J'ai voulu être cocu - épisode 4
Récit érotique écrit par Candaule [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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J'ai voulu être cocu - épisode 4
Les semaines qui ont suivit, Eric, Alain et, dans une moindre mesure, Nicolas ont mis
leur « femelle soumise » à contribution. Elle se rend 2 à 3 fois par semaine en ville
pour aller au rendez-vous que l’un ou l’autre lui fixe. En général elle y va en fin
d’après midi et revient 3 ou 4 heures plus tard. Souriante et de bonne humeur elle me
raconte ses orgasmes pendant que je sers un petit repas. Plusieurs fois, si son amant
du jour est Alain ou Eric, il est accompagné d’un autre homme. Sylvie prend du plaisir
à être baisée par ses nouvelles bites.
A part dix minutes par jour pour me doucher, je porte en permanence la cage de
chasteté. Elle en exhibe fièrement la clé pendue à une chainette autour du coup. Quand
on lui demande ce que c’est que cette clé elle répond, mutine, que « c’est la clé de
son bonheur ».
Le dimanche, je passe la journée sans ma cage, avec ma femme, qui est très câline et
amoureuse. Nous faisons une fois l’amour, mais l’excitation et la frustration
accumulée pendant la semaine n’arrange pas mes prestations.
Le premier dimanche, le coït dure 10 secondes. Ma femme en rigole et me dit moqueuse :
- Eh bien heureusement que mes amants me font jouir !
Le deuxième je fais à peine mieux avec 20 secondes. J’ai le droit aux même rire. Elle
me dit :
- Cette semaine j’ai été pénétrée par mes amants pendant au moins trois heures.
Avec 20 secondes tu ne profites pas beaucoup de mon sexe. Toi qui es fort en calcul,
ça fait quel pourcentage ?
Après un petit calcul je lui dis :
- Si je compte bien, ça fait 0,2 pourcent.
- Tu utilises ta femme le 0,2 pourcent de ce qu’elle est utilisée. On peut dire
que tu es vraiment cocu mon chéri !
Le troisième dimanche, elle a surement voulu m’humilier encore plus car elle a pris
mon sexe pour m’enfiler dans son vagin, mais en faisant ça elle a caressé sous le
gland où elle sait que je suis hyper sensible. Le résultat ne s’est pas fait attendre.
J’ai éjaculé sur son ventre sans même la pénétrer. Elle a rigolé en me disant :
- tu n’améliores pas tes statistique mon chéri ! Tant pis pour toi, tu ne me
baisera pas cette semaine !
Cette vie de soumis cocu m’excite beaucoup et j’aime ses humiliations. Je précise que
dans la vie courante, hormis ma cage de chasteté, nous nous comportons comme un couple
tout a fait normal et nous trouvons les deux notre équilibre dans cette situation.
Sylvie aime la queue noire de Nicolas, son jeune amant. Elle ne ce gène pas de le lui
dire et aussi de se plaindre un peu de l’espacement de leurs relations puisque ce
n’est qu’une fois tous les 2 à 3 semaines qu’elle a le plaisir de se donner à lui. Il
lui dit que, puisqu’elle a envie de queues noires, il va lui préparer une petite
surprise pour le vendredi suivant. Le jour venu, il lui envoie un message : « je viens
te chercher chez toi à 17h00. Soit vêtue en bourgeoise : tailleur sexy, porte-
jarretelle et bas blanc, escarpins à talon d’au moins 10 cm». Elle me téléphone pour
me prévenir et obéis avec excitation.
Son amant sort de la voiture pour l’embrasser. Il lui roule une pelle dans la rue
devant chez nous, ce qui met Sylvie mal à l’aise. Si quelqu’un la voit, sa réputation
sera tout de suite faite. Pendant les 45 minutes de route il a une main baladeuse qui
lui permet de s’assurer qu’elle a été obéissante et qu’elle n’a rien d’autre que ce
qu’il a demandé sur elle. Ils arrivent d’un un quartier populaire ou elle n’est jamais
venue. En parquant la voiture prés de grands immeubles, il lui dit :
- Je te présente le quartier ou j’ai grandit. Tu verras. C’est plein de noirs
comme tu les aimes !
Voyant de l’inquiétude sur le visage de ma femme, il dit :
- Ne te fais pas de soucis, tu ne risques rien de mal ici. Il te suffit d’être
bien obéissante et il n’y aura que du plaisir pour toi.
Dehors, elle sent les regards des personnes qu’ils croisent sur elle. Avec son
tailleur de bourgeoise elle est regardée par tous. Mal à l’aise elle ne lâche pas
Nicolas d’une semelle. Ils arrivent vers un groupe de jeunes noirs. Nicolas les salue
tous chaleureusement. Sylvie compte 8 garçons. Ils ne doivent pas avoir plus de 20
ans. Elle se fige en entendant dire :
- Madame, c’est dangereux de se promener dans une arrogante tenue de bourgeoise
ici, vous risquez de vous faire agresser !
- Oui, c’est vrai, la dernière fois qu’une femme en tailleur est venue ici, elle
s’est fait lynchée par des femmes du quartier. C’est de la provocation de montrer que
vous êtes bourgeoise !
En voyant le sourire de Nicolas, elle comprend qu’elle s’est faite piégée en lui
obéissant. Il lui dit :
- Oui ils ont raison, enlève ton tailleur c’est préférable.
- Mais je ne peux pas, tu sais bien que je n’ai rien dessous.
- C’est pas grave, nue tu ne risques rien d’autres que des coups de queue et
comme tu aimes ça !
Ça a fait rire tout le monde. Sylvie ne pas réagit lorsque Nicolas s’est approché
d’elle est a commencé à déboutonner sa veste de tailleur sous laquelle elle est nue.
Il l’a fait glisser sur ses épaules. Elle entend des commentaires :
- la pute elle est à poils dessous
- tétine pendante, mais c’est normal à son âge
- …
Alors qu’une première main vient la peloter, Nicolas a décroché sa jupe et l’a fait
glisser le long de ses jambes.
- Ouah un porte-jarretelle. C’est une vraie pute bourgeoise !
- Elle est toute lisse comme les putes !
- …
Sylvie n’a plus que son porte-jarretelle, ses bas et des escarpins sur elle. Elle
trouve la force de dire à Nicolas :
- On est en pleine rue, je ne peux pas rester nue.
- Ne t’inquiète pas, ici aucun flic ne passe et tu as meilleures d’avoir une
réputation de chienne en chaleur que de bourgeoise !
Pour toute réponse, Sylvie gémit de surprise car un doigt vient de violer son
intimité. Son propriétaire révèle à tous qu’elle est effectivement en chaleur et
qu’elle mouille abondamment. Nicolas dits aux jeunes noirs :
- Vous voyez la clé qu’elle a autour du coup ? c’est parce que son mari porte
une cage de chasteté. Pendant qu’elle vient se faire baiser, lui n’a même pas le droit
de bander ni de se branler !
Alors que tout le monde rigole, ils entrainent Sylvie vers un immeuble. Ils la font
monter 2 étages en la pelotant. Elle se retrouve assez rapidement à 4 pattes dans un
appartement. Tout aussi rapidement elle doit ouvrir la bouche pour accueillir le
premier sexe et un autre la pénètre en levrette. J’entends Nicolas leurs dire :
- Profitez bien d'elle, vous verrez elle est faite pour ça.
Après une demi-heure ou les sexes défilent dans ses trous, elle a déjà jouis plusieurs
fois. Comme elle a de la peine à rester à 4 pattes, ils la couche sur un matelas et le
défilé continue. Il dure encore presque deux heures et elle se retrouve pleine de
sperme aussi bien sur que dans le corps.
Nicolas l’aide à se relever, il l’emmène dans un autre appartement, la une jeune femme
noire les reçoit. Il la présente comme étant Mita, une de ses amies. Elle va aider
Sylvie à se doucher, vas la masser, lui mettre une crème sur son sexe pour l’aider à «
récupérer rapidement ».
Les deux femmes vont partager un repas qui fait du bien Sylvie. Elle est entièrement
nue. Ses bas sont déchirés et son hôte, qui elle est habillée, les a jeté. Ma femme va
dormir une heure sur le canapé avant que Nicolas revienne la chercher.
Il l’embrasse en lui disant qu’il est fier de ce qu’elle a fait. Il lui fait l’amour
sur le canapé. Sylvie apprécie particulièrement ce moment où il la fait grimper aux
rideaux et crier son orgasme comme elle ne l’a jamais fait avec moi.
Sylvie repart ensuite avec lui toute nue, mais heureuse. Dans le couloir, ils croisent
un homme d’une cinquantaine d’année. Ma femme essaie de se cacher derrière son amant,
mais celui-ci salue l’homme, prend les deux mains de Sylvie, les mets dans son dos
pour l’exhiber et demande :
- Comment tu trouves ma pute blanche ? tu veux l’essayer ?
- Volontiers, venez chez moi on sera plus confortable.
Sylvie se retrouve ainsi baisée sur un canapé dans l’appartement de cet homme. Il
éjacule rapidement, utilisant ma femme comme une simple vide-couille avant de la
mettre dehors.
Nicolas ramène Sylvie chez nous. Il la laisse dans la rue toute nue. Mais
heureusement, à cette heure, c’est désert. Je l’aide à se doucher et elle s’endort
rapidement…
leur « femelle soumise » à contribution. Elle se rend 2 à 3 fois par semaine en ville
pour aller au rendez-vous que l’un ou l’autre lui fixe. En général elle y va en fin
d’après midi et revient 3 ou 4 heures plus tard. Souriante et de bonne humeur elle me
raconte ses orgasmes pendant que je sers un petit repas. Plusieurs fois, si son amant
du jour est Alain ou Eric, il est accompagné d’un autre homme. Sylvie prend du plaisir
à être baisée par ses nouvelles bites.
A part dix minutes par jour pour me doucher, je porte en permanence la cage de
chasteté. Elle en exhibe fièrement la clé pendue à une chainette autour du coup. Quand
on lui demande ce que c’est que cette clé elle répond, mutine, que « c’est la clé de
son bonheur ».
Le dimanche, je passe la journée sans ma cage, avec ma femme, qui est très câline et
amoureuse. Nous faisons une fois l’amour, mais l’excitation et la frustration
accumulée pendant la semaine n’arrange pas mes prestations.
Le premier dimanche, le coït dure 10 secondes. Ma femme en rigole et me dit moqueuse :
- Eh bien heureusement que mes amants me font jouir !
Le deuxième je fais à peine mieux avec 20 secondes. J’ai le droit aux même rire. Elle
me dit :
- Cette semaine j’ai été pénétrée par mes amants pendant au moins trois heures.
Avec 20 secondes tu ne profites pas beaucoup de mon sexe. Toi qui es fort en calcul,
ça fait quel pourcentage ?
Après un petit calcul je lui dis :
- Si je compte bien, ça fait 0,2 pourcent.
- Tu utilises ta femme le 0,2 pourcent de ce qu’elle est utilisée. On peut dire
que tu es vraiment cocu mon chéri !
Le troisième dimanche, elle a surement voulu m’humilier encore plus car elle a pris
mon sexe pour m’enfiler dans son vagin, mais en faisant ça elle a caressé sous le
gland où elle sait que je suis hyper sensible. Le résultat ne s’est pas fait attendre.
J’ai éjaculé sur son ventre sans même la pénétrer. Elle a rigolé en me disant :
- tu n’améliores pas tes statistique mon chéri ! Tant pis pour toi, tu ne me
baisera pas cette semaine !
Cette vie de soumis cocu m’excite beaucoup et j’aime ses humiliations. Je précise que
dans la vie courante, hormis ma cage de chasteté, nous nous comportons comme un couple
tout a fait normal et nous trouvons les deux notre équilibre dans cette situation.
Sylvie aime la queue noire de Nicolas, son jeune amant. Elle ne ce gène pas de le lui
dire et aussi de se plaindre un peu de l’espacement de leurs relations puisque ce
n’est qu’une fois tous les 2 à 3 semaines qu’elle a le plaisir de se donner à lui. Il
lui dit que, puisqu’elle a envie de queues noires, il va lui préparer une petite
surprise pour le vendredi suivant. Le jour venu, il lui envoie un message : « je viens
te chercher chez toi à 17h00. Soit vêtue en bourgeoise : tailleur sexy, porte-
jarretelle et bas blanc, escarpins à talon d’au moins 10 cm». Elle me téléphone pour
me prévenir et obéis avec excitation.
Son amant sort de la voiture pour l’embrasser. Il lui roule une pelle dans la rue
devant chez nous, ce qui met Sylvie mal à l’aise. Si quelqu’un la voit, sa réputation
sera tout de suite faite. Pendant les 45 minutes de route il a une main baladeuse qui
lui permet de s’assurer qu’elle a été obéissante et qu’elle n’a rien d’autre que ce
qu’il a demandé sur elle. Ils arrivent d’un un quartier populaire ou elle n’est jamais
venue. En parquant la voiture prés de grands immeubles, il lui dit :
- Je te présente le quartier ou j’ai grandit. Tu verras. C’est plein de noirs
comme tu les aimes !
Voyant de l’inquiétude sur le visage de ma femme, il dit :
- Ne te fais pas de soucis, tu ne risques rien de mal ici. Il te suffit d’être
bien obéissante et il n’y aura que du plaisir pour toi.
Dehors, elle sent les regards des personnes qu’ils croisent sur elle. Avec son
tailleur de bourgeoise elle est regardée par tous. Mal à l’aise elle ne lâche pas
Nicolas d’une semelle. Ils arrivent vers un groupe de jeunes noirs. Nicolas les salue
tous chaleureusement. Sylvie compte 8 garçons. Ils ne doivent pas avoir plus de 20
ans. Elle se fige en entendant dire :
- Madame, c’est dangereux de se promener dans une arrogante tenue de bourgeoise
ici, vous risquez de vous faire agresser !
- Oui, c’est vrai, la dernière fois qu’une femme en tailleur est venue ici, elle
s’est fait lynchée par des femmes du quartier. C’est de la provocation de montrer que
vous êtes bourgeoise !
En voyant le sourire de Nicolas, elle comprend qu’elle s’est faite piégée en lui
obéissant. Il lui dit :
- Oui ils ont raison, enlève ton tailleur c’est préférable.
- Mais je ne peux pas, tu sais bien que je n’ai rien dessous.
- C’est pas grave, nue tu ne risques rien d’autres que des coups de queue et
comme tu aimes ça !
Ça a fait rire tout le monde. Sylvie ne pas réagit lorsque Nicolas s’est approché
d’elle est a commencé à déboutonner sa veste de tailleur sous laquelle elle est nue.
Il l’a fait glisser sur ses épaules. Elle entend des commentaires :
- la pute elle est à poils dessous
- tétine pendante, mais c’est normal à son âge
- …
Alors qu’une première main vient la peloter, Nicolas a décroché sa jupe et l’a fait
glisser le long de ses jambes.
- Ouah un porte-jarretelle. C’est une vraie pute bourgeoise !
- Elle est toute lisse comme les putes !
- …
Sylvie n’a plus que son porte-jarretelle, ses bas et des escarpins sur elle. Elle
trouve la force de dire à Nicolas :
- On est en pleine rue, je ne peux pas rester nue.
- Ne t’inquiète pas, ici aucun flic ne passe et tu as meilleures d’avoir une
réputation de chienne en chaleur que de bourgeoise !
Pour toute réponse, Sylvie gémit de surprise car un doigt vient de violer son
intimité. Son propriétaire révèle à tous qu’elle est effectivement en chaleur et
qu’elle mouille abondamment. Nicolas dits aux jeunes noirs :
- Vous voyez la clé qu’elle a autour du coup ? c’est parce que son mari porte
une cage de chasteté. Pendant qu’elle vient se faire baiser, lui n’a même pas le droit
de bander ni de se branler !
Alors que tout le monde rigole, ils entrainent Sylvie vers un immeuble. Ils la font
monter 2 étages en la pelotant. Elle se retrouve assez rapidement à 4 pattes dans un
appartement. Tout aussi rapidement elle doit ouvrir la bouche pour accueillir le
premier sexe et un autre la pénètre en levrette. J’entends Nicolas leurs dire :
- Profitez bien d'elle, vous verrez elle est faite pour ça.
Après une demi-heure ou les sexes défilent dans ses trous, elle a déjà jouis plusieurs
fois. Comme elle a de la peine à rester à 4 pattes, ils la couche sur un matelas et le
défilé continue. Il dure encore presque deux heures et elle se retrouve pleine de
sperme aussi bien sur que dans le corps.
Nicolas l’aide à se relever, il l’emmène dans un autre appartement, la une jeune femme
noire les reçoit. Il la présente comme étant Mita, une de ses amies. Elle va aider
Sylvie à se doucher, vas la masser, lui mettre une crème sur son sexe pour l’aider à «
récupérer rapidement ».
Les deux femmes vont partager un repas qui fait du bien Sylvie. Elle est entièrement
nue. Ses bas sont déchirés et son hôte, qui elle est habillée, les a jeté. Ma femme va
dormir une heure sur le canapé avant que Nicolas revienne la chercher.
Il l’embrasse en lui disant qu’il est fier de ce qu’elle a fait. Il lui fait l’amour
sur le canapé. Sylvie apprécie particulièrement ce moment où il la fait grimper aux
rideaux et crier son orgasme comme elle ne l’a jamais fait avec moi.
Sylvie repart ensuite avec lui toute nue, mais heureuse. Dans le couloir, ils croisent
un homme d’une cinquantaine d’année. Ma femme essaie de se cacher derrière son amant,
mais celui-ci salue l’homme, prend les deux mains de Sylvie, les mets dans son dos
pour l’exhiber et demande :
- Comment tu trouves ma pute blanche ? tu veux l’essayer ?
- Volontiers, venez chez moi on sera plus confortable.
Sylvie se retrouve ainsi baisée sur un canapé dans l’appartement de cet homme. Il
éjacule rapidement, utilisant ma femme comme une simple vide-couille avant de la
mettre dehors.
Nicolas ramène Sylvie chez nous. Il la laisse dans la rue toute nue. Mais
heureusement, à cette heure, c’est désert. Je l’aide à se doucher et elle s’endort
rapidement…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Salut. Pas mal. Bien excitant. Dommage j'ai pas pu jouir, car je l'ai lue au bureau.
Quelques détails croustillants sur la manière dont elle s'est fait bien tringer
auraient ajoutés de l'excitation. A plus.
Quelques détails croustillants sur la manière dont elle s'est fait bien tringer
auraient ajoutés de l'excitation. A plus.
belle salope .histoire bondante.vivement la suite
vivement la suite ,poue des nouvelles du mari cocu.
Une bien bonne saga avec cette pute. J'en espère encore, c'est si sexy et bien
conté....hum
conté....hum