J'offre ma femme sous contrôle - histoire érotique

<p> Lorsque je revis Marc, je lui ai soumis mon projet. Il fût immédiatement d'accord et me dit connaître la partenaire idéale pour cela en la personne de sa femme !!!
Je suis resté interloqué, en effet, nous n'avions jamais parlé de sa femme, je ne savais même pas qu'il en avait une. Je lui ai demandé des précisions. Il me dit :" Ma femme est une vraie salope, bi-sexuelle et consentante pour tout ce que je lui demande, elle sera très bien pour initier ta femme à tous les plaisirs de l'homosexualité."
Nous avons mis au point un scénario et le mardi suivant, je me suis retrouvé dans la chambre avec la glace sans tain.
Ma femme est arrivée la première et comme Marc lui avait demandé, elle s'est aussitôt mise à poil et a commencé à se goder la chatte. Marc est arrivé quelques minutes plus tard avec sa femme, une magnifique plante, blonde véritable avec des yeux superbes.
Ma femme a aussitôt réagi et a voulu se cacher. Marc s'est approché d'elle et lui a dit : "Je te présente ma femme, je veux qu'elle participe à nos ébats;"
Ma femme a répondu : " Il n'en est pas question, je ne suis pas bi et ne souhaite pas le devenir. C'est sans appel."
Marc a alors jeté sur le lit quelques photos et a dit : " A qui souhaites-tu que je les envoie, à ton mari, à tes amis, à tes voisins ?"
Ma femme a compris de suite et s'est mise à pleurer. J'avoue qu'à ce moment, j'ai eu envie d'intervenir et de tout stopper. C'est Maud, la femme de Marc qui m'en a empêché. Elle s'est approchée de ma femme, l'a prise par les épaules et a commencé à lui parler doucement. Tout en lui parlant, elle lui déposait de petits baisers dans le cou, puis sur le visage. D'une main elle lui tenait les épaules et l'autre mais a commencé à glisser vers ses seins et son ventre. Je rappelle que ma femme était nue. La main droite de Maud caressait le ventre de ma femme qui reniflait encore un peu, mais semblait accepter la caresse. Cette caresse se fait plus précise et la main de Maud se posa sur la chatte de ma femme, qui loin de repousser cette main, écarta davantage les cuisses pour faciliter l'accès à sa chatte. Maud commença alors à branler le clito de ma femme et les pleurs de celle-ci se transformèrent en gémissements de plaisirs. Je l'entendis même dire : " Ha oui, caresse-moi la chatte, c'est bon, tu le fais très bien, tu es très douce."
J'ai su à ce moment que c'était gagné. Marc s'approcha, il avait eu le temps de se mettre à poil et il bandait très dur. Il dit à ma femme : "suce-moi pendant que Maud se fout à poil. Voilà, c'est bien, caresse moi bien les couilles en même temps."
Tout en se déshabillant, Maud disait à ma femme : " En même temps que tu le suces, fous-lui un doigt dans le cul, il aime cela. De toute façon, il aime avoir quelque chose dans le cul, regarde." Tout en disant cela, elle s'était emparé du gode qui traînait sur le lit et l'enfilait dans le cul de son mari en disant : " Regarde comme il aime se faire enculer, tu vois, il est comme nous."
Lorsqu'elle a été à poil, elle a écarté son mari et lui a dit : " Maintenant, tu dégages et tu me laisse m'occuper d'elle."
Puis elle s'est approchée de ma femme, elle s'est mise à genoux devant le lit et a dirigé sa tête vers l’entrecuisse de ma femme. Elle a commencé à lui sucer la chatte, ma femme a mis ses deux mains dans les cheveux de Maud et lui a dit : " Oui, j'aime cela, continue !"
Maud s'est alors mise sur la lit et a dit : " maintenant, on va faire un 69, tu vas aussi me sucer et tu seras comme moi, une petite salope bi-sexuelle"
Ma femme n'avait manifestement plus envie de résister, mais plutôt envie d'en faire plus. La situation lui plaisait beaucoup.
Je la voyais sucer Maud, c'était fantastique, j'avais la bite dure comme du bois.
Maud lui donnait des conseils : " Suce moi bien le clito, là, oui, laisse courir ta langue dans la raie de mon cul, oui, suce moi l'anus, oui ma salope, encule-moi avec ta langue, oui, fais comme je te fais. Oui ma salope, c'est super, tu es une très bonne vicieuse. Continu..."
Puis elle s'est retournée et a empoigné la tête de ma femme, approchant la sienne. Elles avaient toutes deux la bouche pleine de mouille, cela se voyait, leurs lèvres étaient luisantes. Maud a commencé à embrasser ma femme, je voyais leurs langues se mêler. C'était vraiment extra.
A ce moment, je me demandais où était passé Marc. Je n'ai pas eu à me le demander longtemps. Je ne l'avais pas entendu rentrer, mais j'ai senti qu'il se collait à moi par derrière pour voir aussi et se faisant, sa bite était pratiquement dans la raie de mon cul. Je lui dis : " Ha non, tout de même, tu ne vas pas m'enculer !"
Il me répondit : " Je vais me gêner." Puis sa bite se pointa à l'entrée de mon cul, j'étais super-excité et ce n'était pas la première fois qu'un homme me prenait le cul. C'est pratiquement moi qui me suis empalé sur sa bite.
Tandis qu'il me pistonnait, je voyais ma femme jouir comme une folle dans les bras de Maud.
Marc me disait : " Que dis-tu de cela. Ta femme est maintenant une vraie salope, je pourrai même si tu le souhaites l'offrir de temps à autre à des gens que je connais et qui aiment se taper une petite bourgeoise bien salope et bien disciplinée qui ne peux dire non à rien. "
Je l'ai senti pendant qu'il me disait cela qui jouissait dans mon cul.
Je lui dis : " On verra cela mais en attendant, je suis le seul qui n'ai pas joui."
Marc se tourna alors et me dit : " Maintenant tu as bien le droit de m'enculer."
J'avais la bite comme un morceau de bois, je lui ai rentré dans le cul et je lui ai dis : "Tu aimes cela hein ma petite salope ?"
Très rapidement, je suis venu en lui, je n'arrêtai plus de jouir.
Le soir, en rentrant à la maison, j'ai demandé à ma femme comment s'était déroulé sa journée et sans avoir l'air de rien, elle m'a répondu :
"Bof, couci-couça..." Comme ci cela avait été une journée ordinaire.
Je n'en revenais pas. Par contre, le soir, au lit, lorsque je lui ai mis la main sur le ventre, contrairement aux fois précédentes quand elle se faisait baiser pas des mecs, là, elle a accepté mes caresses et nous avons fait une bonne baise.
Une seule chose ne s'est pas déroulée comme à l'habitude, pendant que je la baisais, ma femme me disait : " Oui, c'est bon, traite moi de salope, de chienne, de pute, de traînée."
C'était la première fois qu'elle me demandait cela. Je l'ai fait volontiers et cela la faisait jouir encore plus fort.
Voilà, ne manquez pas, ceux qui le souhaitent, me faire savoir si ce récit vous a excité.

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