J’ai succombé aux avances de mon ex...mon mari l’a découvert...

- Par l'auteur HDS GM34280 -
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Récit libertin : J’ai succombé aux avances de mon ex...mon mari l’a découvert... Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J’ai succombé aux avances de mon ex...mon mari l’a découvert...
Le message défilait sur l'écran comme un verdict final, une sentence sans possibilité d'appel.
Mon corps s'est figé au moment où j'ai vu le téléphone dans les mains d’Alain, ses yeux fixés sur cette foutue phrase qui a déchiré le voile de ma mascarade, exposant chaque centimètre de la traîtresse que j'essayais de cacher. Le silence entre nous pesait plus que n'importe quel cri de colère qu'il aurait pu pousser.
« Je te revois encore te déhancher sur mes doigts, prête à jouir si ton téléphone n’avait vibrer. Je sens encore le goût de ta chatte sur mes doigts. »
Sa respiration était rapide, irrégulière, comme si sa poitrine essayait de contenir un ouragan qui dévastait tout à l'intérieur. Son visage, auparavant serein, était sombre, sa peau perdait lentement sa couleur, comme si chaque goutte de sang s'écoulait avec la confiance qu'il avait en moi. Ses mains tremblaient, mais ce n’était pas de la colère, c'était quelque chose de pire, c'était une déception. Ce regard, cette façon de tenir le téléphone sans savoir s'il fallait le jeter par terre ou simplement le tenir. Il n'avait pas besoin de demander quoi que ce soit, je connaissais déjà la réponse. Le goût amer de la terreur monta dans ma gorge.
Dois-je dire quelque chose, courir vers lui, mendier. Mais mes jambes étaient plaqué au sol, ma langue refusait de fonctionner. Tout ce que je pouvais faire, c'était assister au spectacle cruel que j'avais moi-même écrit. Les valises étaient dans le coin de la pièce, ouvertes du dernier voyage qu'il avait fait pour le travail. C'est vers elles qu'il s'est tourné en premier, comme si je savais déjà que ce moment viendrait, comme s'il y avait en lui une part qui savait toujours que je n'étais pas capable d'être fidèle. Puis vint la deuxième notification. Ses doigts glissèrent sur l'écran du téléphone, la foutue notification ouverte, et la phrase est apparue à l'écran telle une provocation, un aveu écrit sans crainte des conséquences.
« Cette nuit a été inoubliable, comme tu t’es donnée, quand allons-nous recommencer ? »
Ces mots étaient comme des rasoirs tranchants qui traversaient l'air comme des braises brûlantes qui brûlaient tout autour de nous. « Quand allons-nous recommencer ? »
J’ai senti mon âme plonger dans un trou noir dont je ne sortirais jamais. Il n'a pas crié, il n'a pas levé la main, il n'a proféré ni insulte, ni menace. Il a juste pris une profonde inspiration, l'air qui sort de votre poitrine comme si vous disiez au revoir à quelque chose, comme si vous enterriez un morceau de vous-même. Et puis, avec la froideur dévastatrice d'un homme qui vient de tout perdre, il me tourna le dos, et commença à sortir ses vêtements du placard.
Chaque habits qu'il pliait et mettait dans sa valise était un coup d'état. Des chemises, des pantalons, la veste que je lui ai offerte en cadeau pour son dernier anniversaire. Des mouvements calculés, méthodique, mais empreint de tristesse. Il n'a pas hésité, il ne me regardait plus, n'a pas demandé d'explication, il a juste décidé qu'il ne pouvait plus partager le même espace avec moi, pas après ce que j'avais fait.
Mon esprit a crié, m'a supplié de bouger, de courir vers lui et de lui dire que cela ne voulait rien dire, que c'était une erreur, que cela ne se reproduirait plus. Mais la vérité m'étouffait comme un poison. Je pouvais mentir, mais je ne pourrais jamais effacer les traces sur mon corps, l'odeur d'un autre homme sur ma peau, le goût du péché, de sa queue dans ma bouche, du goût du sperme sur ma langue
Il ferma la valise d’une fermeture lente et douloureuse. Le son était suffisant pour que ma poitrine se serre jusqu'à ce que ça me fasse mal. Ce n'était pas juste une fermeture éclair, c'était la dernière ligne d'un livre qu'il ne voulait plus lire, un dernier point dans ce qui était autrefois
une histoire d'amour.
Puis il se leva, ramassa la bague, la regarda pendant une longue seconde et la laissa tomber sur le lit. Le métal brillait à la lumière de la lampe, une lueur cruelle et sans vie. C'était le symbole de ce que j'avais détruit, et à ce moment-là, j'ai su que je l'avais perdu pour toujours.
Je savais que mon mari était un homme exceptionnel, un de ces rares hommes que n'importe quelle femme aurait la chance de trouver. Il m'a donné la stabilité, la sécurité, une maison impeccable et une vie sans souci, toujours prêt à résoudre importe quel problème, toujours attentif à mes besoins, toujours là, ferme comme un roc, portant le poids du monde sur ses épaules sans jamais se plaindre. Il n'était pas seulement un mari, il était le rêve de toute femme sensée, et j'étais une femme sensée, ou du moins c'est ce que j'aimais croire. Notre mariage n'a jamais été mouvementé, pas de combat violent, pas de crise majeure, pas de larmes. Sur l'oreiller, il s'est fait un devoir de m'offrir le meilleur en s'assurant que je n'ai jamais à me soucier de quoi que ce soit. Un fournisseur né.
Il a travaillé dur, a fait des projet pour l'avenir, traité ma famille comme si elle était la sienne, attentif, généreux, fidèle jusqu'à l'âme, un homme qui ne regarderait jamais une autre femme, qui n'envisagerait jamais de me faire du mal. Mais parmi toutes ces qualités il y avait un problème indéniable, quelque chose qui me rongeait silencieusement comme un désir insatisfait qui ne disparaissait jamais.
Au lit, il était insuffisant, et ce n'était pas seulement un manque d'expérience ou de technique, c'était l'absence de feu, d'intensité, de désir brut. J'étais touché comme si quelqu'un tenait quelque chose de trop délicat pour être serré, comme s'il avait peur de me briser, comme si j'étais fait de verre et non de chair palpitante affamé, désespéré d'être dévoré. Il m'a fait l'amour, mais il ne m'a jamais vraiment baisée, et pendant des années, je l'ai ignoré, parce qu'il était tout ce dont une femme avait besoin, parce que le sexe n'est pas tout, parce que le lien émotionnel comptait davantage, parce que je l'aimais ou du moins je croyais que j'adorais ça. Mais le corps a son propre langage, sa propre fin, ses propres secrets et en moi, quelque chose grandissait, une inquiétude, une contrariété, un besoin refoulé qui se tordait comme un animal en cage attendant d'être libéré.

Et c'est dans cet espace dangereux que le destin a décidé de jouer avec moi. Le passé refait surface tel un fantôme affamé, vêtu d'un costume impeccable et portant avec lui le parfum du danger. Mon ex est de retour, et tout ce que je croyais enterré est né de ces cendres plus vivant que jamais. Le destin à une manière cruelle de tester la loyauté de quelqu'un qui porte déjà un désir étouffé dans sa poitrine. Quand j'ai vu Marc debout dans le couloir de mon entreprise, appuyé contre le mur avec ce sourire narquois, arrogant, ces yeux sombres pleins de quelque chose que je connaissais déjà bien, j'ai senti mon estomac se retourner, pas par peur, mais quelque chose de bien plus dangereux.
Mon passé était revenu me hanter. Il n'a pas changé, le même regard malicieux, la même présence imposante, la même aura de danger masqué par un costume bien taillé. C'était un prédateur par nature, et j'avais déjà été sa proie jadis. Nous étions désormais en territoire professionnel, soit-disant suffisamment mûr pour gérer cela. Mais voulais-je y faire face. J’ai fait semblant d'être indifférente, j’ai agi comme si sa présence ne m'affectait pas, comme si j'étais juste un autre collègue de travail. Mais mon corps savait que c'était un mensonge.
Chaque fois qu'il passait, j'avais la chair de poule, chaque fois qu'il me regardait, je sentais une chaleur effleurer mon entre jambes, un rappel physique de ce qui était autrefois le mien, et tout ce que je n'ai jamais eu dans mon mariage.
Le jeu était subtile au début. Long regard, touches accidentelles, une provocation déguisé en conversation professionnelle. Il savait exactement comment me désarmer, comment semer le doute dans mon esprit, comment raviver le désir que j'avais passé des années à essayer d'enterrer. Et c'est ainsi que la première barrière s'est brisée, non pas avec des paroles explicites, non pas avec des propositions indécentes, mais par des insinuations chargées de promesses silencieuses.
J'ai essayé de résister. Je me suis souvenu de mon mari, l'homme respectable que j'avais
à la maison, mais il était impossible d'ignorer que pour la première fois depuis des années, mon corps était à nouveau vivant. La vérité est que même si mon mariage semblait parfait, il ne m'a jamais fait ressentir cela. Le frisson vous parcourt, du sang chaud palpitant là où il ne devrait pas, et quand j'ai réalisé que j'attendais déjà avec impatience le prochain jour de travail, il était déjà trop tard. Le danger n'était pas seulement de retour, il était déjà de nouveau en moi. Le désir interdit grandit lentement, comme un doux poison qui coule sur la peau s'infiltrant dans les pores, avant que l'esprit ne se rende compte qu'il a déjà été contaminé.
Au début, ce n'était qu'une gêne, une chaleur subtile à chaque passage, un frisson traître lorsque nos mains se touchaient accidentellement, lors d'un échange de documents, rien qui ne puisse être ignoré, rien qu'une femme mariée ne puisse gérer. Mais ensuite sont arrivés les moments de solitude, les réunions qui se prolongeaient, les projets qui nécessitaient une attention particulière, les longues heures enfermé dans la même pièce.
Et c'est là, dans cet espace étouffant que tout a commencé à s'effondrer. La tension était presque palpable, l'électricité entre nous faisait vibrer l'air chargé de quelque chose de sale, de dangereux, d'indéniable. Chaque mot prononcé avait un double sens, chaque regard tenu trop longtemps était porteur d'un défi tacite. Il n'avait pas besoin de dire quoi que ce soit ouvertement, il savait que je le ressentais. Je savais que mon corps réagissait à lui avant même que mon esprit puisse protester. Je m'accrochais à la rationalité, me répétant que ce n'était qu'un jeu, que ça ne voulait rien dire, que j'étais fidèle à mon mari, mais ensuite est arrivée la première fraction de seconde qui a tout changé.
C'était censé être juste une autre journée de travail. Le bureau était vide, les lumières tamisé, les horloges cadencées sans pitié. Heures supplémentaires, pression, proximité, l'excuse parfaite pour que l'inévitable se produise. Il se présenta pour soit disant effectuer les derniers
réglages de la soirée d’entreprise qui avait lieu ce soir. C'était simple, presque innocent. Il se pencha pour me montrer un détail sur l'ordinateur, et sa main effleura ma cuisse un instant, mais ce moment était suffisant.
Mon corps se tendit, la chaleur parcourut ma peau et une pression lancinante se répandit entre mes jambes. J’aurais dû reculer, j'aurais dû faire comme si je ne ressentais rien, mais je n'ai rien fait de tout ça. Au lieu de cela, j'ai commencé à remarquer chaque petit détail à son sujet, la façon dont sa respiration changeait quand nous étions proche, comment ses yeux glissèrent sur mon corps, sans hâte, sans honte, comme s'il savait déjà exactement comment j'allais réagir, et j'ai réagi.
Les contacts accidentel commençait à ressembler à des pièges soigneusement planifiés. La façon dont il se penchait sur mon bureau, la façon dont son odeur m'imprégnait lorsqu'il passai trop prèst. Tout semblait comme une invitation silencieuse vers l'abîme, et j'étais déjà au bord du gouffre, baissant les yeux, sachant que si je me jetais, je ne serai plus jamais le même. Le désir interdit se nourrit du temps, grandit dans l'attente, se renforce dans l'anticipation et cette nuit, il a fini par me dévorer.
Je sentais son regard brûlant sur moi, parcourant chaque courbe de mon corps, aucun déguisement. Il n'y avait plus de place pour l'innocence, ni pour les excuses. Il n'y avait plus de hasard, chaque contact, chaque provocation nous y a amené, et maintenant, il ne restait plus qu'à franchir la dernière ligne. Il s'est approcher. J'aurais du reculer, rentrer chez moi dans la sécurité de mon mariage, dans les bras chaleureux d'un homme qui ne m'a jamais trompé, jamais fait de mal, ne m'a jamais fait me sentir comme une sale femme. Mais je suis restée.
Le premier contact a été un choc électrique. La chaleur de sa peau envahit la mienne, un courant écrasant qui parcourut ma colonne vertébrale et explosa entre mes jambes. Il n'y avait plus de résistance, mes muscles se détendirent, ma respiration se coupa, ma bouche s'ouvrit dans un soupir qui disait tout ce que je n'avais pas besoin de verbaliser. Il s’est rapproché, ses lèvres ont frôlés les miennes. L’erreur a été de répondre à ce baiser.
D’un geste calme, il m’a levée de ma chaise, a pris ma place. Il me prit par les hanches, m’attira sur ses genoux. Calmement, il déboutonna un à un les boutons de ma robe, l’ouvrit. Ses caresses subtiles m’ont fait frémir, une main caressait mes seins par dessus le soutien-gorge, tandis que l’autre s’insérer dans ma culotte. Ma peau s'est évanouie sous le contact. Mon corps savait déjà quoi faire, il reconnaissait ce toucher, ce rythme, ce contrôle, que mon mari n'avait jamais eu. Le désir était sale, désespéré, inévitable. Je me déhanchais doucement sur les doigts qui me fouillaient. Je sentis le souffle chaud de Marc sur ma nuque, ses lèvres effleurant mon cou. Je m’apprêtais à attendre l’orgasme, quand mon téléphone vibra, brisant le plaisir. Un message d’Alain.me disant que son séminaire serait plus long que prévu, qu’il ne rentrerait que dimanche. Je n’en fit pas part à Marc. Je me levé, la chatte humide, arrangeais ma tenue et quittais le bureau.
- A ce soir à la fête, sourit-il.
J’ai compris que ce serait la soirée de trop.

Pas mal de personnes assistaient à la soirée. Des couples, mais aussi des célibataires. C’est en me dirigeant au bar que je croisais Marc. Il ne pris pas le risque qu’un autre homme m’invite, pour m’entraîner au milieu de la piste improvisée. Il passa une main autour de ma taille, m’attira à lui, ignorant les autres personnes, dont certaines connaissaient mon mari. Cela n’avait pas l’air de le déranger. Il se collait à moi, je pouvais sentir la dureté de son sexe, tout comme lui devait sentir la fermeté de mes seins. Nous étions joue contre joue, nos lèvres se frôlant. Il me murmurait des mots coquins à mon oreille, c’est moi qui dit le mot qui allait tout changé. Je quittais rapidement la fête.
Arrivé chez moi, je pris une douche et enfila un peignoir. Il ne fallut pas plus d’une demi heure avant que.je ne pousse le cri qui allait tout détruire.
« La porte est ouverte. »
Une seconde plus tard, Marc entra. L'air entre nous devint lourd. Il ne dit rien, il n'en avait pas besoin. Le regard qu’on échangea disait tout. Le silence criait ce qu'il n'osait pas avouer. Je reculais d'un pas, comme si je cherchais une issue, mais ne trouva que le meuble du salon. Marc s'approcha lentement, chaque pas m'enfonçant un peu plus dans la réalité de ce qui allait se passer.
- Tu es sûre ?
Sa voix était basse. Je ferma les yeux, je ne l'étais pas, mais en même temps, je n'avais jamais été aussi sûre de rien d'autre dans ma vie. Nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser torride, avant qu'aucun mot ne puisse être prononcé.
Le baiser était une explosion de ce qui était resté en suspens des années auparavant, de ce qui avait été interrompu sans conclusion. J’ai capitulé, chacun de ses vêtements rejoignaient mon peignoir jeté au sol était un morceau de ma conscience qui s'effondrait. La chaleur, l'humidité, la sueur mêlée à l'odeur du café. La trahison avait un goût addictif. Et puis l'obscurité n'a été remplie que par le bruit de ma propre ruine.
On se dirigea sur le canapé, les lèvres soudées. Nos mains glissèrent sur nos corps avec urgence, comme si l’on devait rattraper le temps perdu. Le canapé ou mon mari aimait regarder ses films, fut nôtre premier terrain de jeu, le témoin de ma première fellation. La moquette où Alain m’avait tant de fois de prise en levrette, était devenu l’espace de Marc. Puis vint la chambre, le lit conjugal. Il fut le théâtre de ma première sodomie, endroit serré que mon mari avait toujours négligé. Je passais la nuit à jouir, à crier des orgasmes inconnus jusqu’ici.
Quand tout fut fini, quand la chaleur s'apaisa et que nos corps s'éloignèrent, le vide devint immense. La culpabilité est venue comme un coup de poing dans le ventre, écrasant le plaisir et le remplaçant par quelque chose de bien pire. J'ai fermé les yeux, le visage de mon mari est apparu dans mon esprit, et pour la première fois, je savais ce que j'avais fait.
Marc se rhabilla sans se presser, me regardant avec un sourire, satisfait de m’avoir satisfaite.
- Je crois que ce n'est plus juste un souvenir, hein. ?
Je ne répondit pas, je n'en avait pas besoin, parce qu'à ce moment-là, tout avait changé. La trahison ne s'arrête pas au moment où les corps séparent, elle est toujours vivante, palpitante sous la peau comme un poison qui refuse d'être expulsé.

La nuit suivante, alors que j'étais allongé à côté de mon mari, mon corps brûlait encore de souvenirs interdits. L'odeur de Marc était encore en moi imprégné de ma peau de mes cheveux, de mon âme. J'ai fermé les yeux essayant d'effacer les images qui arrivaient en flash, mais tout était là, les caresses, les gémissements de plaisir étouffés, le goût du péché, de sa queue, de sa semence chaude et épaisse encore dans ma bouche.
Je voulais croire qu’avec le temps, je pouvais enterrer ça, que ce serait juste une erreur, un manquement, quelque chose que j'enfermerai dans un coin sombre de mon esprit et que je n'évoquerai plus jamais. Mais les secrets ne meurent pas, ils grandissent, ils se nourrissent du silence, et plus j'essayais d'agir normalement, plus je sentais monter le doute chez mon mari.
Alain l’a remarqué, il l'a senti, les baisers étaient différents, son contact sur ma peau ne me faisait plus rien, car j'avais ressenti un autre genre de contact, plus violent, celui qui consommait, qui dévorait, qui faisait bouillir mon sang. Il a remarqué que j'étais distante, que mes pensées étaient ailleurs, chez un autre homme. Et puis, comme tout secret qui refuse d'être enterré, le mien a été dévoilé.
Une notification, un simple bruit de téléphone inconnu rompant le silence de la nuit. L'erreur que je ne pouvais pas éviter. L'appareil était sur la table de chevet, mon mari l'a eu avant moi. Son regard se durcit au moment où il lisait le message.
« Cette nuit a été inoubliable, tu es si sulfureuse au lit, tout est bon avec toi, ta façon de sucer, d’avaler...quand allons-nous recommencer...»
Le temps s'est arrêté, mon corps s'est figé et à ce moment-là, j'ai su que j'allais tout perdre. La trahison a une odeur, l'odeur de la peur, de la culpabilité, du désespoir, cela émanait de moi, imprégnant l'air entre nous, alors que mon mari restait immobile, tenant le téléphone comme si c'était une bombe sur le point d'exploser. Mais il n'a pas jeté l'appareil contre le mur, il n'a pas criée, n'a pas accusée.
Il a simplement pris une profonde inspiration, comme un homme qui comprend enfin qu'il a perdu quelque chose qu'il ne pourra jamais récupérer.
Le silence entre nous était pire que n'importe quel cri, pire que n'importe quelle insulte qu'il pourrait me lancer au visage, parce que dans ce silence, il y avait la certitude de la fin. Il n'a pas demander d'explication, ce n'était pas nécessaire; la preuve était là, claire comme la
lumière froide de la lampe qui éclairait notre chambre. Il le savait et plus encore, il le sentait.
J'ai senti un frisson parcourir ma colonne vertébrale lorsqu'il détourna le regard de l'écran du téléphone, le tournant vers moi. La lueur dans ses yeux n'était pas de la colère, c'était quelque chose de bien pire. C'était la douleur d'un homme qui avait passé toute sa vie à croire qu'il avait tout bien fait, qu'il n'avait jamais échoué en tant que mari, et maintenant, à ce moment précis, il a compris que, peu importe à quel point il avait été bon, il n'était jamais assez bien pour moi. Il me tourna le dos, se dirigea vers le placard, et puis, sans hésitation, commença à récupérer ses vêtements. J'aurais dû dire quelque chose, j'aurais dû courir vers lui, me mettre à genou, le supplier. Mais comment justifier l'injustifiable, que pourrais-je dire qui changerait la vérité. J'ai triché, j’ai trahi.
Lorsqu'il eut fini de préparer sa valise, il s'arrêta à côté du lit et retira la bague. Je n'oublierai
jamais le bruit métallique de l'anneau tombant sur nôtre photo de mariage posée sur les draps. Un son si léger, si insignifiant, et pourtant, ce bruit scellait l’effondrement de notre couple. Il est parti sans dire un mot.
Je suis resté seule, et à cet instant, j'ai réalisé quelque chose qui brûlait comme un feu dans ma poitrine. Mon mari m'a tout donné, sauf ce que je voulais le plus, et j'ai tout gâché pour la seule erreur qu'il ne pouvait pas pardonner.
Ignorant la situation, Marc m’a envoyé des messages enflammés, remplis d’amour et de passion. Je les ai tous refoulés, effacés, le rendant responsable d’avoir détruit mon mariage.

Ceci s’est passé il y a quarante ans, les cicatrices sont toujours là, et ne disparaîtront jamais…
Assise sur la terrasse de la maison de retraite, une couverture sur les genoux, je ressasse encore mes erreurs. Je n’ai plus revu Alain, l’amour de ma vie, que je n’ai jamais remplacé. Je sais seulement qu’il vit près d’ici, que comme moi, il n‘a eu que des aventures sans lendemain, que comme moi, il ne s’est jamais remarié. Mon cœur saigne toujours de l’avoir perdu.
Il ne me reste que le souvenir de sa bague, passée dans la chaîne qu’il m’avait offerte, et que je porte à vie autour de mon cou. Je ne peux retenir une larme.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je m'excuse pour les fautes d'orthographe de mon premier commentaires.

J'ai relu cette très belle histoire, en imaginant une suite que j'aimerais écrire, comme je l'ai fait il y a quelques années.

La fin est dure, mais elle a joué avec le eu, elle a perdu.
J'aurais aimer une discussion plus longue entre le mari et la femme.

Je viens de découvrir cet auteur, ses histoires me plaises bien. Si vous désirez en discuter en privé, j'ai laissé mon e.mail. J'aimerais vous proposer quelque chose.

Histoire Erotique
Être conne n’est pas un hasard mais un choix .madame vous avez choisie jouer et tout perdue .perso je vous dirais simplement RIEN À FOUTRE DE VOTRE RÉCIT …MAINTENANT VIENNENT LES REGRETS .VOUSS AVEZ TRICHÉE BEN MAINTENANT CONTINUEZ À VIVRE AVEC VOTRE MALHEUR…….PERSO RIEN À FOUTRE .ENCOUPLE ON SE DOIT SINCÉRITÉ ET RESPECT .ACUNES COMPASSION ET SURTOUT RIEN À FOTRE DE VOS REGRETS …….

Huum belle nuit de baise comme j aime merci

Histoire Erotique
Magnifiquement bien écrit

Histoire Libertine
Par contre Marc eu une belle vie et des enfants et des petits-enfants… Si au moins elle avait eu la décence de détruire Marc en guise de compensation…

C’est vraiment désolant!

Je ne crois pas aux pulsions, aux gestes irréfléchies qui nous portent à faire l’irréparable. Vous avez choisi, vous avez perdu. C’était écrit dans le ciel que le jour de la vérité arriverait. L’adultère ne se cache pas indéfiniment. Non avoué au tout debut l’adultère détruit tout comme vous l’avez vécue et venez de le raconter.
Les personnes indépendantes perdent encore plus parce qu’elles n’ont pas un caractère assez fort pour réinitialiser une autre rencontre une fois les cendres retombées.
Vu que Alain ne demeure pas loin et que le temps a fait son oeuvre peut-être que si vous le rencontriez par inadvertance ça pourrait réveiller certaines braises semi-éteintes. D’une manière ou d’une autre, vous n’avez rien à perdre et peut-être tout à gagner.
Bonne chance.

Histoire Erotique
Un très beau texte sur l'infidélité. Dommage qu'il n'y ait pas eu de suite.



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