Une société secrète particulière
Récit érotique écrit par Jacko [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une société secrète particulière
<p>Dans la vingtaine, je vivais à la campagne et j'étais passionné par les sociétés secrètes. Un jour un groupe d'hommes dans la cinquantaine louèrent une grande maison pas loin de chez moi. J'étais persuadé qu'il devait faire partie d'un groupement ésotérique. Comme je rencontrais l'un d'entre eux au café du village, il me confirma la chose. Ils avaient loué cette maison pour y pratiquer des rituels secrets mais il leur manquait un jeune apprenti. J'acceptais sa proposition et je fus invité à ma cérémonie d'Initiation dans la "Vénérable société de la Verge d'Or"
Le samedi suivant, dès mon arrivée l'homme m'expliqua que pour être introduit dans le cercle des initiés je devais être sans souillure. Il me conduisit dans une salle de bain où il me fit prendre une douche et il me savonna vigoureusement sur tous le corps mais en particulier dans la région anale qui était selon les règles de la société le lieu idyllique où se réfugiait la verge d'or dans les moments les plus intenses de la cérémonie. Après m'avoir essuyé, il me talqua sur tous le corps pour que je sente un parfum de fleurs. Il me maquilla les yeux de rimmel, me mit du rose sur les joues et me passa un bâton de rouge sur les lèvres puis son doigt revisita ma région anale pour y introduire un gel. Je dois avouer que toutes ces manipulations avaient rendu mon pénis dur et cela me gênait. L'homme me rassura. C'était un signe que j'étais digne de faire partie de la "Vénérable Société de la Verge d'Or". Quand je fus prêt, il me conduisit dans une grande salle qu'il appela le Tabernacle de la Verge d'Or. J'étais toujours nu avec une couronne de lauriers sur la tête. Lui avait revêtu une toge blanche comme ses compagnons que je découvrais dans la salle. Au centre, il y avait un prie-dieu encadré par deux énormes chandeliers et une table étroite qui ressemblait à un autel.
Je vous épargne de toutes paroles du rituel mais sachez que je dus boire une grande quantité de vin et quand je fus assez perdu, je m'agenouillais sur le prie-dieu. Il me fallut en tant qu'apprenti faire durcir les verges de tous les membres (c'est le cas de le dire) de cette honorable société. C'était la première fois que je voyais tant de pénis (il y avait une ouverture verticale dans les toges de ces messieurs. J'étais surpris de la taille de ces objets. Le mien était bien celui d'un apprenti. Pendant que je suçais l'un d'entre eux, les autres venaient me passer leur instrument sur le visage ou sur le corps comme si ils voulaient m'exciter. Lorsque chaque pénis eut été bien sucé, je dus m'allonger le haut du corps sur une peau de mouton qui recouvrait la table étroite servant d'autel et chacun vint s'introduire dans mon petit trou de cul.
Au début j'eus un peu mal mais très vite mon anus s'adapta et je fus quasiment déçu lorsque le dernier déchargea son foutre au fond de mon trou de cul.
La cérémonie finie, nous entrâmes dans une salle à manger où nous attendait une orgie de nourriture. Il n'y avait pas de chaises autour de la table mais des lits moelleux et je dus servir d'objet de plaisirs à chacun des grands-maîtres qui me donnaient à manger en fonction des suçages ou autres plaisirs que je leur accordais.
Comme mes parents me pensaient chez un ami, je pus passer le reste de la nuit avec chacun de ces membres de la "Vénérable Société de la Verge d'Or".
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Le samedi suivant, dès mon arrivée l'homme m'expliqua que pour être introduit dans le cercle des initiés je devais être sans souillure. Il me conduisit dans une salle de bain où il me fit prendre une douche et il me savonna vigoureusement sur tous le corps mais en particulier dans la région anale qui était selon les règles de la société le lieu idyllique où se réfugiait la verge d'or dans les moments les plus intenses de la cérémonie. Après m'avoir essuyé, il me talqua sur tous le corps pour que je sente un parfum de fleurs. Il me maquilla les yeux de rimmel, me mit du rose sur les joues et me passa un bâton de rouge sur les lèvres puis son doigt revisita ma région anale pour y introduire un gel. Je dois avouer que toutes ces manipulations avaient rendu mon pénis dur et cela me gênait. L'homme me rassura. C'était un signe que j'étais digne de faire partie de la "Vénérable Société de la Verge d'Or". Quand je fus prêt, il me conduisit dans une grande salle qu'il appela le Tabernacle de la Verge d'Or. J'étais toujours nu avec une couronne de lauriers sur la tête. Lui avait revêtu une toge blanche comme ses compagnons que je découvrais dans la salle. Au centre, il y avait un prie-dieu encadré par deux énormes chandeliers et une table étroite qui ressemblait à un autel.
Je vous épargne de toutes paroles du rituel mais sachez que je dus boire une grande quantité de vin et quand je fus assez perdu, je m'agenouillais sur le prie-dieu. Il me fallut en tant qu'apprenti faire durcir les verges de tous les membres (c'est le cas de le dire) de cette honorable société. C'était la première fois que je voyais tant de pénis (il y avait une ouverture verticale dans les toges de ces messieurs. J'étais surpris de la taille de ces objets. Le mien était bien celui d'un apprenti. Pendant que je suçais l'un d'entre eux, les autres venaient me passer leur instrument sur le visage ou sur le corps comme si ils voulaient m'exciter. Lorsque chaque pénis eut été bien sucé, je dus m'allonger le haut du corps sur une peau de mouton qui recouvrait la table étroite servant d'autel et chacun vint s'introduire dans mon petit trou de cul.
Au début j'eus un peu mal mais très vite mon anus s'adapta et je fus quasiment déçu lorsque le dernier déchargea son foutre au fond de mon trou de cul.
La cérémonie finie, nous entrâmes dans une salle à manger où nous attendait une orgie de nourriture. Il n'y avait pas de chaises autour de la table mais des lits moelleux et je dus servir d'objet de plaisirs à chacun des grands-maîtres qui me donnaient à manger en fonction des suçages ou autres plaisirs que je leur accordais.
Comme mes parents me pensaient chez un ami, je pus passer le reste de la nuit avec chacun de ces membres de la "Vénérable Société de la Verge d'Or".
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