Imprévu à l'Ile Maurice....
Récit érotique écrit par Femmefemme [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Imprévu à l'Ile Maurice....
Imprévu….Lors de vacances à l’île Maurice, je découvre enfin les plaisirs du sexe…avec un vrai mâle !
Je suis Mélina, 29 ans, mariée depuis 6 ans avec Paul. Nous n’avons toujours pas d’enfants et partons chaque hiver pour une destination exotique au soleil. Cet hiver nous avions choisi 10 jours à l’Ile Maurice dans un très joli petit hôtel de luxe conseillé par des amis.
Malheureusement depuis plusieurs mois Paul me délaissait complètement. Toujours fier en public d’exhiber une belle femme sexy mais d’une froideur totale dans l’intimité. Son seul plaisir semble être de voir les hommes m’admirer et tourner autour de moi. Il me pousse toujours à porter des toilettes suggestives qui mettent en valeur mes formes, beaux seins ronds 95D, taille fine, croupe rebondie et appétissante, jambes longues et chevelure brune et bouclée.
Dès notre arrivée à l’Hôtel Exotica, j’avais remarqué les œillades appuyées et les sourires charmeurs de Pierre, le manager. Paul se régalait de le voir faire et l’a d’ailleurs invité à prendre un verre à notre table le deuxième soir. Assis en face de moi, Pierre me dévorait des yeux, le regard plongé dans mon décolleté vertigineux porté sans soutien gorge. A la demande de Paul je ne portais qu’un string de dentelle noire sous cette robe ultra légère et moulante. Une paire d’escarpins à très hauts talons venait compléter ma tenue et je sentais sur moi le regard de plusieurs hommes et spécialement celui de Pierre, homme mûr d’une cinquantaine d’années d’allure très virile avec ses cheveux coupés très courts, son regard bleu vif et ses larges épaules. Il nous apprit qu’il était veuf depuis 3 ans, toujours seul, quoique enclin à des aventures sexuelles d’un soir, et qu’il avait repris cet hôtel 2 ans auparavant pour commencer une nouvelle vie après ce lourd chagrin.
Paul lui expliqua longuement tous les sports nautiques qu’il souhaitait pratiquer lors de notre séjour et notamment qu’il avait réservé une sortie de 48 heures à la pêche au gros en haute mer pour le lendemain.
Je sentis à ce moment là que Pierre redoublait d’attention pour moi et il me proposa de ma joindre à sa table avec d’autres amis le lendemain soir puisque je serai seule sans Pierre. Je ne lui répondis pas par l’affirmative car, en dépit de la froideur de Paul à mon égard j’étais toujours très amoureuse de lui et aucunement intéressée par les autres hommes.
De retour dans notre chambre, Paul exultait : « tu as vu comme il t’a matée toute la soirée, ah il est chaud bouillant, tu l’excites à fond…Mmmm » Sur ce il est parti prendre une douche, j’ai aperçu sous le peignoir qu’il avait une grosse érection… Incroyable, çà le faisait bander dur de voir un homme attiré par moi ! J’avoue que tout ceci me troublait aussi car je sentis mon string se mouiller…et mes tétons se raidir sous la caresse de l’air frais du soir sur ma robe quasi transparente. Je me suis regardée dans la glace et me suis trouvée effectivement très excitante. J’avais vraiment envie que Paul me prenne sauvagement comme au début de notre mariage. Depuis des mois sans sexe, je sentais tout à coup une envie brûlante me dévorer le ventre et la chatte…
J’ouvris donc la porte de la salle de bains et vis avec stupéfaction Paul en train de caresser longuement sa queue dressée, gonflée et violacée de désir. Il respirait bruyamment et ses halètements devenaient rauques. Cette vision me poussa vers lui avec une chaleur intense dans les reins et la chatte trempée, ouverte. Une envie de sa queue en moi me déchirait. Il me cria « Ne me touches pas ! » et dans un feulement bestial il déchargea sa queue énorme de plusieurs giclées de sperme épais. La v
iolence de l’éjaculation fut telle que ma poitrine fut généreusement arrosée…
Le regardant dans les yeux, je badigeonnais mes doigts de son sperme et, soulevant ma robe et écartant mon string je commençais une langoureuse et sensuelle masturbation de mon clito gonflé avec son sperme….Mmmmmm….. après des mois de frustration sexuelle, cette caresse fut exceptionnelle et rapidement je parvins à un orgasme violent qui me fit crier de plaisir. Paul me jeta un « Salope ! » méprisant et me dit qu’il ne me désirait plus et que seuls des scénarios de ce genre lui provoquaient de belles érections et que le fait de me savoir désirer par un autre homme lui permettait des séances de masturbation intenses avec des jouissances ultra fortes qu’aucune relation sexuelle avec moi ne lui avait jamais procuré !
Il se mit au lit dans l’un des grands lits jumeaux et s’endormit rapidement. Ce qui ne fut pas mon cas, car j’avais l’esprit perturbé par sa révélation et je me demandais si finalement je ne ferai pas bien d’accepter l’invitation à dîner de Pierre plutôt que de rester seule en l’absence de Paul en mer….
Le lendemain matin Paul partit avant mon réveil et je trouvais un mot griffonné de sa main au milieu des sous vêtements : « Mélina, n’oublies pas d’être très sexy ce soir au dîner de Pierre…Je te demande de ne pas porter de sous vêtements…Je n’ose pas encore imaginer la suite de la soirée….mais j’entrevois ta croupe offerte à ses coups de queue virils… »
Cette pensée me troubla et m’accompagna toute la journée. Sur le bord de la piscine, vêtue d’un minimal string fuschia, je m’enduisais de crème solaire avec une main sensuelle et m’abandonnais au plaisir de mes doigts sur mes seins quand, soudain, une voix d’homme derrière moi me proposa « Voulez-vous que je vous mette de la crème dans le dos ? » Je me retournai pour voir un très bel homme noir d’une trentaine d’années, avec un large sourire et un maillot de bains noir moulant sa superbe queue au repos et une belle paire de couilles d’une taille impressionnante. Je sentis mes tétons se durcir en regardant cette belle virilité aussi suggestivement présentée. Il insista « Alors, c’est oui ou c’est non ?? » D’une voix blanche je lui répondis Oui. Ses mains sur mon corps me firent frissonner et il me glissa au creux de l’oreille d’une voix caressante : « Je vois que je vous fais de l’effet…Mmmmm ». Il continua son massage en insistant sur ma croupe et en s’insinuant discrètement le long de la ficelle du string « Mais vous mouillez, ma parole….vous êtes brûlante, une vraie femelle en chaleur… » Normalement de telles remarques m’auraient choquée mais là je me sentais fondre de désir sous ses caresses et ses paroles et n’avais plus qu’une idée dans la tête, qu’il me prenne là tout de suite, sauvagement en levrette !
Mais bien évidemment il n’en fit rien, referma le tube de crème et me dit «Voilà, beauté ! ». il s’éloigna rapidement et ne réapparut pas au bord de la piscine, me laissant là avec le ventre assailli de désir et d’envie de sexe hot.
Au bout d’une demi-heure je retournais dans notre suite au dernier étage et me retrouvais en paréo dans l’ascenseur. Au 2e étage l’ascenseur s’arrêta et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis entrer mon séducteur noir pieds nus et vêtu d’un large bermuda de lin blanc. Un frisson me secoua de la tête aux pieds. Mais il resta loin de moi, sans mot dire et sortit comme moi au dernier étage. Je marchai devant lui dans le couloir, ondulant des hanches sur mes mules à hauts talons en songeant qu’il devait bander dans son large bermuda blanc. Cette pensée me troublait au point que je stoppai net dans le couloir et me jetai à genoux devant lui. D’une main preste je fis glisser son bermuda et révélai son énorme queue fièrement dressée devant lui. Avant qu’il ait eu temps de réagir ma main droite s’en était saisie et ma main gauche caressait ses couilles. Ma bouche gourmande s’approchant en frémissant de son gland tendu au maximum….Mmmmmm….il soupira longuement en sentant ma langue effleurer son gland puis ma bouche l’aspirer sensuellement. Puis il se ressaisit : »Pas ici ! » et se dégagea rapidement. Je l’entraînai dans ma suite. Il arracha mon paréo et me plaqua contre la porte juste refermée. Ses mains broyaient mes tétons, sa queue se frottait violemment contre mon ventre et sa bouche dévorait la mienne. D’un grand coup de genou, il écarta mes cuisses et me prit les jambes dans ses mains. Il souleva ma croupe de manière à présenter sa queue contre ma chatte trempée. Sa brutale pénétration me fit crier de douleur et de plaisir à la fois. Il commença à me pilonner sauvagement, sans relâche en me murmurant à l’oreille : »Salope ! Tu es une vraie chienne en chaleur qui sait exciter les mâles ! Prends donc mes coups de queue, ce n’est pas ton mari qui doit savoir faire crier une femme de plaisir comme je vais le faire… » Il continuait de plus belle ses estocades de plus en plus rapides et profondes. Je gémissais et haletais. Tout un coup un orgasme brutal et violent me fit pousser un râle de bête sauvage. Je n’étais plus qu’une femelle livrée à un mâle en rut et je ne voulais plus que çà cesse.
Il n’avait pas l’intention de cesser…. Il me transporta sur le lit, m’installa en levrette sur le bord du lit et commença à me malaxer violemment la croupe puis à la fesser jusqu’à ce qu’elles me cuisent. Je pouvais voir dans le grand miroir qu’il me fessait d’une main et que de l’autre il se caressait langoureusement la queue. Cette vision exacerba encore mon désir et je lui chuchotai « Prends-moi maintenant, tout de suite ! » et je cambrai ma croupe au maximum et faisais onduler mes hanches devant ses yeux. Il caressa longuement ma chatte trempée et mon anus qu’il titillait d’un puis plusieurs doigts et sans prévenir y plaça son gland énorme et donna une violente poussée qui me fit hurler. La douleur était telle que j’eus le souffle coupé, mais peu à peu je sentis sa queue me ramoner doucement puis plus fort et le plaisir m’envahit et j’accordais le mouvement de ma croupe à ceux de sa queue majestueuse. Il râlait dans mon dos, je gémissais sous ses coups de reins répétés et qui se faisaient plus rapprochés et profonds. Jamais je n’avais connu une telle sodomie, j’avais oublié Paul, mon mari et me laissais aller dans une sexualité bestiale qui me ravageait de plaisir. J’eus un nouvel orgasme, encore plus violent que le premier et mon mâle retira alors son membre viril pour décharger ses jets de sperme brûlant sur mes reins. Il s’y frotta longuement la queue en marmonnant entre ses dents : « Quelle salope tu es, une vraie traînée comme je les aime qui se fait sauter par un black quand son mari est parti… On se reverra très bientôt » Et il me quitta avec une claque sonore sur ma croupe...
Je ne savais rien de lui, ni lui de moi mais je n'avais qu'une envie : le revoir au plus vite et continuer nos ébats.....
(Suite à venir....)
Je suis Mélina, 29 ans, mariée depuis 6 ans avec Paul. Nous n’avons toujours pas d’enfants et partons chaque hiver pour une destination exotique au soleil. Cet hiver nous avions choisi 10 jours à l’Ile Maurice dans un très joli petit hôtel de luxe conseillé par des amis.
Malheureusement depuis plusieurs mois Paul me délaissait complètement. Toujours fier en public d’exhiber une belle femme sexy mais d’une froideur totale dans l’intimité. Son seul plaisir semble être de voir les hommes m’admirer et tourner autour de moi. Il me pousse toujours à porter des toilettes suggestives qui mettent en valeur mes formes, beaux seins ronds 95D, taille fine, croupe rebondie et appétissante, jambes longues et chevelure brune et bouclée.
Dès notre arrivée à l’Hôtel Exotica, j’avais remarqué les œillades appuyées et les sourires charmeurs de Pierre, le manager. Paul se régalait de le voir faire et l’a d’ailleurs invité à prendre un verre à notre table le deuxième soir. Assis en face de moi, Pierre me dévorait des yeux, le regard plongé dans mon décolleté vertigineux porté sans soutien gorge. A la demande de Paul je ne portais qu’un string de dentelle noire sous cette robe ultra légère et moulante. Une paire d’escarpins à très hauts talons venait compléter ma tenue et je sentais sur moi le regard de plusieurs hommes et spécialement celui de Pierre, homme mûr d’une cinquantaine d’années d’allure très virile avec ses cheveux coupés très courts, son regard bleu vif et ses larges épaules. Il nous apprit qu’il était veuf depuis 3 ans, toujours seul, quoique enclin à des aventures sexuelles d’un soir, et qu’il avait repris cet hôtel 2 ans auparavant pour commencer une nouvelle vie après ce lourd chagrin.
Paul lui expliqua longuement tous les sports nautiques qu’il souhaitait pratiquer lors de notre séjour et notamment qu’il avait réservé une sortie de 48 heures à la pêche au gros en haute mer pour le lendemain.
Je sentis à ce moment là que Pierre redoublait d’attention pour moi et il me proposa de ma joindre à sa table avec d’autres amis le lendemain soir puisque je serai seule sans Pierre. Je ne lui répondis pas par l’affirmative car, en dépit de la froideur de Paul à mon égard j’étais toujours très amoureuse de lui et aucunement intéressée par les autres hommes.
De retour dans notre chambre, Paul exultait : « tu as vu comme il t’a matée toute la soirée, ah il est chaud bouillant, tu l’excites à fond…Mmmm » Sur ce il est parti prendre une douche, j’ai aperçu sous le peignoir qu’il avait une grosse érection… Incroyable, çà le faisait bander dur de voir un homme attiré par moi ! J’avoue que tout ceci me troublait aussi car je sentis mon string se mouiller…et mes tétons se raidir sous la caresse de l’air frais du soir sur ma robe quasi transparente. Je me suis regardée dans la glace et me suis trouvée effectivement très excitante. J’avais vraiment envie que Paul me prenne sauvagement comme au début de notre mariage. Depuis des mois sans sexe, je sentais tout à coup une envie brûlante me dévorer le ventre et la chatte…
J’ouvris donc la porte de la salle de bains et vis avec stupéfaction Paul en train de caresser longuement sa queue dressée, gonflée et violacée de désir. Il respirait bruyamment et ses halètements devenaient rauques. Cette vision me poussa vers lui avec une chaleur intense dans les reins et la chatte trempée, ouverte. Une envie de sa queue en moi me déchirait. Il me cria « Ne me touches pas ! » et dans un feulement bestial il déchargea sa queue énorme de plusieurs giclées de sperme épais. La v
iolence de l’éjaculation fut telle que ma poitrine fut généreusement arrosée…
Le regardant dans les yeux, je badigeonnais mes doigts de son sperme et, soulevant ma robe et écartant mon string je commençais une langoureuse et sensuelle masturbation de mon clito gonflé avec son sperme….Mmmmmm….. après des mois de frustration sexuelle, cette caresse fut exceptionnelle et rapidement je parvins à un orgasme violent qui me fit crier de plaisir. Paul me jeta un « Salope ! » méprisant et me dit qu’il ne me désirait plus et que seuls des scénarios de ce genre lui provoquaient de belles érections et que le fait de me savoir désirer par un autre homme lui permettait des séances de masturbation intenses avec des jouissances ultra fortes qu’aucune relation sexuelle avec moi ne lui avait jamais procuré !
Il se mit au lit dans l’un des grands lits jumeaux et s’endormit rapidement. Ce qui ne fut pas mon cas, car j’avais l’esprit perturbé par sa révélation et je me demandais si finalement je ne ferai pas bien d’accepter l’invitation à dîner de Pierre plutôt que de rester seule en l’absence de Paul en mer….
Le lendemain matin Paul partit avant mon réveil et je trouvais un mot griffonné de sa main au milieu des sous vêtements : « Mélina, n’oublies pas d’être très sexy ce soir au dîner de Pierre…Je te demande de ne pas porter de sous vêtements…Je n’ose pas encore imaginer la suite de la soirée….mais j’entrevois ta croupe offerte à ses coups de queue virils… »
Cette pensée me troubla et m’accompagna toute la journée. Sur le bord de la piscine, vêtue d’un minimal string fuschia, je m’enduisais de crème solaire avec une main sensuelle et m’abandonnais au plaisir de mes doigts sur mes seins quand, soudain, une voix d’homme derrière moi me proposa « Voulez-vous que je vous mette de la crème dans le dos ? » Je me retournai pour voir un très bel homme noir d’une trentaine d’années, avec un large sourire et un maillot de bains noir moulant sa superbe queue au repos et une belle paire de couilles d’une taille impressionnante. Je sentis mes tétons se durcir en regardant cette belle virilité aussi suggestivement présentée. Il insista « Alors, c’est oui ou c’est non ?? » D’une voix blanche je lui répondis Oui. Ses mains sur mon corps me firent frissonner et il me glissa au creux de l’oreille d’une voix caressante : « Je vois que je vous fais de l’effet…Mmmmm ». Il continua son massage en insistant sur ma croupe et en s’insinuant discrètement le long de la ficelle du string « Mais vous mouillez, ma parole….vous êtes brûlante, une vraie femelle en chaleur… » Normalement de telles remarques m’auraient choquée mais là je me sentais fondre de désir sous ses caresses et ses paroles et n’avais plus qu’une idée dans la tête, qu’il me prenne là tout de suite, sauvagement en levrette !
Mais bien évidemment il n’en fit rien, referma le tube de crème et me dit «Voilà, beauté ! ». il s’éloigna rapidement et ne réapparut pas au bord de la piscine, me laissant là avec le ventre assailli de désir et d’envie de sexe hot.
Au bout d’une demi-heure je retournais dans notre suite au dernier étage et me retrouvais en paréo dans l’ascenseur. Au 2e étage l’ascenseur s’arrêta et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis entrer mon séducteur noir pieds nus et vêtu d’un large bermuda de lin blanc. Un frisson me secoua de la tête aux pieds. Mais il resta loin de moi, sans mot dire et sortit comme moi au dernier étage. Je marchai devant lui dans le couloir, ondulant des hanches sur mes mules à hauts talons en songeant qu’il devait bander dans son large bermuda blanc. Cette pensée me troublait au point que je stoppai net dans le couloir et me jetai à genoux devant lui. D’une main preste je fis glisser son bermuda et révélai son énorme queue fièrement dressée devant lui. Avant qu’il ait eu temps de réagir ma main droite s’en était saisie et ma main gauche caressait ses couilles. Ma bouche gourmande s’approchant en frémissant de son gland tendu au maximum….Mmmmmm….il soupira longuement en sentant ma langue effleurer son gland puis ma bouche l’aspirer sensuellement. Puis il se ressaisit : »Pas ici ! » et se dégagea rapidement. Je l’entraînai dans ma suite. Il arracha mon paréo et me plaqua contre la porte juste refermée. Ses mains broyaient mes tétons, sa queue se frottait violemment contre mon ventre et sa bouche dévorait la mienne. D’un grand coup de genou, il écarta mes cuisses et me prit les jambes dans ses mains. Il souleva ma croupe de manière à présenter sa queue contre ma chatte trempée. Sa brutale pénétration me fit crier de douleur et de plaisir à la fois. Il commença à me pilonner sauvagement, sans relâche en me murmurant à l’oreille : »Salope ! Tu es une vraie chienne en chaleur qui sait exciter les mâles ! Prends donc mes coups de queue, ce n’est pas ton mari qui doit savoir faire crier une femme de plaisir comme je vais le faire… » Il continuait de plus belle ses estocades de plus en plus rapides et profondes. Je gémissais et haletais. Tout un coup un orgasme brutal et violent me fit pousser un râle de bête sauvage. Je n’étais plus qu’une femelle livrée à un mâle en rut et je ne voulais plus que çà cesse.
Il n’avait pas l’intention de cesser…. Il me transporta sur le lit, m’installa en levrette sur le bord du lit et commença à me malaxer violemment la croupe puis à la fesser jusqu’à ce qu’elles me cuisent. Je pouvais voir dans le grand miroir qu’il me fessait d’une main et que de l’autre il se caressait langoureusement la queue. Cette vision exacerba encore mon désir et je lui chuchotai « Prends-moi maintenant, tout de suite ! » et je cambrai ma croupe au maximum et faisais onduler mes hanches devant ses yeux. Il caressa longuement ma chatte trempée et mon anus qu’il titillait d’un puis plusieurs doigts et sans prévenir y plaça son gland énorme et donna une violente poussée qui me fit hurler. La douleur était telle que j’eus le souffle coupé, mais peu à peu je sentis sa queue me ramoner doucement puis plus fort et le plaisir m’envahit et j’accordais le mouvement de ma croupe à ceux de sa queue majestueuse. Il râlait dans mon dos, je gémissais sous ses coups de reins répétés et qui se faisaient plus rapprochés et profonds. Jamais je n’avais connu une telle sodomie, j’avais oublié Paul, mon mari et me laissais aller dans une sexualité bestiale qui me ravageait de plaisir. J’eus un nouvel orgasme, encore plus violent que le premier et mon mâle retira alors son membre viril pour décharger ses jets de sperme brûlant sur mes reins. Il s’y frotta longuement la queue en marmonnant entre ses dents : « Quelle salope tu es, une vraie traînée comme je les aime qui se fait sauter par un black quand son mari est parti… On se reverra très bientôt » Et il me quitta avec une claque sonore sur ma croupe...
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