J'ai depucelé ma petite belle-soeur - histoire érotique

Le dépucelage de ma belle soeur

Je m’appelle Bruno et j’ai dépucelé ma belle sœur.
Je suis marié à Nathalie depuis 7 ans, nous faisons l’amour mais pas aussi souvent que je le voudrais (j’ai de gros besoins) et Nathalie aime s’entourer de godes. Ce qu’elle préfère c’est se goder la chatte pendant que je l’encule ou vice versa et surtout que je l’insulte pendant l’acte. J’avoue que ça ne me déplait pas et que ça décuple mon orgasme, mais elle ne m’octroie ses faveurs qu’une fois par semaine et même si c’est très fort, ça ne me suffit plus.
Elle a une sœur de 17 ans, Cathy, 14 ans plus jeune qu’elle, qui vient parfois à la maison. Leurs parents devant partir faire un safari au Kénia demandent à ma femme de bien vouloir prendre Cathy chez nous. La gamine est jolie et bien foutue mais je la soupçonne d’être encore vierge.
Cathy s’installe dans la chambre d’amis à la maison.
Samedi matin à 8h, Nathalie, médecin aux urgences, part pour sa garde de Week-end en me faisant un bisou et en me disant :
- Assure toi que Cathy ait fait ses devoirs et qu’elle ne se couche pas à point d’heure
- Oui chérie, je m’en occupe, bonne garde
C’est alors que je me mets à fantasmer sur ma petite belle sœur et lorsque j’entends l’eau de la douche dans sa chambre, je décide de passer à l’action.
Je rentre sans bruit dans sa chambre et je me faufile à poil sous ses draps. Je l’entends chanter du Madonna à tue tête, puis l’eau s’arrête. Elle entre dans la chambre, une serviette autour de la tête et une autre autour de son petit corps menu. Elle s’arrête
- Mais qu’est-ce que tu fais là ?
- Je t’attendais et je t’écoutais chanter
- Oui et bien maintenant tu vas sortir parce que je vais m’habiller
- Ok mais avant viens t’asseoir là, il faut que je te parle
Naïve, elle vient s’asseoir.
- Tu sais que je t’ai vue nue quand tu avais 8 ans
- Mais je n’ai plus 8 ans
- Justement, tu as 17 ans et maintenant tu es vachement bandante. Je voudrais que tu fasses attention avec les garçons et tu sais que l’on peut discuter tous les 2.
- Je suis assez grande pour me défendre toute seule
- J’en doute un peu et je ne voudrais pas qu’un garçon inexpérimenté te dégoûte du sexe. Tu es encore vierge n’est-ce pas ?
- Oui, répondit-elle rougissante
- Et tes copines ?
- Certaines ne le sont plus mais elles disent que ça fait mal.
- Le dépucelage fait parfois mal mais ça ne dure pas et après c’est très bon. Tu n’as pas envie d’essayer ?
- Avec qui ?
- Avec moi, répondis-je en tirant sur sa serviette
- Mais tu es fou, tu es le mari de ma sœur.
Je lui caresse les seins, elle ne se dégage pas. Je l’attrape par la taille et l’attire contre moi pour lui sucer les mamelons. Ils gonflent au contact de ma bouche.
- Arrête, dit-elle dans un sursaut de réalité
- Tu es sûre de vouloir que j’arrête, répondis-je en avançant la main vers son entrejambes. Mais dis donc, voilà une petite chatte bien mouillée ! Je suis sur que ce petit minou n’a pas envie que j’arrête.
Je stimule son clitoris, elle gémit. Je soulève le drap et devant ses yeux écarquillés je lui dis :
- Regarde dans quel état tu me mets
- Mais c’est gros, lance-t-elle dans un mouvement de recul
- C’est toujours gros quand c’est bandé. Tu peux toucher, ça ne mord pas.
Je lui prends la main pour la guider vers ma queue impatiente de se faire branler par cette main innocente. Je la guide d’une main tout en continuant à explorer sa petite chatte de l’autre. Je la pénètre avec mon majeur tout en continuant à lui exciter le clito avec mon pouce.
Je la renverse sur le lit pour enfouir ma tête entre ses jambes. Je la trouve bien docile pour une pucelle. Ma langue explore cette chatte vierge.

- C’est mal ce que l’on fait !
- Tu veux que j’arrête ?

Elle ne répond pas et j’ose un 2eme doigt qui entre sans problème tout en lui titillant le bouton avec ma langue. Elle gémit, se cambre. Je m’enivre de son parfum, j’adore lécher les chattes.
Je me redresse, lui écarte les cuisses pour m’installer à genoux devant elle.

- Ta petite moule est bien ouverte et bien crémeuse, tu as très bon goût et j’adore te manger le minou. Je vais pouvoir t’enfiler.

Je présente mon gland sur sa vulve trempée, elle se raidit. Je pousse légèrement, il entre et elle pousse un cri strident !

- Tu me fais mal ! Arrête !
- Non, Tu ne vas plus avoir mal.

Je pousse d’un coup de rein et je vois ma queue disparaître dans un cri de douleur de ma petite vierge. Son hymen a cédé.

- Arrête, ça fait mal hurle t-elle

Je reste au fond d’elle sans bouger, elle sanglote.

- Je ne vais pas arrêter maintenant, ça va être le meilleur. Détends-toi petite chérie. Je vais te faire du bien.

Je commence de lents va et vient et je la sens se détendre sous la caresse de mon pénis et de mes doigts sur son bouton d’amour.
J’accélère progressivement la cadence jusqu’à ce qu’elle soit secouée d’une vague de spasmes, ça m’excite et je ne m’arrête pas pour la laisser se reprendre. Je lui soulève le bassin et la pénètre plus profond encore. Je sens que je bute contre son utérus. Elle se met à crier, mais cette fois de plaisir. Je sors précipitamment pour lui envoyer quelques giclées de ma semence sur ses jolis seins ronds. Je m’affale à ses côtés.
Elle se lève d’un coup,

- je dois aller au lycée, j’ai cours à 10h.

J’avais complètement oublié le lycée !
Elle rentre à 12h, j’avais préparé le repas et nous mangeons en discutant.

- J’ai adoré te faire l’amour ce matin
- Tu lui fais la même chose ?
- A qui ?
- A Nath
- Pas tout à fait
- Tu lui fais quoi ?
- Je te trouve bien curieuse tout à coup, répondis-je pour essayer de noyer le poisson
- Normal, je l’ai tellement entendue crier cette nuit
- Tu nous épiais ?
- Non, mais ça m’a réveillée.

C’est ainsi que je lui explique que sa sœur aime les godes, les doubles pénétrations et les insultes. Elle a l’air émoustillée. Elle me demande de lui montrer les jouets et pose des questions concernant certains. C’est alors que je la vois se déshabiller dans notre chambre.

- Je crois que pour comprendre il faudrait que tu me montres
-
La voir nue comme ça, offerte sur le lit conjugal me fait bander comme un âne et je me mets à la caresser frénétiquement. J’en profite pour lui dire que sa sœur me suce. Elle s’exécute, maladroitement au début mais peu importe c’était vachement bon.
Je lui demande si elle veut vraiment que je fasse comme avec sa sœur

- Oui s’il te plait

Je lui bouffe le minou goulûment mais cette fois ma langue va aussi titiller sa rondelle.

- Mets toi à 4 pattes que je te prépare comme il faut

Elle s’exécute et je prends le plus fin des godes que j’enduis de lubrifiant. Je lui pénètre la chatte sans mal et commence à la limer tout pendant que je lui masse sa rondelle serrée. J’introduis doucement le gode. Elle ne dit rien. Je mets les vibrations en marche. Elle gémit, se tortille.

- Tu aimes ça salope que je te prenne comme une chienne, hein ?
- Oui c’est trop bon
- Tu veux que je dépucèle ton cul aussi ?
- Oui s’il te plait
- Attends je vais t’en mettre un plus gros

Je prends la taille au dessus. J’ai un peu de mal à entrer mais elle se dilate en douceur. Je vois son cul s’ouvrir et je n’ai qu’une envie, y mettre ma queue.
Je lui laboure la chatte jusqu’à lui faire atteindre l’orgasme tout en lui godant le cul. Je la laisse se reprendre.

- Je vais te labourer le cul maintenant ma salope, ne bouge pas.

Je prends un autre gode que je lui enfile dans le minou et je présente mon gland violet devant son petit trou. Je pousse un coup sec. Elle hurle.
- Tu voulais ma queue dans ton cul et bien tu l’as !
- Arrête ça fait mal !
- Mais non ça ne fait pas mal, tu aimes ça que je te défonce le cul, tu es comme ta salope de sœur.
- Non ça me fait mal
- Tu ne veux pas jouir comme ta sœur ?
- Si
- Alors ferme-la et laisse-moi faire
-
Je continuai à la besogner quelques minutes avant de tout lui décharger dans le cul. Elle ne disait plus rien à part des ah ah chaque fois que j’atteignais le fond. Je sors et regarde mon foutre couler de ce petit cul bandant.
Il est 15 h et je suis exténué. Elle me regarde.

- Tu as aimé ?
- Oui mais j’ai préféré ce matin

Je souris car je savais qu’on allait pouvoir recommencer plus tard.

- Dis moi, j’ai une copine qui se vante tout le temps et pourtant je suis sure qu’elle est encore vierge, ça te plairait que je l’invite et que tu t’en occupes ?
- Tu plaisantes ?
- Pas du tout. A l’entendre elle a déjà tout fait et je voudrais ton avis d’expert.
- Pourquoi pas

Je vois ma petite belle-sœur sauter du lit et aller téléphoner à sa copine.

- Viens tu verras, mon beau-frère est canon et je suis sure qu’il va te plaire….. Non elle n’est pas là elle est de garde…… Ne me dis pas que tu as peur de le draguer……. Il ne va rien dire, il accepte que j’invite des amis chez eux. Allez viens et ne te fais pas prier en fait j’aimerais que tu l’occupes un peu pendant que je vais regarder un dvd porno que l’on m’a prêté….. Oui bien sur je te le prêterai …… Ok bye à ce soir.

Cathy revient en m’annonçant qu’il fallait que je me repose parce que sa copine venait le soir même.
Ma femme appelle en fin d’après-midi

- Tout va bien ?
- Oui tout va bien chérie, Cathy est dans sa chambre en train de faire ses devoirs, je viens de préparer une pâte à crêpes pour ce soir et j’ai loué le dvd de chouchou que l’on va regarder tranquillement.
- Quelle chance vous avez, moi je n’ai pas arrêté de la journée !
- Pauvre chérie !
- Oui bonne soirée
- Bonne soirée mon amour et pense à notre nuit d’hier moi j’y ai pensé toute la journée. C’était divin ! J’y ai pensé toute la journée et il me tarde la semaine prochaine pour te faire jouir à nouveau.
- Oui, mon Cœur, c’était très bien.

Quel hypocrite je suis ! Pas plus divin que ce que je venais de vivre avec Cathy ! Mais bon je suis un homme.

A 20h30, virginie arrive. Nous sommes là tous les 3 à discuter dans le salon et je leur propose une coupe de glace qu’elles acceptent. Je suis dans la cuisine en train de les préparer pendant que les filles sont dans le salon et je tends l’oreille pour écouter ce qu’elles disent. Virginie est une grande brune pulpeuse, jolie à regarder.
J’entends ma belle-sœur :

- Alors comment tu le trouves ?
- Il est mignon
- Oui et d’après ma sœur il est plutôt bon au lit
- Tu parles de ça avec ta sœur ?
- Ben oui, ça arrive, tu sais elle est plutôt libérée comme femme.
- Et tu crois qu’il l’a déjà trompée ?
- Possible parce qu’elle est souvent absente.

Je reviens avec les coupes et je m’assois à côté de Virginie. Mon excitation est à son comble devant ses jeunes culs. Je la frôle sous l’œil de Cathy qui une fois sa glace terminée prétexte un coup de fil à donner. Elle quitte le salon me lançant seul avec Virginie. Je bande et je fais en sorte que Virginie le voie. Sans un mot, je prends sa main pour la mettre sur ma queue au travers de mon pantalon. Elle ne dit rien et me malaxe la queue en me regardant droit dans les yeux. J’explore son corps, ses seins petits mais fermes pointent déjà sous son tee shirt moulant. Ma main glisse sous sa jupe à la rencontre de sa chatte, j’écarte son slip pour y fourrer mes doigts et je découvre sa chatte chaude et douce qui mouille déjà. Elle me regarde toujours dans les yeux pendant que je la doigte. Je me décide à lui demander :

- Tu as envie que je te baise ?
- Oui, j’ai surtout envie d’un mec qui sache y faire
- Tu as déjà sucé ?
-
Sans répondre elle ouvre ma braguette et me pompe divinement. Mes doigts ruissellent de sa cyprine. Elle est prête. Je lui enlève sa petite culotte et lui demande de venir s’asseoir sur moi. Je l’empale, je sens la résistance, elle hurle ! Je n’en fais pas cas tellement je suis excité et la ramone quelques minutes avant de lui décharger sur la poitrine.

- Mais tu étais vierge ?
- Oui mais j’en avais envie depuis longtemps
- Depuis longtemps ? mais tu as 15 ans !
- Et alors ? ça fait longtemps que je me masturbe quand j’entends mes parents.
- Tu entends tes parents ? et tu entends quoi ? demandais-je en recommençant à lui caresser la chatte

Entre deux gémissements elle répond :

- Ma mère demande souvent à mon père de la prendre par derrière, mon père parle plus et la traite de pute de bas étages, il lui dit qu’il va lui enfoncer jusqu’à la gorge, qu’il va la défoncer et il lui demande si elle aime ça, elle répond que oui. Mon père luji demande souvent si elle aime sa grosse bite et elle répond que oui. Je rêve de voir la bite de mon père et je rêve qu’il me prenne.
- Mais attends, c’est de l’inceste ça !
- Peu importe ! Je rêve de lui toutes les nuits.
Mon excitation est à son comble et je vois Cathy qui nous observe et qui sourit. Je la fais jouir avec mes doigts et je rêve de retrouver la chatte de Cathy. Il ne s’est passé qu’une vingtaine de minutes depuis que Cathy a quitté la pièce. Je m’essuie avec du sopalin pendant que Virginie remet sa culotte. Cathy attend encore quelques instants avant de réapparaître. Nous continuons à discuter tous les 3 d’un air dégagé et je décide de raccompagner Virginie chez elle.
Quand je rentre Cathy est couchée sur mon lit, nue. Ces filles veulent ma peau !

- Alors, elle était vierge ?
- Oui
- J’en étais sûre ! Maintenant, il faut que tu t’occupes de moi !

Je lui fais l’amour et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
A 09H00, j’ouvre un œil, j’ai déjà la gaule matinale et la vue de Cathy nue qui dort encore n’arrange rien. Je caresse son corps endormi. Elle se réveille et entreprend une pipe beaucoup plus habile que la veille. Le téléphone sonne. C’est ma femme !

- Bonjour chéri, tu as bien dormi ?
- Oui et toi comment s’est passée la nuit ?
- Horrible, je ne me suis pas couchée mais maintenant c’est plus calme et je vais aller me reposer

J’étais en train de parler à ma femme pendant que ma belle sœur me faisait une pipe et que mes doigts fouillaient sa chatte. Mon excitation était à son comble

- Bon bonne journée, Cathy dort encore ?
- Oui je crois, en tous je ne l’ai pas encore entendue.
- A demain ! Je t’aime
- Repose toi et à demain. Je t’aime aussi

Je fis l’amour à ma belle sœur encore plus fort que la veille. Un instant après elle me lance :

- Tu veux que je te dise ?
- Oui quoi ?
- J’adore ça ! J’espère que tu me baiseras chaque fois que Nath sera au boulot.
- Promis ma puce ! Ce ne sera pas un sacrifice, ta chatte est merveilleuse.

C’est ainsi que j’ai baisé ma belle sœur pendant 4 ans chaque fois que je le pouvais. Elle a quitté notre ville pour aller faire ses études, elle ne passe donc plus me voir dans la semaine et c’est toujours avec beaucoup de regret que je pense à son petit cul.