Etienne au passage. Ce dernier sortit son sexe pour la donner à son pote mais en laissant son gland faire des va et vient contre ma rondelle, du coup le brun avait un cul et une bite rien que pour lui, en même temps il ne semblait pas vouloir s’en passer, alors il se retira de ma bouche, me fit assoir sur le banc mais dos contre lui, m’embrassant dans le cou de toutes ses lèvres charnues, me pinça les tétons doucement d’une main et de l autre mon gland humide qu’il s’amusa à masturber un peu avant de descendre sur mes couilles qu’il écarta pour me malaxer l’entrée de mon anus, comme pour refermer le tout.

Etienne s’assit en face de moi, la queue encore en érection pour m’embrasser, profitant de la main experte de son copain pour la branle, ce dernier pris nos deux bites ensembles en les enserrant pour les masturber avec délicatesse. Il avait l’air de savoir ce qu’il voulait, je le compris dès qu’il se leva, me laissant la place de m’allonger, pour se mettre au dessus de mon corps en se laissant lécher par ma langue avide de sa peau tendue, je m’attardais sur son bas ventre, son sexe dur passait intentionnellement sur mes lèvres, du gland à ses couilles, puis me présenta son anus ouvert , les reins cambrés pour mieux embrasser son pote avant de nous emboucher tous les deux.
Je sentais le frottement du sexe d’Etienne contre ma bite bien lubrifiée par le brun, qui s’activait de plus en plus avec sa langue, avec sa bouche, en passant un pouce sur nos glands, m’électrisant les sens, me laissant porter par mes envies, tout mon corps était raidi par l’extase, je convulsais et je n’étais pas le seul, Etienne n’en pouvait plus , il éjaculat deux seconde avant moi dans un état de transe, contre la bouche de son pote, heureux de cet avènement, ne laissant aucunes gouttes se perdre, s’appliquant à tout faire remonter, comme assoiffé par une boisson rare. Je m’accrochais à ses fesses, que j’ouvrais au maximum en enfonçant ma langue au plus profond, chaque giclée me faisait faire des soubresauts de jouissance.

Nous restâmes dans cette position quelques instants, en nous reposant de tant d’efforts, mais le camionneur brun était bizarre alors Etienne lui demanda :

- Quelque chose ne va pas ?
- Non rien, enfin si… Ca fait drôle en fait…
- C'est-à-dire ?
- De gouter le jus d’un autre mec et surtout le tient, j’ai eu une super envie de me faire mettre en plus, en même temps… C’est la première fois que ça m’arrive.
- Merde, te voyant j’étais persuadé du contraire…
- A part les branles collectifs dans les vestiaires avec mes potes du rugby avant la douche, non, j’ai toujours préféré sauter des salopes, mais j’ai jamais eu autant de plaisir qu’avec vous.
- Tiens, j’ai toujours pensé que tu faisais exprès de dormir le cul à l’air pour m’exciter.
- Tu plaisantes là ?
- Disons que je me suis posé la question, sans vraiment le croire.
- Et je t’ai filé la trique ?
- Grâce à toi j’ai eu plusieurs orgasmes sous la douche, c’est clair. J’ai même fantasmé que tu m’y rejoignes pour me savonner la bite. T’as jamais eu envie toi ?
- Honnêtement, non…
- Alors pourquoi on en est là ?
- Je ne sais pas vraiment, j’ai eu la trique dès que j’ai sentis le petit à côté de moi, l’odeur de foutre, de sexe, sa timidité… J’ai pas vraiment réfléchi, c’est venu tout seul, en fait c’est même encore là.

En effet, vu la taille de sa queue encore tendue avec ses bourses remplies à ras bord, il ne faisait aucuns doutes qu’il avait encore besoin de nous, son sourire en coin le confirmait en le prouvant de sa bite qu’il mit sur ma bouche en se décalottant le gland.
Etienne s’allongea sur moi, son sexe sur le mien et sa bouche contre la mienne, séparée par un espèce de gros bonbon rougeoyant d’envies, prêt à être consommé par deux bouches gourmandes, il dit :

- On va te montrer à quel point ta bite nous plait, te retient pas, nous aussi on veut te gouter n’est ce pas ? S’adressant à moi par le regard.
- Mmmmmm oui avec plaisir, c est le seul que j’ai pas gouté, je suis d’accord lâche tout, laisse toi aller et ne regarde pas à la dépense.

Cette pensée me fit bander à nouveau, ce qui excita également Etienne, ou alors juste le fait de réaliser son fantasme, peut-être les deux en même temps, dans tous les cas nos deux queues se branlaient ensembles tandis que nos bouches s’embrassaient en suçant l’énorme pieu que nous présentait cet étalon brun en gémissant de plus en plus au fur et à mesure de la pression de son gland entre nos gueules, en faisant des va et vient de plus en plus rapides, signifiant son excitation ainsi que son envie de jouir. Son souffle haletait par saccades jusqu’à s’arrêter le temps d’une seconde pour lâcher un cri digne d’un ours des cavernes en nous aspergeant le visage abondamment de son liquide très épais, laiteux d’où sortait une odeur forte empreint de testostérones.

Etienne était comme fou et dans un élan brusque il s’enfonça en moi tout en léchant la moindre trace de sperme qu’il trouvait sur moi, en se collant à mon corps pour se masturber en même temps. Je jouis le premier et pendant que son cul dégoulinait, il prit sa bite pour se finir et m’envoya un jet puissant sur mon torse, puis se coucha sur moi en me faisant un câlin que je lui rendis.
Le temps était passé trop vite et je dus, après une douche bien méritée, rentrer chez moi en stop. Je revis le brun quelques années après, marié, deux enfants mais je ne connus jamais ni son prénom, ni s’il avait recommencé l’expérience … Avec un autre, mais cela est une autre histoire.

FIN