Madame L, ma prof de sport
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Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Madame L, ma prof de sport
Ca y est, c’est l’heure du cours d’EPS (Education Physique et Sportive). Bref, c’est le cours de sport mais c’est mieux de dire EPS. Qu’est-ce que j’ai horreur de faire du sport ! 2h le mardi matin et 1h (en dernière heure) le jeudi. Ca m’énerve de courir comme un demeuré autour d’un stade pendant 2h par -5°. Et ensuite il faut enchaîner avec une interro de math ??? Génial, au bout de 200m j’ai envie de vomir et tout le reste de la journée je sens la transpiration. C’est Madame L qui nous fait cours. Elle est plutôt jolie à regarder avec son 1m70 et ses cheveux bruns coupés au carré. Elle n’a pas une grosse poitrine mais ses fesses sont bien dessinées dans son jogging. N’empêche que c’est un tyran du chronomètre et qu’avec elle il faut toujours aller plus vite. Cerise sur le gâteau elle nous demande de tout ranger quand on fait de la gym. Les autres classes ont sorti tout un tas de matériel pendant la journée et c’est nous qui devons tout ranger car c’est le dernier cours de la journée. Chaque jeudi elle tire au sort un élève pour l’aider à ranger. Avec les copains on plaisante un peu à son sujet :
« Chiche de lui mettre une main aux fesses pendant le rangement »
« Tu ne voudrais pas faire quelques galipettes supplémentaires après le cours ? »
« Et si on simulait un malaise pour qu’elle nous fasse du bouche-à-bouche ? »
Vous voyez le genre de plans qu’on se monte entre potes. Nous avions les hormones en ébullition et peur de rien mais avec du recul je me rends compte que nous avions beaucoup de gueule et peu de courage. Nous étions tiraillés entre l’envie de tenter quelquechose avec Madame L et la peur de nous faire rembarrer.
Cette fois-ci c’est un copain qui a la chance de tout ranger avec Madame L. A peine arrivés le lendemain matin les questions fusent de toutes parts pour savoir ce qui s’est passé la veille. Il joue le fanfaron et il essaye de nous mener en bateau en nous faisant croire qu’il l’a embrassée mais rapidement nous nous rendons compte que c’est du vent.
Plusieurs semaines passent jusqu’à ce fameux jeudi où les copains ont le présentiment que c’est moi qui vais devoir tout ranger. Je vois leur petit manège qui consiste à sortir des tonnes de tapis et d’accessoires en tout genre. Les enfoirés, ils mettent un maximum de bazar juste pour m’emmerder ! Et ça ne rate pas, à la fin du cours Madame L me désigne pour l’aider à ranger. Mes potes sont morts de rire et ils partent en me faisant des clins d’œil et bon nombre de gestes équivoques. Je commence le rangement en allant chercher un gros chariot qui va nous servir à transporter les petits tapis mais qui sont super lourds. Ils font 5 ou 6 cm d’épaisseur et on dirait qu’ils sont en gomme. Il faut être 2 pour les déplacer et il y en a une bonne vingtaine. Au début c’est facile mais au fur et à mesure qu’on les empile sur le chariot il faut les lever plus haut. Le chariot est garé dans un coin puis on s’attaque aux agrès ; barres asymétriques, barres parallèles et poutre que l’on déplace facilement grâce à des roulettes. J’en profite pour mater Madame L dès que je peux. Elle coince son tee-shirt ce qui a pour effet de tendre le tissu ; moulant ainsi sa poitrine. Un peu après elle me tourne le dos et elle se penche me laissant une vue magnifique sur ses fesses. Olala, elle porte un string ! J’ai comme des bouffées de chaleur, je ne sais pas si c’est dû au rangement intensif ou à l’excitation. Toujours est-il que je la mate de plus en plus souvent et de moins en moins discrètement ce qui me provoque une érection difficile à cacher. Les gros tapis Dima vont rejoindre le reste des équipements dans la réserve et nous quittons la pièce.
« Oh non » dit Madame L en arrivant sur le terrain principal du gymnase. « Ils n’ont pas rangé les poteaux de volley. Tu m’aides à les ranger ? A deux ça ira vite. »
« Bah… d’accord »
Cinq minutes plus tard tout est rangé et je me dirige vers les vestiaires pour me changer. Madame L me suit dans le couloir :
« Merci pour le rangement »
« De rien, c’est normal. »
« D’habitude tes camarades râlent. »
« C’est vrai que c’est un peu pénible de ranger les affaires des autres. »
J’allais entrer dans le vestiaire quand :
« Euh… encore une chose. »
« Oui. Quoi ? »
« … non… rien laisse tomber. »
« Bah si dites moi. Vous en avez trop dit ou pas assez. »
« … Tu pourrais être plus discret quand tu me mates. »
« Ah… euh… » et dans un éclair de folie je lâche « c’est que votre string fait super bien ressortir vos fesses. »
Je ne comprends pas ce qui se passe mais nos regards se croisent et il y a comme une sorte de compréhension mutuelle. Elle me pousse à l’intérieur du vestiaire. La porte ne s’est même pas encore refermée que Madame L est déjà en train de m’embrasser. Je suis en panique mais en même temps j’aime ça. Sa langue vient fouiller dans ma bouche pendant que je me pose des questions débiles ‘mais comment faire pour respirer ?’ ‘Pourvu que je ne cogne pas ses dents’ ‘j’espère que ma salive ne va pas dégouliner partout’… Moi aussi je joue avec ma langue dans sa bouche. Mes mains ne sont pas en reste et viennent se plaquer sur ses fesses. C’est confirmé, elle porte un string. Je tire dessus mais Madame L grogne et s’écarte de moi.
« Ne tire pas dessus, ça fait mal. Enlève-le »
Je descends donc son jogging me trouvant nez-à-nez avec un joli string à fleurs roses. Je le descends à son tour pour découvrir le sexe de Madame L. Un magnifique triangle de poils sombres coupés courts. Je suis à genoux par terre, elle relève une jambe pour enlever son jogging ce qui entrouvre sa chatte me laissant une vue imprenable sur son intimité. Je ne réfléchis pas et je plonge la tête vers son entre-cuisse. J’ai une expérience sexuelle proche de zéro alors je fais n’importe quoi avec ma langue mais elle a l’air d’apprécier car je sens sa chatte ‘changer de goût’. Elle s’allonge sur un banc et elle me demande de continuer à la lécher. Elle m’indique les mouvements à faire et la pression à donner en appuyant sur ma tête. Je ne me pose pas de questions, je la laisse diriger et je savoure ce moment délicieux.
« Viens en moi » me souffle-t’elle.
Il me faut à peine une seconde pour descendre mon short et mon caleçon. Je me redresse et je présente mon sexe à l’entrée de son vagin. Je pousse tranquillement pour entrer en elle. Je ne rencontre aucune difficulté tellement elle est mouillée. Quelle sensation de sentir son sexe entourer le mien dans une sorte de chaleur humide. Ma verge commence à faire des pulsations.
« Non, pas encore » me dit-elle. « Encore un peu »
Mais c’est trop d’excitation pour moi et j’éjacule en elle dans un râle que j’essaye d’étouffer. J’ai les jambes coupées et mon érection diminue légèrement. Je me retire et je m’assoit sur le banc à côté de Madame L. Elle m’embrasse tendrement.
« Pas trop mal pour une première fois. »
« Ca ne vous a pas plu ? »
« J’ai eu du plaisir mais pas d’orgasme. »
« … zut. Je suis si mauvais que ça ? »
« Pour un début ce n’est pas trop mal. On fera mieux la prochaine fois… Allez, à la douche. »
Je me savonne sous le jet d’eau chaude en pensant à tout ce qui vient de se passer et en imaginant tout ce qui pourrait se produire dans un avenir proche. Madame L prend le jet juste à côté de moi dans les douches communes. Mon érection revient à toute allure et je m’approche d’elle pour la savonner. Je passe mes mains sur son corps, mon sexe bien dur vient pointer contre son ventre.
« Tss, tsss c’est tout pour aujourd’hui » me dit-elle en prenant ma verge à pleine main et en me masturbant. Elle m’embrasse, finit de se rincer puis s’éloigne pour aller se sécher. Je reste sous l’eau, tout pensif, je sors de ma torpeur quand je la vois mettre son pantalon. Vite, il faut que je m’habille moi aussi. Quand je sors du vestiaire elle a disparu. De toute façon qu’aurais-je fais ?
Le lendemain matin c’est le feu de questions des copains. Je leur raconte tout mais ils ne me croient pas (ce qui n’est pas plus mal d’ailleurs). De mon côté je connais la vérité et j’appréhende le cours de mardi. C’est donc hyper stressé et ne sachant pas sur quel pied danser que j’arrive en cours le mardi. Madame L me fait un petit sourire genre ‘on a un petit secret tous les deux’ ce qui me détend. Elle profite même d’un moment où nous sommes proches pour poser sa main sur mon sexe à travers mon short. C’est furtif mais ça me fait un effet terrible. « A jeudi » me dit-elle avec un clin d’œil à la fin du cours. Autant vous dire que j’ai passé le reste de la journée à rêver d’elle.
Enfin voilà l’heure de sport tant attendue. Je me remets un coup de déo avant le cours ce qui me vaut un regard interrogateur d’un camarade. Je lui donne une vague explication sur la transpiration que me provoque la gym. Que cette heure fût longue, je n’avais qu’une hâte : me retrouver seul avec Madame L. Elle m’aidait à faire une figure improbable à mes yeux et elle en profitant pour me dire rapidement de l’attendre dehors le temps qu’elle fasse faire le rangement à quelqu’un d’autre. Ca paraîtrait louche que je sois de corvée toutes les semaines. Je traîne dans le vestiaire pour sortit bon dernier et aller me planquer derrière un buisson. L’heureux élu de corvée de rangement sort enfin en courant. S’il savait ce qu’il rate ! Dès qu’il a passé le coin du bâtiment j’entre et je tombe sur Madame L qui m’attend dans le couloir.
« Suis-moi. Allons dans le vestiaire des profs. »
J’ai déjà une érection terrible, presque douloureuse. Elle me précède, je suis à peine entré qu’elle vient écraser sa bouche sur la mienne. C’est un baiser énergique avec nos langues tournoyant dans tous les sens.
« Je veux sentir ta langue sur moi » dit-elle en enlevant son tee-shirt et son soutien-gorge. Je lèche ces tétons qui s’offrent à moi. Je les mordille, je les aspire, je les tète, je les pince. Mes mains descendent sur ses fesses où elles rencontrent une fois de plus un string. Je glisse mes doigts sous ses vêtements et j’écarte les derniers bouts de tissus me cachant ce sexe tant convoité. Ma bouche descend sur son ventre, j’effleure sa peau du bout des lèvres jusqu’à son sexe. Ma langue entre en contact avec ses poils, je tourne autour de l’entrée passant d’une cuisse à l’autre. Finalement je pose ma langue sur ses lèvres entrouvertes pour goûter à son intimité. Je joue avec son clitoris, j’entre ma langue en elle jusqu’à ce que je la sente onduler sous mes caresse buccales. Elle se met à quatre pattes sur le banc ne me laissant aucun doute sur ce que je dois faire. Je présente mon sexe derrière elle et je la pénètre centimètre par centimètre. J’entre en elle de toute la longueur de mon sexe bandé au maximum, je fais des va-et-vients plus ou moins rapides et c’est dans un rythme endiablé que nous finissons cette levrette quelques minutes plus tard.
Nous prenons notre douche ensemble puis nous nous séparons en nous donnant rendez-vous le jeudi suivant.
C’est ainsi que j’ai passé une année de sport formidable, attendant impatiemment le jeudi. Mes copains se posaient des questions et une fois nous avons failli nous faire surprendre mais cela ajoutait du piment à nos ébats. C’est avec une grande tristesse que j’ai vu les grandes vacances arriver car je savais que cela mettrait un terme à tous ces bons moments.
Seulement dans tes rêves.
« Chiche de lui mettre une main aux fesses pendant le rangement »
« Tu ne voudrais pas faire quelques galipettes supplémentaires après le cours ? »
« Et si on simulait un malaise pour qu’elle nous fasse du bouche-à-bouche ? »
Vous voyez le genre de plans qu’on se monte entre potes. Nous avions les hormones en ébullition et peur de rien mais avec du recul je me rends compte que nous avions beaucoup de gueule et peu de courage. Nous étions tiraillés entre l’envie de tenter quelquechose avec Madame L et la peur de nous faire rembarrer.
Cette fois-ci c’est un copain qui a la chance de tout ranger avec Madame L. A peine arrivés le lendemain matin les questions fusent de toutes parts pour savoir ce qui s’est passé la veille. Il joue le fanfaron et il essaye de nous mener en bateau en nous faisant croire qu’il l’a embrassée mais rapidement nous nous rendons compte que c’est du vent.
Plusieurs semaines passent jusqu’à ce fameux jeudi où les copains ont le présentiment que c’est moi qui vais devoir tout ranger. Je vois leur petit manège qui consiste à sortir des tonnes de tapis et d’accessoires en tout genre. Les enfoirés, ils mettent un maximum de bazar juste pour m’emmerder ! Et ça ne rate pas, à la fin du cours Madame L me désigne pour l’aider à ranger. Mes potes sont morts de rire et ils partent en me faisant des clins d’œil et bon nombre de gestes équivoques. Je commence le rangement en allant chercher un gros chariot qui va nous servir à transporter les petits tapis mais qui sont super lourds. Ils font 5 ou 6 cm d’épaisseur et on dirait qu’ils sont en gomme. Il faut être 2 pour les déplacer et il y en a une bonne vingtaine. Au début c’est facile mais au fur et à mesure qu’on les empile sur le chariot il faut les lever plus haut. Le chariot est garé dans un coin puis on s’attaque aux agrès ; barres asymétriques, barres parallèles et poutre que l’on déplace facilement grâce à des roulettes. J’en profite pour mater Madame L dès que je peux. Elle coince son tee-shirt ce qui a pour effet de tendre le tissu ; moulant ainsi sa poitrine. Un peu après elle me tourne le dos et elle se penche me laissant une vue magnifique sur ses fesses. Olala, elle porte un string ! J’ai comme des bouffées de chaleur, je ne sais pas si c’est dû au rangement intensif ou à l’excitation. Toujours est-il que je la mate de plus en plus souvent et de moins en moins discrètement ce qui me provoque une érection difficile à cacher. Les gros tapis Dima vont rejoindre le reste des équipements dans la réserve et nous quittons la pièce.
« Oh non » dit Madame L en arrivant sur le terrain principal du gymnase. « Ils n’ont pas rangé les poteaux de volley. Tu m’aides à les ranger ? A deux ça ira vite. »
« Bah… d’accord »
Cinq minutes plus tard tout est rangé et je me dirige vers les vestiaires pour me changer. Madame L me suit dans le couloir :
« Merci pour le rangement »
« De rien, c’est normal. »
« D’habitude tes camarades râlent. »
« C’est vrai que c’est un peu pénible de ranger les affaires des autres. »
J’allais entrer dans le vestiaire quand :
« Euh… encore une chose. »
« Oui. Quoi ? »
« … non… rien laisse tomber. »
« Bah si dites moi. Vous en avez trop dit ou pas assez. »
« … Tu pourrais être plus discret quand tu me mates. »
« Ah… euh… » et dans un éclair de folie je lâche « c’est que votre string fait super bien ressortir vos fesses. »
Je ne comprends pas ce qui se passe mais nos regards se croisent et il y a comme une sorte de compréhension mutuelle. Elle me pousse à l’intérieur du vestiaire. La porte ne s’est même pas encore refermée que Madame L est déjà en train de m’embrasser. Je suis en panique mais en même temps j’aime ça. Sa langue vient fouiller dans ma bouche pendant que je me pose des questions débiles ‘mais comment faire pour respirer ?’ ‘Pourvu que je ne cogne pas ses dents’ ‘j’espère que ma salive ne va pas dégouliner partout’… Moi aussi je joue avec ma langue dans sa bouche. Mes mains ne sont pas en reste et viennent se plaquer sur ses fesses. C’est confirmé, elle porte un string. Je tire dessus mais Madame L grogne et s’écarte de moi.
« Ne tire pas dessus, ça fait mal. Enlève-le »
Je descends donc son jogging me trouvant nez-à-nez avec un joli string à fleurs roses. Je le descends à son tour pour découvrir le sexe de Madame L. Un magnifique triangle de poils sombres coupés courts. Je suis à genoux par terre, elle relève une jambe pour enlever son jogging ce qui entrouvre sa chatte me laissant une vue imprenable sur son intimité. Je ne réfléchis pas et je plonge la tête vers son entre-cuisse. J’ai une expérience sexuelle proche de zéro alors je fais n’importe quoi avec ma langue mais elle a l’air d’apprécier car je sens sa chatte ‘changer de goût’. Elle s’allonge sur un banc et elle me demande de continuer à la lécher. Elle m’indique les mouvements à faire et la pression à donner en appuyant sur ma tête. Je ne me pose pas de questions, je la laisse diriger et je savoure ce moment délicieux.
« Viens en moi » me souffle-t’elle.
Il me faut à peine une seconde pour descendre mon short et mon caleçon. Je me redresse et je présente mon sexe à l’entrée de son vagin. Je pousse tranquillement pour entrer en elle. Je ne rencontre aucune difficulté tellement elle est mouillée. Quelle sensation de sentir son sexe entourer le mien dans une sorte de chaleur humide. Ma verge commence à faire des pulsations.
« Non, pas encore » me dit-elle. « Encore un peu »
Mais c’est trop d’excitation pour moi et j’éjacule en elle dans un râle que j’essaye d’étouffer. J’ai les jambes coupées et mon érection diminue légèrement. Je me retire et je m’assoit sur le banc à côté de Madame L. Elle m’embrasse tendrement.
« Pas trop mal pour une première fois. »
« Ca ne vous a pas plu ? »
« J’ai eu du plaisir mais pas d’orgasme. »
« … zut. Je suis si mauvais que ça ? »
« Pour un début ce n’est pas trop mal. On fera mieux la prochaine fois… Allez, à la douche. »
Je me savonne sous le jet d’eau chaude en pensant à tout ce qui vient de se passer et en imaginant tout ce qui pourrait se produire dans un avenir proche. Madame L prend le jet juste à côté de moi dans les douches communes. Mon érection revient à toute allure et je m’approche d’elle pour la savonner. Je passe mes mains sur son corps, mon sexe bien dur vient pointer contre son ventre.
« Tss, tsss c’est tout pour aujourd’hui » me dit-elle en prenant ma verge à pleine main et en me masturbant. Elle m’embrasse, finit de se rincer puis s’éloigne pour aller se sécher. Je reste sous l’eau, tout pensif, je sors de ma torpeur quand je la vois mettre son pantalon. Vite, il faut que je m’habille moi aussi. Quand je sors du vestiaire elle a disparu. De toute façon qu’aurais-je fais ?
Le lendemain matin c’est le feu de questions des copains. Je leur raconte tout mais ils ne me croient pas (ce qui n’est pas plus mal d’ailleurs). De mon côté je connais la vérité et j’appréhende le cours de mardi. C’est donc hyper stressé et ne sachant pas sur quel pied danser que j’arrive en cours le mardi. Madame L me fait un petit sourire genre ‘on a un petit secret tous les deux’ ce qui me détend. Elle profite même d’un moment où nous sommes proches pour poser sa main sur mon sexe à travers mon short. C’est furtif mais ça me fait un effet terrible. « A jeudi » me dit-elle avec un clin d’œil à la fin du cours. Autant vous dire que j’ai passé le reste de la journée à rêver d’elle.
Enfin voilà l’heure de sport tant attendue. Je me remets un coup de déo avant le cours ce qui me vaut un regard interrogateur d’un camarade. Je lui donne une vague explication sur la transpiration que me provoque la gym. Que cette heure fût longue, je n’avais qu’une hâte : me retrouver seul avec Madame L. Elle m’aidait à faire une figure improbable à mes yeux et elle en profitant pour me dire rapidement de l’attendre dehors le temps qu’elle fasse faire le rangement à quelqu’un d’autre. Ca paraîtrait louche que je sois de corvée toutes les semaines. Je traîne dans le vestiaire pour sortit bon dernier et aller me planquer derrière un buisson. L’heureux élu de corvée de rangement sort enfin en courant. S’il savait ce qu’il rate ! Dès qu’il a passé le coin du bâtiment j’entre et je tombe sur Madame L qui m’attend dans le couloir.
« Suis-moi. Allons dans le vestiaire des profs. »
J’ai déjà une érection terrible, presque douloureuse. Elle me précède, je suis à peine entré qu’elle vient écraser sa bouche sur la mienne. C’est un baiser énergique avec nos langues tournoyant dans tous les sens.
« Je veux sentir ta langue sur moi » dit-elle en enlevant son tee-shirt et son soutien-gorge. Je lèche ces tétons qui s’offrent à moi. Je les mordille, je les aspire, je les tète, je les pince. Mes mains descendent sur ses fesses où elles rencontrent une fois de plus un string. Je glisse mes doigts sous ses vêtements et j’écarte les derniers bouts de tissus me cachant ce sexe tant convoité. Ma bouche descend sur son ventre, j’effleure sa peau du bout des lèvres jusqu’à son sexe. Ma langue entre en contact avec ses poils, je tourne autour de l’entrée passant d’une cuisse à l’autre. Finalement je pose ma langue sur ses lèvres entrouvertes pour goûter à son intimité. Je joue avec son clitoris, j’entre ma langue en elle jusqu’à ce que je la sente onduler sous mes caresse buccales. Elle se met à quatre pattes sur le banc ne me laissant aucun doute sur ce que je dois faire. Je présente mon sexe derrière elle et je la pénètre centimètre par centimètre. J’entre en elle de toute la longueur de mon sexe bandé au maximum, je fais des va-et-vients plus ou moins rapides et c’est dans un rythme endiablé que nous finissons cette levrette quelques minutes plus tard.
Nous prenons notre douche ensemble puis nous nous séparons en nous donnant rendez-vous le jeudi suivant.
C’est ainsi que j’ai passé une année de sport formidable, attendant impatiemment le jeudi. Mes copains se posaient des questions et une fois nous avons failli nous faire surprendre mais cela ajoutait du piment à nos ébats. C’est avec une grande tristesse que j’ai vu les grandes vacances arriver car je savais que cela mettrait un terme à tous ces bons moments.
Seulement dans tes rêves.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment superbe ça m'as fait penser à ce qu'il s'est passer avec ma prof de sport l'année dernière... ça me manque
Oui j'ai d'autres histoires mais il me faut un peu de temps pour écrire.
Réel ou fictif.... ? Je laisse planer le doute.
Réel ou fictif.... ? Je laisse planer le doute.
J'ai adoré ton histoire
Ma femme et moi avons pris notre pied en nous régalant de votre récit. De plus ma femme est prof ! Ce qui nous a encore plus fait fantasmer !
Merci pour ce bon moment que j'ai passé en lisant cette histoire érotique
Je ne sais pas si cette histoire est vraie mais elle est très bien racontée ; si tu en as d'autres d'aussi bien, ne les garde pas "seulement dans tes r^ves" mais partage les avec nous ;))
Superbement excitant, on a tous fantasmé sur une prof