J'ai honte... 5
Récit érotique écrit par José_P [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'ai honte... 5
Je suis de retour pour coucher mes aventures sur le papier.
J'ai lu les commentaires de mes 3 premières histoires diffusées sur le site et je suis content que cela vous plaise.
J'ai pu aussi lire que c'était moralement discutable et j'en suis le premier d'accord. C'est d'ailleurs ce qui m'a motivé à bouleverser les événements.
Mais je vais d'abord commencer par la fin de cette deuxième journée de luxure.
Je ne peut pas être à la fois devant mon clavier et en train de vivre mon rêve, d'où mon absence.
Je vais vous raconter la première fois où j'ai sodomisé Lucie.
La fin de la journée approchait et surtout le moment où ma femme allait rentrer à la maison.
J'ai donc décidé de profiter une dernière fois de ma belle sœur pour son plus grand plaisir.
Je lui proposai de prendre une douche ensemble et je lui annonçai sans détour que j'avais envie de m'occuper de son petit cul.
Il était venu le temps de retirer ce plug et de le remplacer par ma queue.
Lucie me sourit en hochant la tête, comme si elle est s'y attendait.
Elle n'était plus si "rentre dedans" mais plutôt tactile et sensuelle. Elle m'enlaça pour m'embrasser tendrement en me caressant les fesses.
Bien que quelques heures avaient passé depuis notre baise bien hard, elle semblait encore droguée à l'endorphine.
Je lui rendis ses baisers avec la même tendresse, lui caressant les fesses aussi. Je passai une de mes mains de gauche à droite en faisant exprès de raccrocher l'obstacle planté dans son cul.
Cela la faisait frémir de nouveau, réveillant sa fougue pour me mordre délicatement la lèvre inférieure, mais je l’interrompis net en plaçant mon index sur sa bouche en chuchotant.
Je lui donnai un dernier baiser langoureux où nos langues se rencontrèrent à l'extérieur de nos bouches, puis je l'invitai à se rendre dans la salle de bain.
Arrivé sur place, Lucie prit la parole.
- Est-ce que tu veux que je le rince et que je me nettoie vite fait avant ? me demanda t-elle timidement en parlant de ses fesses.
C'était bien la première fois que je sentais de la gène chez elle mais il faut dire que la situation était plutôt intime.
Elle savait que je risquais de voir quelque chose qui pourrait me dégouter d'elle : sa merde.
Je ne suis pas scatophile mais je lui répondis que je voulais la prendre "nature" et que rien qui sortirait d'elle ne me dégouterait.
Lucie hocha la tête, donnant son consentement et entra dans la douche d'une manière très sensuelle. Elle se retourna lentement en gardant sa tête fixée sur moi avec des yeux qui dévoraient les miens.
Je rentrai alors avec elle et fit immédiatement couler l'eau sur nos corps.
L'eau encore fraiche fit durcir ses tétons et activa en moi une envie d'uriner.
Je demandai alors à Lucie si elle voulait tenter l'urologie "soft".
- Est-ce que je peux faire pipi sur ton visage, Lucie ?
- Ok mais j'en avalerais pas me répondit-elle en se mettant accroupie.
Je dirigeai alors le pommeau de douche ailleurs que sur elle pour bien voir se que j'allai faire et j'approchai ma queue en train de durcir devant son visage.
C'était difficile comme position car il fallut que je me courbe pour que mon jet d'urine ne passe pas au dessus de sa tête.
Je lâchai tout dans un soupir suivi d'un "oh putain!". C'était douloureux. Ma queue était en feu de l'avoir trop sollicité mais c'était à la fois trop bon.
Je découvris alors le plaisir de pisser sur le visage d'une femme à ma merci. J'en profitai d'ailleurs pour la remercier de me donner ce cadeau.
Elle me sourit avec les yeux fermés en guise de réponse, se gardant bien d'ouvrir la bouche.
Une fois terminé, je lui demandai dans la foulée si elle avait envie à son tour de me pisser dessus.
Lucie se releva, silencieuse.
Elle se plaça devant moi et se colla à moi pour me fixer dans les yeux.
Machinalement, je m'approchai de son visage et je me mis à la sentir en fermant les yeux.
Je me rendais compte qu'elle était magnifique avec les cheveux mouillés.
Je ne savais pas encore si j'appréciais cette pratique, j'étais encore dans la découverte à la renifler et à caresser son visage.
Je n'osai pas l'embrasser pour ne pas lui faire rentrer d'urine dans la bouche.
Lucie me sortit de mes pensées en me demandant de me mettre à genoux, sur un ton un peu autoritaire.
J’exécutai immédiatement son ordre avec enthousiasme. J'allai me faire pisser dessus ! Et par une déesse en plus !
J'aurais jamais cru que cela pouvait un jour me mettre dans un état pareil !
Lucie ne se contenta pas de me faire pipi dessus passivement. Non. Elle leva une jambe pour la poser sur mon épaule et écarta sa chatte au maximum.
Quelle mise en scène ! Et ce regard accompagné d'un sourire de satisfaction... C'était à Lucie de me dominer et elle y prenait du plaisir.
Elle resta silencieuse, se caressant la chatte devant mon visage jusqu'à l'arrivée du bouquet final.
Lucie soupira comme moi suivit d'un "ahh" aigu, un son inspirant la provocation et encore la satisfaction.
Je fermai les yeux et savourai cet instant nouveau pour moi. Son jet d'urine inonda mon front en premier. Je sentis son odeur prononcée de vieille urine, celle qu'on retient un moment.
C'était bizarre mais à la fois existant. Le jet s'épuisa et j'ouvris les yeux pour le voir disparaitre dans un dernier soubresaut, captant in extrémis sa source. Je voulais voir d'où ça sortait.
Je ne sais pas pourquoi.
Je fini d'observer cette chatte dégoulinante de pisse jusqu'à ce que Lucie me sorte une fois de plus de mes pensées.
- Ça t'a plu ? me demanda t-elle avec un visage d'ange. On lui aurait donné le bon Dieu sans confession avec son air innocente alors qu'elle venait de faire une chose si choquante !
- Tu as été parfaite... lui répondis-je en levant la tête pour l'admirer.
Je profitai de cet instant magique pour saisir le plug dans son cul et lui retirer tout doucement.
Lucie fronça les sourcils et laissa échapper un autre soupir accompagné d'un "ohh", celui de la délivrance.
Elle s'appuya sur le mur, comme si elle ne tenait plus sa position à cause du contre coup.
Elle baisa la tête pour me regarder avec un regard grave pour constater que je contemplais son plug entouré de ses excréments.
Une journée avec sans aller aux toilettes l'avait fatalement souillé.
Lucie semblait inquiète de ma découverte mais la pauvre ne pouvait pas voir le petit filet liquide marron qui courrait le long de sa cuisse.
Je lui sourit pour la rassurer et je lui dis que maintenant, je la connaissais par cœur et qu'elle était vraiment parfaite.
Lucie me sourit sans être totalement convaincue.
Je posai alors le plug au sol et j'attrapai ses hanches pour la tourner devant moi.
Lucie s'appuya contre le mur pour me présenter son cul bien ouvert et préparé à souhait.
Je me redressai alors lentement en profitant de la vue puis je vins planter ma queue devenue toute raide dans son trou suintant.
J'étais enfin dedans ! La finalité de cette journée si particulière...
J'étais enfin au fond de son petit cul de provocatrice. Cette petite chienne qui voulait se faire troncher sans complexe.
Je me mis à la pistonner brusquement, en grognant comme un mâle alpha avide de montrer sa puissance. Je n'avais plus mal à la queue.
Je voulais LUI faire mal. La punir d'être si salope. Prendre enfin le dessus sur elle sans qu'elle finisse par avouer qu'elle a aimé.
Je voulais jouir de sa honte, de sa souffrance !
J'étais dans un état second et je découvrais complètement cette nouvelle nature. Cette violence, cette bestialité. Ce n'était pas une envie d'être violent au point de la frapper.
Non, ça jamais. C'était plutôt l'idée de lui défoncer le cul comme j'ai pu le voir sur le net.
La culpabilité me gagnait et j'avais d'autant plus envie de la défoncer...
Mais Lucie se ne comporta pas comme je l'avais imaginé. Je n'étais pas si serré que ça dans son cul, le plug ayant fait le boulot. Mais même sans ça, j'avais au bout de la queue une femme pas comme les autres.
Elle se mis à hurler mais de plaisir. Elle avait appris à se familiariser à cette sensation dans son cul. Ses hurlements raisonnèrent dans la salle de bain si bien que j'avais les oreilles qui bourdonnent.
Et elle en redemandait en criant des "oh oui", "vas-y", "encore"...
Sur le moment, voyant mon impuissance à la dompter, j'avais presque envie de lui dire de fermer sa gueule...
Je préférai insister et redoubler d’effort pour l'enculer à toute vitesse et le plus fort possible.
Ses hurlement changèrent et elle se mis à rajouter "c'est trop bon".
Je sentis alors son cul se contracter violemment autour de ma queue alors qu'il devait être bien dilaté, pourtant.
Un puissant orgasme montant dans le ventre de Lucie la fit gémir comme une femme enceinte qui expulse son enfant !
La situation atteint son paroxysme quand je décidai de lâcher prise.
Tout était là pour ça.
Lucie et ses gémissements.
Cette vision de rêve sur ma queue continuant de maltraiter ce petit trou qui bavait maintenant abondamment une petite crème marron.
L'odeur à la fois de pisse et de cul que dégageait Lucie.
Je me mis à accompagner Lucie dans ses hurlements et je jouis dans un dernier coup de reins pour finir planter bien au fond de son cul.
L'extase !!
Ce fus l'expérience la plus folle de ma vie !
Même après ce qui m'est arrivé ces derniers jours.
Je profite maintenant de cette dernière précision pour vous expliquer que je vais accélérer mes prochaines histoires (quand j'aurais le temps d'écrire) pour arriver à la nouvelle situation.
Je vous remercie encore pour vos commentaires.
Et non, ma femme n'était pas complice...
J'ai lu les commentaires de mes 3 premières histoires diffusées sur le site et je suis content que cela vous plaise.
J'ai pu aussi lire que c'était moralement discutable et j'en suis le premier d'accord. C'est d'ailleurs ce qui m'a motivé à bouleverser les événements.
Mais je vais d'abord commencer par la fin de cette deuxième journée de luxure.
Je ne peut pas être à la fois devant mon clavier et en train de vivre mon rêve, d'où mon absence.
Je vais vous raconter la première fois où j'ai sodomisé Lucie.
La fin de la journée approchait et surtout le moment où ma femme allait rentrer à la maison.
J'ai donc décidé de profiter une dernière fois de ma belle sœur pour son plus grand plaisir.
Je lui proposai de prendre une douche ensemble et je lui annonçai sans détour que j'avais envie de m'occuper de son petit cul.
Il était venu le temps de retirer ce plug et de le remplacer par ma queue.
Lucie me sourit en hochant la tête, comme si elle est s'y attendait.
Elle n'était plus si "rentre dedans" mais plutôt tactile et sensuelle. Elle m'enlaça pour m'embrasser tendrement en me caressant les fesses.
Bien que quelques heures avaient passé depuis notre baise bien hard, elle semblait encore droguée à l'endorphine.
Je lui rendis ses baisers avec la même tendresse, lui caressant les fesses aussi. Je passai une de mes mains de gauche à droite en faisant exprès de raccrocher l'obstacle planté dans son cul.
Cela la faisait frémir de nouveau, réveillant sa fougue pour me mordre délicatement la lèvre inférieure, mais je l’interrompis net en plaçant mon index sur sa bouche en chuchotant.
Je lui donnai un dernier baiser langoureux où nos langues se rencontrèrent à l'extérieur de nos bouches, puis je l'invitai à se rendre dans la salle de bain.
Arrivé sur place, Lucie prit la parole.
- Est-ce que tu veux que je le rince et que je me nettoie vite fait avant ? me demanda t-elle timidement en parlant de ses fesses.
C'était bien la première fois que je sentais de la gène chez elle mais il faut dire que la situation était plutôt intime.
Elle savait que je risquais de voir quelque chose qui pourrait me dégouter d'elle : sa merde.
Je ne suis pas scatophile mais je lui répondis que je voulais la prendre "nature" et que rien qui sortirait d'elle ne me dégouterait.
Lucie hocha la tête, donnant son consentement et entra dans la douche d'une manière très sensuelle. Elle se retourna lentement en gardant sa tête fixée sur moi avec des yeux qui dévoraient les miens.
Je rentrai alors avec elle et fit immédiatement couler l'eau sur nos corps.
L'eau encore fraiche fit durcir ses tétons et activa en moi une envie d'uriner.
Je demandai alors à Lucie si elle voulait tenter l'urologie "soft".
- Est-ce que je peux faire pipi sur ton visage, Lucie ?
- Ok mais j'en avalerais pas me répondit-elle en se mettant accroupie.
Je dirigeai alors le pommeau de douche ailleurs que sur elle pour bien voir se que j'allai faire et j'approchai ma queue en train de durcir devant son visage.
C'était difficile comme position car il fallut que je me courbe pour que mon jet d'urine ne passe pas au dessus de sa tête.
Je lâchai tout dans un soupir suivi d'un "oh putain!". C'était douloureux. Ma queue était en feu de l'avoir trop sollicité mais c'était à la fois trop bon.
Je découvris alors le plaisir de pisser sur le visage d'une femme à ma merci. J'en profitai d'ailleurs pour la remercier de me donner ce cadeau.
Elle me sourit avec les yeux fermés en guise de réponse, se gardant bien d'ouvrir la bouche.
Une fois terminé, je lui demandai dans la foulée si elle avait envie à son tour de me pisser dessus.
Lucie se releva, silencieuse.
Elle se plaça devant moi et se colla à moi pour me fixer dans les yeux.
Machinalement, je m'approchai de son visage et je me mis à la sentir en fermant les yeux.
Je me rendais compte qu'elle était magnifique avec les cheveux mouillés.
Je ne savais pas encore si j'appréciais cette pratique, j'étais encore dans la découverte à la renifler et à caresser son visage.
Je n'osai pas l'embrasser pour ne pas lui faire rentrer d'urine dans la bouche.
Lucie me sortit de mes pensées en me demandant de me mettre à genoux, sur un ton un peu autoritaire.
J’exécutai immédiatement son ordre avec enthousiasme. J'allai me faire pisser dessus ! Et par une déesse en plus !
J'aurais jamais cru que cela pouvait un jour me mettre dans un état pareil !
Lucie ne se contenta pas de me faire pipi dessus passivement. Non. Elle leva une jambe pour la poser sur mon épaule et écarta sa chatte au maximum.
Quelle mise en scène ! Et ce regard accompagné d'un sourire de satisfaction... C'était à Lucie de me dominer et elle y prenait du plaisir.
Elle resta silencieuse, se caressant la chatte devant mon visage jusqu'à l'arrivée du bouquet final.
Lucie soupira comme moi suivit d'un "ahh" aigu, un son inspirant la provocation et encore la satisfaction.
Je fermai les yeux et savourai cet instant nouveau pour moi. Son jet d'urine inonda mon front en premier. Je sentis son odeur prononcée de vieille urine, celle qu'on retient un moment.
C'était bizarre mais à la fois existant. Le jet s'épuisa et j'ouvris les yeux pour le voir disparaitre dans un dernier soubresaut, captant in extrémis sa source. Je voulais voir d'où ça sortait.
Je ne sais pas pourquoi.
Je fini d'observer cette chatte dégoulinante de pisse jusqu'à ce que Lucie me sorte une fois de plus de mes pensées.
- Ça t'a plu ? me demanda t-elle avec un visage d'ange. On lui aurait donné le bon Dieu sans confession avec son air innocente alors qu'elle venait de faire une chose si choquante !
- Tu as été parfaite... lui répondis-je en levant la tête pour l'admirer.
Je profitai de cet instant magique pour saisir le plug dans son cul et lui retirer tout doucement.
Lucie fronça les sourcils et laissa échapper un autre soupir accompagné d'un "ohh", celui de la délivrance.
Elle s'appuya sur le mur, comme si elle ne tenait plus sa position à cause du contre coup.
Elle baisa la tête pour me regarder avec un regard grave pour constater que je contemplais son plug entouré de ses excréments.
Une journée avec sans aller aux toilettes l'avait fatalement souillé.
Lucie semblait inquiète de ma découverte mais la pauvre ne pouvait pas voir le petit filet liquide marron qui courrait le long de sa cuisse.
Je lui sourit pour la rassurer et je lui dis que maintenant, je la connaissais par cœur et qu'elle était vraiment parfaite.
Lucie me sourit sans être totalement convaincue.
Je posai alors le plug au sol et j'attrapai ses hanches pour la tourner devant moi.
Lucie s'appuya contre le mur pour me présenter son cul bien ouvert et préparé à souhait.
Je me redressai alors lentement en profitant de la vue puis je vins planter ma queue devenue toute raide dans son trou suintant.
J'étais enfin dedans ! La finalité de cette journée si particulière...
J'étais enfin au fond de son petit cul de provocatrice. Cette petite chienne qui voulait se faire troncher sans complexe.
Je me mis à la pistonner brusquement, en grognant comme un mâle alpha avide de montrer sa puissance. Je n'avais plus mal à la queue.
Je voulais LUI faire mal. La punir d'être si salope. Prendre enfin le dessus sur elle sans qu'elle finisse par avouer qu'elle a aimé.
Je voulais jouir de sa honte, de sa souffrance !
J'étais dans un état second et je découvrais complètement cette nouvelle nature. Cette violence, cette bestialité. Ce n'était pas une envie d'être violent au point de la frapper.
Non, ça jamais. C'était plutôt l'idée de lui défoncer le cul comme j'ai pu le voir sur le net.
La culpabilité me gagnait et j'avais d'autant plus envie de la défoncer...
Mais Lucie se ne comporta pas comme je l'avais imaginé. Je n'étais pas si serré que ça dans son cul, le plug ayant fait le boulot. Mais même sans ça, j'avais au bout de la queue une femme pas comme les autres.
Elle se mis à hurler mais de plaisir. Elle avait appris à se familiariser à cette sensation dans son cul. Ses hurlements raisonnèrent dans la salle de bain si bien que j'avais les oreilles qui bourdonnent.
Et elle en redemandait en criant des "oh oui", "vas-y", "encore"...
Sur le moment, voyant mon impuissance à la dompter, j'avais presque envie de lui dire de fermer sa gueule...
Je préférai insister et redoubler d’effort pour l'enculer à toute vitesse et le plus fort possible.
Ses hurlement changèrent et elle se mis à rajouter "c'est trop bon".
Je sentis alors son cul se contracter violemment autour de ma queue alors qu'il devait être bien dilaté, pourtant.
Un puissant orgasme montant dans le ventre de Lucie la fit gémir comme une femme enceinte qui expulse son enfant !
La situation atteint son paroxysme quand je décidai de lâcher prise.
Tout était là pour ça.
Lucie et ses gémissements.
Cette vision de rêve sur ma queue continuant de maltraiter ce petit trou qui bavait maintenant abondamment une petite crème marron.
L'odeur à la fois de pisse et de cul que dégageait Lucie.
Je me mis à accompagner Lucie dans ses hurlements et je jouis dans un dernier coup de reins pour finir planter bien au fond de son cul.
L'extase !!
Ce fus l'expérience la plus folle de ma vie !
Même après ce qui m'est arrivé ces derniers jours.
Je profite maintenant de cette dernière précision pour vous expliquer que je vais accélérer mes prochaines histoires (quand j'aurais le temps d'écrire) pour arriver à la nouvelle situation.
Je vous remercie encore pour vos commentaires.
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