J'aime le sexe

- Par l'auteur HDS Discret -
Récit érotique écrit par Discret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'aime le sexe Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'aime le sexe
Bonjour à tous et toutes. Après avoir lu plusieurs confessions sur ce site, je me décide enfin à dévoiler cette histoire qui m'est arrivée le mois dernier et qui hante encore mes jours et mes nuits...



Je vis en concubinage depuis 3 ans. Toujours est-il que pour des raisons que je ne connais pas (encore les hormones sans doute !), mon amie a considérablement réduit son appétit sexuel. Fini les petits jeux et gâteries. Au diable les préliminaires et la séduction à mon plus grand regret...



Je me sentais donc bien seul dans mon slip, pris par un travail accaparant, avec des rêves qui s'évanouissent au fil du temps qui passe, et ma seule fenêtre d'ouverture sur le monde était mon PC. N'étant pas un adepte du "tchat" ni du Web en dehors des recherches à usage professionnel, je me surpris à passer mes soirées (ma femme se couchant tôt après avoir visionné ses séries TV américaines) sur mon ordinateur. A force d'en entendre parler, les "sites de cul", on finit tous un jour où l'autre par les visiter (Ne me dites pas non, je ne vous croirai pas !). Puis entre « chattes » et « nichons », on finit par tomber sur des liens vers des sites de rencontres.







J'avoue que ma seule motivation était la curiosité. Je n'avais jamais eu l'intention de tromper mon amie, mais je voulais juste "voir" qui étaient donc bien tous ces gens qui prétendent rompre la solitude par le web, dans un monde où l'on se soucie autant de son voisin de palier ou du collègue de bureau que de sa première culotte. Plein d'a priori, je visitai donc un site, faisant finalement une recherche de profil, plus par jeu que par réelle envie de rencontre, histoire de voir qui pourrait me correspondre.

De fil en aiguille, ou plutôt de clavier en souris, je finit par me créer un profil, sans nier que je vivais avec une amie. Après l'une ou l'autre réponse, même certaines insultes je réponds à une annonce qui m'a, je dois dire, inspiré.



Femme marié, plus âgée que moi, mais avec une bonne culture générale, un grand sens de l'humour, bref, comme moi. Nous avons vite sympathisé, retrouvé sur un tchat, et nous avons tous deux ressenti une forte attirance l'un pour l'autre. Arrive l'échange de photos (aïe aïe ! Je ne suis pas Apollon non plus !). Elle, appelons-là Carine : look un peu "bourgeoise bcbg", dont on devine de très jolies formes sur la photo, et surtout de très jolis yeux gris verts, mais un peu triste. Elle a le milieu de la trentaine, l'âge où se manifeste le charme un peu hautain et distingué de la maturité. Bref, elle me plaît ! Moi, j'ai 25 ans, de taille moyenne, poids normale, bref classique.





Surprise : je lui plais ! Très vite, l'envie d'échanger nos numéros de portable, et... de se rencontrer. Les séances de tchat sont de plus en plus "hot", et nos désirs se font de plus en plus clairs et pressants. RV est pris pour le samedi à Blois. Son mari est absent, moi je prétexte une course à faire qui va me prendre du temps, et je me rends à ce premier RV. Je sors de la voiture à son approche, un peu intimidé, je dois dire. Je me sens de nouveau adolescent à son premier RV galant. Elle, le sourire de la timidité au lèvres, enlève ses lunettes de soleil, et je peux enfin me plonger dans se beaux yeux. On se fait la bise, un peu timidement...eh oui ! Le réel, cela vous change du virtuel ! Et c'est elle qui choisi le lieu de la destination: un petit bar à proximité d'un centre commercial... qui a aussi le mérite de proposer des chambres en après-midi. Heureusement qu'il y a encore des gens qui ont le sens de l'hospitalité et qui pensent aussi à la sieste ! lol. Nous le savions tous les deux, se disant que si on ne se plaisait pas, on pourrait se le dire gentiment et se quitter bon amis !

Bref, nous commandons à la serveuse un petit vin de pays bien frais qui ne fera pas de mal par ces chaleurs de l'été dernier.





Nous nous asseyons côte à côte. Je vois à son regard pétillant qu'elle est très heureuse d'être là, et pour me rassurer complètement à ce sujet, elle se penche vers moi et pose ses lèvres contre les miennes. Je réponds bien vite à son baiser et je laisse ma main effleurer son mollet découvert par une robe fendue assez haut. Les cheveux courts, sa robe lui va à ravir, et j'ai enfin le loisir de regarder ses beaux yeux brillant de désir. Elle aussi me regarde comme jamais une femme ne m'a regardé. Nous ne disons rien, appréciant juste le moment présent, celui de la découverte de l'autre, l'instant magique où nous percevrons l'approbation dans le regard de l'autre.



Moi : - Alors, pas trop déçue de ce que tu vois ?

Elle : - Ah non alors ! Je te trouve encore plus beau que sur la photo ! Ta bouche, ton regard. !





Je reste interloqué ! jamais je ne me serais attendu à cela ! Jamais une femme ne m'a parlé ainsi. J'ai envie de me pincer pour y croire. Le moment était comme magique.

Pas bien longtemps car nous fûmes dérangés par la serveuse qui nous apporta le vin et les verres. Et la palme de la délicatesse quand elle nous demande de but en blanc :


« - Souhaitez-vous une chambre ? »


Le temps que je réalise la portée de sa question, et me tourne un peu gêné vers Carine, celle-ci me fit un signe affirmatif sans équivoque de la tête. Je bredouillai donc un « oui » à la serveuse, me demandant si c'était bien moi ! C'est vrai que j'étais un peu gêné par la tournure, me disant que c'était peut-être un peu trop vite, en « gentleman », je ne souhaitais pas brusquer les choses, car j'ai toujours eu du respect pour les femmes, qu'elles soient bonne sœur ou putain.



Bref, le temps de prendre verres et bouteille, et nous voilà montés au 2è étage dans une belle chambre spacieuse bien meublée, avec un canapé, une table de salon, un secrétaire, et bien sûr un grand lit. Sur le côté, la salle de bain. Bref un vrai petit nid douillet. A peine fermé la porte à clef, je me retrouvai donc debout devant le canapé, Carine s'approcha de moi, avec un regard coquin comme je les aime. Elle murmura « enfin. ! » et enroula ses bras autour de mon cou. Nos lèvres se touchèrent tendrement, puis se sont écartées pour laisser nos langues s'entremêler. Elle embrassait divinement. Mes mains se promenaient sur sa taille, et je regardais tout son corps. Elle était déjà pieds nus, attendant la suite.



Elle m'aida à déboutonner sa robe qui s'ouvrait sur le devant, découvrant ainsi une poitrine généreuse emprisonnée dans un soutien noir. Plus bas, elle portait un adorable petit string assorti. Je me dis que j'avais beaucoup de chance, elle était très belle. Lentement, je fis glisser les bretelles du soutien et libérai bien vite les globes emprisonnés et me mis à les caresser, lentement, avec sensualité.





Mes doigts parcouraient sa nuque, ses épaules, et ses seins qui semblaient déjà au garde-à-vous. Inutile de vous dire que devant un tel spectacle, il y en avait un autre qui commençait aussi à s'énerver !!! Elle entreprit de me déshabiller. La chemise. Elle fut heureuse de voir mon torse imberbe. Le pantalon ensuite, puis le boxer. J'étais debout devant elle, et elle semblait me contempler et son œil pétillant montrait sa satisfaction. « Oh ! tu es totalement imberbe, ton sexe est tout lisse.mmmmh ! »




J'étais ravi que cela lui fasse autant plaisir. Elle m'attira vers le lit. Etendus l'un contre l'autre on s'embrassa fougueusement et mes mains commencèrent leur balai. Les seins, dont les mamelons ressemblaient à des fraises pointées vers moi, m'invitaient à la dégustation. Ce que je fis sans me faire prier. Laissant mes mains glisser sur son ventre, puis sur ses cuisses douces. Mes baisers semblaient la mettre dans tous ses états. En voulant vérifier, je buttai sur le string (tiens, je l'avais oublié, celui-là !), mais je fis durer le supplice en caressant le string suivant l'élastique, prenant bien soin d'éviter le triangle du diable.







Nos langues continuaient à s'enrouler, et je passai finalement ma main sur son pubis, que je sentait frémir au travers du string. Ses yeux semblaient me supplier de le lui ôter, afin que plus rien ne sépare nos chairs. Je nous débarrassai donc de cet obstacle, pour enfin découvrir son trésor. Son sexe était totalement rasé, laissant apparaître une fente toute lisse, et déjà bien humide. Je passai donc la main sur ce triangle lisse, et parti à la conquête de la montagne de Vénus, qui ne demandait, ma foi, qu'à entrer en éruption. Glissant un doigt inquisiteur dans la vallée des plaisirs, je trouvai une petite rivière, qui se changea bien vite en torrent en quelques secondes. Elle laissait échapper des gémissements de bonne augure pour la suite des événements.







Mon exploration s'aventura alors à l'entrée de sa grotte d'amour, qui la fit tressaillir. Je remontai un peu vers les replis où se dissimulait un clitoris bien gonflé par l'excitation. Bien lubrifié par sa mouille, mon doigt glissa sur son bouton d'amour, je m'y attardai quelque peu, et son regard se faisait hagard. La montée vers le plaisir était bien lancée, mais je ralentis un peu mes caresses pour ne pas aller trop vite. Dès que je la sentis bien, j'entrepris d'introduire un doigt dans sa grotte d'amour. Quel accueil ! Mes lèvres avaient repris une deuxième ration de fraise, et ses seins étaient maintenant tout gonflés par le plaisir, et surtout l'excitation. La grotte humide, que dis-je, trempée ne fit aucun problème à l'introduction d'un second doigt, qui rejoignit l'autre et ensembles, je les poussaient plus profondément.







Nouveaux tressaillements accompagné d'un gémissement de sa part ! Carine semblait apprécier ce massage « digital », et il faut croire que je devais m'y prendre assez bien ! Mes doigts pratiquèrent un va-et-vient de plus en plus fort, la « branlant » au plus profond. Je senti ses mains se crisper dans mon dos, et m'attirer encore plus contre elle. Je pris ses lèvres avec les miennes, ce qui permit d'étouffer ses cris dans un baiser passionné, en plein orgasme.





La tempête passée, ses yeux se firent plus tendres. Elle devint alors plus « chatte », ronronnant dans mes bras. Je la cajolait en l'embrassant et promenant délicatement mes mains sur son corps totalement offert.



Elle semblait reprendre pied dans la réalité, et elle me repoussa doucement mais fermement sur le dos. Ses yeux avaient retrouvé cette étincelle de tout à l'heure, et je me préparais à subir les assauts de cette femme délicieuse. Ses lèvres vinrent se coller à nouveau aux miennes, mais bien vite descendirent sur mon torse. Ses mains caressaient mon ventre, puis mes jambes . Lentement, elle descendit vers mon « Popol » déjà bien excité par ce qu'il venait de vivre. Au moment où je fermais les yeux, je sentis une bouche chaude et douce m'entourer, d'abord le gland, puis une main ferme me pressa la hampe depuis la base. Je sentais ses mouvements de succion qui me gonflaient le sexe de plus en plus. Elle me branlait tout en me pompant. Jamais, on ne me l'avait fait aussi bien. C'est vrai que ma femme a bien essayé une ou deux fois, il y a longtemps, mais jamais bien longtemps, sans doute par peur que je jouisse en elle.





Au contraire, Carine semblait aimer cela. J'ouvris les yeux pour la regarder me dévorer, m'aspirer, m'engloutir tout entier. Maîtrisant le rythme à sa guise, alternant avec des coups de langues le long de ma tige, puis sur le gland, et sur le méat. Après 5 minutes de ce traitement, mon corps semblait se raidir, et trembler comme la Terre avant un séisme. Je lui dis que j'allais jouir, mais pensez-vous que cela la perturba ? pas du tout ! Elle continua à me sucer de plus en plus fort. Et, soudain, je n'en puis plus, le séisme, et comme toujours dans ces cas là, le raz-de-marée. Mon sperme se déversait à gros bouillons dans sa bouche. Et elle continuait à me sucer, triturant mon méat de sa langue. Pfffiou ! J'ai cru que j'allais mourir. Elle remonta vers moi, et me déposa un baiser afin que je partage sa récolte. Oh, juste un peu, car elle en garda le maximum pour elle, la gourmande ! Juste ce qu'il faut pour me donner ce goût un peu salé de mon sperme dans la bouche.

Je venais de me faire pomper complètement pour la première fois de ma vie.



Nous sommes restés 10 minutes affalés sur le lit, le temps qu'elle grille une clope, puis doucement, nos caresses ont repris. Très vite, j'avis envie de lui rendre la pareille. Ma bouche s'attaqua donc à ses mollets, puis remonta vers l'intérieur des genoux, l'intérieur des cuisses, et fit le tour afin d'éviter son sexe lisse. Je voulais de nouveau l'emmener sûrement. mais lentement, vers l'extase. Mes mains pétrissaient ses seins, tandis que ma bouche s'aventurait vers ses lèvres roses, en descendant depuis le nombril. La petite fente s'ouvrit sans résistance, et je pouvais laper sa liqueur intime. Raidissant ma langue, je remontai en écartant ses lèvres, afin de débusquer son bourgeon masqué sous les replis, mais déjà bien dur. Les gémissements de Carine avaient repris de plus belle, et ses mains se crispaient déjà autour de ma tête . Je lui dégageai alors le clitoris pour mieux le sucer, comme elle l'avait fait avec mon Popol quelques instants plus tôt.







Bien sûr, le résultat ne se fit pas attendre. Je sentais à son corps raidi, les mains crispées dans mes cheveux, le souffle haletant, que le même séisme s'annonçait pour elle. Ce fut aussi le raz-de-marée quand elle étouffa un cri , serrant les dents, et je senti un flot de liqueur intime envahir ma bouche. Je lui laissai à nouveau reprendre ses esprits. Nous discutions maintenant de choses et d'autres, mais surtout beaucoup de sexe, et s'étonnant de nous être « trouvés » de si belle manière. Nous étions agréablement surpris de cette entente immédiate, sur laquelle personne n'aurait parié un cent. Nous parlions de nos fantasmes respectifs, elle, s'enquérant de savoir ce que j'aimerais faire que je n'ai jamais encore fait avec une femme.





Je saisi la perche qu'elle me tendait en lui disant que je n'avais jamais pratiqué la sodomie et que cela me tentait. Elle parut incrédule, et me rétorqua qu'elle adorait cela, mais qu'elle ne l'avait fait qu'avec son mari, il y a longtemps. Je lui demandai alors si elle accepterait avec moi. Elle prit l'affaire en main (si je puis m'exprimer ainsi ! lol) et face à mon inexpérience, me guida vers son petit trou. Rien qu'à l'idée, Popol s'était remis au garde-à-vous, et il n'eu aucun mal, grâce à son expertise, à se frayer un chemin dans ses entrailles. Une fois calé au fond d'elle, elle me dit : « vas-y maintenant, défonce-moi le cul ! » D'abord lentement, puis plus fort ensuite, je lui défonçai son petit trou jusqu'à ce qu'elle explose dans un nouvel orgasme. Je la pris par derrière, à quatre pattes, hésitant entre ses deux trous, allant et venant d'un à l'autre. Finalement je me suis abandonné entre ses seins si généreux dans un râle d'extase.



Nous sommes encore restés 10 minutes enlacés, avant que l'horloge nous rappelle à nos vies respectives. Ce jour là est gravé à tout jamais dans ma mémoire.

Ensuite, nous avons vécu une liaison passionnée pendant plus de 3 mois, avant que le destin nous éloigne.



Voilà mon histoire, telle que je l'ai vécue, et telle qu'elle reste dans ma mémoire.

Des aventures comme celle-là, j'aimerais que le destin donne la chance d'en revivre ( alors n'hésitez pas à me contacter ).





Mesdames, ne jugez pas mal les hommes mariés ou en concubinages. Parmi eux, il y en a qui sont autres choses que des brutes dénués de sentiments, mais qui aimeraient, à tout âge, pouvoir partager des moments de plaisir dans la simplicité, sans faire de mal à personne. Le mensonge ne fait mal que quand il est connu, et donc. quand il devient vérité !

C'est la première fois que je confie ceci, et vos commentaires sont les bienvenus.

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