Immoral : Lila
Récit érotique écrit par Hassan P [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Hassan P ont reçu un total de 42 365 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 20 561 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Immoral : Lila
Quand on a un style de mec et qu’on ne se marie pas avec, ça peut créer des problèmes.
Je déteste l’expression beurette à khel, mais si beaucoup des miens savaient par quel genre de mec je suis attiré, il n’hésiterait pas à me nommer comme tel.
Je ne serais comment l’expliquer mais depuis mon adolescence je suis attirée que par les noirs. Tout naturellement mes premières amourettes sa été avec des hommes noirs. Je n’ai jamais pu l’assumer auprès de mes proches. Déjà sortir avec un garçon avant le mariage, alors en plus un homme qui n’est pas maghrébins, j’aurais pris double punition, enfin je crois. Pour être honnête, je n’ai jamais eu d’interdiction de fréquenter un certain type d’homme. Juste des injonctions de ma mère de garder ma virginité pour le mariage. Mais je présageais que si je ramenais un noir, bah je serais rejeté par ma famille.
A oui, je ne me suis pas présentée, moi c’est Lila, j’ai maintenant dans la trentaine. J’ai grandi en région parisienne, d’origine d’un pays du Maghreb. Je ne suis pas ronde mais j’ai des kilos en trop, surtout au niveau des cuisses et les hanches, je n’ai pas un très gros cul et il a toujours été un peu flasque. Souvent je me dis que je vais faire un programme pour le muscler, mais la flemme l’emporte toujours sur mes bonnes résolutions.
A 22 ans je me suis marié avec Nabil, il est de la même origine que moi, il a 5 ans de plus que moi. Ce n’était ni un mariage forcé ni arrangé. Alors pourquoi je me suis marié si jeune avec un homme qui n’est pas mon style vu que depuis que les hommes m’attire je l’ai été juste par des hommes noirs ? A 20 ans j’étais intérimaire comme hôtesse d’accueil dans une entreprise publique. Nabil lui y travaillait aussi mais comme responsable incendie.
Très rapidement après mon arrivé j’ai vu que je lui plaisais. Mais j’étais plus attiré par un mec qui bossait dans la tour et me faisait des sourires appuyer quand il me voyait à l’accueil, un renoi. En plus à l’époque j’étais en couple avec Bakary, un renoi de 24 ans. Ça faisait 4 mois qu’on sortait ensemble.
Un soir en rentrant chez moi du boulot, sur le quai du métro je croise le renoi qui me fait des sourires quand on se croise à l’accueil. Il entame la discussion avec moi. On laisse passer quelques métros. On fait un peu connaissance. Il s’appelle Ousmane, 28 ans. Il n’est pas trop baraqué mais il a des épaules larges. Un peu foncé de peau. Si j’étais célibataire c’est le genre de gars à qui je donnerais mon numéro de téléphone et si le feeling passe bien, mon corps. Je ne suis plus vierge depuis 17 ans. Je lui ai dit que j’avais un mec. Il m’a demandé l’origine de mon mec, quand je lui ai dit il a souri et montrer toutes ses dents pas très blanches. Il a dû se dire une reubeue qui kif les renois.
Quelques jours après j’ai un appel sur le standard. On voit si c’est un appel local ou de l’extérieur, là c’était un appel local. Je décroche, je me présente de manière professionnelle. C’était Ousmane, c’est la première fois qui l’appel, normalement se sont des responsables qui nous appel, car au standard on est en charge de réserver les salles de réunions et diverses tache lié à la gestion de l’immeuble. Il me propose de prendre une pause ensemble. J’accepte.
Je n’ai pas dit à ma collègue que j’allais prendre une pause avec un mec qui bosse dans l’immeuble. Elle sait que j’ai un petit copain, je n’ai pas envie qu’elle me juge, déjà quand je lui ai dit que je sortais avec un renoi, elle a fait une tête surprise. Elle aussi c’était une magrébine, mais déjà marié et des enfants.
Il m’avait dit de monter au 1er étage, avec notre badge on peut aller presque partout.
L’étage est presque inoccupé, en fait à cet étage il y a les bureaux des différentes organisations syndicales. Il y a rarement du monde, probablement qu’ils sont trop occupés à se battre pour obtenir des augmentations de salaire, ou que la direction arrête d’abuser du statut intérimaire et embauche les gens pour qui soit titulaire.
On va dans une salle de pause, il y avait que nous deux. Je lui dis.
Moi : on ne veut pas être vu avec le petit personnel.
Ousmane : non du tout. Je voulais juste on parle au calme.
Moi : ok. Et à chaque fois que tu veux parler au calme tu viens ici ?
Ousmane : je viens à cet étage, mais pas ici.
Moi : ou ça ?
Ousmane : si tu veux je te montre.
Moi : vas-y.
On se lèvent, on quitte la salle de pause. Je le suis. On marche à peine une minute et on s’arrête devant la porte des toilettes et il me dit que c’est là. Je me mets à rire.
Il me dit qu’ici on est vraiment au calme et que c’est très spacieux par rapports aux toilettes des autres étages. C’est bizarre quand même que les toilettes classes et spacieuse sont celles des organisations syndicales, une forme de peau de vin ?
Je continue à rire, il y a un peu de nervosité et de gêne dans mon rire.
Ousmane : tu veux rentrer ?
Moi : pour faire quoi ?
Ousmane ce que je fais quand je viens là.
Moi : t’es venu avec beaucoup de meufs ici ?
Ousmane : beaucoup non. Pour le moment deux ont accepté de rentrer avec moi dedans.
Moi : elles sont cool tes collègues.
Ousmane : les journées sont longues. Faut se détendre et ça fait passer le temps et c’est plutôt agréable. Aller rentre avec moi, tu vas voir qu’on est bien dedans.
Moi : j’ai juré que t’es un ouf. J’ai un gars je t’ai dit Ousmane.
Ousmane : il n’est pas là, et il ne saura jamais sauf si tu lui dis.
Moi : je ne peux pas rester trop longtemps en pause. Je dois y retourner.
Ousmane : aller Lila, viens 5 minutes. Je te montre comment ils les ont mis bien les syndicats.
Je savais bien qui voulait plus que me montrer l’intérieur. Je savais aussi que je lui avais taper dans l’œil, mais je ne pensais pas avoir laissée des signaux pour qui prenne la confiance comme ça et me propose de m’emmener aux chiottes comme ça peut arriver quand on va en boîte de nuit et qu’on a un échange de regard avec un mec.
J’accepte de rentrer mais lui précise que je regarde vite fait et que je retourne à mon poste, il me répond ok. On rentre. C’est vrai qu’elles sont bien et surtout spacieuse. On se croirait dans des toilettes handicapées, pourtant il n’y a pas le logo pour montrer que sont des toilettes handicapées. La direction les a mis vraiment bien. Rien avoir avec nos toilettes aux rez-de-chaussée. Et selon ce que me dis Ousmane, les leurs aussi n’ont rien avoir avec celle-ci. Pour moi c’est une forme d’injustice cette différence de confort. J’aurais compris si c’est la direction, depuis toujours les patrons et responsables ont des conditions de travail plus agréable. Mais les organisations syndicales ? Qui sont sensée défendre les plus faibles, ils doivent vivres comme le peuple pour défendre le peuple.
Je n’irai pas dire que je suis émerveillé hein, mais on les a mis vraiment bien.
Pendant que je regarde je sens quelques choses. Ousmane c’est collé à moi, je sens son souffle sur mon cou et surtout son sexe contre mes fesses, il a une érection.
Moi : tu fais quoi là ?
Ousmane : bah je te montre ce que je fais quand je viens ici.
Moi : Ousmane je t’ai dit que j’ai un copain.
Ousmane : je ne suis pas jaloux.
Moi : tu m’as prise pour qui ?
Ousmane : ta tenue m’excite, je kif vos uniformes et ça te fais de super forme.
Moi : mm arrête Ousmane.
Je lui disais d’arrêter mais je ne me débattais pas, j’ai même émis un gémissement. J’avoue que j’étais excité par la situation.
Nos tenues professionnelles n’ont rien de sexy je trouve, après c’est vrai qu’elles sont un peu moulantes. C’est soit pantalon ou jupes noir, une chemise blanche et une veste de la même couleur que le pantalon.
Il se frottait à mes fesses. Je sentais bien sa barre chocolatée, j’avoue que j’avais envie de la dévorer mais quelque chose me retenait. Je ne voulais pas passer pour une fille trop facile. A l’époque sa m’importait l’image que je donner aux gens. En même temps qui me frotte le cul, il avait monté ses mains sur mes seins et il les empoigner. Il me faisait des bisous dans le cou. Malgré que je disais non, mon corps disait oui. J’ai commencé à remuer mon boule.
Ousmane : vas-y on rentre dans une cabine, on sera encore plus au calme.
Moi : mmm je dois y retourner.
Ousmane : je peux aller vite. Un corps comme le tien ça rend fou.
Moi : je suis grosse.
Ousmane : non t’as un beau corps. Je kif les femmes qui ont des formes. Surtout les beurettes.
Moi : je ne suis pas une beurette, je ne vais pas à la chicha.
Ousmane : mais est-ce que t’es une salope ?
Moi : je peux l’être avec mon mec.
Ousmane : je ne suis pas ton mec Lila mais tu vas l’être avec moi.
Et là il me prend le bras et me tire dans une cabine. Je lui dis non mais en rigolant.
A l’époque on qualifiait de beurette surtout les meufs d’origines maghrébine qui allait souvent à la chicha ou comme moi fréquentait des noirs. Je n’aime pas qu’on m’appelle comme ça, pour moi il y a une connotation raciale voir raciste.
Bref, on est dans une cabine, il a fermé la porte. Ce n’est pas très glamour de faire des bailles dans des toilettes même si elles sont propres et spacieuses. Mais on ne va pas se mentir, ce qu’on faisait est mal et sale, alors c’était peut-être l’endroit adéquate ? Et c’était excitant. Il y avait la peur de se faire prendre même si le risque était minime. Enfin pas tant que ça. Ousmane ne devait pas être le seul à savoir que c’est un endroit plutôt désert. Alors si d’autres couples ou quelqu’un qui veut lâcher des cakes sans avoir peur que l’odeur se sente, viendrait probablement ici.
On a des consignes claires à l’accueil. On doit être deux le maximum de temps possible, et les pauses ne pas excéder 10 minutes, une le matin, une le soir. Et à la pause déjeuner chacun son tour. Là j’avais clairement dépassé les 10 minutes. Je devais vraiment y retourner. Mais Ousmane a su me donner envie. En plus d’enfreindre les consignes professionnelles je trompais Bakary, mon gars. Je ne l’avais jamais trompé. Quand j’étais en couple je n’avais jamais trompé. Déjà fréquenté deux gars à la fois mais ont été en mode flirt. Mais en couple jamais, enfin jamais avant ce jour-là.
Ce jour-là, ma tenue était jupe, en-dessous j’avais des collants et un string. Quand on est dans la cabine il me retourne encore pour que je lui donne mon dos. Ma gueule ne lui plaît pas ? Je pense plutôt que c’est mon cul qui le fait grave kifer.
Il me frotte mais très vite c’est main qui était sur mes seins descendent et me touche mes cuisses graisseuses. Il soulève ma jupe et la remonte sur ma taille. J’arrête de lui demander d’arrêter. J’ai mi mes mains sur la porte pour me tenir. Il me caresse les fesses, ensuite il s’accroupit et me lèche les fesses à travers le collant. Il me retouche les cuisses et alterne avec mes fesses. Je gémis.
Ousmane : tu as un collant de rechange ?
Moi : hann mm oui dans mon sac. Pourquoi ? Il est filet ?
Ousmane : je vais te l’arracher.
Moi : non t’es un ouf Ousmane arrête.
Ousmane : ta gueule salope. J’en suis que t’es une bonne chienne. Je vais te baiser.
Moi : han oui mais ne déchire pas mon collant, comment je vais expliquer à ma collègue que je revienne sans collant ?
Ousmane : je m’en bats les couilles.
Beaucoup moins gentil le Ousmane. Je ne voulais vraiment pas qui déchire mon collant. J’en ai toujours en rechange car ça peut arriver qui se file. Mais là j’avais bougé sans mon sac. Du coup sa aurait été gênant. Il faisait froid pour se déplacer les jambes nues.
Malgré mes protestations, il en n’a vraiment rien eu à foutre. Il a tiré violemment mon collant qui s’est déchiré. Ça se voit qui maîtrisait son geste et avait l’habitude dans déchirer. J’étais énervé mais encore plus excité par sa férocité, alors je ne me suis pas énervé au point de tout arrêter.
Lui il était habillé en pantalon pince et un pull col rouler. Je l’entends enlever sa ceinture et se défroquer.
Moi : tu as une capote ?
Ousmane : j’en ai toujours sur moi. On ne sait jamais si on tombe sur une salope mal baiser dans cet immeuble.
Moi : moi je suis bien baiser.
Ousmane : tu dis ça parce que tu n’as pas encore connu la mienne.
Moi : ah ouais ? Montre-moi ça.
Ousmane : suce-moi avant.
Moi : je n’ai pas le temps.
Et là il me retourne pour que je lui fasse face. Il pause sa main sur mon crâne et il appuie pour me faire baisser. J’ai compris ce qui voulait. Même si je n’avais pas le temps et que je voulais qui me baise, je me suis accroupi. Ce n’est pas si facile de s’accroupir avec des talons et ton collant déchirer, mais je n’ai pas perdu l’équilibre.
J’avais senti la bête, là je la vois. Bien foncé, bien grosse, pas trop longue. Je la prends en main et met un coup de langue sur le gland, ensuite je la gobe et commence à faire des allers retour dessus. Lui il a toujours la main sur mon crâne, sans me tenir fort et m’enfoncer son sexe au fond de ma gorge, il accompagne les mouvements de ma tête.
Moi : slurp mmm slurp
Ousmane : ahh putain tu sais ça bien rmmm j’en étais sûr que tu étais une bonne suceuse.
Moi : mmm slurp ah ouais et pourquoi tu étais sur ? Slurp mm slurp
Ousmane : ça se voit que t’as une bonne tête de chienne et bouche de suceuse, là avec ton rouge à lèvre.
Moi : mmm slurp on doit être apprêter pour vous accueillir. Slurp mais là c’est un extra.
Ousmane : raaa salope tu m’excites de fou. Vas-y lève-toi, je vais te baiser.
J’aimais bien avoir sa bite en bouche mais je voulais aussi qui me baise.
Il sort une capote et l’enfile. Je lui dis de ne pas se retenir, qui faut vraiment que je retourne à mon poste.
Je me retourne à nouveau. C’était la première fois que le premier report sexuel avec un mec se fait en levrette pour moi. J’avais déjà eu le premier rapport avec un mec dans une voiture, malgré l’inconfort il était monté sur moi. Là il aurait pu s’assoir sur la cuvette et moi le chevaucher, mais il a choisi cette position. Vu l’endroit je pense qu’elle est adéquate. Mais j’étais un peu gêné de faire une première en levrette. Je n’étais pas farouche ni une fille difficile mais j’avais quand même quelques aprioris dans les débuts de relation.
Je me cambre en tenant la porte. J’avais poussé mon string sur le côté, et mon collant était déchiré mais je ne l’avais pas enlevé.
Sans me toucher il me la met. C’était le bon vieux temps où je mouillais facilement. Maintenant si je vivais la même situation j’aurais probablement besoin de préparation avant pénétration.
Il se loge bien au fond. Il reste immobile. J’essaye de me vider la tête, je sais que ce que je fais est mal mais vu que je le fais autant prendre du plaisir. Lui ça se voyait qui vouait savourer d’être au fond de moi et là vu de mon cul lui plaisait, en plus avec le string décalé je sais que ça les rend fous. Moi j’ai envie d’être baiser fort alors je lui de me défoncer la chatte.
Ousmane : je savais que t’étais une salope. Tiens. Rmmm raaa
Moi : aillan mm an aille ann
Il sortait de moi et re-rentrer en donnant des gros coups de reins. Mon cul claquait fort. En même temps il me caresse les fesses.
Je commence à remuer mon cul. Il kif de ouf.
Ousmane : raa putain, comment tu bouges. T’as 20 ans tu m’as dit ?
Moi : hannn mmm ouais.
Ousmane : arrête de chuchoter, personne ne va nous entendre ici.
Moi : mmm on ne sait jamais quelqu’un rentre.
Ousmane : bah s’il rentre il entendra ça raaaaaaa
Et là il me rafale. Il a bien agrippé mes fesses. Sa claquait super fort. Je ne pouvais plus remuer mon cul, il me défonçait trop fort. Mais mains glisser du mur, j’avais peur qu’un de mes talons casse sous la pression de mon poids.
Là je ne retenais plus mes gémissements.
Moi : hannn mmm oui hann putainn hannn mmm
Ousmane : raaa putain je vais jouir haaaaa
Moi : hannn oui oh oui baise moi Ousmane hannn
Ousmane : raaaaa salope haaaaaaaaaa
Il a accéléré ses coups de reins. Je sentais tout mon corps secouer par la puissance de ses coups de rein.
Dans une grosse rafale j’ai senti malgré la capote son sexe se vider en moi. Ça me procure toujours des frissons quand le mec joui.
Une fois fini, il retire sa capote et la jette dans les toilettes. Je lui dis de sortir et me biper si je peux sortir sans êtes vu. Il me dit qui faut d’abord qui pisse, que tout de suite après jouir il a envie et besoin de pisser. Je ne veux pas voir ça alors je suis sortie en premier de la cabine, j’ai quitté les toilettes pour aller à celles des femmes. Leur toilette a eux aussi est luxueuse. Ils sont vraiment bien au 1er étage.
Je me débarrasse de mon collant déchiré et fais un brin de toilette.
Quand je sors, Ousmane m’attendait, je lui ai dit qu’il aurait dû partir.
On se dit qu’on s’appelle et chacun retourne à son poste.
Ma collègue m’a demandé pourquoi j’ai tant tardé et pourquoi j’ai les jambes nues ? Je lui ai dit que j’ai un eu un incident aux toilettes. Je récupère mon collant de rechange qui été dans mon sac et vais le mettre. J’avais peur que ma collègue est cramé, qu’elle sente une odeur qui pourrait indiquer qu’il y a eu un coït. Elle n’a rien remarqué, en tout cas elle ne m’a rien dit.
J’ai commencé à voir de temps en temps Ousmane au 1er étage et même ailleurs. Une fois dans les escaliers qui normalement doivent être pris qu’en cas d’incendie ou exercice d’évacuation, mais surtout on l’a fait une fois dans les toilettes de son étage. On voulait mettre du piment, ressentir un grand frisson, jouer avec le feu. Ça été trop excitant cette prise de risque. J’avais trop peur qu’on soit cramé mais on ne l’a pas été. Par contre les toilettes de son étage rien avoir avec ceux du premier, tout étroit.
J’ai toujours refusé de le voir en dehors du boulot, j’avais moins l’impression de ne pas tromper Bakary si je ne faisais rien en-dehors dj taf. Ce sont des conneries mais à l’époque j’ai réussi à me convaincre que ce n’était pas mal si je le faisais qu’au taf.
Je me suis un peu égaré, c’est de mon histoire avec Nabil que je veux raconter.
La fin de mon contrat approchait. J’avais refusé de prolonger car je voulais profiter du système en touchant le chômage. Depuis que j’ai 3 ans j’ai été à l’école ou au boulot, je voulais glander un peu.
J’avais dit à Nabil que mon contrat finissait. Il revient à la charge pour qu’on se mette ensemble. Il me l’avait déjà demandé mais j’avais refusé, je lui avais sorti l’excuse que je ne fais pas confiance aux mecs. Ce qui est vrai, mais ce que je n’ai pas dit c’est que malgré tout je les fréquente et même plus, je baise avec, enfin s’ils sont noirs et que le feeling passe.
Il m’avait parlé un peu de lui. Il m’avait dit qu’il était avec une meuf, une femme d’origine portugaise mais qu’il a arrêté avec à la mort de son oncle, paix à son âme. Son oncle est mort dans un accident de voiture, il était marié à une Française. Il aurait dit aux siens qu’il voulait être enterré au bled, mais une fois mort, sa femme a refusé le rapatriement du corps, elle voulait qui soit enterré près d’elle et leurs enfants, je ne lui jette pas la pierre, je peux comprendre. Du coup Nabil c’est dit qui vaut mieux se marier à quelqu’un de la même origine, même culture. Que c’est bien beau l’amour mais que ça ne résiste pas à tout. Que les mariages mixtes ça marche que si un des deux ou les deux renoncent à leurs cultures d’origine. Chaque histoire est différente, j’en suis qu’on peut trouver pleins d’histoires qui lui donne tort, mais je trouvais ses arguments pertinents.
Même si je suis clairement occidentalisé, je n’ai pas renié mon pays ni ma culture d’origine. Je mettais déjà pose la question comment ce passerait si je me mariais avec un noir ? Déjà que j’avais peur d’affronter ma famille, alors après les conversations avec Nabil c’était encore pire.
Bref il est revenu à la charge avant mon départ, et là il me parle de venir me khtob, qui faut se marier jeune si on veut éviter le Haram. Le haram je baignais en pleins dedans mais ça il ne le savait pas.
Du coup j’ai réfléchi, et je me suis dit que je ne me marierai pas avec un renoi, que j’ai assez profiter, que même si je suis jeune faut que je me mari. Alors j’ai rompu avec Bakary et j’ai dit oui à Nabil. Il est venu demander ma main et quelques mois après on se mariait à la mairie et même jour le Halal. On a fait aussi une fête dans une salle le soir.
J’avais coupé les ponts avec tous les renois que je fricotais, que soit en réel ou virtuel, je voulais vraiment être dans le hlel avec mon mari.
Je mettais fait recoudre 2 mois avant le mariage. Il ne savait pas que je n’étais pas vierge.
Après la fête, à notre nuit de noce j’appréhendais grave. J’avais peur que le chirurgien ai fait du mauvais boulot et qui crame que je ne suis pas vierge. J’avais peur aussi d’être trop doué et qui doute que je suis une novice. Je n’avais pas eu de rapport sexuel depuis que je lui avais dit oui, mais je me disais que le sexe c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas. Du coup j’étais stressé comme une vraie pucelle.
Je redoutais aussi de ne pas avoir de désir pour lui. Je n’avais jamais rien fait avec d’homme de mon origine. Les mois avant le mariage je mettais rapprocher de lui, je l’appréciais mais je ne ressentais pas d’étincelle comme quand j’étais avec Bakary ou même Ousmane. Je me rassurais en me disant que beaucoup de la génération de nos parents se sont marié sans s’aimer ni ce connaître, ça ne les a pas empêchés de faire des équipes de foot.
Malgré toutes mes appréhensions, la nuit de noce c’est plutôt bien passé. J’ai saigné encore plus que quand j’ai perdu ma virginité. J’ai eu l’impression que Nabil n’a vu que du feu, n’a pas cramé que c’était un hymen reconstruit. Je me rappel mettre forcer à ne pas bouger pour faire l’inculte du sexe.
Nabil a repris le boulot une semaine après le mariage, on n’était pas parti en voyage de noce. On avait prévu de partir un peu plus tard.
Moi j’étais au chômage, j’avais le droit à encore quelques mois, alors je n’étais pas pressée de reprendre le boulot.
10 jours après le mariage, je suis toute seule à la maison, Nabil est au boulot. J’ai emménagé dans son appartement, il avait un deux pièces.
On sonne à la porte. Je regarde à travers l’œil de bœuf. Je me demande mais qu’est-ce qui fait la ?
Je déteste l’expression beurette à khel, mais si beaucoup des miens savaient par quel genre de mec je suis attiré, il n’hésiterait pas à me nommer comme tel.
Je ne serais comment l’expliquer mais depuis mon adolescence je suis attirée que par les noirs. Tout naturellement mes premières amourettes sa été avec des hommes noirs. Je n’ai jamais pu l’assumer auprès de mes proches. Déjà sortir avec un garçon avant le mariage, alors en plus un homme qui n’est pas maghrébins, j’aurais pris double punition, enfin je crois. Pour être honnête, je n’ai jamais eu d’interdiction de fréquenter un certain type d’homme. Juste des injonctions de ma mère de garder ma virginité pour le mariage. Mais je présageais que si je ramenais un noir, bah je serais rejeté par ma famille.
A oui, je ne me suis pas présentée, moi c’est Lila, j’ai maintenant dans la trentaine. J’ai grandi en région parisienne, d’origine d’un pays du Maghreb. Je ne suis pas ronde mais j’ai des kilos en trop, surtout au niveau des cuisses et les hanches, je n’ai pas un très gros cul et il a toujours été un peu flasque. Souvent je me dis que je vais faire un programme pour le muscler, mais la flemme l’emporte toujours sur mes bonnes résolutions.
A 22 ans je me suis marié avec Nabil, il est de la même origine que moi, il a 5 ans de plus que moi. Ce n’était ni un mariage forcé ni arrangé. Alors pourquoi je me suis marié si jeune avec un homme qui n’est pas mon style vu que depuis que les hommes m’attire je l’ai été juste par des hommes noirs ? A 20 ans j’étais intérimaire comme hôtesse d’accueil dans une entreprise publique. Nabil lui y travaillait aussi mais comme responsable incendie.
Très rapidement après mon arrivé j’ai vu que je lui plaisais. Mais j’étais plus attiré par un mec qui bossait dans la tour et me faisait des sourires appuyer quand il me voyait à l’accueil, un renoi. En plus à l’époque j’étais en couple avec Bakary, un renoi de 24 ans. Ça faisait 4 mois qu’on sortait ensemble.
Un soir en rentrant chez moi du boulot, sur le quai du métro je croise le renoi qui me fait des sourires quand on se croise à l’accueil. Il entame la discussion avec moi. On laisse passer quelques métros. On fait un peu connaissance. Il s’appelle Ousmane, 28 ans. Il n’est pas trop baraqué mais il a des épaules larges. Un peu foncé de peau. Si j’étais célibataire c’est le genre de gars à qui je donnerais mon numéro de téléphone et si le feeling passe bien, mon corps. Je ne suis plus vierge depuis 17 ans. Je lui ai dit que j’avais un mec. Il m’a demandé l’origine de mon mec, quand je lui ai dit il a souri et montrer toutes ses dents pas très blanches. Il a dû se dire une reubeue qui kif les renois.
Quelques jours après j’ai un appel sur le standard. On voit si c’est un appel local ou de l’extérieur, là c’était un appel local. Je décroche, je me présente de manière professionnelle. C’était Ousmane, c’est la première fois qui l’appel, normalement se sont des responsables qui nous appel, car au standard on est en charge de réserver les salles de réunions et diverses tache lié à la gestion de l’immeuble. Il me propose de prendre une pause ensemble. J’accepte.
Je n’ai pas dit à ma collègue que j’allais prendre une pause avec un mec qui bosse dans l’immeuble. Elle sait que j’ai un petit copain, je n’ai pas envie qu’elle me juge, déjà quand je lui ai dit que je sortais avec un renoi, elle a fait une tête surprise. Elle aussi c’était une magrébine, mais déjà marié et des enfants.
Il m’avait dit de monter au 1er étage, avec notre badge on peut aller presque partout.
L’étage est presque inoccupé, en fait à cet étage il y a les bureaux des différentes organisations syndicales. Il y a rarement du monde, probablement qu’ils sont trop occupés à se battre pour obtenir des augmentations de salaire, ou que la direction arrête d’abuser du statut intérimaire et embauche les gens pour qui soit titulaire.
On va dans une salle de pause, il y avait que nous deux. Je lui dis.
Moi : on ne veut pas être vu avec le petit personnel.
Ousmane : non du tout. Je voulais juste on parle au calme.
Moi : ok. Et à chaque fois que tu veux parler au calme tu viens ici ?
Ousmane : je viens à cet étage, mais pas ici.
Moi : ou ça ?
Ousmane : si tu veux je te montre.
Moi : vas-y.
On se lèvent, on quitte la salle de pause. Je le suis. On marche à peine une minute et on s’arrête devant la porte des toilettes et il me dit que c’est là. Je me mets à rire.
Il me dit qu’ici on est vraiment au calme et que c’est très spacieux par rapports aux toilettes des autres étages. C’est bizarre quand même que les toilettes classes et spacieuse sont celles des organisations syndicales, une forme de peau de vin ?
Je continue à rire, il y a un peu de nervosité et de gêne dans mon rire.
Ousmane : tu veux rentrer ?
Moi : pour faire quoi ?
Ousmane ce que je fais quand je viens là.
Moi : t’es venu avec beaucoup de meufs ici ?
Ousmane : beaucoup non. Pour le moment deux ont accepté de rentrer avec moi dedans.
Moi : elles sont cool tes collègues.
Ousmane : les journées sont longues. Faut se détendre et ça fait passer le temps et c’est plutôt agréable. Aller rentre avec moi, tu vas voir qu’on est bien dedans.
Moi : j’ai juré que t’es un ouf. J’ai un gars je t’ai dit Ousmane.
Ousmane : il n’est pas là, et il ne saura jamais sauf si tu lui dis.
Moi : je ne peux pas rester trop longtemps en pause. Je dois y retourner.
Ousmane : aller Lila, viens 5 minutes. Je te montre comment ils les ont mis bien les syndicats.
Je savais bien qui voulait plus que me montrer l’intérieur. Je savais aussi que je lui avais taper dans l’œil, mais je ne pensais pas avoir laissée des signaux pour qui prenne la confiance comme ça et me propose de m’emmener aux chiottes comme ça peut arriver quand on va en boîte de nuit et qu’on a un échange de regard avec un mec.
J’accepte de rentrer mais lui précise que je regarde vite fait et que je retourne à mon poste, il me répond ok. On rentre. C’est vrai qu’elles sont bien et surtout spacieuse. On se croirait dans des toilettes handicapées, pourtant il n’y a pas le logo pour montrer que sont des toilettes handicapées. La direction les a mis vraiment bien. Rien avoir avec nos toilettes aux rez-de-chaussée. Et selon ce que me dis Ousmane, les leurs aussi n’ont rien avoir avec celle-ci. Pour moi c’est une forme d’injustice cette différence de confort. J’aurais compris si c’est la direction, depuis toujours les patrons et responsables ont des conditions de travail plus agréable. Mais les organisations syndicales ? Qui sont sensée défendre les plus faibles, ils doivent vivres comme le peuple pour défendre le peuple.
Je n’irai pas dire que je suis émerveillé hein, mais on les a mis vraiment bien.
Pendant que je regarde je sens quelques choses. Ousmane c’est collé à moi, je sens son souffle sur mon cou et surtout son sexe contre mes fesses, il a une érection.
Moi : tu fais quoi là ?
Ousmane : bah je te montre ce que je fais quand je viens ici.
Moi : Ousmane je t’ai dit que j’ai un copain.
Ousmane : je ne suis pas jaloux.
Moi : tu m’as prise pour qui ?
Ousmane : ta tenue m’excite, je kif vos uniformes et ça te fais de super forme.
Moi : mm arrête Ousmane.
Je lui disais d’arrêter mais je ne me débattais pas, j’ai même émis un gémissement. J’avoue que j’étais excité par la situation.
Nos tenues professionnelles n’ont rien de sexy je trouve, après c’est vrai qu’elles sont un peu moulantes. C’est soit pantalon ou jupes noir, une chemise blanche et une veste de la même couleur que le pantalon.
Il se frottait à mes fesses. Je sentais bien sa barre chocolatée, j’avoue que j’avais envie de la dévorer mais quelque chose me retenait. Je ne voulais pas passer pour une fille trop facile. A l’époque sa m’importait l’image que je donner aux gens. En même temps qui me frotte le cul, il avait monté ses mains sur mes seins et il les empoigner. Il me faisait des bisous dans le cou. Malgré que je disais non, mon corps disait oui. J’ai commencé à remuer mon boule.
Ousmane : vas-y on rentre dans une cabine, on sera encore plus au calme.
Moi : mmm je dois y retourner.
Ousmane : je peux aller vite. Un corps comme le tien ça rend fou.
Moi : je suis grosse.
Ousmane : non t’as un beau corps. Je kif les femmes qui ont des formes. Surtout les beurettes.
Moi : je ne suis pas une beurette, je ne vais pas à la chicha.
Ousmane : mais est-ce que t’es une salope ?
Moi : je peux l’être avec mon mec.
Ousmane : je ne suis pas ton mec Lila mais tu vas l’être avec moi.
Et là il me prend le bras et me tire dans une cabine. Je lui dis non mais en rigolant.
A l’époque on qualifiait de beurette surtout les meufs d’origines maghrébine qui allait souvent à la chicha ou comme moi fréquentait des noirs. Je n’aime pas qu’on m’appelle comme ça, pour moi il y a une connotation raciale voir raciste.
Bref, on est dans une cabine, il a fermé la porte. Ce n’est pas très glamour de faire des bailles dans des toilettes même si elles sont propres et spacieuses. Mais on ne va pas se mentir, ce qu’on faisait est mal et sale, alors c’était peut-être l’endroit adéquate ? Et c’était excitant. Il y avait la peur de se faire prendre même si le risque était minime. Enfin pas tant que ça. Ousmane ne devait pas être le seul à savoir que c’est un endroit plutôt désert. Alors si d’autres couples ou quelqu’un qui veut lâcher des cakes sans avoir peur que l’odeur se sente, viendrait probablement ici.
On a des consignes claires à l’accueil. On doit être deux le maximum de temps possible, et les pauses ne pas excéder 10 minutes, une le matin, une le soir. Et à la pause déjeuner chacun son tour. Là j’avais clairement dépassé les 10 minutes. Je devais vraiment y retourner. Mais Ousmane a su me donner envie. En plus d’enfreindre les consignes professionnelles je trompais Bakary, mon gars. Je ne l’avais jamais trompé. Quand j’étais en couple je n’avais jamais trompé. Déjà fréquenté deux gars à la fois mais ont été en mode flirt. Mais en couple jamais, enfin jamais avant ce jour-là.
Ce jour-là, ma tenue était jupe, en-dessous j’avais des collants et un string. Quand on est dans la cabine il me retourne encore pour que je lui donne mon dos. Ma gueule ne lui plaît pas ? Je pense plutôt que c’est mon cul qui le fait grave kifer.
Il me frotte mais très vite c’est main qui était sur mes seins descendent et me touche mes cuisses graisseuses. Il soulève ma jupe et la remonte sur ma taille. J’arrête de lui demander d’arrêter. J’ai mi mes mains sur la porte pour me tenir. Il me caresse les fesses, ensuite il s’accroupit et me lèche les fesses à travers le collant. Il me retouche les cuisses et alterne avec mes fesses. Je gémis.
Ousmane : tu as un collant de rechange ?
Moi : hann mm oui dans mon sac. Pourquoi ? Il est filet ?
Ousmane : je vais te l’arracher.
Moi : non t’es un ouf Ousmane arrête.
Ousmane : ta gueule salope. J’en suis que t’es une bonne chienne. Je vais te baiser.
Moi : han oui mais ne déchire pas mon collant, comment je vais expliquer à ma collègue que je revienne sans collant ?
Ousmane : je m’en bats les couilles.
Beaucoup moins gentil le Ousmane. Je ne voulais vraiment pas qui déchire mon collant. J’en ai toujours en rechange car ça peut arriver qui se file. Mais là j’avais bougé sans mon sac. Du coup sa aurait été gênant. Il faisait froid pour se déplacer les jambes nues.
Malgré mes protestations, il en n’a vraiment rien eu à foutre. Il a tiré violemment mon collant qui s’est déchiré. Ça se voit qui maîtrisait son geste et avait l’habitude dans déchirer. J’étais énervé mais encore plus excité par sa férocité, alors je ne me suis pas énervé au point de tout arrêter.
Lui il était habillé en pantalon pince et un pull col rouler. Je l’entends enlever sa ceinture et se défroquer.
Moi : tu as une capote ?
Ousmane : j’en ai toujours sur moi. On ne sait jamais si on tombe sur une salope mal baiser dans cet immeuble.
Moi : moi je suis bien baiser.
Ousmane : tu dis ça parce que tu n’as pas encore connu la mienne.
Moi : ah ouais ? Montre-moi ça.
Ousmane : suce-moi avant.
Moi : je n’ai pas le temps.
Et là il me retourne pour que je lui fasse face. Il pause sa main sur mon crâne et il appuie pour me faire baisser. J’ai compris ce qui voulait. Même si je n’avais pas le temps et que je voulais qui me baise, je me suis accroupi. Ce n’est pas si facile de s’accroupir avec des talons et ton collant déchirer, mais je n’ai pas perdu l’équilibre.
J’avais senti la bête, là je la vois. Bien foncé, bien grosse, pas trop longue. Je la prends en main et met un coup de langue sur le gland, ensuite je la gobe et commence à faire des allers retour dessus. Lui il a toujours la main sur mon crâne, sans me tenir fort et m’enfoncer son sexe au fond de ma gorge, il accompagne les mouvements de ma tête.
Moi : slurp mmm slurp
Ousmane : ahh putain tu sais ça bien rmmm j’en étais sûr que tu étais une bonne suceuse.
Moi : mmm slurp ah ouais et pourquoi tu étais sur ? Slurp mm slurp
Ousmane : ça se voit que t’as une bonne tête de chienne et bouche de suceuse, là avec ton rouge à lèvre.
Moi : mmm slurp on doit être apprêter pour vous accueillir. Slurp mais là c’est un extra.
Ousmane : raaa salope tu m’excites de fou. Vas-y lève-toi, je vais te baiser.
J’aimais bien avoir sa bite en bouche mais je voulais aussi qui me baise.
Il sort une capote et l’enfile. Je lui dis de ne pas se retenir, qui faut vraiment que je retourne à mon poste.
Je me retourne à nouveau. C’était la première fois que le premier report sexuel avec un mec se fait en levrette pour moi. J’avais déjà eu le premier rapport avec un mec dans une voiture, malgré l’inconfort il était monté sur moi. Là il aurait pu s’assoir sur la cuvette et moi le chevaucher, mais il a choisi cette position. Vu l’endroit je pense qu’elle est adéquate. Mais j’étais un peu gêné de faire une première en levrette. Je n’étais pas farouche ni une fille difficile mais j’avais quand même quelques aprioris dans les débuts de relation.
Je me cambre en tenant la porte. J’avais poussé mon string sur le côté, et mon collant était déchiré mais je ne l’avais pas enlevé.
Sans me toucher il me la met. C’était le bon vieux temps où je mouillais facilement. Maintenant si je vivais la même situation j’aurais probablement besoin de préparation avant pénétration.
Il se loge bien au fond. Il reste immobile. J’essaye de me vider la tête, je sais que ce que je fais est mal mais vu que je le fais autant prendre du plaisir. Lui ça se voyait qui vouait savourer d’être au fond de moi et là vu de mon cul lui plaisait, en plus avec le string décalé je sais que ça les rend fous. Moi j’ai envie d’être baiser fort alors je lui de me défoncer la chatte.
Ousmane : je savais que t’étais une salope. Tiens. Rmmm raaa
Moi : aillan mm an aille ann
Il sortait de moi et re-rentrer en donnant des gros coups de reins. Mon cul claquait fort. En même temps il me caresse les fesses.
Je commence à remuer mon cul. Il kif de ouf.
Ousmane : raa putain, comment tu bouges. T’as 20 ans tu m’as dit ?
Moi : hannn mmm ouais.
Ousmane : arrête de chuchoter, personne ne va nous entendre ici.
Moi : mmm on ne sait jamais quelqu’un rentre.
Ousmane : bah s’il rentre il entendra ça raaaaaaa
Et là il me rafale. Il a bien agrippé mes fesses. Sa claquait super fort. Je ne pouvais plus remuer mon cul, il me défonçait trop fort. Mais mains glisser du mur, j’avais peur qu’un de mes talons casse sous la pression de mon poids.
Là je ne retenais plus mes gémissements.
Moi : hannn mmm oui hann putainn hannn mmm
Ousmane : raaa putain je vais jouir haaaaa
Moi : hannn oui oh oui baise moi Ousmane hannn
Ousmane : raaaaa salope haaaaaaaaaa
Il a accéléré ses coups de reins. Je sentais tout mon corps secouer par la puissance de ses coups de rein.
Dans une grosse rafale j’ai senti malgré la capote son sexe se vider en moi. Ça me procure toujours des frissons quand le mec joui.
Une fois fini, il retire sa capote et la jette dans les toilettes. Je lui dis de sortir et me biper si je peux sortir sans êtes vu. Il me dit qui faut d’abord qui pisse, que tout de suite après jouir il a envie et besoin de pisser. Je ne veux pas voir ça alors je suis sortie en premier de la cabine, j’ai quitté les toilettes pour aller à celles des femmes. Leur toilette a eux aussi est luxueuse. Ils sont vraiment bien au 1er étage.
Je me débarrasse de mon collant déchiré et fais un brin de toilette.
Quand je sors, Ousmane m’attendait, je lui ai dit qu’il aurait dû partir.
On se dit qu’on s’appelle et chacun retourne à son poste.
Ma collègue m’a demandé pourquoi j’ai tant tardé et pourquoi j’ai les jambes nues ? Je lui ai dit que j’ai un eu un incident aux toilettes. Je récupère mon collant de rechange qui été dans mon sac et vais le mettre. J’avais peur que ma collègue est cramé, qu’elle sente une odeur qui pourrait indiquer qu’il y a eu un coït. Elle n’a rien remarqué, en tout cas elle ne m’a rien dit.
J’ai commencé à voir de temps en temps Ousmane au 1er étage et même ailleurs. Une fois dans les escaliers qui normalement doivent être pris qu’en cas d’incendie ou exercice d’évacuation, mais surtout on l’a fait une fois dans les toilettes de son étage. On voulait mettre du piment, ressentir un grand frisson, jouer avec le feu. Ça été trop excitant cette prise de risque. J’avais trop peur qu’on soit cramé mais on ne l’a pas été. Par contre les toilettes de son étage rien avoir avec ceux du premier, tout étroit.
J’ai toujours refusé de le voir en dehors du boulot, j’avais moins l’impression de ne pas tromper Bakary si je ne faisais rien en-dehors dj taf. Ce sont des conneries mais à l’époque j’ai réussi à me convaincre que ce n’était pas mal si je le faisais qu’au taf.
Je me suis un peu égaré, c’est de mon histoire avec Nabil que je veux raconter.
La fin de mon contrat approchait. J’avais refusé de prolonger car je voulais profiter du système en touchant le chômage. Depuis que j’ai 3 ans j’ai été à l’école ou au boulot, je voulais glander un peu.
J’avais dit à Nabil que mon contrat finissait. Il revient à la charge pour qu’on se mette ensemble. Il me l’avait déjà demandé mais j’avais refusé, je lui avais sorti l’excuse que je ne fais pas confiance aux mecs. Ce qui est vrai, mais ce que je n’ai pas dit c’est que malgré tout je les fréquente et même plus, je baise avec, enfin s’ils sont noirs et que le feeling passe.
Il m’avait parlé un peu de lui. Il m’avait dit qu’il était avec une meuf, une femme d’origine portugaise mais qu’il a arrêté avec à la mort de son oncle, paix à son âme. Son oncle est mort dans un accident de voiture, il était marié à une Française. Il aurait dit aux siens qu’il voulait être enterré au bled, mais une fois mort, sa femme a refusé le rapatriement du corps, elle voulait qui soit enterré près d’elle et leurs enfants, je ne lui jette pas la pierre, je peux comprendre. Du coup Nabil c’est dit qui vaut mieux se marier à quelqu’un de la même origine, même culture. Que c’est bien beau l’amour mais que ça ne résiste pas à tout. Que les mariages mixtes ça marche que si un des deux ou les deux renoncent à leurs cultures d’origine. Chaque histoire est différente, j’en suis qu’on peut trouver pleins d’histoires qui lui donne tort, mais je trouvais ses arguments pertinents.
Même si je suis clairement occidentalisé, je n’ai pas renié mon pays ni ma culture d’origine. Je mettais déjà pose la question comment ce passerait si je me mariais avec un noir ? Déjà que j’avais peur d’affronter ma famille, alors après les conversations avec Nabil c’était encore pire.
Bref il est revenu à la charge avant mon départ, et là il me parle de venir me khtob, qui faut se marier jeune si on veut éviter le Haram. Le haram je baignais en pleins dedans mais ça il ne le savait pas.
Du coup j’ai réfléchi, et je me suis dit que je ne me marierai pas avec un renoi, que j’ai assez profiter, que même si je suis jeune faut que je me mari. Alors j’ai rompu avec Bakary et j’ai dit oui à Nabil. Il est venu demander ma main et quelques mois après on se mariait à la mairie et même jour le Halal. On a fait aussi une fête dans une salle le soir.
J’avais coupé les ponts avec tous les renois que je fricotais, que soit en réel ou virtuel, je voulais vraiment être dans le hlel avec mon mari.
Je mettais fait recoudre 2 mois avant le mariage. Il ne savait pas que je n’étais pas vierge.
Après la fête, à notre nuit de noce j’appréhendais grave. J’avais peur que le chirurgien ai fait du mauvais boulot et qui crame que je ne suis pas vierge. J’avais peur aussi d’être trop doué et qui doute que je suis une novice. Je n’avais pas eu de rapport sexuel depuis que je lui avais dit oui, mais je me disais que le sexe c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas. Du coup j’étais stressé comme une vraie pucelle.
Je redoutais aussi de ne pas avoir de désir pour lui. Je n’avais jamais rien fait avec d’homme de mon origine. Les mois avant le mariage je mettais rapprocher de lui, je l’appréciais mais je ne ressentais pas d’étincelle comme quand j’étais avec Bakary ou même Ousmane. Je me rassurais en me disant que beaucoup de la génération de nos parents se sont marié sans s’aimer ni ce connaître, ça ne les a pas empêchés de faire des équipes de foot.
Malgré toutes mes appréhensions, la nuit de noce c’est plutôt bien passé. J’ai saigné encore plus que quand j’ai perdu ma virginité. J’ai eu l’impression que Nabil n’a vu que du feu, n’a pas cramé que c’était un hymen reconstruit. Je me rappel mettre forcer à ne pas bouger pour faire l’inculte du sexe.
Nabil a repris le boulot une semaine après le mariage, on n’était pas parti en voyage de noce. On avait prévu de partir un peu plus tard.
Moi j’étais au chômage, j’avais le droit à encore quelques mois, alors je n’étais pas pressée de reprendre le boulot.
10 jours après le mariage, je suis toute seule à la maison, Nabil est au boulot. J’ai emménagé dans son appartement, il avait un deux pièces.
On sonne à la porte. Je regarde à travers l’œil de bœuf. Je me demande mais qu’est-ce qui fait la ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Hassan P
11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Les mecs gays qui commentent sous des profils de femmes 😂
J’aime beaucoup l’histoire impatient de lire la suite .
Quand je vois les commentaires c’est donc réel les femmes arabes vous aimez votre les amants noir, j’en est une marocaine fesses bien large maman célibataire magnifique on s’amuser trop bien mais je pensais que c’était un cas isolé pas que c’était plus répondu que je le penser
Quand je vois les commentaires c’est donc réel les femmes arabes vous aimez votre les amants noir, j’en est une marocaine fesses bien large maman célibataire magnifique on s’amuser trop bien mais je pensais que c’était un cas isolé pas que c’était plus répondu que je le penser
Ce genre d'histoire me fait grâve de l'effet. J'aime beaucoup comment tu détails les choses. C'est très excitants.
Franchement une histoire très excitante. Bien raconté et bien détaillée. Je kiff grâve.
Une belle histoire, surtout pour moi parce que je suis entrain de vivre la même histoire sauf que moi je suis mariée mère de trois enfants ( jumeaux+une)taille moyenne 1m65 ,70kg ,yeux marron,cheveux châtains, mes kilos en plus se concentrent dans mes fesses et les hanches, je suis une cadre dans une société internationale ici chez en Algérie, j'ai deux amants black ne se connaissent pas ,se sont les deux des africains ( un malien et un congolais) le premier c'est un ouvrier dans un chantier juste à côté de mon boulot et le deuxième il travaille dans une pizzeria ,j ai le droit à deux rencontres minimum au cours de la semaine , et le weekend réservé pour mon mari (mdr) et je vis ma vie le plus normalement du monde ,j ai oublié un détail les deux se sont plus jeune que moi (25,28 et moi 37 ans) ,je suis vraiment gâtée par leurs grosses mains ✋ et gros zob , j'ai précisé grosses mains parce que moi j'adore être prises comme une petite joué entre leur mains comme sa petite chienne au lit, surtout avec le malien, il a des grosses mains et musclé à cause de son travail au chantier,il me prend dans toutes les positions surtout en levrette ( baggouri ) car il adore mon gros cul de kahba et moi j'adore qu'il me prend comme ça je sens son zob qu'il va sortir de ma bouche
En ce qui concerne le congolais ,il travaille beaucoup,il se libère un après midi par semaine,je le rejoins à son studio ce lui là a passé ses études ici chez nous c'est pour ça il est bien installé , dès que je rentre au studio c'est lui le mètre et moi la soumise, je m habille en petite robe (jebba ) comme il préfère me voir toujours , une robe et rien au dessous, je passe directement à la cuisine pour préparer qlq chose thé ou café ou autre et lui se colle directement derrière moi ne me laisse pas préparer tranquillement,je sens son gros zob frotte mes fesses, des fois il tire le premier coup à la cuisine sur la table, on passe tout l après midi entrain de baiser, lui il adore me prendre par derrière je dors sur mon ventre et lui vient sur moi et comme il est grand de taille 1m88 ,105 kg , j adore lorsqu'il me prend comme ça, il me tire avec son gros zob et je ne peux pas bouger d un centimètre à cause de son poids sur moi,je serai au septième ciel avec ses va et vient de son engin dans ma chatte et tout ça sans me déshabiller il aime que je reste avec ma jebba
Je suis dans ce rythme plus de deux ans et je vais continuer comme ça jusqu'à l éternité et je ne peux pas s'abstenir de gros calibres ,,,,, j adore
En ce qui concerne le congolais ,il travaille beaucoup,il se libère un après midi par semaine,je le rejoins à son studio ce lui là a passé ses études ici chez nous c'est pour ça il est bien installé , dès que je rentre au studio c'est lui le mètre et moi la soumise, je m habille en petite robe (jebba ) comme il préfère me voir toujours , une robe et rien au dessous, je passe directement à la cuisine pour préparer qlq chose thé ou café ou autre et lui se colle directement derrière moi ne me laisse pas préparer tranquillement,je sens son gros zob frotte mes fesses, des fois il tire le premier coup à la cuisine sur la table, on passe tout l après midi entrain de baiser, lui il adore me prendre par derrière je dors sur mon ventre et lui vient sur moi et comme il est grand de taille 1m88 ,105 kg , j adore lorsqu'il me prend comme ça, il me tire avec son gros zob et je ne peux pas bouger d un centimètre à cause de son poids sur moi,je serai au septième ciel avec ses va et vient de son engin dans ma chatte et tout ça sans me déshabiller il aime que je reste avec ma jebba
Je suis dans ce rythme plus de deux ans et je vais continuer comme ça jusqu'à l éternité et je ne peux pas s'abstenir de gros calibres ,,,,, j adore
Je rêve de me marier avec une maghrébine et qu elle couche avec des renois devant mes yx ! 3la 3iniya comme on dit .
Si vous voulez la suite elle est disponible sur mon blog. Lila se tape pleins de renoi.
Excellente histoire, mesdames si vous cherchez une grosse queue noire et de la discrétion sur Paris ajoutez blackbull093 sur snap...
J'ai été avec une maghrébine mariée mais ils ont changé de région. J'aimerais en retrouver une à Avignon
manofmay@hotmail.com
manofmay@hotmail.com
Moi aussi la même chose mais moi j ai pas pu résister j'ai repris mes rencontres avec mes beaux black. Allah ghaleb comme on dit chez nous. (c'est plus fort que moi j'adore la bite noir)
Lila me fait penser à moi. J’espère qui aura une suite.