J'AI PERDU MON INNOCENSE ET J'AI AIME CA ! - histoire érotique

<p>J’ai déjà raconté le début de cette histoire dans les confessions mais pour que vous compreniez la suite, il faut que je me répète. J’ai 18 ans, je suis blond frisé, j’ai la peau blanche comme l'ivoire, je ne suis quasiment pas musclé et j’ai l’air d’une fille. Bien sûr je n'ai jamais réussi à me faire une copine.
Il y a quelques jours, je découvre ce site. Je me dis « Super ! Je vais trouver des trucs pour emballer une nana. » Mais j’ai un autre défaut : je ne suis pas très doué en ordinateur et je me suis retrouvé sur la page des gays. Les descriptions m'ont tout de suite fasciné mais ce qui me gênait c’est que plus je lisais plus je bandais. Est-ce que j’étais un homo ?
Pour me calmer je suis sorti à l’air frais. Mais la question me tarabustait. A un moment je vois un vieux monsieur, les cheveux blancs, la peau bronzée. Je me dis que j’allais vérifier si les histoires étaient vraies. En le croisant, je le regarde dans les yeux et je lui fais le fameux sourire qui fait capoter mes tantes. Il reste figé un moment. Je continue mon chemin mais très vite il se retourne et revient vers moi. Il se présente et m’invite à aller prendre un verre. J’étais abasourdi. Je n’en revenais pas. Ce que je n’avais pas réussi avec les filles marchait du premier coup avec les hommes. Il avait une voix douce comme celle d’un bon vieux grand-père. Je n’hésite pas. Je me dis qu’à son âge, il ne pouvait pas vraiment m’obliger à faire ce que je ne voulais pas. Je le suis.
On entre chez lui. Il m’invite à m’asseoir et à me mettre à l’aise. « Enlève ta chemise. Il fait chaud. » Je suis hésitant mais je me dis que je dois aller jusqu’au bout. Si je veux savoir qui je suis, il faut que je l’essaie. Torse nu, je m’assois sur le rebord du divan. J’ai les fesses serrés, un peu inquiet de ce qui va se passer mais d’un autre côté, je sens que j’ai la queue qui durcit. Est-ce qu’il va rire de moi ? Pour l’instant, il est parti dans une autre pièce de la maison. J’entends la porte du frigidaire, puis un bouchon qui saute. Deux minutes plus tard il apparaît à la porte du salon.
Il a enlevé sa chemise et son pantalon. Il a gardé juste son slip. Je vois qu’il bande lui aussi. Sa queue a l’air très grosse. Je commence à avoir peur. Il s’assied sur le divan. Il se colle à moi pendant qu’il verse du vin dans les verres. Il m’en offre un puis en entourant mes épaules de son bras droit, il me tend son verre de sa gauche pour que nous trinquions. Je commence à boire mais je n’ai pas l’habitude et en plus il fait très chaud. Je finis mon verre d’un seul trait. Cela me donne du courage. Lui, il a plus d’expérience : il prend son temps. Il me verse un deuxième verre puis il me propose de fumer. Ça aussi c’est ma première fois. Je m’aperçois que je suis vraiment un innocent. Mon premier verre, ma première cigarette et peut-être ma première … Je rougis à cette pensée. Nous partageons la même cigarette. Il colle son corps sur le mien. J’ai chaud. Je transpire mais le vin commence à faire de l’effet. Je suis détendu et j’aspire avec force la fumée. J’ai l’impression que ce n’est pas du tabac ordinaire. Je n’ai plus le contrôle de mon corps. Il a posé sa main sur ma cuisse. Je n’ai plus la volonté de refuser ses avances. Il détache le bouton de ma ceinture. Il fait glisser la fermeture éclair. Il passe sa main dans mon slip. Il me lèche le lobe de l’oreille. J’ai la queue qui est prête à déchirer le tissu tellement elle se tend.
Je ne suis plus assis sur le divan mais plutôt couché. Je ne pense plus à résister. Au contraire, je l’aide à enlever mon pantalon et mon slip en soulevant mes fesses. Lui aussi, il a enlevé le sien. Je vois sa grosse queue bandée et ses deux balloches. J’ai envie de les toucher. Il se met à genoux sur le divan. Il a la tête entre mes cuisses. Il commence à me sucer tout en me caressant les couilles. Un de ses doigts cherche à entrer dans mon trou de cul. On dirait que je fais tout mon possible pour qu’il y arrive. Mais l’alcool et le tabac ont eu raison de moi. Je ne suis pas capable de garder plus longtemps mon sperme. Alors que sa bouche gourmande vient de quitter momentanément mon pénis, je lui éjacule un gros jet de sperme blanc en plein dans la figure. Il en a sur le nez, sur les joues, dans les yeux. Je ne sais plus où me mettre. J’ai honte mais il me rassure tout de suite. C’est pour lui un plaisir et il passe sa langue partout où il peut pour récupérer ma semence. Comme il s’est rassis pour mieux goûter à mon « petit cadeau », j’en profite pour me relever et remettre mon pantalon. Je m’excuse puis je quitte le salon en direction de la porte. Il court après moi mais comme je franchis la porte, il ne peut pas me suivre puisqu’il est encore nu.
Comme je vous l’ai raconté dans ma confession, je retourne chez moi en me sentant coupable et en jurant que je ne ferai plus de telles affaires. Mais il a suffi de la nuit pour que mon sexe me rappelle à l’ordre. Et ce matin, j’ai décidé de retourner voir le vieux monsieur. Alors à bientôt, je vous raconte la suite…


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