Initiation II

- Par l'auteur HDS Ckriss -
Récit érotique écrit par Ckriss [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Initiation II Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Initiation II
Bonjour. Je vais vous raconter la suite de ma découverte de mon côté "soumis" et BDSM (soft). Vous vous rappelez sûrement de mon initiation. Cette fois-ci, c'est allé un peu plus (trop?) loin.
Mon initiateur m'avait laissé continuer mon exploration de mon côté fetish et BDSM seul. Je m'étais donc mis, sans trop de conviction à chercher un mâle Alpha expérimenté pour continuer ce jeu.
Comme je cherchais surtout un mec pour pratiquer le edging, j'avais mis sur mon profil juste 2 photos de ma queue en érection (histoire de voir le potentiel et de donner envie de manipuler).
Tout commença, trois semaines plus tôt quand un mec, sur un site bien connu, m'aborda en disant :
- Salut soumis. Voilà une nouille à raser et à mettre en cage.
Au début, un peu décontenancé par cette approche, je pris les choses à la rigolade. Mais, ça pris très vite une autre tournure. Lui n'avait pas du tout envie de rire. Il me disait que je devais assumer ma place de salope soumise dans la société.
Je lui ai répondu que ma recherche se portait plutôt sur quelque chose de plus soft, plan edging, milking.... bondage soft. Comme je lui demandais pourquoi il voulait me mettre en cage, il me répondit :
- Car tout soumis réalise qu'il est mieux à vivre en cage sous contrôle et un milking avec ou après avoir porter la cage est nécessairement plus fort.
- ok.
Au lieu de fuir et de le blacklister direct, comme j'aurai du faire, je me suis pris au jeu et notre conversation s'est poursuivie jour après jour.
Quand nous sommes arrivé à parler d'abstinence, sujet inévitable, je lui indiquais que 4/5jrs d'abstinence étaient encore supportables. Bien évidemment, il me rétorqua que ce n'était pas assez et que le port de la cage me permettrait inévitablement de tenir plus longtemps.
Au fil de la conversation, je le questionnais pour savoir comment ça se passait quand un soumis acceptait. Il m'expliqua qu'il rencontrait le soumis deux fois : Une fois pour prendre les mesures "de sa petite nouille", comme il disait, puis, une autre fois, pour la poser et que dans les premiers jours, l'abstinence était dure pour la lope ; qu'elle avait en permanence envie de se vider et de se faire sauter.
- J'en prends une à la taille. Elle est posée pour 1 semaine, puis 2, puis 1mois. Enfin, après je décide quand je la retire. Mais, très souvent le soumis ne se sens pas bien sans.
Je me suis vite vu imposer l'absence de masturbation, la seule façon de jouir pour moi étant alors par la pénétration anale ou via le massage prostatique, ma queue restant enfermée dans mon jockstrap tout le temps du milking.
L'étape suivante allait être de supprimer toute lingerie masculine de ma penderie pour ne garder que jocks et strings, y compris au taf. Il me demanda même si au taf, ils savaient que j'aimais la bite !! Je lui répondis que "oui."Je foutais donc le tout dans un sac fermé au grenier pour ne garder que ce qu'il voulait.
Je ne sais pas pourquoi je me soumettait aussi facilement aux désirs d'un inconnu. Il eut rapidement une emprise importante sur mon mental dans les semaines qui suivirent.
Au début de la semaine suivante, il me demanda si j'étais épilé. Je lui dit que cul et sexe étaient lisses sauf mon pubis qui était simplement taillé court. Il m'a ordonné de tout raser en précisant que c'était mieux pour la cage. Il m'a ensuite demandé si j'en rêvais la nuit ; ce qui était le cas. Mais, je ne voulu pas le lui avouer, effrayé par l'idée de lui laissé encore plus d'emprise sur mes neurones en surchauffe. Pour être clair, l'idée m'excitait à mort, au point de ne pas dormir et de devoir éjaculer plusieurs fois dans la nuit les premiers jours (ce qui m'était jamais arrivé). J'avais peur de mes démons. Je dis ça parce que, en vrai, je m'étais dejà intéressé à la question de la chasteté en lisant des trucs sur internet. Bref, où celà me mènerait-il? Je commençais à chercher avec frénésie sur les blogs, les sites porno tout ce qui se rapportait à la chasteté masculine, la cage,... les différents modèles ...
Il me dit que effectivement, je devais apprendre à jouir par le cul. Pour se faire il m'ordonna de me goder régulièrement en gardant tjrs un jock pour apprivoiser les sensations que doit ressentir une bonne salope soumise qui n'a pas accès à ses attributs sous clé et aussi qu'en dehors de ça, il allait m'initier à l'orgasme ruiné régulier de façon à ce que je sois frustrer en permanence, donc toujours en chaleur.
De fait, la première fois que je le rencontrais, ce fut très humiliant.
D'entrée, je du me mettre en jock (un jockstrap avec un zip avant pour bien dégager mon pénis et mes couilles lisses). Puis, il me demanda ce que je désirai en venant. Je lui répondis :
- devenir une salope accomplie, soumise aux mâles Dominants.
Alors, Il me banda les yeux et me conduisit aux WC, me demanda de me pencher sur la cuvette, les mains sur le réservoir de chasse. Il ouvrit le jockstrap pour dégager mes organes génitaux, écarta mes fesses et y glissa un doigt. Il massa quelques instants mon anus pour le détendre et le lubrifié. Je senti un truc autour de mes couilles qui les serra dans leur sac et un plug forcé mon anus pour s'y enfoncé. Je l'acceptais sans rechigner. Aussitôt, le mode vibro fut programmé à l'intensité voulue.
- maintenant, tu t'asseois sur cette cuvette, les mains sur la tête et tu décharges directement ton foutre de lopette aux chiottes. C'est là sa place. Il écarta davantage les pans du jock pour libérer ma pauvre bite à demi-molle et intensifia les vibrations du plug dans mon cul qui massait directement mon point P. Dans le même temps, je devais contracter régulièrement mes muscles du périnée pour "drainer ma prostate", disait-il. Il restait là pour voir le résultat du désastre, ce qui était très humiliant. Ce délicieux supplice dura un petit moment. Peu à peu, je sentais les sensations dans mon bas-ventre s'amplifier et les contactions devenir incontrôlables. Mes jambes se mirent à trembler. Je commencais à grogner de plaisir comme une grosse chienne.
- Vas-y... vide tes couilles à fond.
Ma queue était raide au max.
- tu sais que c'est la dernière fois que tu la sent raide comme ça. La prochaine fois que tu subiras la traite, tu seras en cage. Impossible de bander.
Le fait qu'il me dise ça m'a totalement "griller" le cerveau. J'ai lâché totalement prise.
D'un coup, je senti sa main pousser le plug contre ma prostate engorgée et au moment fatidique où j'allais jouir, il m'a serré si fort les couilles en les tirant vers l'arrière que le foutre se mis à couler sans spasme. J'entendis juste le bruit des jets abondants de sperme tomber lourdement sur la faïence des chiottes ou directement dans l'eau. Je n'avais pas jouis. Ma frustration était extrême.
- voilà la dure réalité d'un soumis, me dit-il. Tu sais que une fois que je t'aurais posé la cage, tu ne banderas plus. D'autre part, tu verra que ta pov' nouille va diminuer en taille. Il faudra donc te mettre une cage plus petite après. Tes couilles non plus ne te serviront plus.
Le Dom me raccompagna au salon et m'ôta le bandeau des yeux. Instinctivement, je regardais ma queue maintenant complètement flasque.
- parfait. Bouge pas. Je vais chercher le mètre ruban.
Il prit différentes mesures (la taille de ma queue au repos, sa largeur, la largeur de mon tour de couilles...).
- je vais te choisir ce qu'il te faut, ma salope. On se revoit bientôt. Je te recontacte.
Je me suis rhabiller et je suis parti sans demander mon reste.
Les jours suivants furent assez compliqués dans ma tête. J'étais partagé entre le désir d'aller jusqu'au bout du fantasme ou de tout arrêter. Mon excitation extrême due à la frustration de l'orgasme ruiné que j'avais subit et l'obligation de ne pas me branler me poussaient à vouloir aller plus loin.... beaucoup de choses se heurtaient dans ma tête ; des choses souvent contradictoires.
Pour le moment, je continuai ma vie normalement, mis à part que la masturbation m'étant interdite, je ne pensais bientôt qu'à ma bite et à être enculé. Pour me soulager, il n'y avait qu'un moyen autorisé par le Dom : il fallait que j'utilise un gode ou un plug. Je gardais mon jock sur mes organes génitaux qui ne bandaient plus. Le défi était double : trouver le bon angle pour être suffisamment à l'aise et détendu pour masser tranquillement la prostate jusqu'à éjaculation et être suffisamment concentré sur les sensations pour parvenir à l'orgasme sans les mains. Plusieurs jours d'essai ont été nécessaires pour apprivoiser les sensations et arriver au résultat recherché.
Quand ce fut enfin le cas, j'envoyais une vidéo d'un essai concluant à mon Dom qui me félicita et m'annonca qu'il avait bien commandé la cage, qu'elle me serait posé au début de la semaine suivante. Nous avons donc pris rendez-vous pour le moment fatidique. J'étais, à ce moment-là totalement excité (je bandais) et en même temps terrifié. La nuit précédente, je n'avais pas du tout dormi.
Le lundi matin, je n'avais pas déjeuner. A vrai dire, j'étais un peu stressé. J'avais demandé au Dom de me mettre en cage dans la matinée, histoire d'en finir rapidement et de ne pas tergiverser là-dessus plus longtemps. Il avait bien sûr accepté mon humble requête de soumis. Je devais me raser les couilles et la bite à blanc pour le grand jour. Mais, le simple fait prendre mes burnes en main pour passer le rasoir provoqua une magnifique érection. Par ailleurs, il m'avait demandé de venir en jock (le même que la 1ère fois) avec un jeans clair et moulant. Ce que je fis. Et, je me mis en route vers 10h00. Je bandais encore bien dans mon jock. Je n'avais pas éjaculer depuis 9 jours comme il me l'avait ordonné, ce qui n'arrangeait rien.
Dès mon arrivée, il me demanda de me foutre tout de suite en jock et de réitérer à haute voix mon vœu de chasteté. Ce que je fis sans broncher. Mais, le fait de le dire à voix haute provoqua une nouvelle érection.
- tu bandes ma salope ?! Ce qui va t'arriver t'excite à ce que je vois. Tu vas voir....Ça va pas être long.
Il m'a aussitôt attaché les mains derrière le dos devant une sorte de tabouret réglé à mi-hauteur sur laquelle m'attendait la fameuse cage qui allait bientôt anéantir ma virilité. Elle me parut petite mais jolie, toute en métal avec un petit plug urétral troué.
- bon, va falloir débander ma salope. Je reviens.
Il s'éloigna quelques instants, me laissant seul avec mes pensées obscènes. Il revint avec un grand sac de glaçons dans les mains et le posa juste devant moi en rebord du tabouret.
- allez ma salope, pose tes couilles de lopette là-dessus.
Je m'approchai avec l'appréhension du froid. Aussitôt, que mes couilles furent posées sur le sac de glaçons, ma queue fut enfermée dans la glace et fermement pressée, m'empêchant de me reculer pour dégager mon sexe de cette étreinte glacée.
- t'inquiète ma pute, tu vas pas bander longtemps, me dit-il.
Sous l'effet du froid, mes bourses se sont comprimées immédiatement et ma queue ratatinée. La sensation était d'autant plus désagréable que cette étreinte dura près de 5 minutes. J'avais littéralement les organes génitaux qui gelaient.
Quand il ôta le sac, il eut l'air très satisfait du résultat.
- Tu vois. Pour toi, c'est presque fini. Ta pov' nouille est déjà toute flasque. C'est son état définitif. Allez, recule-toi du tabouret et écarte les cuisses, le paquet bien en avant vers moi.
Aussitôt dit, aussitôt fait. L'anneau cockring fut rapidement installé en tirant simplement la peau du scrotum à travers de façon à ce que les couilles y glissent elles-mêmes facilement et restent bien en place; puis, ma pov' nouille mole fut plier pour être glisser dans l'anneau à son tour, sans ménagement excessif. Ne restait plus qu'à enfermer définitivement mon pénis de soumis dans la gaine et fermer le cadenas. Là, il faut avouer que Maître ne s'était pas facilité la tâche en choisissant pour son soumis, une cage de chasteté munie d'un plug urétral. Déjà, l'implantation du cockring avait causé une demi-mole délicieusement réprimée par la peur de devoir remettre mes organes génitaux dans la glace. Sans se poser toutes ces questions, le Dom me prend ensuite le pénis, déclotte le gland et l'enduit d'un peu de lubrifiant sans trop frotter pour éviter de provoquer une nouvelle érection. Puis, il prend une seringue en plastique remplie de lubrifiant qui attendait à proximité le moment propice. Le Dom me pince alors le méat pour ouvrir mon gland et y introduit sans attendre l'extrémité de la seringue pour y verser une goutte de lubrifiant. Je sentis le liquide froid se répandre doucement dans ma verge. Il pris ensuite la gaine pénienne, l'approchant de mon gland, lequel glissa dedans sans trop de difficultés. Dès l'instant où le petit plug urétral métallique pénétra dans mon gland, ma queue voulu se rebeller et se mis à grossir - que ne n'avait-elle pas fait plus tôt. Le Dom dût alors forcer le passage pour
raccorder la gaine au cockring le plus rapidement possible avant que l'érection ne soit complète. Dans un instant, ma bite sera définitivement enfermée et ma virilité anéantie. Je serais réduit à un sac de couilles inutile.
En un tour de main, le cadenas fut passé et "clic". Le Dom tira un peu sur la peau de mes couilles pour ajuster le bordel, vérifiant rapidement que ma queue était bien en place dans sa gaine et s'éloigna comme pour admirer son œuvre. J'étais comprimé dans la cage. Ça me faisait un peu mal. Mais, en même temps, c'était excitant de se sentir à la merci d'un si bon Dominant.
- voilà ma salope. Tu es enfin à ta place : totalement soumis aux mâles et à leurs bites. Tu n'es plus qu'un trou à remplir de foutre. Ta nouille et tes couilles ne serviront plus. Mais, ça tu le sais déjà.
- Allez, sac-à-foutre, approche. A genoux, les mains sur la tête. Je vais te récompenser comme il se doit d'avoir été docile.
Je fis immédiatement ce qui m'était demandé. Pour inaugurer mon nouvel état de soumi, Il dégrafa son pantalon pour en sortir une belle grosse bite bien raide que je m'empressai de mettre en bouche tandis que ma propre bite était totalement comprimée dans sa gaine. Elle voulait en sortir bien sûr, et bander, elle aussi. Ça me faisait mal. Le sang n'affluait plus dans ma pauvre queue. L'érection était bloquée dès le début. Je me trouvais enfin à ma place.
J'étais content mais je savais que les jours suivants allaient être difficiles. A cet instant, je m'en fichais. Je pompais comme une pute soumise. Le Dom grognait de contentement devant le professionnalisme de son soumis. Assez vite, il me bloqua la tête, son gros gland dans ma trachée et de gros jets de sperme furent aussitôt avaler.
- C'est bien. T'es une bonne grosse pute soumise maintenant. Tu verras. Ton cul va être défoncé sans relâche et tu en voudras encore. Tu es mieux comme ça. On se revoit dans 15 jours pour voir comment tu t'en sors avec ta petite nouille mole.
Je me rhabillai tranquillement et pris bientôt congé de mon Dom non sans avoir fixer avec lui le nouveau rendez-vous.
Les jours suivants furent en effet assez compliqués à gérer entre mon excitation permanente de soumis en chaleur et ma teub rebelle dans sa cage qui me faisait mal dès que l'excitation était trop forte. Mes couilles pleines et ma prostate étaient hyper sensibles et ne demandaient qu'à être soulagée, dégorgées.... le problème est que le Dom voulait que je m'habitue rapidement à ma nouvelle condition de soumi frustré. Du coup, non seulement l'érection m'était impossible mais, il m'avait aussi interdit toute stimulation de mon organe génital principal (mon cul), aucune pénétration anale, aucune stimulation de prostate.... je devais tenir jusqu'à notre rendez-vous. La première semaine fut la plus compliquée : Arrivée le week-end, j'avais une insupportable envie de me faire sauter. Je matais les mâles bien virils dans la rue ou au boulot (enfin surtout leur paquet). Bref, j'étais vraiment en chaleur. Et, ça commençait à se voir.
Heureusement pour moi, si je puis dire, la deuxième semaine d'attente fut beaucoup plus calme même si la perspective de revoir mon Dom m'excitait.
Le vendredi matin, je me suis à nouveau rasé les organes génitaux malgré la cage, (ce n'était pas pratique du tout) ainsi que le cul. A nouveau, je devais porter mon jockstrap fetish. Mais, je ne savais pas ce qui m'attendait. Or, c'est connu que les soumis n'aiment pas beaucoup les surprises. Ils préfèrent avoir une certaine visibilité sur ce qui va leur arriver.
Malgré tout, en début d'après-midi, je me mis en route.
Dès mon arrivée, je me mis instinctivement à genoux devant la porte de mon Dom en signe de soumission, appuya sur la sonnette et mis les mains derrière la tête.
- salut salope. Je vois que tu as pris de bonnes habitudes depuis la dernière fois. C'est bien, me dit-il en ouvrant la porte.
- Entre et fous-toi en jock de suite. On gagnera du temps.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je repositionnais immédiatement mes mains derrière ma tête tandis que le Dom me palpait. Il me mena ensuite dans une sorte de playroom remplie d'accessoires en tout genre et au milieu de laquelle trônait ce que j'appellerai un banc de baise, matelassé, en trois parties où l'enculé est généralement installé à plat ventre.
- Alors... dis-moi comment se sont passés ces 15 premiers jours.
- Bien Maître.
- Tu dois bien te sentir en chaleur là, je pense.
- oh oui Maître.
- c'est parfait ça.
Il ouvrit le jockstrap, y fourra sa main pour en sortir ma nouille et constata qu'elle était bien flasque. Il m'en félicita. Il me palpa ensuite les couilles sans ménagement.
- ça m'a l'air bien sensibles par là. Tu as envie de décharger je pari...
- oui Maître.
- c'est parfait ça. T'inquiète. Je vais t'aider à te soulager, ma pute. Il ne faut pas te laisser comme ça. Je t'invite à prendre place sur le banc. Mais avant, il faut que tu enlève ton jock.
Ce que je fis immédiatement.
Je m'installai docilement à plat ventre contre la partie centrale du banc, les 2 jambes sur les parties latérales, plus basses, et les poignets devant moi sur une partie prévue à cet effet, la croupe en l'air, le pubis contre le rebord du banc et mes organes génitaux en cage qui pendaient lamentablement entre mes cuisses ouvertes.
Mes membres furent aussitôt attachés au montant du banc et le buste fermement sanglé. Je ne pouvais plus bouger. Ça m'excitait bien d'être immobilisé sur ce banc, à la merci du Dom. Mais, impossible de bander. J'espérais juste être libéré de la cage le temps du milking et avoir une érection.
Il me mit un masque sur le visage pour me priver aussi de la vue ainsi qu'un bâillon.
- tu es bien installé ?
Je fis un signe d'acquiesment de la tête.
Il me donna 2 bonnes claques sur les fesses, puis, me les pétri fermement, me palpa les couilles et les tira vers l'arrière, entre mes jambes, pour les tapoter gentiment.
- je vois que tu es un peu serré ma salope, me dit-il en palpant mon anus. Va falloir ouvrir ton cul de pute et m'assouplir tout ça pour faciliter ta traite. Tu le sais.
Sans attendre de réponse de ma part, il fit couler du lubrifiant dans ma raie grande ouverte et je sentis le gland du Dom masser mon anus et faire glisser sa queue tout le long de ma raie pour m'en faire apprécier toute la longueur. Elle me paraissait encore plus énorme que la dernière fois. Dans un instant, le trou à bite que j'étais devenu allait enfin être à nouveau sailli. Après un court instant, sa grosse queue pointa vers ma chatte offerte et s'y enfonça d'un trait jusqu'aux couilles, me faisant gueuler dans le bâillon. J'essayais désespérément de me débattre pour stopper sa progression dans mes entrailles. Mais, dès que son pubis buta contre mon fondement écartelé par ses deux mains posées sur mes fesses, il commença à me le défoncer méthodiquement, sans attendre.
- lâche-toi salope. Détend-moi ce fion. Hummm ouiii. C'est ça, ma cochonne : Avale ma bite. Tu aimes les grosses bites, ca se voit. Donne ton cul.
J'avais mal au cul. Mais, ces paroles crues m'encourageaient à offrir mon trou sans pudeur. La douleur s'estompa vite. Il faut dire aussi que j'adorais la sensation de sa queue plongeant de toute sa longueur en moi jusqu'à sentir ses poils de pubis s'écraser encore et encore contre mon anus dilaté. J'adorais aussi ces coups de butoir bien secs et rapides qu'il me donnait de temps en temps. De fait, ma prostate était défoncée consciencieusement à chaque passage.
Le plaisir commençait à irriguer tout mon bas-ventre. Je couinais comme une chienne en chaleur. Pourtant, ce plaisir montant fut stopper net quand le Dom se retira. Il ne voulait visiblement pas que jouisse trop vite et surtout pas comme ça. A ce moment, je me sentis très frustré.
Après quelques instants de pause, les doigts du Dom se posèrent sur ma chatte ouverte et il commença me la travailler tranquillement.
- détend-toi ma salope. C'est l'heure de ta traite. Je veux que tu me décharges tout ce que t'as dans tes couilles de soumis. Compris?
Il me posa un préservatif (ça, je ne saurais qu'à la fin du milking) par dessus la cage pour recueillir ma semence de vide-couille.
Aussitôt, il me pénétra avec l'index et chercha quelques instants ma prostate. Quand je sentis ma queue tressauter dans sa cage, je sus que le massage pouvait commencer. Dans un premier temps la pression de son doigt sur ma prostate était légère.. C'était même très agréable. Ma queue restait presque flasque malgré que j'étais super excité de me retrouver là, sanglé, le cul à dispo, pour décharger.
Je sentais progressivement ma prostate s'engorgée et la pression de son doigt devenir plus ferme. Une sensation de chaleur et de plaisir envahie peu à peu mon bas-ventre.
- c'est bien ma salope. Concentre-toi.
Finalement, le Dom se positionna sur le côté en surplomb de ma croupe, pénétra sans attendre son pouce dans ma chatte béante pour masser ma prostate et mon périnée en même temps de façon à bien drainer le sperme contenu dans la prostate et les glandes séminales de son soumi vers les canaux éjaculatoires. Je sentais que je n'allais pas tarder à décharger à travers la cage de chasteté. Ma queue s'était redressée légèrement dans sa cage prenant le max de place qu'elle pouvait au vu de l'espace disponible et se balançait joyeusement entre mes jambes écartées, au rythme des vas-et-vient.
Je trouvais cette contrainte super excitante : J'allais éjaculer non pas pour mon plaisir mais pour le plaisir du Dom de contraindre son soumis à expulser sa semence de lopette, de manipuler son cul ou sa nouille à sa guise, de disposer de l'orgasme de son soumi comme il le désirait. Je me sentais comme libéré, à ma place.
Quand le Dom jugea au toucher que le moment de décharger était venu et que ma prostate était suffisamment engorgée pour y arriver, le Maître décida de me libérer de ma cage. Aussitôt, mon pénis se raidit au maximum. Le massage pouvait reprendre. Il pris ma queue raide dans sa main lubrifiée, la tira un peu vers l'arrière, entre mes jambes et commença la traite proprement dite en effectuant les mouvements fermes et lent le long du pénis pour extraire le foutre comme on trait le pis de la vache tout en intensifiant encore le massage prostatique en vitesse et en pression avec son pouce.
Presque immédiatement, je sentis le sperme épais traverser l'urètre et sortir par la cage. Il n'y eu pas de spasme. Mon sperme coulait abondamment. mais j'avais quand même pris mon pied non pas à éjaculer, car je ne ressentis presque rien mais à être massé et vider de cette façon pendant de longues minutes.
Après avoir été vider, mon Dom toucha ma queue ramolie et mes couilles, puis, enleva le bâillon et m'ordonna d'ouvrir la bouche et de tirer la langue. Je m'attendais à ce qu'il me baise la bouche. Mais pas du tout. Je senti une dose abondante de mon sperme (j'en reconnu tout de suite le goût) couler sur ma langue et dans ma gorge. Cette offrande fut aussitôt avaler.
Puis, mon Dom me remis ma cage en place avant de me détacher et me reconduisit au salon.
- je suis content de toi, me dit-il. Tu es un bon producteur soumis.
C'était parfait. Allez, tu peux te rhabiller. On se recontacte rapidement.
Il quitta aussitôt la salle, pendant que je finissais de me rhabiller et je quittais bientôt la maison soulagé.

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