initiation aux nouveaux plaisirs (épisode 1) - histoire érotique

Cette histoire est sûrement d’une grande banalité, mais elle a le mérite d’être 100 % vraie, seuls les prénoms ont été changés pour garder l’anonymat.
Je me présente, Fabrice, j’ai 26 ans, employé dans une banque, je vis dans une grande ville de province et suis célibataire. Sans être un canon, il paraît que je suis pas mal avec des yeux bleus et 1m 90. Je suis assez timide et j’ai horreur d’aller en boite ou dans tous ces lieux ou il y a du bruit ! ! !, Difficile donc dans ces conditions de faire des rencontres. J’ai régulièrement des aventures à droite ou à gauche mais c’est souvent sans lendemain. J’ai, ou plutôt j’avais, avant cette histoire, une sexualité tout à fait classique.
Et puis un jour j’ai fait la connaissance dans ma banque d’une cliente. Je ne le savais pas encore mais cette rencontre allez bouleverser ma vie, me faire perdre tous mes repères sagement acquis.
En temps normal je ne suis pas en relation directement avec la clientèle, mais ce jour la j’aidais un de mes collègues quand son rendez vous entra. C’était une brune tout à fait classique, 1m65 environ, ni grosse ni mince, une belle poitrine. Ce que je remarqua aussitôt c’est son regard. Des yeux bleus perçant ! , le genre de regard qui vous transperce littéralement.
Je sortis du bureau pour laisser mon collègue avec son rendez-vous mais en sortant je ne pu détacher le regard de cette femme. Elle le vit et me fixé aussi. Je ressortis du bureau complètement troublé. Je ne sais pour quelle raison, j’alla jeter discrètement un œil sur le parking pour voir la voiture de cette personne. C’était une 206 grise. Je m’arrangea alors pour rester vers l’entrée de la banque, de façon à essayer de croiser cette femme lorsqu’elle partira.
Environ 20 minutes plus tard, alors que je glandais volontairement dans le hall de la banque, je la vis de nouveau au bout du couloir. Elle sortait de l’ascenseur et se dirigeait vers la sorite. J’étais sur sa route, inévitablement nous allions nous croiser !.
Mais comme je vous l’ai dit plus haut, je suis timide. Je ne suis pas du genre à accoster comme cela une fille, de plus sur mon lieu de travail … alors allez savoir ce qu’il m’a pris. Lorsqu’elle arriva à ma hauteur elle me regardait encore, avec un grand sourire aux lèvres …le genre de sourire qui veut dire « je sais que tu me regardes et moi je t’allume ». Et elle allumait bien !
Alors que mon regard était perdu dans le sien, elle s’arrêta devant moi et me demanda
-excusez moi, on ne se connaît pas ?
La ruse était bonne, et je n’y aurai pas penser. Mais plus je la regardais et plus je me disais que l’avais vu quelques parts , mais ou ?
-Tu n’es pas Fabrice ? ajouta t elle
-Si, mais comment tu sais, enfin comment vous savez ?
-Je suis Blandine, nous étions à la primaire ensemble à l’école ______.
Effectivement, je me rappelais maintenant, mon sang ne fit qu’un tour et j’en profita pour continuer.
-Oui ça y’est je me rappel de toi maintenant, mais dit donc tu as bien changé, quelle belle femme tu es devenus ….
Dans le même temps je ne remarquais aucune bague a ses doigts, c’était bien parti !
-qu’est ce que tu deviens, tu travailles ici ?
-Oui, oui, et toi
-J’ai passé une licence d’histoire géo et je suis prof dans un collège par loin d’ici.
Je me rappelais bien de Blandine maintenant. Je l’avais revu un peu plus tard, au lycée, et elle avait l’air de pas mal fricoter avec une autre fille et la prof de français que tout le monde pensait lesbienne ! ! ! !, mais je n’étais pas dans la même classe qu’elle et nous n’avions jamais réellement repris contact depuis l’école primaire.
-bien je suis content de t’avoir revu, me dit elle, si tu veux on peut se retrouver un soir pour boire un verre et se raconter nos souvenirs, tu es libre ? , enfin je veux dire tu peux te liberer ?
-Bien sur, je suis libre comme l’air !, quand tu veux !
-Et bien disons Vendredi soir, on se retrouve au Kennedy vers 21 h00 OK ?
-ok, alors à Vendredi

J’ai horreur des bars, mais pour Blandine je ferais une exception. Vendredi soir arriva, pas assez vite à mon goût. Je ne savais pas quoi penser de cette rencontre, je n’avais pas le contact facile, j’avais peur de ne pas savoir quoi dire à cette fille et que la soirée se finisse mal.
Il est 21h30 et je discute maintenant depuis un bon quart d’heure avec Blandine. Elle était en retard, je l’ai attendu, mais la discussion est animée et il n’y a pas de temps mort.
-Alors à part ton boulot tu fais quoi dans la vie, tu as une copine au moins ?
-Non tu sais, je suis assez timide et ce n’est pas facile de rencontrer quelqu’un de bien !
-Je sais, je sais
-Et toi ?, tu as quelqu’un ?
-Non, comme toi, j’ai pas mal d’aventures de temps en temps, mais rien de sérieux, je ne veux pas m’attacher, pas maintenant .
Me voilà prévenu, cette phrase m’avait sérieusement refroidi, mais finalement ne m’étonné pas de Blandine. Elle avait la tête d’une fille un peu évaporée, d’une fille qui fume un peu d’herbe de temps en temps pour être bien, qui ne se prend pas la tête, bref, une fille comme je ne l’ai aime pas !
-Aller viens, j’en ai marre de ce bruit, on va aller se promener, je vais t’emmener dans un coin tranquille, dans mon coin secret , ok ?
-Pourquoi pas
Nous voilà dans sa voiture, en train de rouler vers la campagne. Elle prends une petite route sur la droite dans un champs et stationne devant une petite falaise.
-Quand j’ai le blues je viens ici … je n’y emmène personne d’habitude
-alors pourquoi moi ?
-je me sens bien avec toi, je suis contente de t’avoir rencontré, je veux passer un peu de temps avec toi, ça te gêne ?
-non pourquoi ?, j’ai la tête
Je ne savais pas vraiment ou Blandine voulais en venir, elle me paraissait complètement insaisissable, j’avais vraiment du mal à lire dans ses pensées !
Je la suivais maintenant dans les roches, après un peu de marche elle me fit asseoir sur un petit plateau qui avait une très belle vue sur la campagne et sur la ville au loin.
-tu fumes ?
elle avait sorti un petit paquet de sa poche
-non
-mais ce n’est pas vraiment du tabac tu sais, c’est un peu mieux , tu devrais essayer avec moi
Je m’en doutais, du shit !, je n’avais jamais essayé, alors pourquoi pas
-Bon ok, mais vraiment pour te faire plaisir !
Et nous voilà parti à fumer en pleine campagne. On était au mois de Juin et la nuit commençait juste à tomber. Il faisait chaud. J’ai oublié de vous dire que Blandine était habillé avec un jean délavé et un chemisier assez ample en haut, un peu transparent, qui ne cachait pas un soutien blanc en dentelle. J’avais matté ses fesses pendant que nous marchions et il me semblait qu’elle avait un string la dessous, enfin de toutes façons pas de trace de culotte !
Blandine qui, dans un premier temps, s’était assise à coté de moi, était maintenant entre mes jambres son dos contre ma poitrine. Et nous voilà parti à parler du passé, en particulier des années lycée. Le shit aidant un peu, je lui avoua que je pensais, comme d’autre, qu’elle était lesbienne avec sa copine dont jamais oublié le nom et la prof de français.
-Ah bon, ça se voyait alors ?, la copine dont tu parles s’était Nathalie et effectivement je suis sortie avec elle pendant 3 ans !.
-Et la prof de Français ?
-Elle nous invitais chez elle mais c’étais juste pour nous regarder faire l’amour, elle n’a jamais participé !, par contre souvent elle avait invité des amies et nous avons fait quelques fois de véritables partouzes …. Quand j’y pense !
Moi aussi j’y pensais, il faut dire que Nathalie était vraiment bien faites et que la scène avec Blandine devait être torride.. J’en avait le sexe qui commençait à gonflé sérieusement !
-Mais alors, enfin je m’excuse mais tu es toujours lesbienne aujourd’hui ?
-Non Fabrice, je ne suis pas lesbienne, je ne l’ai jamais été !
-ah bon ! ! ! !, excuse moi mais une fille qui fait l’amour avec une fille tu appèles ça comment toi ?
-Ce que je veux te dire c’est que je n’allais pas exclusivement avec des filles, j’ai eu pas mal d’aventures avec des garçons !, je me considère plutôt comme bi, enfin disons que je prends le plaisir la ou il se trouve !
Voilà toute la personnalité de Blandine résumé en une phrase. Ces révélations m’avaient exitées au plus haut point !
-Et toi, au niveau du sexe ça doit aller quand même, tu fais dans le classique ?
-c’est à dire
-qu’avec des femmes ou tu as déjà essayé avec des hommes ?
-Ca va pas non !, uniquement avec des femmes
-Tu ne sais pas ce que tu perds, il faudrait que tu tombes sur une fille qui te fasse connaître le plaisir anal pour voir un peu !
-ah bon, tu coirs ça toi ?
-Oui bien sur, et si tu veux, ce sera moi !
-Mais même si tu me plais, je n’ai pas envi de découvrir ton truc la, moi mon anus personne n’y touche et je ne m’en porte pas plus mal !
-d’accord, mais dis moi, tu n’aimerais pas t’occuper du miens ?
-si bien sur
-alors tu auras le droit quand je me serai occupé du tiens, au moins une fois que tu me dises ce que tu en penses
la soirée passa vite, et avec l’aide du shit on a du dire pas mal de conneries encore. Cette discussion était restée gravé en moi !
Je n’ai pas revu Blandine pendant 15 jours après, plus de nouvelle. Je me décidai donc à l’appeler pour lui laisser un message. Finalement elle répondit
-tu vas bien depuis notre petite soirée . ?
-oui et toi ?
-bien j’ai envi de te revoir pour discuter de tu sais quoi, tu y as réfléchi ?
-Oui, enfin non, je ne sais pas, c’est vraiment curieux comme demande, tu veux pas du conventionnel plutôt ?
-non, je t’ai dit comment ça fonctionner avec moi, à toi de voir
-je vais réfléchir encore
-Ok alors salut, appelle moi quand tu seras prêt !
et elle raccrocha
Vraiment curieuse cette fille, et ce qui l’était encore plus, c’est que je me sentais attiré par elle, mais pourquoi ? ? ? ?
J’avais envie d’allais plus loin avec elle, mais pas de faire enculer ….quel dilemme !
2 jours passèrent et je lui téléphone à nouveau
-Ok, tu vas m’expliquer tout ça
-Viens chez moi Samedi soir vers 20 h, un petit détail, j’ai horreur des hommes poilus, alors tu te rases bien !
Que voulait elle dire, la connaissant un peu maintenant voulait elle que je me rase le sexe ?
De toutes façons s »était hors de question
Le samedi soir arriva et je me présentais devant la porte de son appartement dans un lotissement plutôt chic. J’avais vu sa voiture en bas, je savais qu’elle était la. Elle m’ouvrit enfin la porte.
Je me penchais vers elle pour lui faire la bise, mais elle m’embrassa directement sur la bouche en me serrant contre elle
-je suis content que soit la, tu veux me suivre ?
J’avais immédiatement repéré qu’elle ne portait pas de SG sous son tee shirt blanc, et que sa poitrine avait l’air de tenir à merveille. En regardant son petit cul bougeait au rythme de ses pas, je me disais que forcement dans le pire des cas elle ne portait qu’un string ou dans le meilleur des cas rien sous son shirt gris très très moulant .
Il y avait un gout dans bouche que je commençais à connaître, et en arrivant dans le salon je constatais qu’elle avait déjà commencé à fumer du shit .
-Assis toi je vais te chercher à boire
D’habitude on demande ce qu’on veut boire non ?
Blandine revint avec un verre de sangria, enfin c’est ce quelle m’a dit. Nous avons bu quelques verres en parlant de tout et de rien, et fumé quelques joints. Au bout d’une heure environ, mon esprit commençait vraiment à être chaud et Blandine m’excitait de plus en plus avec ses seins qui se promenaient sous son tee shirt. Elle avait remarqué que je regardais avec insistance.
-Je vais allez fermer les rideaux d’accord ?
-comme tu veux
-Je sais que tu me mattes, je vais te montrer ce que tu veux voir !
et après avoir fermé les rideaux du salon pour éviter le vis à vis, elle enleva dans la foulée son tee shirt, libérant 2 magnifiques seins blancs avec le téton bien rose et gonflé, et vint s’asseoir sur mes genoux. Elle passa ses bras autour de mon cou et m’embrassa sauvagement. Je pu saisir à pleine mes ses seins qui m’excitaient depuis une bonne heure !
-tu a réfléchi à ce que j’ai demandé ?
-oui bien sur, sinon je ne serai pas venu
-tu sais moi je ne suis comme les autres filles …
-je me doute un peu
-je veux que tu sois ma femme et moi je serai ton homme !
Avec la sangria et le shit, je ne savais plus ce que je disais, je n’avais même pas l’impression de comprendre sa phrase.
Blandine se leva et baissa enfin son shirt. Pas de string dessous, elle colla son bas ventre sur ma tête et je n’eu que très peu de temps pour apercevoir son pubis, bien épilé en ticket de métro et franchement trés ras !
-j’ai envie de toi Fabrice , j’ai envie de toi
je commençais à lui baiser son pubis et faire courir ma langue sur sa peau en descendant vers son clitoris, enfin ce que j’en avais. Blandine se tordait toujours debout devant moi. Puis elle s’écarta brusquement en me disant
-non pas comme ça !, déshabille toi.
Je m’exécutais aussitôt en enlevant rapidement mes fringues, devant elle qui se tenait à un mètre de moi et me regardais j’avais une trique d’enfer, mon sexe me faisait mal tellement il était gonflé.
Blandine s’approcha de moi , se colla contre moi en prenant mon sexe dans la main, et m’embrassa tendrement.
-Pour la première fois on va faire simple, viens avec moi dans ma chambre.
Sa chambre, plutôt son antre !, décoré genre indou
-ici tu es chez moi, c’est mon univers !
-Nous allons sur son lit, aussitôt je me positionne sur elle mais dans l’autre sens pour lui brouter le minou. J’avais à peine commençais qu’elle me repoussa en me disant
-tu sais ce que j’ai dit, avec moi c’est spécial, d’abord c’est moi qui dirige, en plus
maintenant du va me donner ce que tu as de plus chère !
et elle me retourna, avec l’alcool et le shit, je me laissai faire, après tout …
Elle s’assis sur mes fesses et commença à me masser le dos. Rapidement elle descendit sur le haut de me fesses, puis franchement mes fesses. Elle se positionne maintenant sur mes cuisses, qu’elle écarte au passage, et me masse franchement les fesses en les écartant bien . La sensation n’est pas désagréable, je sens mon anus ouvert !
La séance va durer un bon moment, puis Blandine se lève du lit et va vers son placard qu’elle ouvre. Je me retourne sur le coté et la vois sortir d’une boîte un god ceinture de petite taille, rose, qu’elle se met autour de la taille en me regardant
-tu vas voir , tu vas aimer …j’adore voir les mecs sur mon lit à quatre pattes en train d’attendre l’anus bien ouvert, que je les prenne … c’est ça qui me fait mouiller c’est ça qui me fait jouir !
les mot étaient crus sortant de la bouche de Blandine. Je ne comprenais pas tout, dans ma tête tout était un peu flou
-Tu vas de mettre à 4pattes maintenant mon chéri
et je m’exécutais
Je posa ma tête entre mes mains et j’attendais. Je sentais Blandine me caresser les fesses avec les mains, puis je sentais sa langue se promenait partout dans ma raie. C’était divin. Je sentais sa langue sur mon anus maintenant qu’elle lubrifia a l’extrême avec sa salive et sur lequel elle forçait un peu. Jamais personne ne m’avais fait ça ! , mais c’était très bon.
Elle m’écartais les fesses a l’extrême maintenant et forçait toujours sur mon anus avec sa langue… je ne savais plus ou j’habitais.
Puis plus rien, je compris qu’elle venait de se relever, et je senti pointer son god à l’entré de ma rondelle. Elle l’introduisit tout doucement, en m’écartant toujours les fesses avec ses mains, et dés que le god rentrait un peu en moi, elle le retirai aussitôt, pour mieux revenir ensuite. J’avais un peu mal au début mais rapidement la douleur laissa la place à une nouvelle sensation que je ne connaissait pas. Une sensation agréable mais bizarre. Blandine était complètement en moi maintenant et je sentais son bas ventre sur mes fesses qui venait taper. Je l’entendais gémir doucement au rythme de ses entrées et sorties dans mon anus. Je ne comprenais pas bien comment elle pouvait avoir du plaisir, mais je me préférais me concentrais sur ce plaisir nouveau qu’elle me donnait. J’avais arrêté de bander depuis pas mal de temps, la sensation dans mon anus semblait supprimer celui de ma verge. Blandine, tout en continuant ses allers retours, me saisi le sexe d’une main et commença à me branler doucement. Elle accéléra le rythme rapidement, et me donné des coups de plus en plus violent dans le cul !
Je me cambrais au maximum, comme une femme, pour recevoir au plus profond son god que je commençais à trouver trop petit maintenant !, j’ouvrais aussi mon anus au maximum en poussa pour avoir encore une plus de sensation. Je sentais mon sexe gonfler à nouveau dans la main de Blandine et je sentais monter en moins un orgasme comme jamais je n’avais eu !
Quelques secondes plus tard mon sexe cracha mon sperme pendant que Blandine semblait jouir aussi (je ne sais pas comment) et qu’elle me défonçait littéralement le cul !
Après avoir bien inondé sa couette, elle se retira de mes fesses et je pu enfin m’affaler sur le lit, dans ma semence, complètement ko , la rondelle en feu !
Blandine se coucha à coté de moi et me fit quelques bisous
-c’était vraiment bien, je suis fier de toi, tu ne m’as pas déçu, la prochaine fois on fera beaucoup mieux que ça tu verras ….
Je me suis endormis

La suite au prochaine épisode.