Infidèle 1
Récit érotique écrit par Twist [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Infidèle 1
Cela faisait près d’un an que mon mari avait demandé à un de ces copains, patron d’une entreprise de peinture en bâtiment et rénovation pour qu’il envoie un de ses hommes pour repeindre un mur de la cage d’escalier de la maison. Quand il lui a enfin dit qu’un de ses ouvriers viendrait aujourd’hui, j'ai bien sur immédiatement accepté et dit que je m’arrangerait pour prendre congé.
Il est 8h30, mon mari est partit depuis une heure déjà quand le peintre se présente à la porte d’entrée. C’est un grand black tout mince, pas un africain mais un indien qui est devant moi. Je lui montre le travail à accomplir puis en sa compagnie choisit la teinte la plus appropriée et que j'aime le plus. Le black se met au boulot dès que j’ai fait mon choix de couleur. j’étais en jeans quand il est arrivé mais vers 10h00, je monte dans la salle de bain pour me préparer à sortir faire quelques courses. Tout en montant à l’étage, je souris gentiment à l’ouvrier en plein boulot puis entre dans ma chambre pour préparer mes affaires. Quand je sors de la salle de bain, je suis prête et parfaitement maquillée. En passant à nouveau près de l’ouvrier en plein travail, je vois son regard se poser sur moi et l’expression de ces yeux combinés à un petit soupir d’admiration me font penser qu’il me trouve plutôt désirable.
- « J’ai quelques courses à faire, je m’absente une heure, vous n’avez besoin de rien ? » - « Non merci madame, ca ira très bien. »Dès mon retour, je constate que le peintre n’a pas chômé, son boulot est bien avancé, je dirais même presque terminé. Je regarde et le félicite pour la propreté et la minutie avec les quels il fait son travail puis continue de vaquer a mes occupations.
Vers midi, je viens le retrouver pour lui proposer de se joindre à moi pour déjeuner. L’ouvrier accepte avec un grand sourire qui dévoile la blancheur de ces dents qui contraste avec la couleur de sa peau. nous nous installons tout les deux à table et tout en mangeant, nous discutons de choses et d’autres. Adil, c’est comme ça qu’il se prénomme, en profite également pour me complimenter sur la maison pour commencer puis sur mon physique et ma tenue vestimentaire ce qui n’est bien sur pas pour me déplaire. Une manière de draguer comme une autre je pense en le regardant jeter un œil sur sa montre : - « Je pense qu’il est l’heure de me remettre au boulot. »Les regards qu’il avait posés sur mes cuisses et sa manière de me complimenter m’avaient donné des envies de baiser mais pour cela, il faut que je prenne les choses en main et que je sois directe :
- « Avant, je me pose une question depuis longtemps. » - « Ha oui, la quelle ? » - « La queue des blacks comme vous, est elle aussi bonne que celle des africain ? » L’ouvrier n’attendait que cela en fait et il se lève d’un bond, immédiatement imité par moi puis il me prend par la taille et me serre contre lui pour que je sente qu’il bande.
- « Si tu veux vraiment le savoir, sort la. »Je m’accroupis, détache le pantalon de travail de cet homme puis en sort une queue tendue que je caresse lentement. Pour le provoquer, je lève les yeux vers lui et lui dit :
- « Mwais, ça peut aller mais celle des africains est quand même plus grosse. » - « Quand je vais te baiser, tu verra qu’elle te fera jouir salope. »excitée par cette réponse je prend la queue d’Adil dans ma bouche et le suce avec application. Elle n’est pas vraiment grosse mais elle est longue et dur comme du bois. Je lui pompe la queue en lui palpant les couilles qui elles non plus ne sont pas très grosses mais sont bien pleines. Après l’avoir bien pipé, je prend un préservatif dans mon sac et je lui enfile doucement tout en lui caressant toujours les burnes pour ne pas qu’il débande. Ensuite, je prend appuis avec mes deux mains sur la table de la cuisine pour qu’il me prenne par derrière. Il frotte son gland à l’entrée de ma chatte, le passe entre mes lèvres puis plutôt que de me l’enfoncé, il remonte plus haut et la plante dans mon cul sans le moindre ménagement. Ce fumier est occupé à m’enculer sans même être passé par ma chatte. Il me défonce carrément le cul en me disant : - « Alors ma queue, elle te convient salope ? » - « Hum, oui, oui, encore, continue. » - « Petite pute de bourgeoise, je vais t’exploser la rondelle. » Les coups de rein de l’ouvrier sont de plus en plus forts et de plus en plus rapide, sa queue est parfaite pour une sodomie sans préparation. Je gémis et crie de plaisir. Le type passe sa main entre mes cuisses par devant pour me tripoter la chatte et même me foutre un doigt pendant qu’il m’encule sans ménagement en disant : - « C’est ca que tu veux salope hein, C’EST CA QUE TU VEUX ? » - « OUIIIII » - « T’aime ça pouffiasse ? » Puis d’un coup il se retire, enlève la capote et dit : - « Je veux me vider sur tes nibards. »
Je me tourne vers lui, je m’accroupis en levant mon top pour lui dévoiler mes seins qu’il n’a pas encore eu l’occasion de découvrir totalement. Il se branle rapidement en les regardant et ne met que quelques secondes à jouir. Le liquide tiède sort en saccade de la queue du peintre pour s’écraser sur mes nichons , je l’étale en me caressant lentement. Cette vision excite cet homme qui vient de jouir.
Heureusement que le travail était bien avancé et qu’il ne lui restait plus grand chose a faire. Quand il a quitté la maison, il m’a remercié pour le déjeuner et surtout pour le dessert qu’il ne sera pas prêt d’oublier.
Il est 8h30, mon mari est partit depuis une heure déjà quand le peintre se présente à la porte d’entrée. C’est un grand black tout mince, pas un africain mais un indien qui est devant moi. Je lui montre le travail à accomplir puis en sa compagnie choisit la teinte la plus appropriée et que j'aime le plus. Le black se met au boulot dès que j’ai fait mon choix de couleur. j’étais en jeans quand il est arrivé mais vers 10h00, je monte dans la salle de bain pour me préparer à sortir faire quelques courses. Tout en montant à l’étage, je souris gentiment à l’ouvrier en plein boulot puis entre dans ma chambre pour préparer mes affaires. Quand je sors de la salle de bain, je suis prête et parfaitement maquillée. En passant à nouveau près de l’ouvrier en plein travail, je vois son regard se poser sur moi et l’expression de ces yeux combinés à un petit soupir d’admiration me font penser qu’il me trouve plutôt désirable.
- « J’ai quelques courses à faire, je m’absente une heure, vous n’avez besoin de rien ? » - « Non merci madame, ca ira très bien. »Dès mon retour, je constate que le peintre n’a pas chômé, son boulot est bien avancé, je dirais même presque terminé. Je regarde et le félicite pour la propreté et la minutie avec les quels il fait son travail puis continue de vaquer a mes occupations.
Vers midi, je viens le retrouver pour lui proposer de se joindre à moi pour déjeuner. L’ouvrier accepte avec un grand sourire qui dévoile la blancheur de ces dents qui contraste avec la couleur de sa peau. nous nous installons tout les deux à table et tout en mangeant, nous discutons de choses et d’autres. Adil, c’est comme ça qu’il se prénomme, en profite également pour me complimenter sur la maison pour commencer puis sur mon physique et ma tenue vestimentaire ce qui n’est bien sur pas pour me déplaire. Une manière de draguer comme une autre je pense en le regardant jeter un œil sur sa montre : - « Je pense qu’il est l’heure de me remettre au boulot. »Les regards qu’il avait posés sur mes cuisses et sa manière de me complimenter m’avaient donné des envies de baiser mais pour cela, il faut que je prenne les choses en main et que je sois directe :
- « Avant, je me pose une question depuis longtemps. » - « Ha oui, la quelle ? » - « La queue des blacks comme vous, est elle aussi bonne que celle des africain ? » L’ouvrier n’attendait que cela en fait et il se lève d’un bond, immédiatement imité par moi puis il me prend par la taille et me serre contre lui pour que je sente qu’il bande.
- « Si tu veux vraiment le savoir, sort la. »Je m’accroupis, détache le pantalon de travail de cet homme puis en sort une queue tendue que je caresse lentement. Pour le provoquer, je lève les yeux vers lui et lui dit :
- « Mwais, ça peut aller mais celle des africains est quand même plus grosse. » - « Quand je vais te baiser, tu verra qu’elle te fera jouir salope. »excitée par cette réponse je prend la queue d’Adil dans ma bouche et le suce avec application. Elle n’est pas vraiment grosse mais elle est longue et dur comme du bois. Je lui pompe la queue en lui palpant les couilles qui elles non plus ne sont pas très grosses mais sont bien pleines. Après l’avoir bien pipé, je prend un préservatif dans mon sac et je lui enfile doucement tout en lui caressant toujours les burnes pour ne pas qu’il débande. Ensuite, je prend appuis avec mes deux mains sur la table de la cuisine pour qu’il me prenne par derrière. Il frotte son gland à l’entrée de ma chatte, le passe entre mes lèvres puis plutôt que de me l’enfoncé, il remonte plus haut et la plante dans mon cul sans le moindre ménagement. Ce fumier est occupé à m’enculer sans même être passé par ma chatte. Il me défonce carrément le cul en me disant : - « Alors ma queue, elle te convient salope ? » - « Hum, oui, oui, encore, continue. » - « Petite pute de bourgeoise, je vais t’exploser la rondelle. » Les coups de rein de l’ouvrier sont de plus en plus forts et de plus en plus rapide, sa queue est parfaite pour une sodomie sans préparation. Je gémis et crie de plaisir. Le type passe sa main entre mes cuisses par devant pour me tripoter la chatte et même me foutre un doigt pendant qu’il m’encule sans ménagement en disant : - « C’est ca que tu veux salope hein, C’EST CA QUE TU VEUX ? » - « OUIIIII » - « T’aime ça pouffiasse ? » Puis d’un coup il se retire, enlève la capote et dit : - « Je veux me vider sur tes nibards. »
Je me tourne vers lui, je m’accroupis en levant mon top pour lui dévoiler mes seins qu’il n’a pas encore eu l’occasion de découvrir totalement. Il se branle rapidement en les regardant et ne met que quelques secondes à jouir. Le liquide tiède sort en saccade de la queue du peintre pour s’écraser sur mes nichons , je l’étale en me caressant lentement. Cette vision excite cet homme qui vient de jouir.
Heureusement que le travail était bien avancé et qu’il ne lui restait plus grand chose a faire. Quand il a quitté la maison, il m’a remercié pour le déjeuner et surtout pour le dessert qu’il ne sera pas prêt d’oublier.
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