J'ai revu mon meilleur pote
Récit érotique écrit par Kamil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Kamil ont reçu un total de 23 472 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 658 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
J'ai revu mon meilleur pote
[ Pour ceux qui voudrait lire l’histoire précédente : (Un Bon Pote) voir ma fiche
d'auteur HDS]
Aujourd’hui je dois revoir Ed, un bon pote à moi. Y a quelques temps on s’était vu et
ça a pas mal dérapé. Après ça on a trainé un peu ensemble en évoquant vaguement ce
qu’il s’est passé entre nous. Non pas qu’il refuse d’en parler mais il a l’air
d’éluder la question. Perso ça me pose pas de problème on a bien profité et si ça
s’arrête là pas grave.
Je conduis ma clio jusqu’à la gare d’une ville voisine. Ed m’y attend. Une fois n’est
pas coutume la SNCF n’a plus desservie l’arrêt. Pour dépanner je vais le chercher dans
la gare d’à côté. Il monte dans la caisse on se checke. On commence à discuter.
- Si tu veux tu peux venir chez oim. J’ai ramené de nouvelles épices on pourra tester.
Je me gare et on monte à son appart. Je me cale sur son lit en face de la télé. Lui
est dans sa cuisine mais je me lasse. Je le rejoins pendant qu’il prépare sa viande.
- Y a quoi au menu ? Ton steack ou tes fesses ?
- Pour le moment que du steack.
Ce genre de vanne m’amuse. Je l’embête. Je suis dans son dos et j’essaie de baisser
son pantalon.
- T’arriveras pas à le descendre.
Ca a pas loupé. Son baggy est resté bloqué sur ses belles fesses bien bombées. Il
explose de rire et moi je suis dépité. J’avoue que c’était marrant. Imperturbable il
continue sa bouffe.
Je me sens déjà un peu plus chaud. Je tente quelque chose. Je pose ma main droite sur
sa hanche droite. Pas de réaction. Je passe ma main sous son t-shirt et la pose contre
sa peau. Pas de réaction. Là je sais que je peux continuer.
Je caresse se peau du bout des doigts. C’est doux, je me rapproche et me colle contre
ses fesses. Je passe ma seconde main sous son t-shirt. Mon bassin est collé contre ses
fesses et ma tête est proche de son cou. Je sens, je le sens. Son odeur m’enivre. Je
l’embrasse dans le cou, plusieurs fois.
Il arrête sa cuisine et ne bouge plus.
- Tu fais quoi là ?
- Rien.
Je l’embrasse toujours dans le cou et passe mes mains tout autour de sa taille. Je le
serre fort. Je le mords dans le cou.
Il se tourne vers moi et plonge son regard dans le mien. Je sens bien que c’est
différent de la première fois où l’on est allé plus loin. On essaye quelque chose
d’autre ou du moins j’entreprends quelque chose de différent et de nouveau pour lui.
Je replace mes mains sur ses hanches, m’approche et l’embrasse sur la bouche. Un
simple baiser. Un second. Là c’est lui qui me prend dans ses bras, il pose ses lèvres
contre les miennes et pousse avec sa langue.
Il s’écarte et m’enlève mon t-shirt. Il m’embrasse sur la joue et à son tour me mord
dans le coup. Il embrasse mon corps jusqu’à arrive à un têton. Il mord, il pompe. Je
me sens bien et suis agréablement surpris par ses initiatives.
Il lèche mon corps de mon nombril en remontant dans mon cou et arrive à ma bouche
qu’il embrasse. Il attrape ma mâchoire, la tient fermement. Il me force à l’embrasser.
Nos salives se mélangent. C’est le pied. Son odeur, son gout et son toucher. Il me met
en transe. Ma bite est à moitié molle.
Je retire son t-shirt. J’entame le même rituel avec son corps que lui avec le mien. Je
lèche, je mords à plusieurs endroit, j’embrasse. Son pantalon descend assez bas et on
voit clairement son boxer remonté. Je passe ma langue sur sa peau au-dessus de son
élastique. Je remonte.
On s’embrasse. Il s’assoit sur son lit. Je m’agenouille et déboutonne son pantalon
d’une main. Avec l’autre je tiens sa tête pour qu’il recommence à m’embrasser.
- Lève un peu tes fesses.
Ce qu’il fit et j’ai retiré son pantalon puis ses chaussettes. Il est en boxer. Je
vois clairement sa demi-érection. Sa queue est collée le long de sa jambe. Si le boxer
avait été un peu plus court j’aurais déjà pu voir son gland.
Je tiens son pied. Je l’embrasse. Je remonte le long de sa jambe en embrassant à
plusieurs endroits. Sa queue bouge un peu, elle remonte le tissu de son boxer.
- Tu kiffe ça ?
- Ouais ça peut aller.
- Mytho. Regarde ta queue.
J’avoue que moi je commençais à bander. Je m’approche de la manche de son boxer,
pousse le tissu avec ma langue et glisse juste ma langue sur le bout de son gland
encore encalotté. Il se met à bander direct. C’est presque choquant de voir à quel
point le tissu est poussé vers le haut.
- Et là tu dis quoi ?
- Fais pas le malin.
Il rigole.
- T’attends quoi pour continuer ?
Je retire son boxer qui lui tombe sur les chevilles. Je m’approche de son gland et
souffle dessus. Je lève les yeux et attend une réaction.
- Oh ! T’attend quoi, mec !
Il saisit sa bite et me colle une bifle. Aïe, je m’y attendais pas. En plus il m’a
fait mal avec son zob. On rigole. Il a vraiment une teub énorme c’est juste abusé.
Je m’approche et décalotte sa bite. J’entre son gland dans ma bouche et y met quelques
coups de langues.
- Hmmm.
Il gémit. Je commence les va et vient avec sa queue. Il continue de gémir. Ca varie en
fonction de la vitesse de mes va et vient. J’aspire et j’accélère le mouvement autant
que possible. Je le sens se raidir, je me retire.
Je lèche ses boules. Ses poils sont différents. Ils frisent tellement qu’ils forment
des petites boules de poils. J’essaie d’en prendre une dans la bouche puis les deux.
Je kiffe l’odeur de ses boules. Elles sont bien au chaud dans ma bouche. Il aime ça se
sent. Il plante son regard dans mes yeux.
Je libère ses couilles et lèche sa bite de la base jusqu’au gland. Il sourit.
- Ed allonge toi sur le ventre.
Légèrement inquiet il me demande pourquoi ?
- Je vais te masser t’inquiète.
J’enlève mon pantalon pendant ce temps mais je reste en boxer. Je le masse très
rapidement de façon à m’allonger de tout mon long contre lui. Ma gaule n’était plus
vraiment discrète et je collais ma bite au travers de mon boxer contre ses fesses. Je
masse ses épaules tout en simulant tout doucement une pénétration.
Je prolonge le massage jusqu’à ce que mes mains arrivent sur ses fesses. Je les
écarte. Il se retourne et me pousse.
- Tu fais quoi là ?
- Oh je fais rien de mal là. Jvais pas te la mettre. Tchip. Retourne-toi là.
- Fais rien de bizarre stp.
Il se remet sur le dos. Je reprends et approche ma tête de son trou. Ma bouche est
juste en face. Je sors ma langue et la pousse contre son anus.
- Relax toi. J’y vais tranquille.
- Je suis pas sûr d’être…
- D’être quoi ?
- Hmpf… clean, voilà quoi.
- T’inquiètes ça va là.
Je rentre la langue. Je lui bouffe le cul. J’écarte autant que je peux ses fesses pour
pouvoir rentrer aussi loin que je peux. Je sens la chaleur qui s’émane de son corps.
Il commence à gémir.
- Tu vois que c’est bon !
- …
- Je continue ?
- Ouais.
Je le lime à coup de langues. Il gémit. Moi j’en peux plus ma queue mouille à mort.
Heureusement que je sais me tenir sinon je la sortais et je la lui rentrais direct.
Je me recule et m’assoit. Il se retourne. Là je sors ma bite et l’agite devant lui. Il
s’approche.
- Tu veux gouter ?
Il hésite un peu.
- Mouais, fais voir.
Il la saisit. Il la branle un peu. Il me regarde et rigole. Sa tête s’approche de mon
gland. Il hume l’odeur et regarde dépité tout le liquide séminal sur mon gland à peine
tenu par mon prépuce pas totalement décalotté.
- Okay okay j’ai compris. Pousse-toi.
Je prends un kleenex et enlève le liquide de ma queue. J’en profite pour décalotter
mon gland rose bien bien gonflé qui semble étranglé par mon prépuce. En enlevant le
kleenex la première fois un filet gluant s’étend depuis ma queue. Je fais une deuxième
passe et voilà c’est propre.
Ed s’approche à nouveau. Il pose ses lèvres sur mon zob. Seul mon gland rentre. Il
relève la tête. Cette fois ci il ne pose que sa langue. Il goute. Ça a l’air d’aller.
Quelques secondes s’écoulent et il enfonce ma queue dans sa bouche. Presque au fond de
sa grande mâchoire.
Il s’immobilise. Les coups de langues commencent. Son organe passe sur mon chibre :
parfois sur le gland, parfois sur la tige, parfois sur tout autour du gland sur sa
base (le top). Sans bouger il essaye d’aspirer et continue les coups de langues.
J’aime ça, j’aime la pression qu’il provoque autour de ma queue.
Sans le brusquer je pose ma main droite sur son cou. Il continue son ouvrage. Je
remonte ma main légèrement pour arriver en bas de son crâne. Il a chaud. Trop chaud.
Je pousse un peu sur mes jambes ce qui me relève. Ma queue entre un peu plus dans sa
bouche. Il m’arrête en me poussant sur le ventre avec sa main. Je passe ma main gauche
sur son dos. Il a toujours chaud. Je le caresse et essaye quelque peu de le masser, de
le détendre encore mieux. Il a une très belle peau ébène, sa peau est douce. Plus il a
chaud plus son odeur naturelle émane. Il sent bon.
- Je kiffe ce que tu fais.
Il continue sans dire un mot. En une fraction de seconde il lève les yeux et les
rabaisse. Je me rassois sur mes genoux. Avec ma main droite je pousse légèrement vers
le bas. Le message passe.
Il commence les va-et-vient. Moi je respire fortement. Ce sont presque des râles.
- Ouais, bien. Continue comme ça. Non attend en fait arrête toi. Décale toi et met toi
sur le flanc.
Moi aussi je m’allonge mais dans l’autre sens. Je saisi sa queue, la branle et
l’englobe dans ma bouche.
Il ne fait rien.
- Suce moi aussi.
Il reprend mon chibre dans sa bouche. Le 69 commence enfin. Mes sensations sont
décuplées. J’adore. Les poils de son zob sont hyper frisés. Je touche ses deux grosses
graines. Je les empoigne puis je passe ma main derrière lui. Je pousse ses fesses. Son
chibre touche le fond de ma gorge et mon nez frotte contre ses couilles. Ca sent fort,
ça sent l’homme !
J’aspire fort sa queue. Il se contracte de tout son corps. Je pense qu’il a envie de
jouir. L’idée m’excite au plus haut point.
Pendant ce temps il s’active sur ma queue. Il s’est adapté avec une grande rapidité.
Il adore surement ce qui est en train de se passer. Il aime.
J’en peux plus. Je m’arrête. J’ai l’impression de planer. Une sensation intense
transcende mon corps. Mon bas ventre est devenu ultrasensible. Sa main, son front me
mette dans un état fou dès qu’ils frôlent mon bassin pendant l’un de ses va-et-vient
autour de ma queue.
Je deviens fou, je crache sur sa teub. Je le branle aussi bien que je le peux. Il se
gaine. Il retire sa bouche. Il dit :
- Arrête je vais jouir. Sérieux arrête !
Je continue. Sa phrase provoque le déclic. Ca y est je viens je le sens. C’est
l’extase.
- Dégage ta bouche Ed. Je viens.
Il se met droit en restant sur le flanc. Sa tête m’arrive entre les cuisses. Il
reprend quand même mon zob en main. Il me branle. Je ne contrôle plus rien. Je pousse
de grands râles. Je joui. Un, deux, trois, quatre jets de retrouve propulsé un peu
partout. Dans son coup, sur son épaule, sur le lit et un peu sur son torse.
- Moi aussi j’arrive.
Ed va jouir, je continue de le branler. Je place ma tête sous ses couilles et les
lèche. Il jouit. A son tour il gémit presque comme si il essayait de se contenir. Deux
jets puissants partent le long de ma joue et derrière moi. S’en suit une grosse
quantité de joui qui se déverse sur ma joue, ma mâchoire puis mon cou.
Il prend les mouchoirs et s’essuie dans un premier temps. Il me jette le reste du
paquet et je fais de même. Je suis collant. Et lui aussi. Ça nous fait rire. Cependant
son sourire s’efface rapidement. Le plaisir est retombé rapidement. Il a l’air
décontenancé.
Je le pousse sur le dos et m’occupe de nettoyer sur nos deux corps le restant de
crème. Je m’installe dans son sens près de lui. Il est stoïque. Je l’enlace. Il lève
les yeux au ciel. Je l’embrasse sur la joue et caresse sa peau. Parfois c’est encore
collant.
Il tourne la tête. Je l’embrasse sur ses lèvres. Plusieurs fois. Il n’est plus si
directif. Il se laisse faire. Il est ni enjoué ni dégouté. Je sais qu’il est perdu
alors je l’étreins. Il commence à avoir froid et moi aussi alors on partage notre
chaleur.
On se repose ainsi pendant plusieurs dizaines de minutes. Il a aimé. Moi aussi.
On se rhabille. On reprend nos activités normal avec quelques gestes de tendresse de
ma part et de son côté il laisse faire. Il n’est pas contre. Il attend toujours que ce
soit moi qui m’approche.
[ Si vous avez apprécié mon histoire j’aime tous les commentaires ; écrivez -moi ]
d'auteur HDS]
Aujourd’hui je dois revoir Ed, un bon pote à moi. Y a quelques temps on s’était vu et
ça a pas mal dérapé. Après ça on a trainé un peu ensemble en évoquant vaguement ce
qu’il s’est passé entre nous. Non pas qu’il refuse d’en parler mais il a l’air
d’éluder la question. Perso ça me pose pas de problème on a bien profité et si ça
s’arrête là pas grave.
Je conduis ma clio jusqu’à la gare d’une ville voisine. Ed m’y attend. Une fois n’est
pas coutume la SNCF n’a plus desservie l’arrêt. Pour dépanner je vais le chercher dans
la gare d’à côté. Il monte dans la caisse on se checke. On commence à discuter.
- Si tu veux tu peux venir chez oim. J’ai ramené de nouvelles épices on pourra tester.
Je me gare et on monte à son appart. Je me cale sur son lit en face de la télé. Lui
est dans sa cuisine mais je me lasse. Je le rejoins pendant qu’il prépare sa viande.
- Y a quoi au menu ? Ton steack ou tes fesses ?
- Pour le moment que du steack.
Ce genre de vanne m’amuse. Je l’embête. Je suis dans son dos et j’essaie de baisser
son pantalon.
- T’arriveras pas à le descendre.
Ca a pas loupé. Son baggy est resté bloqué sur ses belles fesses bien bombées. Il
explose de rire et moi je suis dépité. J’avoue que c’était marrant. Imperturbable il
continue sa bouffe.
Je me sens déjà un peu plus chaud. Je tente quelque chose. Je pose ma main droite sur
sa hanche droite. Pas de réaction. Je passe ma main sous son t-shirt et la pose contre
sa peau. Pas de réaction. Là je sais que je peux continuer.
Je caresse se peau du bout des doigts. C’est doux, je me rapproche et me colle contre
ses fesses. Je passe ma seconde main sous son t-shirt. Mon bassin est collé contre ses
fesses et ma tête est proche de son cou. Je sens, je le sens. Son odeur m’enivre. Je
l’embrasse dans le cou, plusieurs fois.
Il arrête sa cuisine et ne bouge plus.
- Tu fais quoi là ?
- Rien.
Je l’embrasse toujours dans le cou et passe mes mains tout autour de sa taille. Je le
serre fort. Je le mords dans le cou.
Il se tourne vers moi et plonge son regard dans le mien. Je sens bien que c’est
différent de la première fois où l’on est allé plus loin. On essaye quelque chose
d’autre ou du moins j’entreprends quelque chose de différent et de nouveau pour lui.
Je replace mes mains sur ses hanches, m’approche et l’embrasse sur la bouche. Un
simple baiser. Un second. Là c’est lui qui me prend dans ses bras, il pose ses lèvres
contre les miennes et pousse avec sa langue.
Il s’écarte et m’enlève mon t-shirt. Il m’embrasse sur la joue et à son tour me mord
dans le coup. Il embrasse mon corps jusqu’à arrive à un têton. Il mord, il pompe. Je
me sens bien et suis agréablement surpris par ses initiatives.
Il lèche mon corps de mon nombril en remontant dans mon cou et arrive à ma bouche
qu’il embrasse. Il attrape ma mâchoire, la tient fermement. Il me force à l’embrasser.
Nos salives se mélangent. C’est le pied. Son odeur, son gout et son toucher. Il me met
en transe. Ma bite est à moitié molle.
Je retire son t-shirt. J’entame le même rituel avec son corps que lui avec le mien. Je
lèche, je mords à plusieurs endroit, j’embrasse. Son pantalon descend assez bas et on
voit clairement son boxer remonté. Je passe ma langue sur sa peau au-dessus de son
élastique. Je remonte.
On s’embrasse. Il s’assoit sur son lit. Je m’agenouille et déboutonne son pantalon
d’une main. Avec l’autre je tiens sa tête pour qu’il recommence à m’embrasser.
- Lève un peu tes fesses.
Ce qu’il fit et j’ai retiré son pantalon puis ses chaussettes. Il est en boxer. Je
vois clairement sa demi-érection. Sa queue est collée le long de sa jambe. Si le boxer
avait été un peu plus court j’aurais déjà pu voir son gland.
Je tiens son pied. Je l’embrasse. Je remonte le long de sa jambe en embrassant à
plusieurs endroits. Sa queue bouge un peu, elle remonte le tissu de son boxer.
- Tu kiffe ça ?
- Ouais ça peut aller.
- Mytho. Regarde ta queue.
J’avoue que moi je commençais à bander. Je m’approche de la manche de son boxer,
pousse le tissu avec ma langue et glisse juste ma langue sur le bout de son gland
encore encalotté. Il se met à bander direct. C’est presque choquant de voir à quel
point le tissu est poussé vers le haut.
- Et là tu dis quoi ?
- Fais pas le malin.
Il rigole.
- T’attends quoi pour continuer ?
Je retire son boxer qui lui tombe sur les chevilles. Je m’approche de son gland et
souffle dessus. Je lève les yeux et attend une réaction.
- Oh ! T’attend quoi, mec !
Il saisit sa bite et me colle une bifle. Aïe, je m’y attendais pas. En plus il m’a
fait mal avec son zob. On rigole. Il a vraiment une teub énorme c’est juste abusé.
Je m’approche et décalotte sa bite. J’entre son gland dans ma bouche et y met quelques
coups de langues.
- Hmmm.
Il gémit. Je commence les va et vient avec sa queue. Il continue de gémir. Ca varie en
fonction de la vitesse de mes va et vient. J’aspire et j’accélère le mouvement autant
que possible. Je le sens se raidir, je me retire.
Je lèche ses boules. Ses poils sont différents. Ils frisent tellement qu’ils forment
des petites boules de poils. J’essaie d’en prendre une dans la bouche puis les deux.
Je kiffe l’odeur de ses boules. Elles sont bien au chaud dans ma bouche. Il aime ça se
sent. Il plante son regard dans mes yeux.
Je libère ses couilles et lèche sa bite de la base jusqu’au gland. Il sourit.
- Ed allonge toi sur le ventre.
Légèrement inquiet il me demande pourquoi ?
- Je vais te masser t’inquiète.
J’enlève mon pantalon pendant ce temps mais je reste en boxer. Je le masse très
rapidement de façon à m’allonger de tout mon long contre lui. Ma gaule n’était plus
vraiment discrète et je collais ma bite au travers de mon boxer contre ses fesses. Je
masse ses épaules tout en simulant tout doucement une pénétration.
Je prolonge le massage jusqu’à ce que mes mains arrivent sur ses fesses. Je les
écarte. Il se retourne et me pousse.
- Tu fais quoi là ?
- Oh je fais rien de mal là. Jvais pas te la mettre. Tchip. Retourne-toi là.
- Fais rien de bizarre stp.
Il se remet sur le dos. Je reprends et approche ma tête de son trou. Ma bouche est
juste en face. Je sors ma langue et la pousse contre son anus.
- Relax toi. J’y vais tranquille.
- Je suis pas sûr d’être…
- D’être quoi ?
- Hmpf… clean, voilà quoi.
- T’inquiètes ça va là.
Je rentre la langue. Je lui bouffe le cul. J’écarte autant que je peux ses fesses pour
pouvoir rentrer aussi loin que je peux. Je sens la chaleur qui s’émane de son corps.
Il commence à gémir.
- Tu vois que c’est bon !
- …
- Je continue ?
- Ouais.
Je le lime à coup de langues. Il gémit. Moi j’en peux plus ma queue mouille à mort.
Heureusement que je sais me tenir sinon je la sortais et je la lui rentrais direct.
Je me recule et m’assoit. Il se retourne. Là je sors ma bite et l’agite devant lui. Il
s’approche.
- Tu veux gouter ?
Il hésite un peu.
- Mouais, fais voir.
Il la saisit. Il la branle un peu. Il me regarde et rigole. Sa tête s’approche de mon
gland. Il hume l’odeur et regarde dépité tout le liquide séminal sur mon gland à peine
tenu par mon prépuce pas totalement décalotté.
- Okay okay j’ai compris. Pousse-toi.
Je prends un kleenex et enlève le liquide de ma queue. J’en profite pour décalotter
mon gland rose bien bien gonflé qui semble étranglé par mon prépuce. En enlevant le
kleenex la première fois un filet gluant s’étend depuis ma queue. Je fais une deuxième
passe et voilà c’est propre.
Ed s’approche à nouveau. Il pose ses lèvres sur mon zob. Seul mon gland rentre. Il
relève la tête. Cette fois ci il ne pose que sa langue. Il goute. Ça a l’air d’aller.
Quelques secondes s’écoulent et il enfonce ma queue dans sa bouche. Presque au fond de
sa grande mâchoire.
Il s’immobilise. Les coups de langues commencent. Son organe passe sur mon chibre :
parfois sur le gland, parfois sur la tige, parfois sur tout autour du gland sur sa
base (le top). Sans bouger il essaye d’aspirer et continue les coups de langues.
J’aime ça, j’aime la pression qu’il provoque autour de ma queue.
Sans le brusquer je pose ma main droite sur son cou. Il continue son ouvrage. Je
remonte ma main légèrement pour arriver en bas de son crâne. Il a chaud. Trop chaud.
Je pousse un peu sur mes jambes ce qui me relève. Ma queue entre un peu plus dans sa
bouche. Il m’arrête en me poussant sur le ventre avec sa main. Je passe ma main gauche
sur son dos. Il a toujours chaud. Je le caresse et essaye quelque peu de le masser, de
le détendre encore mieux. Il a une très belle peau ébène, sa peau est douce. Plus il a
chaud plus son odeur naturelle émane. Il sent bon.
- Je kiffe ce que tu fais.
Il continue sans dire un mot. En une fraction de seconde il lève les yeux et les
rabaisse. Je me rassois sur mes genoux. Avec ma main droite je pousse légèrement vers
le bas. Le message passe.
Il commence les va-et-vient. Moi je respire fortement. Ce sont presque des râles.
- Ouais, bien. Continue comme ça. Non attend en fait arrête toi. Décale toi et met toi
sur le flanc.
Moi aussi je m’allonge mais dans l’autre sens. Je saisi sa queue, la branle et
l’englobe dans ma bouche.
Il ne fait rien.
- Suce moi aussi.
Il reprend mon chibre dans sa bouche. Le 69 commence enfin. Mes sensations sont
décuplées. J’adore. Les poils de son zob sont hyper frisés. Je touche ses deux grosses
graines. Je les empoigne puis je passe ma main derrière lui. Je pousse ses fesses. Son
chibre touche le fond de ma gorge et mon nez frotte contre ses couilles. Ca sent fort,
ça sent l’homme !
J’aspire fort sa queue. Il se contracte de tout son corps. Je pense qu’il a envie de
jouir. L’idée m’excite au plus haut point.
Pendant ce temps il s’active sur ma queue. Il s’est adapté avec une grande rapidité.
Il adore surement ce qui est en train de se passer. Il aime.
J’en peux plus. Je m’arrête. J’ai l’impression de planer. Une sensation intense
transcende mon corps. Mon bas ventre est devenu ultrasensible. Sa main, son front me
mette dans un état fou dès qu’ils frôlent mon bassin pendant l’un de ses va-et-vient
autour de ma queue.
Je deviens fou, je crache sur sa teub. Je le branle aussi bien que je le peux. Il se
gaine. Il retire sa bouche. Il dit :
- Arrête je vais jouir. Sérieux arrête !
Je continue. Sa phrase provoque le déclic. Ca y est je viens je le sens. C’est
l’extase.
- Dégage ta bouche Ed. Je viens.
Il se met droit en restant sur le flanc. Sa tête m’arrive entre les cuisses. Il
reprend quand même mon zob en main. Il me branle. Je ne contrôle plus rien. Je pousse
de grands râles. Je joui. Un, deux, trois, quatre jets de retrouve propulsé un peu
partout. Dans son coup, sur son épaule, sur le lit et un peu sur son torse.
- Moi aussi j’arrive.
Ed va jouir, je continue de le branler. Je place ma tête sous ses couilles et les
lèche. Il jouit. A son tour il gémit presque comme si il essayait de se contenir. Deux
jets puissants partent le long de ma joue et derrière moi. S’en suit une grosse
quantité de joui qui se déverse sur ma joue, ma mâchoire puis mon cou.
Il prend les mouchoirs et s’essuie dans un premier temps. Il me jette le reste du
paquet et je fais de même. Je suis collant. Et lui aussi. Ça nous fait rire. Cependant
son sourire s’efface rapidement. Le plaisir est retombé rapidement. Il a l’air
décontenancé.
Je le pousse sur le dos et m’occupe de nettoyer sur nos deux corps le restant de
crème. Je m’installe dans son sens près de lui. Il est stoïque. Je l’enlace. Il lève
les yeux au ciel. Je l’embrasse sur la joue et caresse sa peau. Parfois c’est encore
collant.
Il tourne la tête. Je l’embrasse sur ses lèvres. Plusieurs fois. Il n’est plus si
directif. Il se laisse faire. Il est ni enjoué ni dégouté. Je sais qu’il est perdu
alors je l’étreins. Il commence à avoir froid et moi aussi alors on partage notre
chaleur.
On se repose ainsi pendant plusieurs dizaines de minutes. Il a aimé. Moi aussi.
On se rhabille. On reprend nos activités normal avec quelques gestes de tendresse de
ma part et de son côté il laisse faire. Il n’est pas contre. Il attend toujours que ce
soit moi qui m’approche.
[ Si vous avez apprécié mon histoire j’aime tous les commentaires ; écrivez -moi ]
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Kamil
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...