Itineraire d'une pute - ch 2 - Mes amants éboueurs
Récit érotique écrit par Christian faust emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Itineraire d'une pute - ch 2 - Mes amants éboueurs
Nous avions dans le collimateur un antiquaire soupçonné de receler et revendre des œuvres d’art volées..
Hélas comment le prouver nous n’allions quand même pas le cambrioler pour trouver les papiers le confondant imaginez le scandale.
Nous savions qu’il passait ses documents à la broyeuse et ensuite qu’il les mettait à la poubelle. Il était tellement précautionneux qu’il déposait sa poubelle juste avant l’arrivée des éboueurs et même parfois il lui arrivait les attendre…
La seule solution était de soudoyer les éboueurs… c’était presque toujours la même équipe. Je me suis mise donc a les filer jusqu’à l ‘entreprise qui les embauchait… lorsque je les vis sortir tous les trois je les abordais leur proposant de leur offrir un cafe que je devais leur parler. Bien-sûr c’était des hommes plutôt peu raffinés qui ne se gênaient pas pour regarder mes formes même sourire en se donnant de coups de coudes
plus ou moins discrets..le chauffeur était noir plutôt petit assez gras les deux autres des blancs assez vulgaires plutôt muscles vu le travail assez physique qu’ils exerçaient mal rases mal habilles..
Je dois avouer que cette situation me troublait qu’ils m’attiraient. Mais pourquoi cette attirance vers tous ces hommes qui devraient normalement me répugner, sur lesquels je ne devrais même pas porter le moindre regard la moindre attention. J’étais honteuse de ce que je ressentais mais tellement excitée.
Assis tous les trois à une table je leur ai explique mon travail d’enquête et je leur ai expose mon problème et leur demande s’ils acceptaients de détourner le contenu de la poubelle papiers de Mr X et quelles seraient leur conditions ?
De plus je n’avais parle à personne de mon initiative et je ne savais pas quel budget je pouvais consacrer à cette action.
Ils ont accepte mais pour les conditions le prix était MOI !
Abasourdie par une telle audace, figée mais troublée, folle, honteuse je ne répondais pas et le noir qui semblait être le chef a pris la parole
- Tu nous appartiens une nuit entière tous les trois une nuit avant une nuit après. CETTE NUIT …Il me tutoyait ne me respectait déjà plus j’étais déjà sa chose sa salope..
Mon ventre se liquéfia mon souffle s’accélèrerait .
- Non Oui heu Non vous vous rendez compte !
et ce salaud de dire
- Tu hésites cela veut dire que tu en a envie.
- Je suis sûr que tu es une salope comme toutes les bourgeoises… me dit il en posant sa main calleuse sur la cuisse, un frisson de honte, j’étais déjà à lui il le savait.
- Allez salope on y va ! je ne disais rien incapable de toute réaction frissonnante la raison me disait « non n’y va pas tu vas te perdre « le démon qui me possédait l’exigeait..
Je me levais comme une automate…
- salope on va prendre ta voiture « les gars pour une fois que l’on va rentrer en voiture »
- Donne moi tes clés.
Richard va conduire moi je monte derrière avec ma salope. Tu es a moi désormais tu es ma pute.
J’eu le courage de dire d’une tout petite voix
- attendez je dois téléphoner …
Mais qui appeler, je devais quand même assurer mes arrières… Simonard ! oui lui
- Monsieur Simonard je n’ai pas le temps de vous expliquer mais si je ne suis pas rentrée demain à midi, prévenez la police voir la société « ordures ménagères »
Je raccrochais alors que mes futurs maitres me réclamaient sans aucune discrétion.
J’espérais que Simonard n’avait pas entendu me mot « SALOPE ».
Je m’installais à l’arrière de la voiture ma jupe relevée haut sur mes cuisses Mamadou ne perdit pas de temps et posa sa main sur ma cuisses par reflexe je tente de le repousser en prenant son poignet… mais sans un mot il me regardait dans les yeux et je le lâchais.
Sa main remonta le long de ma cuisse je ne montrai plus aucune résistance.
- eh les copains notre salope porte des dim up. je vous l’avais bien dit que c’etait une pute prête à tout pour réussir.
- Je suis sùre que tu couches avec ton patron !
- Non ce n’est pas vrai
je m’ouvrais et lorsqu’il a atteint mon string mon souffle s’est accéléré…
- Elle est trempée cette salope ,les mecs on va bien se vider les couilles.
Et moi d’avancer mon bassin pour mieux ‘m’offrir. Mamadou se pencha sur moi ses lèvres se sont posées sur les miennes sa langue a forcé ma bouche et je me suis laissée envahir en lui rendant son baiser… ahhhh
Il s’est recule sur le siège pour sortir un membre énorme déjà raide et il m’a obligée à me pencher en avant avec sa main posée sur ma nuque … docile soumise j’ai ouvert la bouche à la fois dégoutée et gourmande …lui palpait mes seins durs eriges par l’excitation.
- Dit Mamadou elle suce bien la pute ?
- ouais les gars ouais ! allez continue ma putain blanche
Ma tête montait et descendais sur sa « bite » oui c’était une « bite » que je pompais maintenant avec avidité avec envie et désir, à mon initiative je pressais ses testicules. NON ! ses couilles !
Il avait compris que j’aimais ce que je lui faisais que je me donnais.
Je vais jouir dans ta gueule de petite pute
- ah ouiiii prends tout !
j’ai reçu une quantité incroyable de sperme dans ma bouche que j’avalais avec tant de plaisir je me suis redressée en le regardant dans les yeux souriante ….
J’en voulais encore et je n’allais pas être déçue
Une fois arrives chez Mamadou j’ ai été déshabillée. Richard et Ahmed qui avaient été chauffés par le spectacle que je leur avait donne dans la voiture , ont voulu que je les suce et bien sûr je les ai bu..
J’ai découvert que le sperme avait un gouts diffèrent selon les hommes .
Toute la nuit j’ai été baisée oui c’est bien le terme, ils me prenaient les uns après les autres et jouissaient en moi sans s’occuper de moi sans faire attention à moi .. Et le plus fou ai que j’y ai pris un plaisir énorme délirant. j’ai eu plusieurs orgasmes de folies des orgasmes en cascades ou je hurlais ma jouissance…
J’ai été prise en sandwich. j’ondulais comme une folle sur ces deux bites qui me possédaient pour me donner encore plus pour les sentir encore plus en moi. je leur disais que j’étais leur pute à jamais déchainée. Ahmed m’a obligée à me taire en enfournant sa queue dans ma bouche. Je me suis mise à le pomper avec dévotion et le désir de le boire avidité.
j étais la proie consentante excitée folle de trois males à la fois…
Epuisée je me suis endormie entre mes amants disons plutôt mes males…
Je me suis réveillée , secouée, comme perforée sentant en moi une bite aller et venir ouvrant les yeux cherchant à savoir qui…
Mamadou était en train de me prendre pendant mon sommeil je n’eu qu’a serrer mes pieds dans son dos pour lui faciliter la tache lorsque j’ai senti sa semence gicler dans mon ventre j’ai joui aussi moins fort mais c’était très agréable…
André et Ahmed sont repartis chez eux couple oblige…
Vers 9 heure du matin je me suis habillée pour rentrer chez moi… non sans avoir encore sucer Mamadou.
Repue aussi épuisée par cette nuit de délire de folie j’ai continué à me découvrir à essayer comprendre ma sexualité ma personnalité… J’étais une perverse et je devais l’accepter et vivre avec…
Mais quels plaisirs quelles sensations. Je sais que maintenant je ne jouerai plus les hypocrites les prudes.
« oui je suis une salope et désormais j’assumerai ».
Hélas comment le prouver nous n’allions quand même pas le cambrioler pour trouver les papiers le confondant imaginez le scandale.
Nous savions qu’il passait ses documents à la broyeuse et ensuite qu’il les mettait à la poubelle. Il était tellement précautionneux qu’il déposait sa poubelle juste avant l’arrivée des éboueurs et même parfois il lui arrivait les attendre…
La seule solution était de soudoyer les éboueurs… c’était presque toujours la même équipe. Je me suis mise donc a les filer jusqu’à l ‘entreprise qui les embauchait… lorsque je les vis sortir tous les trois je les abordais leur proposant de leur offrir un cafe que je devais leur parler. Bien-sûr c’était des hommes plutôt peu raffinés qui ne se gênaient pas pour regarder mes formes même sourire en se donnant de coups de coudes
plus ou moins discrets..le chauffeur était noir plutôt petit assez gras les deux autres des blancs assez vulgaires plutôt muscles vu le travail assez physique qu’ils exerçaient mal rases mal habilles..
Je dois avouer que cette situation me troublait qu’ils m’attiraient. Mais pourquoi cette attirance vers tous ces hommes qui devraient normalement me répugner, sur lesquels je ne devrais même pas porter le moindre regard la moindre attention. J’étais honteuse de ce que je ressentais mais tellement excitée.
Assis tous les trois à une table je leur ai explique mon travail d’enquête et je leur ai expose mon problème et leur demande s’ils acceptaients de détourner le contenu de la poubelle papiers de Mr X et quelles seraient leur conditions ?
De plus je n’avais parle à personne de mon initiative et je ne savais pas quel budget je pouvais consacrer à cette action.
Ils ont accepte mais pour les conditions le prix était MOI !
Abasourdie par une telle audace, figée mais troublée, folle, honteuse je ne répondais pas et le noir qui semblait être le chef a pris la parole
- Tu nous appartiens une nuit entière tous les trois une nuit avant une nuit après. CETTE NUIT …Il me tutoyait ne me respectait déjà plus j’étais déjà sa chose sa salope..
Mon ventre se liquéfia mon souffle s’accélèrerait .
- Non Oui heu Non vous vous rendez compte !
et ce salaud de dire
- Tu hésites cela veut dire que tu en a envie.
- Je suis sûr que tu es une salope comme toutes les bourgeoises… me dit il en posant sa main calleuse sur la cuisse, un frisson de honte, j’étais déjà à lui il le savait.
- Allez salope on y va ! je ne disais rien incapable de toute réaction frissonnante la raison me disait « non n’y va pas tu vas te perdre « le démon qui me possédait l’exigeait..
Je me levais comme une automate…
- salope on va prendre ta voiture « les gars pour une fois que l’on va rentrer en voiture »
- Donne moi tes clés.
Richard va conduire moi je monte derrière avec ma salope. Tu es a moi désormais tu es ma pute.
J’eu le courage de dire d’une tout petite voix
- attendez je dois téléphoner …
Mais qui appeler, je devais quand même assurer mes arrières… Simonard ! oui lui
- Monsieur Simonard je n’ai pas le temps de vous expliquer mais si je ne suis pas rentrée demain à midi, prévenez la police voir la société « ordures ménagères »
Je raccrochais alors que mes futurs maitres me réclamaient sans aucune discrétion.
J’espérais que Simonard n’avait pas entendu me mot « SALOPE ».
Je m’installais à l’arrière de la voiture ma jupe relevée haut sur mes cuisses Mamadou ne perdit pas de temps et posa sa main sur ma cuisses par reflexe je tente de le repousser en prenant son poignet… mais sans un mot il me regardait dans les yeux et je le lâchais.
Sa main remonta le long de ma cuisse je ne montrai plus aucune résistance.
- eh les copains notre salope porte des dim up. je vous l’avais bien dit que c’etait une pute prête à tout pour réussir.
- Je suis sùre que tu couches avec ton patron !
- Non ce n’est pas vrai
je m’ouvrais et lorsqu’il a atteint mon string mon souffle s’est accéléré…
- Elle est trempée cette salope ,les mecs on va bien se vider les couilles.
Et moi d’avancer mon bassin pour mieux ‘m’offrir. Mamadou se pencha sur moi ses lèvres se sont posées sur les miennes sa langue a forcé ma bouche et je me suis laissée envahir en lui rendant son baiser… ahhhh
Il s’est recule sur le siège pour sortir un membre énorme déjà raide et il m’a obligée à me pencher en avant avec sa main posée sur ma nuque … docile soumise j’ai ouvert la bouche à la fois dégoutée et gourmande …lui palpait mes seins durs eriges par l’excitation.
- Dit Mamadou elle suce bien la pute ?
- ouais les gars ouais ! allez continue ma putain blanche
Ma tête montait et descendais sur sa « bite » oui c’était une « bite » que je pompais maintenant avec avidité avec envie et désir, à mon initiative je pressais ses testicules. NON ! ses couilles !
Il avait compris que j’aimais ce que je lui faisais que je me donnais.
Je vais jouir dans ta gueule de petite pute
- ah ouiiii prends tout !
j’ai reçu une quantité incroyable de sperme dans ma bouche que j’avalais avec tant de plaisir je me suis redressée en le regardant dans les yeux souriante ….
J’en voulais encore et je n’allais pas être déçue
Une fois arrives chez Mamadou j’ ai été déshabillée. Richard et Ahmed qui avaient été chauffés par le spectacle que je leur avait donne dans la voiture , ont voulu que je les suce et bien sûr je les ai bu..
J’ai découvert que le sperme avait un gouts diffèrent selon les hommes .
Toute la nuit j’ai été baisée oui c’est bien le terme, ils me prenaient les uns après les autres et jouissaient en moi sans s’occuper de moi sans faire attention à moi .. Et le plus fou ai que j’y ai pris un plaisir énorme délirant. j’ai eu plusieurs orgasmes de folies des orgasmes en cascades ou je hurlais ma jouissance…
J’ai été prise en sandwich. j’ondulais comme une folle sur ces deux bites qui me possédaient pour me donner encore plus pour les sentir encore plus en moi. je leur disais que j’étais leur pute à jamais déchainée. Ahmed m’a obligée à me taire en enfournant sa queue dans ma bouche. Je me suis mise à le pomper avec dévotion et le désir de le boire avidité.
j étais la proie consentante excitée folle de trois males à la fois…
Epuisée je me suis endormie entre mes amants disons plutôt mes males…
Je me suis réveillée , secouée, comme perforée sentant en moi une bite aller et venir ouvrant les yeux cherchant à savoir qui…
Mamadou était en train de me prendre pendant mon sommeil je n’eu qu’a serrer mes pieds dans son dos pour lui faciliter la tache lorsque j’ai senti sa semence gicler dans mon ventre j’ai joui aussi moins fort mais c’était très agréable…
André et Ahmed sont repartis chez eux couple oblige…
Vers 9 heure du matin je me suis habillée pour rentrer chez moi… non sans avoir encore sucer Mamadou.
Repue aussi épuisée par cette nuit de délire de folie j’ai continué à me découvrir à essayer comprendre ma sexualité ma personnalité… J’étais une perverse et je devais l’accepter et vivre avec…
Mais quels plaisirs quelles sensations. Je sais que maintenant je ne jouerai plus les hypocrites les prudes.
« oui je suis une salope et désormais j’assumerai ».
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