invitation
Récit érotique écrit par Envieuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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invitation
<p>Invitation
Peu de mes amis savent que j'entretiens des rapports sexuels avec des hommes. Je mène toujours une
vie que d'aucuns qualifieraient d'hétérosexuelle, mais je garde un jardin secret que j'entretiens avec de
rares partenaires.
L'un de ces partenaires, connaissant mes scrupules, ou peut-être peut-on dire craintes, m'a proposé un
repas au restaurant, ce que j'acceptais facilement, cela ne m'engageant à rien avec lui. Après un apéritif
soigné, nous avons dégusté un menu succulent en parlant de choses et d'autres. Notre discussion
tournait autour de nos occupations respectives et le dîner se passa agréablement. Le café fut suivi d'un
digestif. Lorsque mon convive se leva pour se diriger vers les toilettes, j'étais loin de me douter de ce qui
allait suivre. En son absence, le garçon me porta un autre verre, sans que cela n'éveille en moi quelque
soupçon.
Mais après être resté seul un bon bout de temps, le même garçon posa sur la table la note de restaurant.
Restant seul à table, je dus me rendre à l'évidence que mon ami m'avait abandonné. N'ayant sur moi
qu'une somme d'argent insignifiante et ayant été préalablement invité, je me trouvais dans l'impossibilité
de régler l'addition. J'en fis part au serveur, lui précisant que j'étais disposé à régler ma dette
ultérieurement.
Sa réponse ne m'a pas surpris outre mesure. Il m'a simplement demandé de le suivre, ce que je fis
naturellement. Arrivé dans un couloir attenant à la salle e restaurant, il tapa à une porte qu'il ouvrit en
suivant me demandant d'entrer. Un homme assis derrière un bureau m'invita à m'asseoir. C'était le
propriétaire du restaurant. M'offrant un verre de cognac, il me dit, en suivant, que mon ami se permettait
parfois de laisser quelques ardoises, mais qu'il s'en arrangeait toujours. Il me demanda alors si cela
m'amuserait de faire une soirée de service dans son restaurant. J'avouais mon incompétence en la
matière, ce à quoi il répondit qu'il s'agissait de servir dans une salle annexe qu'il qualifia de particulière,
sans me donner plus de précision. Un peu coincé par mon dû et curieux de savoir ce que mon ami avait
réellement voulu faire, j'acceptais. Le proprio me donna donc rendez-vous pour la semaine suivante.
Lorsque je me présentais au restaurant, le serveur, apparemment prévenu, me dirigea vers le même
bureau. Le propriétaire, assis derrière le même bureau, me demanda si j'étais prêt à faire une
expérience. Et sans attendre ma réponse, il m'expliqua en quoi cela consistait. Il me suffisait de revêtir un
habit de serveuse et d'acheminer les plats aux clients d'une salle se situant à l'arrière du restaurant. La
situation m'inquiétait quelque peu et, en même temps, me rendait curieux. Je demandais en quoi cela
pouvait consister, et il me fut répondu que, si je me travestissais en soubrette, cela suffirait. Mon goût pour
les déguisements et les travestissements m'incitait à tenter le coup et j'acceptais.
En début de semaine, je me présentais au restaurant et je fus conduit par le serveur vers un vestiaire.
Mon côté imberbe et mon allure androgyne se sont rapidement accommodés des habits proposés. Je
trouvais immédiatement une jupe courte et un chemisier à ma taille. Et observant le bas de l'armoire mise
à ma disposition, je me vêtis de sous-vêtements à damner un saint, bas, porte jarretelle tour de cou de
couleurs noire. Le serveur fit alors son apparition et j'en rougis de confusion. Il me demanda simplement
ma pointure et revint dans les minutes qui ont suivi avec d'élégants escarpins à talons hauts. Une fois
revêtu mon costume, je me suis dirigé vers la salle d'eau où je me suis parfumé et coiffé, mes longs
cheveux peignés avec une mèche sur le côté, à la mode des jeunes filles actuelles. Après un dernier
regard dans la glace, je me préparais à me rendre disponible pour le service.
Un autre serveur, qui m'attendait dans le couloir me demanda alors de le suivre. Me montrant une porte,
au bout du couloir, il me dit que c'est là que se situait mon lieu de travail. Lorsque je poussais
maladroitement la porte, je vis qu'il n'y avait que deux clients. Muni de la carte, je vins à eux et d'une voix
que je pensais fluette, je pris la commande. Lorsque je revins pour servir le vin et le pain, apportant les
entrées, la salle s'était remplie et six autre clients étaient attablés. C'est à ce moment que je compris. Au
moment où je posais les deux assiettes sur la table et m'inclinais pour poser le pain, une main calleuse
s'insinua entre mes jambes et, remontant le long de mes cuisses, me maintint collé contre la table. Je ne
voulais pas me débattre, comprenant avec une certaine appréhension ce que l'on attendait de moi. Les
clients présents étaient des routiers, ou plutôt des caricatures de routiers, vêtus de débardeurs et de
jeans. Lorsque je regardais dans la salle pour voir si quelqu'un avait remarqué la main qui me maintenait
contre la table, je ne vis que des visages souriants.
Il n'a fallu que quelques secondes pour que deux des hommes attablés ne se lèvent et viennent
m'entourer. Une certaine panique m'envahit quand je sentis la pression de la main qui me tenait entre les
cuisses s'accentuer et les corps des deux autres hommes me coller de manière suggestive. L'un d'eux dit
péremptoirement : « tu sais qu'on a pas le temps ». Je n'ai même pas eu de réaction. L'un des deux
hommes m'a pris les bras pendant que celui qui était assis à table me saisissait par les cheveux et
dirigeait ma tête vers son entrejambe.
Même si j'étais surpris, la situation commençait à m'exciter. J'étais dans une salle de restaurant, habillé
comme une pute déguisée en serveuse et trois malabars avaient décidé de s'occuper de moi. Je n'ai mis
que quelques secondes à me mettre dans la peau du personnage, évacuant ma timidité et surtout,
pensant que je ne pouvais faire autrement. Il ne s'agissait pas d'un viol. Mes fantasmes avoués à mon
ami allaient se réaliser.
Quand celui qui était assis a défait sa braguette et a présenté devant moi un sexe en train de durcir, j'ai
essayé de me reculer. Mais sa main derrière ma nuque a conduit mon visage vers ce bel ;objet que j'ai
commencé à lécher, et que j'ai finalement pris dans ma bouche. Pendant ce temps, quatre mains
pétrissaient mes fesses et mes hanches. Je ne pesais pas lord entre les mains de ces hommes. La main
derrière ma tête m'imposait un va-et-vient de plus en plus prononcé et je sentais un sexe de plus en plus
dur pénétrer jusqu'u fonde de ma gorge. J'aspirais et utilisais ma langue, poussant quelques soupirs de
satisfaction. L'excitation montait en moi. Quand un des deux autres hommes se mit derrière moi et
entreprit d'écarter ma petite culotte, je voulus résister, que ce soit par réflexe ou par perversité, je n'en
sais encore rien. Mais la poigne solide du routier me remit à ma place. J'ai entendu glisser une fermeture
éclair et j'ai rapidement senti la chaleur d'un sexe tendu entre mes fesses. Il ne lui a pas fallu longtemps
pour trouver l'ouverture. J'avais déjà été sodomisé et j'offris peu de résistance à cette pénétration
immédiate qui me procura plus de plaisir que de douleur.
J'étais au milieu d'une salle de restaurant avec un sexe dans ma bouche et un autre qui allait et venait
dans mon cul. Je gémissais de manière à exciter mes partenaires. J'étais dans un état second. Celui qui
me tenait me libéra un bras et dirigea ma main vers celui que suçais avidement. Ma main a saisi ce sexe
et pendant de longues minutes, pendant que je subissais les coups de boutoir de l'homme derrière moi,
je branlais celui qui était assis en le pompant du mieux que je pouvais.
Le résultat ne s'est pas fait attendre et j'ai accueilli avec des gémissements de plus et plus suggestifs le
sperme qui entrait dans ma bouche. L'autre homme qui était derrière moi commençait à haleter et n'a pas
tardé à éjaculer entre mes fesses. Celui qui était à côté de lui a pris alors sa place pendant qu'un autre
routier se levait et me maintenant la tête contre la table, présenta son sexe devant ma bouche. Mes lèvres
s'ouvrirent à cette nouvelle gourmandise et je m'empressais de satisfaire les envies d'un quinquagénaire
bedonnant.
J'ai mis du temps à lui provoquer un orgasme, malgré mon extrême application. Pendant ce temps, celui
qui était derrière moi poussait des grognements gutturaux et se répandait en moi. Aussitôt retiré, un autre
a pris sa place et en quelques mouvements, excité par la scène, arrosait mes fesses d'un long jet
visqueux.
Je m'attendais alors à ce que les deux autres routiers présents ne se mettent à l'œuvre. Mais ils restaient
attablés, discutant entre eux et semblent se désintéresser de l'histoire. A ma grande surprise, ils n'ont pas
bougé et j'ai continué à effectuer le service tout en recevant quelques grasses plaisanteries et claques
sur les fesses lorsque je portais assiettes ou tasse à café. Les quatre premiers routiers ont quitté la pièce
après avoir réglé leur note. Lorsque j'arrivais aux deus derniers, assis à la même table, ils se sont levés
et ont laissé un billet dans la soucoupe. L'un m'a alors soulevé et m'a mis sur son épaule. Il n'y avait que
quelques mètres de la porte du restaurant au petit parking d'à côté. Quand le premier homme est arrivé à
la porte du camion, il s'est assis à la place du chauffeur et a ouvert la porte opposée. J'ai été jeté sans
ménagement sur la banquette et, voulant sortir de la cabine, j'ai reçu un coup derrière la tête qui m'a
presque fait perdre connaissance. A peine conscient, j'ai été étendu sur la couchette de la cabine. J'ai
vaguement entendu une nouvelle fois : « tu vois, on avait pas le temps ». Je suis resté un moment étendu
à l'endroit où l'on m'avait posé. Quand deux bras puissants m'ont fait descendre de la couchette, le
moteur ronronnait. Le camion était déjà parti et le rire gras du passager a fini par me réveiller totalement.
Je me suis retrouvé assis sur ses genoux, ma jupe de serveuse relevée et son sexe frottant ma culotte. Il
l'a négligemment écartée et a appuyé de toutes ses forces jusqu'à me pénétrer violemment, m'arrachant
un cri de surprise et de douleur. Ses bras entouraient mon torse et il m'agitait sur lui. J'étais comme un
jouet entre ses mains. Il s'amusait avec mon corps. Mon sexe se tendait et trahissait mon plaisir. Une aire
de repos se présentait et le camion se dirigea vers une place de parking. Le chauffeur, une fois arrêté,
m'a pris par les cheveux et m'a tiré la tête en arrière. Il a forcé ma bouche avec deux gros doigts, me
demandant de les sucer. Après avoir ouvert son pantalon, c'est vers son sexe qu'il a dirigé ma bouche. Il
agitait ma tête de plus en plus rapidement, pendant que l'autre routier m'enfonçait son sexe dans mon
anus. Je me sentais déchiré et ne demandais qu'à subir les assauts de ces deux hommes. Ils ont éjaculé
presque simultanément. J'avalais le sperme de l'un tout en sentant le sexe de l'autre s'enfoncer jusqu'au
plus profond de mon intimité.
J'en avais oublié ma situation. Quand je me suis retrouvé hors du camion, sur le parking de l'aire de
repos, je me suis rendu compte qu'il fallait que je retourne chez moi. Le passager du camion avait la vitre
baissée et m'a juste dit en rigolant : « il va falloir que tu payes ton retour ». Après ce que je venais de
subir, je me suis décidé à traverser la quatre voies, toujours en tenue de serveuse et en talons hauts.
Arrivé de l'autre côté, sur l'aire de repos opposée, je ne savais plus quoi faire. Le camionneur qui s'est
arrêté à ce moment-là à mes côtés n'a pas fait de mystère. La porte s'est ouverte et il m'a dit : « alors
petite, on est prête à voyager , ». Et en suivant, il a pris le micro de sa CB et a parlé à un interlocuteur que
j'avais probablement connu : « je l'ai récupérée, souhaites-moi bonne route ». Un éclat de rire lui a
répondu. Je n'avais d'autre solution que de monter dans le camion pour revenir sur mes pas. Et comme
on pouvait s'y attendre, j'ai passé le retour entre les cuisses d'un chauffeur routier, mes lèvres et ma
langue caressant un sexe pendant qu'une grosse main me donnait des claques sur les fesses et que
deux gros doigts me rentraient dans le cul, tournant et retournant pour mieux dilater mon orifice. Ce n'est
qu'arrivés au parking du restaurant que le chauffeur m'a pris par les cheveux et m'a tiré sans
ménagement sur la couchette. Je n'avais même plus la force de résister à quoi que ce soit. Cette dernière
pénétration m'a achevé. Pour que le chauffeur éjacule plus vite, je l'ai encouragé, lui disant que je n'avais
jamais connu aussi bien, que je ne voulais que sa bite et que j'étais à lui. Après qu'il se soit assouvi, il m'a
pratiquement jeté du camion, me traitant de salope et de pute. Je me suis dirigé alors vers le restaurant
du départ. C'était déjà l'heure du service de midi, j'avais subi les coups de boutoir d'une bonne
demi-douzaine de routiers, mon anus était douloureux et ma bouche était encore remplie du goût du
sperme de mes partenaires. Mais j'aimais ça. J'ai dû traverser le restaurant en tenue de serveuse sexy,
avec une barbe naissante sous le regard narquois de certains clients, humilié mais sans honte.
J'ai revu mon ami qui m'avait invité à une simple soirée. Je me travestis maintenant pour lui, dans tout un
tas d'endroits et j'affectionne plus particulièrement les parkings de routiers. Prenez-moi.
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Peu de mes amis savent que j'entretiens des rapports sexuels avec des hommes. Je mène toujours une
vie que d'aucuns qualifieraient d'hétérosexuelle, mais je garde un jardin secret que j'entretiens avec de
rares partenaires.
L'un de ces partenaires, connaissant mes scrupules, ou peut-être peut-on dire craintes, m'a proposé un
repas au restaurant, ce que j'acceptais facilement, cela ne m'engageant à rien avec lui. Après un apéritif
soigné, nous avons dégusté un menu succulent en parlant de choses et d'autres. Notre discussion
tournait autour de nos occupations respectives et le dîner se passa agréablement. Le café fut suivi d'un
digestif. Lorsque mon convive se leva pour se diriger vers les toilettes, j'étais loin de me douter de ce qui
allait suivre. En son absence, le garçon me porta un autre verre, sans que cela n'éveille en moi quelque
soupçon.
Mais après être resté seul un bon bout de temps, le même garçon posa sur la table la note de restaurant.
Restant seul à table, je dus me rendre à l'évidence que mon ami m'avait abandonné. N'ayant sur moi
qu'une somme d'argent insignifiante et ayant été préalablement invité, je me trouvais dans l'impossibilité
de régler l'addition. J'en fis part au serveur, lui précisant que j'étais disposé à régler ma dette
ultérieurement.
Sa réponse ne m'a pas surpris outre mesure. Il m'a simplement demandé de le suivre, ce que je fis
naturellement. Arrivé dans un couloir attenant à la salle e restaurant, il tapa à une porte qu'il ouvrit en
suivant me demandant d'entrer. Un homme assis derrière un bureau m'invita à m'asseoir. C'était le
propriétaire du restaurant. M'offrant un verre de cognac, il me dit, en suivant, que mon ami se permettait
parfois de laisser quelques ardoises, mais qu'il s'en arrangeait toujours. Il me demanda alors si cela
m'amuserait de faire une soirée de service dans son restaurant. J'avouais mon incompétence en la
matière, ce à quoi il répondit qu'il s'agissait de servir dans une salle annexe qu'il qualifia de particulière,
sans me donner plus de précision. Un peu coincé par mon dû et curieux de savoir ce que mon ami avait
réellement voulu faire, j'acceptais. Le proprio me donna donc rendez-vous pour la semaine suivante.
Lorsque je me présentais au restaurant, le serveur, apparemment prévenu, me dirigea vers le même
bureau. Le propriétaire, assis derrière le même bureau, me demanda si j'étais prêt à faire une
expérience. Et sans attendre ma réponse, il m'expliqua en quoi cela consistait. Il me suffisait de revêtir un
habit de serveuse et d'acheminer les plats aux clients d'une salle se situant à l'arrière du restaurant. La
situation m'inquiétait quelque peu et, en même temps, me rendait curieux. Je demandais en quoi cela
pouvait consister, et il me fut répondu que, si je me travestissais en soubrette, cela suffirait. Mon goût pour
les déguisements et les travestissements m'incitait à tenter le coup et j'acceptais.
En début de semaine, je me présentais au restaurant et je fus conduit par le serveur vers un vestiaire.
Mon côté imberbe et mon allure androgyne se sont rapidement accommodés des habits proposés. Je
trouvais immédiatement une jupe courte et un chemisier à ma taille. Et observant le bas de l'armoire mise
à ma disposition, je me vêtis de sous-vêtements à damner un saint, bas, porte jarretelle tour de cou de
couleurs noire. Le serveur fit alors son apparition et j'en rougis de confusion. Il me demanda simplement
ma pointure et revint dans les minutes qui ont suivi avec d'élégants escarpins à talons hauts. Une fois
revêtu mon costume, je me suis dirigé vers la salle d'eau où je me suis parfumé et coiffé, mes longs
cheveux peignés avec une mèche sur le côté, à la mode des jeunes filles actuelles. Après un dernier
regard dans la glace, je me préparais à me rendre disponible pour le service.
Un autre serveur, qui m'attendait dans le couloir me demanda alors de le suivre. Me montrant une porte,
au bout du couloir, il me dit que c'est là que se situait mon lieu de travail. Lorsque je poussais
maladroitement la porte, je vis qu'il n'y avait que deux clients. Muni de la carte, je vins à eux et d'une voix
que je pensais fluette, je pris la commande. Lorsque je revins pour servir le vin et le pain, apportant les
entrées, la salle s'était remplie et six autre clients étaient attablés. C'est à ce moment que je compris. Au
moment où je posais les deux assiettes sur la table et m'inclinais pour poser le pain, une main calleuse
s'insinua entre mes jambes et, remontant le long de mes cuisses, me maintint collé contre la table. Je ne
voulais pas me débattre, comprenant avec une certaine appréhension ce que l'on attendait de moi. Les
clients présents étaient des routiers, ou plutôt des caricatures de routiers, vêtus de débardeurs et de
jeans. Lorsque je regardais dans la salle pour voir si quelqu'un avait remarqué la main qui me maintenait
contre la table, je ne vis que des visages souriants.
Il n'a fallu que quelques secondes pour que deux des hommes attablés ne se lèvent et viennent
m'entourer. Une certaine panique m'envahit quand je sentis la pression de la main qui me tenait entre les
cuisses s'accentuer et les corps des deux autres hommes me coller de manière suggestive. L'un d'eux dit
péremptoirement : « tu sais qu'on a pas le temps ». Je n'ai même pas eu de réaction. L'un des deux
hommes m'a pris les bras pendant que celui qui était assis à table me saisissait par les cheveux et
dirigeait ma tête vers son entrejambe.
Même si j'étais surpris, la situation commençait à m'exciter. J'étais dans une salle de restaurant, habillé
comme une pute déguisée en serveuse et trois malabars avaient décidé de s'occuper de moi. Je n'ai mis
que quelques secondes à me mettre dans la peau du personnage, évacuant ma timidité et surtout,
pensant que je ne pouvais faire autrement. Il ne s'agissait pas d'un viol. Mes fantasmes avoués à mon
ami allaient se réaliser.
Quand celui qui était assis a défait sa braguette et a présenté devant moi un sexe en train de durcir, j'ai
essayé de me reculer. Mais sa main derrière ma nuque a conduit mon visage vers ce bel ;objet que j'ai
commencé à lécher, et que j'ai finalement pris dans ma bouche. Pendant ce temps, quatre mains
pétrissaient mes fesses et mes hanches. Je ne pesais pas lord entre les mains de ces hommes. La main
derrière ma tête m'imposait un va-et-vient de plus en plus prononcé et je sentais un sexe de plus en plus
dur pénétrer jusqu'u fonde de ma gorge. J'aspirais et utilisais ma langue, poussant quelques soupirs de
satisfaction. L'excitation montait en moi. Quand un des deux autres hommes se mit derrière moi et
entreprit d'écarter ma petite culotte, je voulus résister, que ce soit par réflexe ou par perversité, je n'en
sais encore rien. Mais la poigne solide du routier me remit à ma place. J'ai entendu glisser une fermeture
éclair et j'ai rapidement senti la chaleur d'un sexe tendu entre mes fesses. Il ne lui a pas fallu longtemps
pour trouver l'ouverture. J'avais déjà été sodomisé et j'offris peu de résistance à cette pénétration
immédiate qui me procura plus de plaisir que de douleur.
J'étais au milieu d'une salle de restaurant avec un sexe dans ma bouche et un autre qui allait et venait
dans mon cul. Je gémissais de manière à exciter mes partenaires. J'étais dans un état second. Celui qui
me tenait me libéra un bras et dirigea ma main vers celui que suçais avidement. Ma main a saisi ce sexe
et pendant de longues minutes, pendant que je subissais les coups de boutoir de l'homme derrière moi,
je branlais celui qui était assis en le pompant du mieux que je pouvais.
Le résultat ne s'est pas fait attendre et j'ai accueilli avec des gémissements de plus et plus suggestifs le
sperme qui entrait dans ma bouche. L'autre homme qui était derrière moi commençait à haleter et n'a pas
tardé à éjaculer entre mes fesses. Celui qui était à côté de lui a pris alors sa place pendant qu'un autre
routier se levait et me maintenant la tête contre la table, présenta son sexe devant ma bouche. Mes lèvres
s'ouvrirent à cette nouvelle gourmandise et je m'empressais de satisfaire les envies d'un quinquagénaire
bedonnant.
J'ai mis du temps à lui provoquer un orgasme, malgré mon extrême application. Pendant ce temps, celui
qui était derrière moi poussait des grognements gutturaux et se répandait en moi. Aussitôt retiré, un autre
a pris sa place et en quelques mouvements, excité par la scène, arrosait mes fesses d'un long jet
visqueux.
Je m'attendais alors à ce que les deux autres routiers présents ne se mettent à l'œuvre. Mais ils restaient
attablés, discutant entre eux et semblent se désintéresser de l'histoire. A ma grande surprise, ils n'ont pas
bougé et j'ai continué à effectuer le service tout en recevant quelques grasses plaisanteries et claques
sur les fesses lorsque je portais assiettes ou tasse à café. Les quatre premiers routiers ont quitté la pièce
après avoir réglé leur note. Lorsque j'arrivais aux deus derniers, assis à la même table, ils se sont levés
et ont laissé un billet dans la soucoupe. L'un m'a alors soulevé et m'a mis sur son épaule. Il n'y avait que
quelques mètres de la porte du restaurant au petit parking d'à côté. Quand le premier homme est arrivé à
la porte du camion, il s'est assis à la place du chauffeur et a ouvert la porte opposée. J'ai été jeté sans
ménagement sur la banquette et, voulant sortir de la cabine, j'ai reçu un coup derrière la tête qui m'a
presque fait perdre connaissance. A peine conscient, j'ai été étendu sur la couchette de la cabine. J'ai
vaguement entendu une nouvelle fois : « tu vois, on avait pas le temps ». Je suis resté un moment étendu
à l'endroit où l'on m'avait posé. Quand deux bras puissants m'ont fait descendre de la couchette, le
moteur ronronnait. Le camion était déjà parti et le rire gras du passager a fini par me réveiller totalement.
Je me suis retrouvé assis sur ses genoux, ma jupe de serveuse relevée et son sexe frottant ma culotte. Il
l'a négligemment écartée et a appuyé de toutes ses forces jusqu'à me pénétrer violemment, m'arrachant
un cri de surprise et de douleur. Ses bras entouraient mon torse et il m'agitait sur lui. J'étais comme un
jouet entre ses mains. Il s'amusait avec mon corps. Mon sexe se tendait et trahissait mon plaisir. Une aire
de repos se présentait et le camion se dirigea vers une place de parking. Le chauffeur, une fois arrêté,
m'a pris par les cheveux et m'a tiré la tête en arrière. Il a forcé ma bouche avec deux gros doigts, me
demandant de les sucer. Après avoir ouvert son pantalon, c'est vers son sexe qu'il a dirigé ma bouche. Il
agitait ma tête de plus en plus rapidement, pendant que l'autre routier m'enfonçait son sexe dans mon
anus. Je me sentais déchiré et ne demandais qu'à subir les assauts de ces deux hommes. Ils ont éjaculé
presque simultanément. J'avalais le sperme de l'un tout en sentant le sexe de l'autre s'enfoncer jusqu'au
plus profond de mon intimité.
J'en avais oublié ma situation. Quand je me suis retrouvé hors du camion, sur le parking de l'aire de
repos, je me suis rendu compte qu'il fallait que je retourne chez moi. Le passager du camion avait la vitre
baissée et m'a juste dit en rigolant : « il va falloir que tu payes ton retour ». Après ce que je venais de
subir, je me suis décidé à traverser la quatre voies, toujours en tenue de serveuse et en talons hauts.
Arrivé de l'autre côté, sur l'aire de repos opposée, je ne savais plus quoi faire. Le camionneur qui s'est
arrêté à ce moment-là à mes côtés n'a pas fait de mystère. La porte s'est ouverte et il m'a dit : « alors
petite, on est prête à voyager , ». Et en suivant, il a pris le micro de sa CB et a parlé à un interlocuteur que
j'avais probablement connu : « je l'ai récupérée, souhaites-moi bonne route ». Un éclat de rire lui a
répondu. Je n'avais d'autre solution que de monter dans le camion pour revenir sur mes pas. Et comme
on pouvait s'y attendre, j'ai passé le retour entre les cuisses d'un chauffeur routier, mes lèvres et ma
langue caressant un sexe pendant qu'une grosse main me donnait des claques sur les fesses et que
deux gros doigts me rentraient dans le cul, tournant et retournant pour mieux dilater mon orifice. Ce n'est
qu'arrivés au parking du restaurant que le chauffeur m'a pris par les cheveux et m'a tiré sans
ménagement sur la couchette. Je n'avais même plus la force de résister à quoi que ce soit. Cette dernière
pénétration m'a achevé. Pour que le chauffeur éjacule plus vite, je l'ai encouragé, lui disant que je n'avais
jamais connu aussi bien, que je ne voulais que sa bite et que j'étais à lui. Après qu'il se soit assouvi, il m'a
pratiquement jeté du camion, me traitant de salope et de pute. Je me suis dirigé alors vers le restaurant
du départ. C'était déjà l'heure du service de midi, j'avais subi les coups de boutoir d'une bonne
demi-douzaine de routiers, mon anus était douloureux et ma bouche était encore remplie du goût du
sperme de mes partenaires. Mais j'aimais ça. J'ai dû traverser le restaurant en tenue de serveuse sexy,
avec une barbe naissante sous le regard narquois de certains clients, humilié mais sans honte.
J'ai revu mon ami qui m'avait invité à une simple soirée. Je me travestis maintenant pour lui, dans tout un
tas d'endroits et j'affectionne plus particulièrement les parkings de routiers. Prenez-moi.
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