j'ai longtemps rêvé d'elle

- Par l'auteur HDS Henri40 -
Récit érotique écrit par Henri40 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : j'ai longtemps rêvé d'elle Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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j'ai longtemps rêvé d'elle
Je suis prof de muscu, dans une petite salle de province, et le soir, apres 20h30, c'est moi qui ferme les locaux, donc avant de partir, je fais le tour du propriaitaire, histoire de voir si tout est fermé, si personne d'indesirable ne s'est caché derriere un mur, une cloison, ou un appareil. Puis visite des vestiaires hommes, y a personne, normal j'en sors, je suis le dernier, puis visite dans le vestiaire des femmes. Et là! SURPRISE, j'ai pas fait gaffe, persuadé que j'etais qu'il n'y avait plus personne, voila que je tombe litteralement sur Ingrid, qui sort nue de sa douche. Une fille belle comme une nuit etoilée, brune, cheveux longs ondulés, les yeux verts, le visage d'un ange, des jambes de reves, un cul a damner un saint, et une poitrine magnifique, un bon 100C, avec deux obus en forme de poire, comme j'adore. Sa peau ruisselle encore d'eau et la fait luire, surprise, elle pousse un petit cri d'indignation, et se retourne, j'ai le temps de voir sa chatte rasée de pres, elle porte les mains à ses seins et à son sexe, dans l'espoir de le cacher, et se retourne brusquement, me laissant admirer sa chute de rein magnifique. Emportée par son elan elle chute par terre. Moi, brave comme je suis et sans penser à mal, je me precipite, pour la relever, là je ne sais trop ce qui s'est passé, mais en la prenant par la main, pour la redresser, j'ai soudain eu envie de l'embrasser. Elle me tend la main, et decouvre ses 2 magnifiques seins. J'en reste la bouche ouverte, les yeux pleins d'etoiles, comme un chevalier ayant trouvé son saint Graal. Je lui dis que le spectacle que j'ai vu est magnifique, et d'un coup je l'embrasse. Un simple baiser, sur les levres, goulument elle me rend mon baiser, melange de langues, echange de fluide, le coeur à cent à l'heure. Enfin, je l'ai dans ma main, ca faisait si longtemps qu'elle se refusait à moi, alors que la bougresse reprimait ses sentiments à mon egard.
Moi j'ai pas trainé, ca faisait pas 2 secondes qu'on sembrassait, que j'avais le feu dans mon calecon, une demi mole magnifique, mon sexe qui commencait à gonfler, à prendre toute la place libre. Mes mains carressent son corps magnifique, ses seins fermes, son cul lisse, les siennes se faufilent sous mon tee shirt, et commence à me griffer le dos, puis nos corps etant collés, elle sent mon erection en cours, se met à genoux, pour me baisser le pantalon, m'extrait le sexe de son carcan devenu trop petit, le branle un peu, puis l'avale d'un seul coup, jusqu'a coller ses levres contre mon pubis.
Elle a le nez dans mes poils et elle commence un va et viens splendide, elle joue avec sa langue, fait des huits autour de ma bite, m'agace le gland avec ses dents, mordille delicatement le bout de mon sexe, je vais devenir fou, sous cette caresse sublime, j'ai l'impression que le sol se derobe sous mes pieds, je sens monter ma seve, et elle toujours en train de m'aspirer au plus profond de sa gorge.
Je sens que si je fais pas quelque chose rapidement je vais lui exploser, me deverser dans sa gorge, chaude et soyeuse. Je l'arrete, et lui parle de mon fantasme, la prendre au milieu de la salle, sur un banc de muscu, au milieu des miroirs. Elle accepte, je la prends par la main, et la guide là où je veux, je l'installe à plat dos, sur un banc, et le temps de me calmer, de faire tomber la pression, je commence à lui brouter le minou. Elle fond litteralement sous mes coups de langue, elle mouille tant qu'elle peut, se tremousse comme une folle sous le plaisir que je lui donne. Tout en la lechant avec passion, je lui enfonce un puis deux, et enfin trois doigts dans sa chatte en feu, et commence a l'assouplir, faut dire que je fais pas dans la petite taille, certes que 15 cm, mais un bon 5.5 a 6 cm de diametre, donc, j'avais tout interet à la preparer à l'intromission. Elle mouille de plus en plus, et j'en profite, pour lui faire une petiter feuille de rose, sur sa pastille legerment foncée, mes doigts etant lubrifiés par sa crypine, je tente de lui enfoncer un doigt dans le cul, surprise, elle se reprends, et me refuse la chose, elle se crispe. Je n'insiste pas pour l'instant. La jugeant suffisament prete, j'enfile un preservatif, lui ecarte, les jambes et presente ma bite à l'entrée de sa grotte lisse et brillante, je rentre dedans sans probleme, la garce est chaude ouverte, et prete a m'acceuillir. je suis en elle, je coulisse calmement, doucement, avec douceur et plaisir, d'abord des petits coups, juste à l'entrée de son vagin, puis j'augumente la profondeur de la penetration. Ca y est je suis au fond, et la je commence a augmenter la cadence, je l'embrasse; je caresse ses seins, qui balote d'avant en arriere, je la tiens sous ma coupe, elle me regarde avec des yeux pleins d'amour, et moi je hahanne sous l'effort, plus le temps passe et plus je la pilonne avec force. Ses mains me caressent, me malaxent les fesses, me griffent sauvagement, et m'incite plus encore à la pilonner. Je sens que la pression monte, je fais une pose, et lui propose une petite levrette, qu'elle accepte, je la retourne sans menagement, et me reinsère dans son ventre, je regarde dans les glaces, et j'y vois une vision magnifique, je suis en train de prendre Ingrid en levrette comme un sauvage. Je la prends par les hanches pour pourvoir la maintenir bien en place, et aller au plus profond de son ventre. En la tenant ainsi, je vois sa rosette qui se detend doucement. Je passe une main sous elle, pour recuperer un peu de sa crypine, dont elle inonde le banc, j'enduis bien mon pouce de ces secressions, et dans un mouvement doux, j'enfile mon pouce dans son cul. Elle gueule de plaisir, son l'action de mon pouce, je tourne, et sent ma bite qui va et viens dans son vagin, une sensation magnifique. Quand je pense que tout a l'heure elle pas voulu que je lui en mette un, je suis aux anges. La sentant suffisament prete je sors mon sexe luisant, et pose mon gland a l'entrée de son rectum, elle me regarde, et d'un air suppliant me demande d'y aller doucement, car pour elle c'est la premiere fois par cette entrée là.
Ok, je fais gaffe, je pousse, elle resiste, je lui demande de se detendre, elle acquiesse, et se laisse faire. Un effort supplementaire, et enfin son sphincter lache sous la pression de mon gland, qui franchit enfin le passage de son anus. Je stoppe ma progression, pour lui laisser le temps de s'y habituer. Et là surpise, c'est elle qui avance son bassin vers le mien et provoque ainsi la penetration, je m'accroche à ses reins, et pousse à mon tour. Je suis bien serré, tout au fond de son cul, JE SODOMISE ingrid. Quel bonheur! Quel plaisir ! et la voila qui commence à donner de grands coups de reins, ca m'excite au plus au point, je m'accroche, regarde la glace, son cul et je vois mon sexe qui disparait entierement dans son anus. Et la rodeo, je me lance dans une serie de va et viens violents, elle gueule tout ce qu'elle peut, ses seins gigottent sous elle, le spectacle est fabuleux, la vision paradisiaque. Sous la pression de mes coups de butoir, elle s'affale, le cul en l'air, le torse applati, ravagée par le plaisir, et moi derriere elle qui la penetre aussi loin que je le peux, je sens enfin ma seve monter, le plaisr m'envahir. Elle tourne la tete, et je vois ses yeux dans le vague, ca fait un bail qu'elle est partie, qu'elle plane dans les hautes spheres du plaisir. J'explose a mon tour dans son cul, rempli ses intestins de mon foutre et je m'ecroule de plaisir sur son dos.
Je suis comblé, vidé, j'ai tant attendu ce moment.
Evidement plus tard on a continué à sortir ensemble, jusqu'à devenir celle qui va devenir ma femme.

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