J'ai été le jouet et le spectacle de mon dépucelage en vacances

- Par l'auteur HDS fvkway -
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Récit libertin : J'ai été le jouet et le spectacle de mon dépucelage en vacances Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'ai été le jouet et le spectacle de mon dépucelage en vacances
Nous avons donc pris la route pour les vacances vers le bassin d’Arcachon.
Arrivé dans le gite, les amis de Patricia et Arnaud sont déjà arrivés.
Nous sommes accueillis en fin d’après-midi par les deux couples.
Arnaud commence les présentations :
Arnaud : Je vous présente Sylvie et Patrick, Laurence et Christophe
Sylvie et Patrick ont 55 ans, Laurence Christophe ont 50 et 53 ans.
Ils ont tous les 4 un physique agréable, mais je vois Patricia qui fait signe à Valérie de regarder le physique de Patrick.
Lorsque je tourne la tête, je vois que le short de Patrick est en nylon bleu ciel mais qui laisse entrevoir qu’il ne porte pas de slip et que son sexe est à la limite d’apparaitre à l’entre cuisse.
J’ai tout de suite compris les intentions de Patricia.
Valérie me regarde, et j’ai pu lire dans son regard, une certaine inquiétude.
Arnaud, c’est bien rendu compte de la chose et dit : "Patrick, tu as mis ton short préféré…".
Patrick : "J’adore le mettre en vacances, il est très pratique pour dégainer à tous moments…"
Christophe : "Tu dis ça en regardant d’un air qui veut dire que tu es prêt à recommencer tous ensemble ?"
Patrick : "Patricia me connait mieux que moi-même, elle sait bien de quoi je suis capable…"
Patricia : "Invitez-nous plutôt à boire un verre, avant de dire n’importe quoi…"
Arrivé dans le gite, il est magnifique, les chambres somptueuses.
Après avoir installé nos bagages, et habillé de nos maillots de bains, nous avons rejoint les amis sur la terrasse pour boire un verre.
C’est le début des conversations sur la route, le boulot, le gîte, Arcachon, les projets de balades et puis d’un seul coup, Patricia dérive sur le sexe.
Lorsque nous nous sommes assis, je n’avais pas fait attention que l’emplacement de chacun avait été géré.
Ainsi Valérie c’est retrouvé assise entre Patrick et Christophe et moi entre Sylvie et Patricia.
Laurence était entre Sylvie et Arnaud.
Là où je me trouvais, j’avais la vue directe sur l’entre cuisse de Valérie et de Laurence.
La discussion repris sur le fétichisme et la passion des rencontres.
Patrick aborde un sujet sur des positions dans lequel il s’est retrouvé, et dont Patricia y été pour quelque chose.
Patricia a rétorqué que finalement, il avait apprécié ce qu’il avait enduré.
J’ai voulu savoir, Patricia a changer le débat en remontant sa robe et laissant apparaitre son maillot en vinyle noir ultra brillant.
Patricia : Qui veut toucher ? allez s’y, François, touche !!!!
Je n’ai pas eu le temps que Christophe s’est levé et directement, il s’est mis à la caresser…
Je regarde Valérie en face de moi, elle me fait un signe des yeux, m’accordant la demande de Patricia.
Dès que j’ai posé ma main sur Patricia, Patrick s’est empressé de mettre sa main sur la cuisse de Valérie.
Je ne quittais pas des yeux Valérie, elle m’a regardé pour que moi aussi je lui donne le droit d’accepter de son voisin les caresses.
J’ai alors regardé l’entre jambe de Patrick pour voir son sexe grossir.
C’était impressionnant, je caressais Patricia avec Christophe et pendant ce temps-là, Valérie écartait les cuisses pour laisser entrevoir son maillot de bain mauve sous sa robe et laisser la main de Patrick allait vers le vinyle brillant.
Pendant ce temps-là, Arnaud avait Laurence et Sylvie entre chaque main.
« Ça y est » c’est parti pour une partie.
Je me mets à bander alors que Patrick a sa bitte qui est complètement sortie de son short en nylon.
Valérie se lève et retire sa robe pour laisser apparait son maillot au soleil. Elle est magnifique.
Je caresse Patricia mais je regarde Valérie.
Patrick se lève aussi et prend Valérie par la main pour l’emmener au bord de la piscine.
Valérie me regarde en même temps qu’elle se dirige vers la piscine.
Je vois qu’elle est inquiète.
Patrick a un sexe super raide et d’une taille impressionnante.
Je dis à Patricia, « tu viens dans la piscine ? »
Elle me répond : « tu as peur ? »
Moi : "de quoi ?"
Patricia : Pour Valérie ! ne t’inquiètes pas, Patrick n’est pas un sauvage, il va lui faire que du bien.
Moi : oui mais, j’aimerai bien être à côté d’elle.
Patricia : on va s’approcher mais tu dois garder une distance pour respecter leurs ébats.
Nous nous dirigeons tous vers la piscine.
Arrivé dans la piscine, je suis à 2 mètres de Patrick qui est assis sur le bord de la piscine.
Valérie est dans l’eau et elle est entrain de lui asticoter le manche avec le tissu de son short en nylon.
A chaque descente de la main de Valérie, je vois le gland qui se colle sur le tissu.
Le nylon laisse apparaitre un gland énorme.
Valérie applique le tissu avec l’autre main, pour bien mettre en évidence ce champignon.
Patrick se cambre en arrière pour se contracter au maximum et faire gonfler son gland.
J’ai du mal à m’imaginer, que le sexe de ma femme, va prendre un aussi gros machin sans lui faire mal.
Patricia me tenait la main, et de l’autre elle me massait la nuque.
Elle me susurre des mots que je ne comprends pas, car je suis concentré sur ma femme.
D’un seul coup je me suis senti bizarre, comme si j’avais bu.
Patricia avait pris la main sur moi, elle m’a hypnotisé pour que je me détende, car elle se doutait que j’allais avoir peut-être une mauvaise réaction.
C’est en étant à moitié détendu, que j'ai vue Patricia monter et se mettre sur le bord de la piscine avec les jambes écartées devant moi. Elle m’a appuyé sur la tête pour me faire comprendre de m’accroupir dans l’eau.
Mon visage était devant son maillot en vinyle. Elle m’a attrapé par les cheveux pour que je sois directement sur le tissu.
L’odeur m’excitait et je me suis mis à lécher le vinyle dans l’entre cuisse. Patricia me tenait la tête d’une main bien appliquée sur le tissu et de telle façon que mon regard soit détourné de ma femme.
Je ne sais plus comment mais à un moment, j’étais en train d’embrasser Patricia qui était face à moi. D’une main elle me caressait le visage de l’autre elle a écarté le tissu de ces fesses pour faire comprendre à Christophe qu’il pouvait se mettre derrière.
Lorsque Patricia s’est penchée en avant, j’ai compris que Christophe lui introduisait son membre dans la vulve.
Les coups de reins de Christophe étaient très rapides puis lent mais avec des blocages en fonds.
J’ai regardé sur les côtés pour voir les autres et leurs ébats.
J’ai vu que Arnaud était en train de besogner Sylvie et que Laurence embrassait la bouche de ma femme.
Valérie continuait à branler le sexe de Patrick en dehors de son short.
Toujours zen, je regardais méduser ce gland que finalement je m’imaginai dans la bouche moi-même. Moi qui rejette l’idée de relation avec un autre homme.
Patrick sépara Valérie de la bouche de Laurence pour diriger ses lèvres sur son gland.
Lorsque son visage a été devant cette grosse fraise gonflée, Valérie a regardé dans les yeux de Patrick.
Patrick lui a dit : Ouvre bien grand la bouche, mon gland va s’adapter.
Elle a sortie la langue pour la mettre sur le gland.
Valérie faisait des petits tours de langues dessus.
Patrick : Assez joué, tu vas goutter ?
Valérie : J’ai peur…
Patrick : Si tu ne veux pas, tu ne t’inquiètes pas….
Valérie : Si, si, je voudrai essayer quand même…
Je ne savais pas quoi dire mais je l’ai encouragé
Moi : Vas y chérie, je ne pourrai jamais te donner ça.
Ces quelques mots l’ont débloqué.
Valérie a ouvert la bouche et a commencé à faire rentrer le gland.
Je voyais que ça lui tirait sur les maxillaires.
Et là j’ai vu les mains de Laurence, prendre la tête de ma femme et lui dire
Laurence : "Je vais t’aider..."
Elle lui a appuyé sur la tête très fort, le gland est rentré d’un seul coup.
Je voyais bien que Patrick ne pourrait pas aller plus loin…
Avec les images que je venais de voir, je me sentais bien quand Valérie a laissé un "humm" s'échapper.
D’un seul coup, Patricia s’est retirée, et je me suis retrouvé avec la bite de Christophe en face de moi, je n’ai pas osé bouger et comme j’étais encore groggy par l’hypnose, j’ai vu la bitte s’approcher de mes lèvres et c’est Patricia qui ordonna à Christophe de me la mettre dans la bouche.
En levant les yeux, j’ai vu dans le regard de Patricia une satisfaction.
Christophe m’a attrapé la tête à deux mains et m’a introduit de force son sexe en pleine bouche.
Je comprenais que je subissais, ce que je faisais de temps en temps à Valérie et ce quelle avait en bouche maintenant.
Sans rien dire, j’ai sucé cette tige, par plaisir finalement.
J’ai sucé pendant de longues minutes et je ne voyais plus ce qui se passait autour de moi.
Comme c’était la première fois, je ne me suis pas méfié que le petit gout salé, était prémonitoire de l’arrivée du sperme.
Je me suis pris plein de sperme en bouche, et Christophe qui a crié : « Aval tout salope, prend ça dans ta gueule de pute, t’aime ça sale chienne »
Il me tenait tellement fort par les cheveux et étant à genoux dans l’eau, j’ai compris que j’étais obligé d’avaler.
Mais j’entendais rire Valérie derrière moi, et là, j’ai été pris d’une stupeur car elle était en train de me baisser mon maillot.
Je suis très pudique et je n’aime pas que l’on me mette la cul à l’aire si je ne le fait pas moi-même.
J’ai senti les mains douces de Valérie puis un doigt qui me rentrait dans le cul.
Patricia me dit : « il est beau ton petit cul ? »
J’étais toujours bloqué par Christophe en position avec ça bite dans la bouche qui ne débandait pas.
J’ai compris aussitôt ce que Patricia avait manigancé et manipulé les autres convives à assister à mon dépucelage.
Et effectivement, après le doigt, j’ai senti quelque chose de froid avec l’eau de la piscine, s’introduire dans mon cul sans ménagement.
A ma grande surprise, j’ai eu une impression de froid et de tiraillement au niveau de l’anus.
Lorsque Christophe s’est retiré de ma bouche, j’ai tourné la tête pour voir que Valérie, était harnachée d’un gode ceinture par-dessus son maillot en vinyle qui venait de me sodomiser.
Elle m’a dit devant tout le monde : « tu la sens bien dans ton petit cul, je l’avais acheté spécialement pour toi, bonne fête chéri ».

Patricia m’a sortie à ce moment là de mon état second.
J’étais sans parole. Ma femme faisait claquer le gode dans mes entrailles et avec le bruit de l’eau, je réalisais que j’avais été le jouet et le spectacle des convives…
Les vacances ne sont pas finies, cela promet à plus tard !!!!

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