Infirmière à l'hôpital
Récit érotique écrit par Pourquoi pas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 17 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Pourquoi pas ont reçu un total de 290 393 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 18 953 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Infirmière à l'hôpital
Je m’appelle Franck et j’ai une trentaine d’années.
Il y a quelques semaines je me suis blessé à la jambe en bricolant et un éclat de métal est venu se loger dans l’intérieur de ma cuisse gauche. Ce n’est pas grand-chose mais mon médecin ne peut pas l’enlever donc je dois aller à l’hôpital pour me faire anesthésier car le morceau de métal est tout de même assez profondément enfoncé dans le muscle. Je me présente donc aux admissions où on m’envoie vers le service concerné qui me donne une chambre. L’opération va être rapide mais comme il va y avoir plusieurs points de suture et que le muscle est peut-être touché je vais devoir rester allongé 2 jours et ensuite j’aurais le droit à des béquilles pour poser ma jambe le moins possible par terre. Tant pis pour moi, je n’ai pas été prudent en bricolant donc maintenant j’en paye les conséquences.
Et quelles conséquences ! Une belle infirmière blonde d’à peu près mon âge vient s’occuper de moi. Ah le fantasme de l’infirmière ! Pour avoir fait plusieurs séjours à l’hôpital je croyais que ça n’existait pas une jolie infirmière donc j’arrivais avec des a prioris « les infirmières vont être moches et la bouffe est dégueulasse ». Pour la nourriture ça se confirme mais qu’elle bonne surprise de voir cette belle femme. Une poitrine généreuse qui tend le tissu de la blouse… oula la doucement, il ne faut pas que je me fasse un film. Je repère son prénom sur sa blouse « sandrine », on se fait des sourires à tour de bras mais impossible de discuter avec elle car elle est surchargée de boulot. Elle finit par me dire qu’il va falloir que je me rase car l’opération va se faire au bloc sous champ stérile et que par conséquent il ne doit pas y avoir de poils autour de la blessure.
« Il faut raser l’intérieur des 2 cuisses et le bas-ventre. Vous voulez que je m’en charge ou vous le faites vous-même ? »
Le bas-ventre ? Le bas-ventre ? Elle veut dire « le sexe » ? Whaou le rêve, une superbe infirmière qui va me raser le sexe. Non non je suis trop timide, j’aurais trop honte qu’elle me voit comme ça.
« Alors Monsieur ? C’est comme vous voulez, de toute façon je passerais pour vérifier. Ne vous inquiétez pas j’ai l’habitude »
Dans ce cas allons-y, on verra bien si j’arrive à aller plus loin avec elle. De toute façon elle me verra avec le sexe rasé alors autant en profiter.
« D’accord Sandrine, je vous laisse faire car je n’ai pas trop bien compris où vous vouliez que je rase ». Je rougis un peu et je suis quand même mal à l’aise mais le plus dur est fait. Il fallait le dire et maintenant je n’ai plus qu’à me laisser porter par les évènements.
« Très bien, je repasse tout à l’heure avec le nécessaire »
2 heures passent, on toque à la porte.
« Bonjour, je suis Gisèle. Ma collègue m’a dit qu’il fallait vous raser »
Aaaaaahhhhh mais où est Sandrine ? Gisèle à l’air sympathique mais au niveau du physique ce n’est pas du tout la même chose. Une bonne cinquantaine d’années et pas mal de kilos en trop.
« Ah… euh… c’est que je m’attendais à voir Sandrine »
« Elle est occupée ailleurs mais ne vous inquiétez pas je sais me débrouiller, j’ai tout le matériel ici ça va être rapide »
« Euh… » Aïe la tuile. Vite vite vite il faut que je trouve une excuse valable pour esquiver Gisèle
« Allez allez. Allongez vous et remontez votre blouse » me dit-elle avec un grand sourire.
« … Oh vous devez certainement avoir beaucoup de travail. Je vais m’en charger moi-même. Posez tout ça sur la table »
« Ah les hommes ! A chaque fois c’est pareil. Quand c’est Sandrine qui demande vous êtes tous d’accord mais quand j’arrive c’est bizarre tout le monde se débrouille tout seul. Ne vous inquiétez pas vous n’êtes pas le premier. D’ailleurs nous faisons des paris avec les autres infirmières sur l’excuse que vous allez trouver. Je vous laisse le rasoir ici et je repasse pour contrôler »
Elle pose le plateau avec le rasoir et la mousse puis se dirige vers la porte. Je suis touché au vif de m’être fait prendre comme un gamin en train de piquer des bonbons.
« OK Gisèle j’avoue tout » dis-je en rigolant. Je sens que c’est une marrante donc à défaut de passer un moment coquin on peut au moins plaisanter et se détendre un peu. « J’avoue que Sandrine est carrément jolie et je m’imaginais des choses. Vous savez ce que c’est le fantasme de l’infirmière ; les hommes ne résistent pas. Mais je ne vais pas me défiler alors revenez et rasez moi »
« Très bien, comme vous voulez »
Elle revient vers moi et enfile ses gants pendant que je m’allonge sur le lit en remontant ma blouse jusque sur mon thorax. C’est un petit moment gênant mais une fois dans cette position je relativise et je prends ça à la rigolade. Aucune des infirmières ne gagnera le pari aujourd’hui et j’aimerais bien voir la tête quelles vont faire quand Gisèle leur annoncera que c’est elle qui m’a rasée.
Gisèle étale donc la mousse sur ma cuisse gauche et rase tous les poils. Même traitement pour la droite. C’est rapide, en 5 minutes c’est fait. Je me concentre pour ne pas rigoler car c’est une sensation bizarre de sentir quelqu’un me raser et que ça chatouille un peu. Mais là fini de rigoler, Gisèle s’attaque à mes attributs masculins. Un peu de mousse au-dessus de mon sexe, puis sur les testicules qu’elle caresse pour bien étaler la mousse et elle finit par la zone entre mon sexe et mon anus. Ouah sacré sensation et je commence à avoir un début d’érection tellement c’est agréable. Retiens-toi me dis-je. Mais rien à faire, mon érection prend de l’ampleur. Imaginez un peu la gêne.
« Gisèle je suis désolé mais… comment dire… vous êtes en train de créer une certaine réaction chez moi que je ne peux pas contrôler et ça m’embarrasse beaucoup »
« J’avais remarqué. On peut clairement dire que vous bandez. Ca arrive parfois ne vous inquiétez pas. C’est agréable au moins ? » et elle rigole.
« Vous êtes une marrante vous. J’aimerais bien vous voir à ma place »
« Voilà c’est fini. Votre peau est un peu irritée je vais vous mettre de la lotion »
Elle attrape un tube de crème et commence à en mettre sur mon sexe. Je n’en peux plus et j’ai une belle érection. Je la regarde faire, elle me sourit et elle continue de me masser. C’est quand même un peu long pour seulement mettre de la crème, je crois bien qu’elle en profite. Oui, c’est clair qu’elle en profite, elle vient de refermer sa main sur ma verge et elle fait de petits mouvements vers le haut et le bas. Je n’en reviens pas ; elle est en train de me masturber… et j’apprécie. Elle fait des mouvements beaucoup plus amples et plus rapides. Sa main glisse très bien grâce à la crème et je me laisse faire.
« Doucement doucement je vais éjaculer »
« Et alors ? Laisse toi aller »
Elle accélère encore la masturbation en serrant ma verge plus fort. J’atteint le point de non retour et j’éjacule 3 ou 4 jets de sperme sur mon nombril et mon ventre.
« Allez va te laver maintenant »
« D’accord mais tu viens m’aider car tu es mon infirmière »
« C’est quoi ce plan ? » dit-elle en rigolant. « Tu ne crois pas que tu en as déjà assez eu ? »
« Si mais peut-être que je peux faire quelquechose pour toi à mon tour »
Je me lève, je l’attrape par le bras et je la tire dans la salle de bain. Elle résiste un peu mais plus par principe que par refus. Je déboutonne sa blouse puis elle enlève ses vêtements pour se retrouver en culotte et soutien-gorge. Elle fait tomber sa culotte à ses pieds et dégraffe son soutien-gorge. Je règle la température de la douche sous laquelle elle vient me rejoindre. Nous prenons du gel douche et nous faisons courir nos mains sur nos corps. Je frotte ses épaules, je descends sur ses seins, son ventre, ses hanches, ses fesses et enfin son sexe. Je glisse un doigt dans son sexe tout doucement. Avec le gel douche ça glisse bien, nous collons nos corps l’un à l’autre pendant que l’on s’embrasse et ses mains sont posées sur mes fesses. Elle revient sur mon sexe et me masturbe à nouveau.
« On dirait que tu es déjà en forme »
« Normal avec le traitement que tu m’infliges »
Je la retourne et je la plaque contre la paroi de la douche. Je viens me placer derrière elle et je dirige ma verge vers son sexe. Je sens l’entrée de sa chatte, je viens appuyer dessus avec mon gland et je la pénètre doucement. Je fais de lents va-et-vient en sortant pratiquement ma verge à chaque pénétration. J’accélère le rythme, je malaxe ses seins tout en l’embrassant dans le cou. Elle s’appuie contre le mur et cambre les reins pour faire basculer un peu ses fesses. La pénétration est encore plus profonde et je l’entends haleter, elle pose sa main sur ma hanche ; signe que j’interprète comme une demande pour ralentir. Je change mes mouvements, maintenant je plie légèrement les jambes puis je me mets sur la pointe des pieds et ainsi de suite. C’est super physique et ça me fait mal aux jambes mais elle semble apprécier car elle est en train de gémir. Quelques minutes comme ça et je sens son sexe se serrer puis elle lâche un râle de plaisir. Elle vient de jouir. Elle se retourne avec un grand sourire, attrape mon sexe avec sa main et me masturbe énergiquement. Je finis par éjaculer quelques gouttes. J’ai les jambes coupées mais je suis heureux. On se rince sous la douche puis on se rhabille.
« A bientôt pour d’autres soins » me lance-t‘elle en sortant de la chambre.
Je suis allongé sur le lit et je réalise doucement ce qui vient de se passer.
Seulement dans tes rêves.
Il y a quelques semaines je me suis blessé à la jambe en bricolant et un éclat de métal est venu se loger dans l’intérieur de ma cuisse gauche. Ce n’est pas grand-chose mais mon médecin ne peut pas l’enlever donc je dois aller à l’hôpital pour me faire anesthésier car le morceau de métal est tout de même assez profondément enfoncé dans le muscle. Je me présente donc aux admissions où on m’envoie vers le service concerné qui me donne une chambre. L’opération va être rapide mais comme il va y avoir plusieurs points de suture et que le muscle est peut-être touché je vais devoir rester allongé 2 jours et ensuite j’aurais le droit à des béquilles pour poser ma jambe le moins possible par terre. Tant pis pour moi, je n’ai pas été prudent en bricolant donc maintenant j’en paye les conséquences.
Et quelles conséquences ! Une belle infirmière blonde d’à peu près mon âge vient s’occuper de moi. Ah le fantasme de l’infirmière ! Pour avoir fait plusieurs séjours à l’hôpital je croyais que ça n’existait pas une jolie infirmière donc j’arrivais avec des a prioris « les infirmières vont être moches et la bouffe est dégueulasse ». Pour la nourriture ça se confirme mais qu’elle bonne surprise de voir cette belle femme. Une poitrine généreuse qui tend le tissu de la blouse… oula la doucement, il ne faut pas que je me fasse un film. Je repère son prénom sur sa blouse « sandrine », on se fait des sourires à tour de bras mais impossible de discuter avec elle car elle est surchargée de boulot. Elle finit par me dire qu’il va falloir que je me rase car l’opération va se faire au bloc sous champ stérile et que par conséquent il ne doit pas y avoir de poils autour de la blessure.
« Il faut raser l’intérieur des 2 cuisses et le bas-ventre. Vous voulez que je m’en charge ou vous le faites vous-même ? »
Le bas-ventre ? Le bas-ventre ? Elle veut dire « le sexe » ? Whaou le rêve, une superbe infirmière qui va me raser le sexe. Non non je suis trop timide, j’aurais trop honte qu’elle me voit comme ça.
« Alors Monsieur ? C’est comme vous voulez, de toute façon je passerais pour vérifier. Ne vous inquiétez pas j’ai l’habitude »
Dans ce cas allons-y, on verra bien si j’arrive à aller plus loin avec elle. De toute façon elle me verra avec le sexe rasé alors autant en profiter.
« D’accord Sandrine, je vous laisse faire car je n’ai pas trop bien compris où vous vouliez que je rase ». Je rougis un peu et je suis quand même mal à l’aise mais le plus dur est fait. Il fallait le dire et maintenant je n’ai plus qu’à me laisser porter par les évènements.
« Très bien, je repasse tout à l’heure avec le nécessaire »
2 heures passent, on toque à la porte.
« Bonjour, je suis Gisèle. Ma collègue m’a dit qu’il fallait vous raser »
Aaaaaahhhhh mais où est Sandrine ? Gisèle à l’air sympathique mais au niveau du physique ce n’est pas du tout la même chose. Une bonne cinquantaine d’années et pas mal de kilos en trop.
« Ah… euh… c’est que je m’attendais à voir Sandrine »
« Elle est occupée ailleurs mais ne vous inquiétez pas je sais me débrouiller, j’ai tout le matériel ici ça va être rapide »
« Euh… » Aïe la tuile. Vite vite vite il faut que je trouve une excuse valable pour esquiver Gisèle
« Allez allez. Allongez vous et remontez votre blouse » me dit-elle avec un grand sourire.
« … Oh vous devez certainement avoir beaucoup de travail. Je vais m’en charger moi-même. Posez tout ça sur la table »
« Ah les hommes ! A chaque fois c’est pareil. Quand c’est Sandrine qui demande vous êtes tous d’accord mais quand j’arrive c’est bizarre tout le monde se débrouille tout seul. Ne vous inquiétez pas vous n’êtes pas le premier. D’ailleurs nous faisons des paris avec les autres infirmières sur l’excuse que vous allez trouver. Je vous laisse le rasoir ici et je repasse pour contrôler »
Elle pose le plateau avec le rasoir et la mousse puis se dirige vers la porte. Je suis touché au vif de m’être fait prendre comme un gamin en train de piquer des bonbons.
« OK Gisèle j’avoue tout » dis-je en rigolant. Je sens que c’est une marrante donc à défaut de passer un moment coquin on peut au moins plaisanter et se détendre un peu. « J’avoue que Sandrine est carrément jolie et je m’imaginais des choses. Vous savez ce que c’est le fantasme de l’infirmière ; les hommes ne résistent pas. Mais je ne vais pas me défiler alors revenez et rasez moi »
« Très bien, comme vous voulez »
Elle revient vers moi et enfile ses gants pendant que je m’allonge sur le lit en remontant ma blouse jusque sur mon thorax. C’est un petit moment gênant mais une fois dans cette position je relativise et je prends ça à la rigolade. Aucune des infirmières ne gagnera le pari aujourd’hui et j’aimerais bien voir la tête quelles vont faire quand Gisèle leur annoncera que c’est elle qui m’a rasée.
Gisèle étale donc la mousse sur ma cuisse gauche et rase tous les poils. Même traitement pour la droite. C’est rapide, en 5 minutes c’est fait. Je me concentre pour ne pas rigoler car c’est une sensation bizarre de sentir quelqu’un me raser et que ça chatouille un peu. Mais là fini de rigoler, Gisèle s’attaque à mes attributs masculins. Un peu de mousse au-dessus de mon sexe, puis sur les testicules qu’elle caresse pour bien étaler la mousse et elle finit par la zone entre mon sexe et mon anus. Ouah sacré sensation et je commence à avoir un début d’érection tellement c’est agréable. Retiens-toi me dis-je. Mais rien à faire, mon érection prend de l’ampleur. Imaginez un peu la gêne.
« Gisèle je suis désolé mais… comment dire… vous êtes en train de créer une certaine réaction chez moi que je ne peux pas contrôler et ça m’embarrasse beaucoup »
« J’avais remarqué. On peut clairement dire que vous bandez. Ca arrive parfois ne vous inquiétez pas. C’est agréable au moins ? » et elle rigole.
« Vous êtes une marrante vous. J’aimerais bien vous voir à ma place »
« Voilà c’est fini. Votre peau est un peu irritée je vais vous mettre de la lotion »
Elle attrape un tube de crème et commence à en mettre sur mon sexe. Je n’en peux plus et j’ai une belle érection. Je la regarde faire, elle me sourit et elle continue de me masser. C’est quand même un peu long pour seulement mettre de la crème, je crois bien qu’elle en profite. Oui, c’est clair qu’elle en profite, elle vient de refermer sa main sur ma verge et elle fait de petits mouvements vers le haut et le bas. Je n’en reviens pas ; elle est en train de me masturber… et j’apprécie. Elle fait des mouvements beaucoup plus amples et plus rapides. Sa main glisse très bien grâce à la crème et je me laisse faire.
« Doucement doucement je vais éjaculer »
« Et alors ? Laisse toi aller »
Elle accélère encore la masturbation en serrant ma verge plus fort. J’atteint le point de non retour et j’éjacule 3 ou 4 jets de sperme sur mon nombril et mon ventre.
« Allez va te laver maintenant »
« D’accord mais tu viens m’aider car tu es mon infirmière »
« C’est quoi ce plan ? » dit-elle en rigolant. « Tu ne crois pas que tu en as déjà assez eu ? »
« Si mais peut-être que je peux faire quelquechose pour toi à mon tour »
Je me lève, je l’attrape par le bras et je la tire dans la salle de bain. Elle résiste un peu mais plus par principe que par refus. Je déboutonne sa blouse puis elle enlève ses vêtements pour se retrouver en culotte et soutien-gorge. Elle fait tomber sa culotte à ses pieds et dégraffe son soutien-gorge. Je règle la température de la douche sous laquelle elle vient me rejoindre. Nous prenons du gel douche et nous faisons courir nos mains sur nos corps. Je frotte ses épaules, je descends sur ses seins, son ventre, ses hanches, ses fesses et enfin son sexe. Je glisse un doigt dans son sexe tout doucement. Avec le gel douche ça glisse bien, nous collons nos corps l’un à l’autre pendant que l’on s’embrasse et ses mains sont posées sur mes fesses. Elle revient sur mon sexe et me masturbe à nouveau.
« On dirait que tu es déjà en forme »
« Normal avec le traitement que tu m’infliges »
Je la retourne et je la plaque contre la paroi de la douche. Je viens me placer derrière elle et je dirige ma verge vers son sexe. Je sens l’entrée de sa chatte, je viens appuyer dessus avec mon gland et je la pénètre doucement. Je fais de lents va-et-vient en sortant pratiquement ma verge à chaque pénétration. J’accélère le rythme, je malaxe ses seins tout en l’embrassant dans le cou. Elle s’appuie contre le mur et cambre les reins pour faire basculer un peu ses fesses. La pénétration est encore plus profonde et je l’entends haleter, elle pose sa main sur ma hanche ; signe que j’interprète comme une demande pour ralentir. Je change mes mouvements, maintenant je plie légèrement les jambes puis je me mets sur la pointe des pieds et ainsi de suite. C’est super physique et ça me fait mal aux jambes mais elle semble apprécier car elle est en train de gémir. Quelques minutes comme ça et je sens son sexe se serrer puis elle lâche un râle de plaisir. Elle vient de jouir. Elle se retourne avec un grand sourire, attrape mon sexe avec sa main et me masturbe énergiquement. Je finis par éjaculer quelques gouttes. J’ai les jambes coupées mais je suis heureux. On se rince sous la douche puis on se rhabille.
« A bientôt pour d’autres soins » me lance-t‘elle en sortant de la chambre.
Je suis allongé sur le lit et je réalise doucement ce qui vient de se passer.
Seulement dans tes rêves.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Pourquoi pas
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...