Infidélité heureuse

- Par l'auteur HDS Tunguska -
Récit érotique écrit par Tunguska [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Infidélité heureuse Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Infidélité heureuse
Je quittais ma résidence pour rejoindre la fac. J’étais déjà plus ou moins en retard. Le temps était brumeux, on sentait un léger crachin, et il faisait froid.
Arrivé au niveau du parking de la résidence j’aperçu une fille qui semblait avoir du mal avec son vélo. Sans y faire attention je rejoignais ma voiture. Le temps d’y déposer mes affaires, de mettre la ceinture et de faire préchauffer le moteur, je vis cette fille à la fenêtre coté passager. Je lui ouvris (miracle des vitres électriques). Elle était blonde, un peu ronde, loin d’être habillée sexy. Gros manteau noir, qui laissait apparaître un débardeur de la même couleur en dessous. Sa peau était pâle et des taches de rousseurs parsemaient le mince espace de peau que je pouvais apercevoir.
Son visage était rouge et elle semblait à l’évidence essoufflée.
J’ai su avant même qu’elle ne prononce un mot, qu’elle allait me demander de la déposer quelque part.
C’était sur ma route. Je devais juste passer à un tabac (personne n’est parfait).
Sur le trajet, elle me racontait les déboires qui l’avaient amené à devenir ma passagère. Je n’écoutais pas vraiment. J’en profitais pour évaluer discrètement ses formes. Elle était dodue. Ronde quoi. Son pantalon était en synthétique noir, et étant un « taille basse », il laissait entrevoir le superflu d’un physique, qui malgré tout, était désirable. Je l’imaginais comme un gros bonbon très sucré, à croquer. De bon matin, se retrouver avec une inconnue dans sa voiture, cela vous donne de ces idées…
Je la dépose à l’arrêt de tram. Lui esquisse un sourire, puis reprend ma route.
Je me promettais dors et déjà de l’inviter à prendre un verre chez moi si je venais à la croiser à la résidence. Ce qui fut le cas.
Quelques jours plus tard, alors, en rentrant de la fac, vers 12h15, je la croisais aux boites aux lettres. Je la salue, puis pour engager la conversation, je m’excuse de mon impolitesse lors de notre dernière et première rencontre. Je lui demande ainsi son prénom. Elle s’appelle Clémence.
Très vite je me décide à l’inviter poliment, histoire de faire connaissance lui dis-je. Puisque l’on est presque voisin, pourquoi refuser. Pour éviter toute interaction avec ma copine qui vit avec moi, j’invite Clémence le vendredi après-midi, jour où ma copine va travailler.
Je suis libre à partir de 11h. Je l’invite donc à boire un apéro. Vieille technique, je lui précise la possibilité de venir avec son ami, si le cas échéant, elle en a un. Elle me confirme qu’elle viendra seule. Un peu gênée, elle se retire puis emprunte les escaliers. Je matte son cul rebondi. J’ai l’impression qu’il m’appelle. Elle porte un jean qui moule ses fesses rondes parfaitement. Elle m’attire. Elle n’est pas irrésistible, mais si je peux me la taper, je lui grimpe dessus sans hésiter.
Vendredi, 10h00. Ma copine se prépare. Elle se maquille, s’épile les sourcils, se parfume…
Comme à son habitude, elle me demande quel est le programme de mon après-midi. Je lui réponds que je vais rester ici pour travailler un peu un exposé imaginaire.
Elle finit de s’habiller, met du rouge à lèvres, enfile des talons, me souhaite une bonne journée, m’embrasse puis s’en va. L’avantage c’est que j’ai une vue imprenable sur le parking. Je peux donc la voir partir, mais surtout la voir rentrer.
11h00. Il faut que je m’active. L’appartement est déjà rangé. J’ai convaincu ma copine de le faire la veille, protestant que c’était le bordel. Elle a donc, de manière indirecte, participé au bon déroulement du rendez vous qui allait avoir lieu dans son dos.
Si elle savait. Le fait est que ma copine est une jalouse possessive. Elle veut toujours tout savoir, pose des questions sans arrêt, me demande à chaque fois à qui j’écris lorsque j’envoie un texto, où qui m’en envoie un. Si je soupire, elle va croire que c’est parce que j’ai quelque chose à lui reprocher. C’est usant. Il fallait donc tout faire dans son dos. Lool.
A 11h30, Clémence sonne à la porte. Je la fais entrer. Elle enlève toute seule sa veste. Je la lui prend et la met à l’abri dans mon placard.
Je lui propose de boire un verre. Une manzana pomme. Je l’accompagne avec un petit Martini blanc. Elle portait son jean, un pull blanc en laine. Je voyais un « petit » bourrelet. Son ventre aussi était rondouillard. Ce n’était pas un top cette fille.
Je lui demande ce qu’elle fait. Elle est en I.U.T. Elle a 20 ans .Elle a une voix grave. Je m’en serai probablement aperçu plus tôt, si je l’avais écouté parler dans la voiture.
Elle n’est pas très féminine. Je ne peux donc pas vous dire que quand elle reprenait ses cheveux, c’était d’un geste empli de grâce, de légèreté… En revanche, je peux vous dire, que lorsque qu’elle reprenait ses cheveux, sa poitrine pour le moins protubérante ressortait. Ses seins étaient énormes. Elle devait mesurer 1m65 pour une soixantaine de kilo dont l’essentiel réside très certainement dans ses appendices.
La conversation poursuivait son cours, et je continuais pour ma part à la servir en manzanna. Je sentais qu’elle prenait ses aises et que l’alcool commencait à lui faire tourner la tête. C’est ainsi qu’elle commença à me parler de ma copine. Elle m’avait déjà vu sortir de la résidence avec elle, et elle se demandait ce qu’elle faisait aujourd’hui. Sans ne rien lui cacher, je la renseigne. Ses questions vont bon train, et je sens que je l’intéresse. Je lui avoue donc que cela fait deux ans et demi que je suis avec elle, mais que ça n’avance pas. Clémence devenue attentive m’interroge de plus belle. J’en arrive donc à lui parler du coté autoritaire de ma compagne, de sa jalousie, de sa froideur même.
Il est 12h30, Clémence regarde sa montre, j’en profite pour ramasser les verres. Nous étions arrivés au stade où la situation devait évoluer. En retournant à la cuisine, je contourna Clémence, et je pu admirer un joli petit string qui dépassait de ses fesses épaisses. La bretelle de son soutient gorge étaient en dentelle rose. Huuum. Un vrai bonbon à croquer.
Vu l’heure, je lui proposai de manger avec moi. Sans trop me mouiller, et un peu radin aussi, je suggérais un Mcdo. Ce sera à emporter, puisque je ne suis pas loin.
Dans la voiture, je décidais de raconter une anecdote, puis pour décontracter l’atmosphère posa ma main sur sa cuisse comme d’une manière amicale. J’ai soudain senti sa main, se poser sur la mienne, m’empêchant ainsi de la retirer. Nous échangeons un regard qui en dit long. Arrivé à la file du Mcdrive, je décide de l’embrasser. Elle ne me repousse pas. Ses lèvres toutes fines sont douces, un peu froides. Rafraîchissantes pour être exact. A chaque baiser je sentais un frisson me parcourir. Sa main était posée sur mon aine droite. Mon cœur battait fort. Très vite rejoint dans son engouement par mon pénis qui durcissait à chaque embrassade.
Mes lèvres ne voulaient plus se décoller des siennes, et ma main droite caressait son ventre rondouillet.
Mon portable sonne. Ma copine !! Clémence esquisse un sourire puis cligne des yeux en hochant la tête légèrement. C’était une sorte de permission implicite.
Je décroche. Mon amie a pu prendre une pause, et en profite pour « prendre de mes nouvelles ». Pour me surveiller serait plus exacte.
Suspicieuse, elle me demande pourquoi le bruit alentour. Je lui avoue ma faiblesse. « J’avais la flemme de me faire à manger ». Au même moment, Clémence caressait mon entre jambes. C’était excitant. Je me débarrasse de ma copine en lui prétextant que je dois passer ma commande.
De nouveau sur la route, c’est toute ma main droite qui caressait les cuisses de Clémence. J’avais envie d’elle. Et manifestement, elle de moi.
Nous rentrons à la résidence, puis dans mon appart. Presque violement, à peine ais-je le temps de déposer le carton contenant le repas, que Clémence me plaque contre le mur du couloir d’entrée puis m’embrasse.
Mes mains se glissent sous son pull pour lui retirer son soutient gorge que je laisse tomber à nos pieds. Ma main droite attrape un de ses seins, pendant que l’autre ne cesse d’empoigner fermement ses fesses. Puis j’attrape sa nuque. Mon dieu elle sent bon. Elle est tendre, douce, sucré, laiteuse. Huuum. Je trouvais le réconfort dans ses bras et sur ses lèvres. Ma copine n’existait plus.
Clémence laissait se perdre sa main dans mon jean. Je bandais tellement dur que ses mouvements en étaient restreints. Elle décide de me déboutonner puis se met à genoux pour faire tomber mon pantalon. Elle retire par la même occasion mon caleçon. Elle me branle quelque secondes en me regardant puis avale mon sexe. Dès le départ, son va et vient est rapide. Ses mains caresses mes testicules pendant que les miennes lui tiennent la tête. Je la regarde faire.
Je peux voir son string, ses seins par intermittence ; mais surtout je vois mon sexe s’enfoncer dans sa bouche régulièrement, faisant ressortir ses lèvres, et courbant légèrement la forme de son nez. Mes mains se posent sur ses joues, et sans que je ne l’incite elle accélère. Je sens mon manche coulisser à l’intérieur de sa bouche. Je n’en peux plus, s’en est trop. Après à peine trois quatre minutes de pipe, et plus d’un mois sans sexe, j’éjacule par rafale abondante dans la bouche de Clémence sans que celle-ci ne s’arrête. Je me décrispe, la tension se libère. Je sens que la bouche de Clémence est sur le point de déborder. Elle relâche lentement mon pénis, puis referme directement sa bouche. Elle me regarde puis en rigolant avale tout devant moi. Elle s’essuie la commissure des lèvres avec son index, puis se relève en remontant mon pantalon toute fier d’elle. Elle pouvait l’être. En l’espace de quelques minutes, elle venait de me réconcilier avec le sexe. Je lui demande avec humour si elle a toujours faim. Elle acquiesce, puis, pour se rincer la bouche, boit directement la manzana à la bouteille (qu’elle fini le temps que je sorte tout les aliments du carton).
J’avais quelques bières fortes dans le frigo. Je lui en propose une pour accompagner son repas. On était enjoué, excités tout les deux. L’alcool nous plongeait dans une sorte d’état cotonneux, fiévreux et érotique.
Le repas se finit par des pelles bien baveuses. On se pelotait Dans tous les sens et dans tous les endroits. Elle finit par enlever son pull et mon pantalon. La, j’ai eu le droit à la première branlette espagnole de ma vie !!! Elle me demande si j’aime. J’adoooore !! Mes mains caressent ses cheveux, son visage, sa nuque, tandis que ses seins enveloppent mon sexe et l’entraînent dans un va et vient incessant. Ses tétons me frôlent et provoquent des petits frissons. Lorsque sa tête arrive à la bonne hauteur, je conduis ses lèvres sur mon gland. Elle fait tournoyer sa langue autour, puis reprend avec ses seins. C’est délicieux. Je lui demande de retirer son jean. Elle s’exécute très rapidement, comme si il lui tardait elle aussi de passer aux « choses sérieuses ». J’attrape mon jean qui n’est pas bien loin, et en ressort un préservatif que j’avais disposé ici préalablement. J’avais bien fait.
Je m’évertue à mettre le préservatif puis la chose faite, Clémence, nue, me fait allonger sur le canapé et s’empale sur moi. Elle est terrible. Je pétris son ventre, ses hanches, ses seins… Mes mains glissent partout. Elle bouge comme une reine. Sans trop s’appuyer sur moi, son bassin effectue un mouvement régulier rectiligne, parfait. Je sens que tout mon sexe entre et sort de sa chatte. Elle se caresse, m’embrasse dans le coup, sur le torse ; ses cheveux viennent à leur tour me faire frissonner. Je la retourne. Je suis désormais au dessus. Le lui lance des grands coups qui à chaque fois provoquent des petits gémissements. Sa chatte devient humide. Je peux sentir qu’elle se contracte autour de mon sexe. Je m’arrête un peu, puis reprend doucement ; je sors mon sexe puis le rentre, le ressort, le rentre à nouveau. Lentement, je continue encore quelques mouvements. Puis je commence à augmenter la profondeur. J’accélère légèrement. Son regard est plongé dans le mien, ses mains sont posées sur mes hanches. Et pendant que j’accélère de plus belle, je viens la masturber. Sa voix commence à s’entendre nettement. Il y a comme une alchimie. Ses jambes m’encerclent. Je les soulève et les colle contre moi. Ses cuisses contre moi, le bas de ses mollets sur mes épaules, et ses chevilles, de part et d’autre de mon visage, à hauteur de mes lèvres.
J’attrape ses cuisses ; les plaque fort sur moi, et commence à donner des grands coups rapidement. Sa tête se tourne d’un coté puis de l’autre. Elle touche ses seins. Son ventre remue à chacun de mes mouvements ; elle est rouge écarlate. Son corps porte les marques de mes empoignades. Elle se mordille les lèvres jusqu’à ce que de sa bouche s’échappent des cris d’un érotisme renversant. Nous nous remettons en missionnaire. Mon torse collé sur sa poitrine. Ses mains caressent mon dos, attrapent mes fesses, puis mes hanches afin de m’inciter à aller plus vite. Elle me chuchote d’une voix douce et entrecoupée de gémissements : « Je vais jouir. Ne te retiens plus. Lâche tout ! ». A ces mots je suis tellement excité, que je m’exécute. Quelques mouvements forts et profonds ; Clémence commence à crier. Sa mâchoire se crispe entre ouverte, ses yeux s’échappent vers le haut, comme si elle s’évanouissait ; soudain tout son corps se tétanise et elle pousse un dernier cri avant que son corps ne se relâche. C’est au même moment que j’éjacule. Sa chatte est tellement humide, que j’ai l’impression qu’elle fond sur mon sexe. Je suis aux anges. Je continue le va et vient tant que je peux puis m’effondre sur le corps désormais presque inerte de Clémence. Je colle mon visage sur sa poitrine gonflée, humide de sueurs mélangées. Mes doigts viennent caresser sa chatte béante et jouissante comme une fontaine. Je la masturbe légèrement. Son corps a comme des petites convulsions.
Je me retire, enlève le préservatif, puis m’assois à ses cotés de telle façon que je puisse caresser et son clito et l’un de ses seins. Son corps occupe facilement la largeur de l’assise du canapé. Une jambe raide, l’autre repliée, tremblant au grès des mouvements de ma main.
Je commençais à m’endormir.
Je décidais d’aller prendre une petite douche, histoire de me rafraîchir. Il devait être 14h30, 15h.
Quand je suis sorti de la salle de bain, Clémence était assise nue sur le canapé. J’ai pu apprécier l’ampleur se son postérieur. Elle fit un sourire puis me dis « coucou toi», « je peux prendre une douche moi aussi » ? Je l’invite à se servir de la serviette de ma copine, ainsi que de ses produits de beauté si elle le désire. Il y en a pour une sacrée somme.
Elle sort de la salle de bain avec le peignoir de mon amie qui la boudine un peu. Elle s’est servie de son maquillage et de son parfum. Je décide de prendre une photo d’elle. Elle joue le jeu en adoptant des poses sexy. Elle se met à quatre pattes en face de moi. Se colle contre le mur. J’attrape un string taille unique de la cocue, et demande à Clémence de le porter. Au départ gêné, elle finit par accepter, puis entame une petite danse érotique devant mes yeux émerveillés. Mon numérique est désormais en position « prise vidéo ». Je suis assis sur le canapé et Clémence remue ses fesses devant mon visage. Elle retire le string puis m’offre sa croupe. Encore très excité j’entame un anulingus. Ma tête est plongée entre ses fesses. Je passe ma langue dans son cul, je le lèche pendant que mes mains resserrent ses fesses sur mes joues. Ses mains se posent sur mon crâne, puis reviennent au niveau de sa chatte pour se masturber. Elle semble apprécier. Une fois son anus bien trempé, elle vient se mettre à genoux entre mes jambes puis commence une fellation. J’adore sa façon de me sucer. Même si je bande mou, cela ne dure pas très longtemps. Elle lèche mes testicules, puis d’un coup de langue remonte sur toute la longueur. Sa langue tournoie autour de mon gland qu’elle fait parfois tapoter dessus. Elle aspire bien, et j’adore voire se creuser ses joues. Maintenant que mon sexe est dur, raide et bien humide, elle monte sur moi mais avant qu’elle n’introduise ma verge dans son vagin, je lui rappelle que je n’ai pas de préservatif. Là elle me dit : « je vais m’occuper de toi alors ». Elle m’emmène au sol puis nous pratiquons un 69. Ma langue lèche chaque partie de son anatomie. Sa chatte, son cul, je lui nettoie tout. Pendant ce temps mon sexe n’a de cesse de se contracter en raison de la rapidité des mouvements de Clémence. Ses mains ont attrapé mes chevilles. Seule sa tête, sa mâchoire et sa langue sont en action. Je ne peux pas m’empêcher de gémir tellement c’est bon. Parfois elle bouge le bassin, comme pour promener son clito sur mon visage. Nous roulons en 69 presque dans toute la pièce entière.
Le moment venu, je la mets sur le dos puis introduit uniquement mon gland dans sa bouche. Ma main gauche vient soulever sa tête pendant que je me masturbe de la main droite. Sa langue tourne autour ma verge et ses mains sont posées sur mon torse. Sans retenue, je lui éjacule sur tout le visage.
Je suis vidé, je n’ai plus de force. Mon sexe de nouveau dans sa bouche, je tends la main pour atteindre un tiroir et en sortir une écharpe de ma copine avec laquelle Clémence s’essuie.
Cette fois, nous nous rhabillons pour de bon.
Nous nous embrassons, sans cesse. J’adore cette fille me dis-je. Je voudrais la garder encore près de moi. Je lui donne mon numéro, elle me donne le sien. J’ose lui demander si on peut se revoir. Elle acquiesce en ajoutant que cela ne devrait pas être dur. Elle habite trois portes plus loin. Hallucinant, nous étions fais pour nous rencontrer.
Par la suite, je vous le dis, j’ai entamé une relation avec elle. Nous nous voyons régulièrement dès que ma copine n’est pas là.
Oh ne vous inquiétez pas. Je n’ai pas l’impression de la tromper vu qu’il ne se passe plus rien entre nous depuis longtemps déjà. Je vis avec mon amie une relation platonique qui ne peut me satisfaire. Clémence m’apporte toute la fraîcheur dont j’ai besoin. Tout le sexe dont j’ai besoin ; je vis avec elle une relation adultérine épanouissante. Que ce soit mes fantasmes ou les siens, nous nous permettons tout. Je suis heureux.
Et ma copine ?? Ben, elle continue de croire que le sexe est une carotte qui fait avancer l’âne. Elle continue de croire qu’en me faisant mijoter une partie de jambes en l’air, je lui reste soumis. L’espoir fait vivre !!

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