Jacqueline, véritable chienne.
Récit érotique écrit par Luco49 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Jacqueline, véritable chienne.
J'ai fait la connaissance de Jacqueline et de son mari à l'occasion d'une visite dans leur manoir en Bretagne. Je leur avais donné des conseils sur la protection contre le vol, ayant été mis en relation par un ami commun. Mon métier c'est la sécurité. Mais je n'en dirai pas plus à ce sujet.
Après avoir fait un diagnostic de l'habitation, en cette fin d'après-midi estival, le couple m'invite à l'apéritif. L'homme s'était présenté comme propriétaire terrien. Son épouse, Jacqueline, au demeurant très charmante, s'était présentée comme femme au foyer. Lui doit avoir 70 ans, et elle, dans les cinquante, mais si lui accuse le poids des années, ce n'est pas le cas pour Jacqueline. Bien maquillée, toute bronzée, vêtue d'une robe légère, sur des escarpins à hauts talons, elle paraît plutôt avoir 40 ans. Elle est vraiment bien conservée, son corps mince est celui d'une jeune femme. Je n'y suis pas insensible.
Au moment de prendre congé, dans la conversation, je fais part que je vais passer la soirée au casino de Dinard. J'aime le jeu, mais je ne suis pas addict. Je me limite à dépenser 100 euros pour une soirée, mon but étant de durer le plus longtemps possible.
« Quelle chance vous avez! J'aime tellement les casinos, le jeu, l'ambiance dit Jacqueline.
- Je confirme dit le mari! »
Tout de go, je les invite à se joindre à moi.
« Impossible, répond le maître des lieux, j'ai ma partie de bridge. Mais vas-y Jacqueline, accompagne notre ami, je sais que tu aimes tellement ça!
- Alors, volontiers. Accordez moi 5 minutes. Je me change. »
Effectivement, après 5 minutes, Jacqueline ré-apparaît changée. Et quel changement : sur des escarpins à talons vertigineux, elle porte une mini robe léopard, descendant à mi cuisses, nouée derrière le cou et sur le bas des reins, avec un décolleté plongeant jusqu'au nombril, laissant apparaître des seins lourds et fermes et montrant la totalité de son dos. On comprend qu'elle ne porte pas de soutien-gorge mais on devine la marque d'une petite culotte.
« Aurais-tu un peu de liquide chéri?
- Tiens! ». Il lui donne des billets de 50 euros, une vingtaine. Pas mal. Y a du fric à la maison!
Nous voilà partis en direction de Dinard . La soirée est belle. Il fait chaud. Jacqueline paraît ravie. En fait, cette femme est canon. Jacqueline est très à l'aise. Ses cuisses sont dénudées très haut. Elle n'a pas cherché à rectifier sa robe quand elle s'est assise dans la voiture. Je prends l'initiative de la conversation et lui fait part de ma fierté d'être aussi bien accompagné.
"Vous êtes charmante. Vraiment charmante. Au casino, je vais pouvoir frimer à vos côtés. C'est pour moi un véritable honneur.
- Mais moi aussi je vous trouve charmant. Je suis très heureuse de sortir avec vous. J'ai vraiment envie que cette soirée soit pleinement réussie. Je suis très excitée.
- C'est à dire ? Excitée à l'idée du casino ou bien excitée pour autre chose ?
- Excitée pour le casino mais aussi pour autre chose. »
Elle m'embrasse sur la joue droite, passe sa main gauche dans mes cheveux et sa main droite sur mon torse en descendant doucement, puis s'arrête.
« Continuez s'il vous plaît, c'était bien ! »
Elle pose sa main droite sur ma braguette.
« Là ? C'est ça que vous voulez ? Reconnaissez que c'est ce que vous voulez ? »
Je n 'ai pas le temps de lui répondre. Elle déboutonne ma braguette, sort ma queue en érection et commence à me branler.
« Regardez devant vous, occupez-vous de la conduite, je m'occupe du reste! »
Puis elle se libère de la ceinture de sécurité, se penche vers moi, passe la tête sous le volant et me suce goulûment. J'ai la queue en feu. Je lui caresse le dos puis le haut des fesses et je rencontre sa petite culotte.
« Vous devriez retirer votre culotte ! »
Elle se relève, fait glisser sa culotte le long de ses jambes, confectionne une petite boule, ouvre sa fenêtre et la jette. Puis d'initiative elle enlève sa robe : elle est superbe ainsi, assise à mes côtés, s'offrant totalement nue.
La nuit commence à tomber. Je décide de m'arrêter dans le premier chemin à droite. On s'enlace instantanément, et on s'embrasse, avec une intensité inouïe, lèvres contre lèvres, langue contre langue, dents contre dents. J'en profite pour lui caresser les seins. Ils sont de bonne taille, lourds mais bien accrochés. Je les suce. Ils pointent tellement qu'on pourrait croire qu'ils vont libérer du lait.
Après quelques minutes d'étreinte, alors que ma queue est toujours en feu, je prends sa tête dans mes mains et je la conduis là où le devoir l'appelle. Il faut qu'elle termine ce qu'elle avait commencé. Elle avale ma queue et entame un mouvement de piston. A chaque fois que je la pénètre mon gland touche le fond de sa gorge. Je la tiens maintenant par les cheveux et je lui donne la cadence. Je ne tarde pas à jouir et je lui envoie de longues giclées de sperme. Elle avale tout.
Cette Jacqueline est une véritable chienne. Je pressens que la soirée va être très riche.
Elle se rhabille, c'est à dire qu'elle enfile sa mini robe, rien d'autre. On repend la route, direction Dinard.
Nous voilà près du casino. Avant d'entrer, je lui propose un petit jeu : on se sépare pour qu'elle vaque à ses occupations pendant que j'observe l'attitude des gens autour d'elle.
Elle se dit très emballée. Nous entrons chacun de notre côté. Jacqueline fait un tour rapide dans la salle des machines à sous puis échange des jetons et s'installe devant l'un des bandits manchots. Elle s'assoit sur le tabouret. Sa robe trop courte l'oblige à s’asseoir sur ses fesses dénudées. Tous les regards se portent sur elle. Les hommes, les femmes, les employés. J'entends les conversations et les commentaires : « As-tu vu la salope ? Qu'est-ce qu'elle est bonne ! C'est pas possible, c'est une pute ! Classe, quand même pour une pute ! C'est une pute de luxe ! Je m'enverrais bien en l'air avec elle ! Je lui éclaterais bien le cul ! etc »
Je ne m'attendais pas à ce qu'elle fasse un buzz pareil. C'est la vedette ! Plus aucune machine n'est libre à proximité d'elle. Elle fait l'unanimité. Sauf peut-être quelques femmes qui déclarent leur dégoût alors que vraisemblablement elles auraient aimé être à sa place. Elles sont jalouses, parce que Jacqueline est incontestablement, là, en ce moment, la plus belle, la plus sexy et la plus désirable. Ma fierté se fait alors ressentir, dans la tête et dans mon slip. J'ai soudain très envie de m'afficher avec elle. Que tous ces gens disent la chance que j'ai de me taper un canon pareil. Alors je vais vers elle, je lui passe la main dans le dos, je lui caresse les cuisses, je l'embrasse, bref, je marque mon territoire et je m'impose à la vue de tous comme étant son mec.
Je lui rapporte mes observations. Elle me dit que ça confirme son impression. Et que la situation l'enflamme tout particulièrement, et qu'elle n'en peut plus tellement son entre-cuisse est en feu.
« Il me faut une bite, tout de suite, je n'en peux plus !
- Rejoignez-moi aux toilettes hommes, dernière alvéole au fond à droite »
Personne dans les toilettes. Je m'y installe et elle me rejoint. Je m'assois sur le couvercle de la cuvette, le pantalon baissé, la queue en érection. Elle se met face à moi, écarte les cuisses et s'empale. Je la laisse imprimer la mesure. Très vite l'excitation est à son comble et j'éclate en elle, lui injectant plusieurs giclées de foutre. Visiblement, elle apprécie puisqu'elle se met à crier et à se contorsionner dans tous les sens, comme si elle s'essayait au rodéo.
Je sors le premier des toilettes, lesquelles étrangement sont d'un seul coup très fréquentées. Jacqueline a des prétendants. Elle sort à son tour et, comme si de rien n'était, va s'installer à une table de roulette. Elle s'affiche avec une décontraction naturelle, la robe toujours aussi lascive sur ses cuisses ouvertes et la poitrine offerte à demi dénudée. Elle rayonne et attise les regards des mâles qui n'en croient pas leurs yeux.
Un mec m'interpelle et me fait une proposition indécente : « 300 euros pour un quart d'heure avec ta femme aux toilettes. Mon copain est aussi intéressé au cas où ! Même tarif. »
Je lui dis que je prends acte et que je transmettrai la proposition.
Jacqueline joue gros, gagne de temps en temps, mais au bout d'une heure il ne lui reste plus rien du pactole donné par son mari. Elle revient vers moi, au bar où je me suis installé et d'où je pouvais la mater. Directe, elle me propose un nouveau séjour au toilettes moyennant une « indemnité » de 100 euros.
« C'est peu 100 euros. Vous méritez mieux que ça. J'ai rencontré un mec qui propose 300 euros. Qu'en pensez-vous ?
- Ok, je prends. Présentez moi.
- Inutile, allez aux toilettes, même alvéole. Je vous l'envoie. »
Elle s'exécute. Je retrouve le client en train de jouer aux machines à sous. Je lui annonce la bonne nouvelle. Il se précipite.
Un quart d'heure plus tard, Jacqueline réapparaît.
« Ça y est ! J'ai de quoi jouer à nouveau. Mais pas sans mal. Il m'a prise par derrière et m'a défoncé le cul avec son énorme bite. J'aime me faire sodomiser mais pas à sec comme ça. C'est très douloureux. Quoique ! Au moment de l'éjaculation, j'avais le trou bien lubrifié et j'aurais aimé qu'il continue à me bourrer pour prendre mon pied. Mais il m'a jeté comme une vieille chaussette en me disant qu'il ne fallait pas confondre les rôles, même si j'étais une excellente pouffe».
Elle retourne à la table de jeu. Avec toujours sa robe dont l'utilité est très relative. Elle perd rapidement ses 300 euros. Elle revient à nouveau vers moi et me demande de lui trouver un autre client.
« Retournez à votre poste. Je vous envoie quelqu'un »
Je reprends contact avec le client précédent. Son copain se dit très intéressé. Il rejoint Jacqueline. Je ne peux pas m’empêcher cette fois-ci d'aller me laver les mains, ce qui est un prétexte pour faire le voyeur. Au bout de 10 minutes, j'entends Jacqueline crier : « Non, arrête, j'ai trop mal. Non, pas la tête dans la cuvette ».
Visiblement le mec a décidé de la défoncer et d'en profiter au maximum. On entend distinctement des bruits de claques suivis de petits cris : apparemment il lui donne la fessée et il ne fait pas semblant. Cinq minutes après le mec sort en me disant : « c'est vrai qu'elle est super bonne ta pute ».
Je vais voir Jacqueline. Elle est affalée sur le sol, recroquevillée sur elle même, la tête trempée, la robe déchirée, les seins complètement à l'air, sa croupe rougie par la fessée et maculée de sperme, et 3 billets de 100 euros enroulés dans sa fente. Je la mets debout. Je lui rajuste sa robe comme je peux. On sort du casino pour rejoindre la voiture.
« Je vous ramène. La fête est finie. Elle a été belle mais un peu extrême.
- Ne vous tracassez pas. J'ai cherché, j'ai trouvé. Maintenant il va falloir que je raconte tout ça à mon mari. C'est un jeu entre nous. Il va me punir méchamment. Je vais vous faire assister, vous vous cacherez dans la bibliothèque. Il y a une vitre sans tain qui permet de voir dans sa chambre sans être vu. »
Sur le chemin du retour, Jacqueline s'est endormie. Son maquillage a fondu. Elle a une tête de déterrée. Elle est quasiment nue. Ses seins pointent encore. Ils sont magnifiques. Sa chatte est entièrement épilée. Tenant le volant avec la main gauche, je la caresse avec la main droite. Je bande. J'ai envie de ce corps fatigué. Toute cette soirée, au cours de laquelle elle a été tellement désirable, exhibée à la vue de tous, matée par tous les mâles, vendue comme putain à ces deux clients et violemment baisée par eux, rajoute à mon excitation. J'ai besoin de la chevaucher. Maintenant.
Je m'arrête sur le parking d'une station-service et je me gare un peu à l'écart. Je descends, je contourne la voiture, j'ouvre la portière passager et là je me retrouve face à une croupe merveilleuse, avec une raie des fesses d'une profondeur exceptionnelle et un trou grand ouvert. Je me l’enfile. Je la pénètre facilement. On sent que les deux séances d'entraînement ont été bénéfiques. Je lui bourre le cul alors qu'elle reste totalement inerte. Je lui donne des grands coups de butoirs comme si je voulais la transpercer et je balance ma purée dans ce qui est normalement une zone intime et interdite mais qui est devenu un réceptacle à foutre.
Jacqueline pousse un petit cri et me dit : « J'ai joui. »
C'est confirmé, Jacqueline n'est pas seulement une chaudasse, elle n'est pas seulement ni une simple salope ni une simple pute : c'est une chienne enragée.
De retour au manoir, Jacqueline m'installe dans la bibliothèque comme convenu. J'assiste aux retrouvailles avec son mari.
« Alors, petite salope, tu t'es certainement envoyée en l'air ?
- Eh bien oui, je suis obligée de le reconnaître. Mais tu le savais au départ. C'est toi qui m'a encouragée. Je l'ai fait pour te faire bander, mon chéri.
- A genoux salope ! Enlève ta robe de putain ! Suce ! Tu n'es bonne qu'à ça. »
Jacqueline exécute les ordres.
« Vu l'état dans lequel tu es, j'imagine que tu as dû participer à une partouze ?
- Non, chéri, il n'y a pas eu de partouze mais j'avoue avoir baisé à cinq reprises au cours de la soirée »
Le notable se saisit d'une cravache et pendant la fellation en cours, il assène cinq coups sur chacune des fesses de sa femme. Elle hurle de douleur. Ses fesses, déjà rouges et marquées par le sadique au casino, deviennent violacées.
« Tu n'es qu'une traînée. Je devrais faire de toi une pute !
- C'est déjà fait, mon chéri, je me suis vendue à deux reprises ce soir. »
Le mari reprend sa cravache et frappe sur les cuisses de la soumise, sur son dos, sur son ventre. Il frappe fort. Jacqueline hurle à nouveau.
« Pitié, pitié. Je te branle le mieux que je peux, je te suce jusqu'au fond de ma gorge. Je ne peux pas mieux faire. »
Le mari explose d'un seul coup. Jacqueline reçoit son foutre en plein visage et sur ses seins.
« Dégage maintenant salope ! »
Jacqueline, les larmes aux yeux, barbouillée par son maquillage, totalement dénudée, telle un pantin désarticulé sur ses hauts talons, la croupe en feu, ses zones intimes explosées, le visage et les seins dégoulinants de sperme, épuisée par ses ébats sexuels, humiliée par ses amants, se relève et quitte la chambre de son époux vicieux. Malgré tout, elle sort la tête haute, comme si elle était fière du devoir accompli.
Je quitte le manoir, la conscience tranquille, puisque cette Jacqueline, véritable chienne en chaleur, est une nymphomane doublée d'une maso : elle a eu ce qu'elle voulait. Si une nouvelle occasion se présentait, je lui doublerais la dose de bites, de sperme, de fessées, de cravache et de clients. Pour son bien.
Après avoir fait un diagnostic de l'habitation, en cette fin d'après-midi estival, le couple m'invite à l'apéritif. L'homme s'était présenté comme propriétaire terrien. Son épouse, Jacqueline, au demeurant très charmante, s'était présentée comme femme au foyer. Lui doit avoir 70 ans, et elle, dans les cinquante, mais si lui accuse le poids des années, ce n'est pas le cas pour Jacqueline. Bien maquillée, toute bronzée, vêtue d'une robe légère, sur des escarpins à hauts talons, elle paraît plutôt avoir 40 ans. Elle est vraiment bien conservée, son corps mince est celui d'une jeune femme. Je n'y suis pas insensible.
Au moment de prendre congé, dans la conversation, je fais part que je vais passer la soirée au casino de Dinard. J'aime le jeu, mais je ne suis pas addict. Je me limite à dépenser 100 euros pour une soirée, mon but étant de durer le plus longtemps possible.
« Quelle chance vous avez! J'aime tellement les casinos, le jeu, l'ambiance dit Jacqueline.
- Je confirme dit le mari! »
Tout de go, je les invite à se joindre à moi.
« Impossible, répond le maître des lieux, j'ai ma partie de bridge. Mais vas-y Jacqueline, accompagne notre ami, je sais que tu aimes tellement ça!
- Alors, volontiers. Accordez moi 5 minutes. Je me change. »
Effectivement, après 5 minutes, Jacqueline ré-apparaît changée. Et quel changement : sur des escarpins à talons vertigineux, elle porte une mini robe léopard, descendant à mi cuisses, nouée derrière le cou et sur le bas des reins, avec un décolleté plongeant jusqu'au nombril, laissant apparaître des seins lourds et fermes et montrant la totalité de son dos. On comprend qu'elle ne porte pas de soutien-gorge mais on devine la marque d'une petite culotte.
« Aurais-tu un peu de liquide chéri?
- Tiens! ». Il lui donne des billets de 50 euros, une vingtaine. Pas mal. Y a du fric à la maison!
Nous voilà partis en direction de Dinard . La soirée est belle. Il fait chaud. Jacqueline paraît ravie. En fait, cette femme est canon. Jacqueline est très à l'aise. Ses cuisses sont dénudées très haut. Elle n'a pas cherché à rectifier sa robe quand elle s'est assise dans la voiture. Je prends l'initiative de la conversation et lui fait part de ma fierté d'être aussi bien accompagné.
"Vous êtes charmante. Vraiment charmante. Au casino, je vais pouvoir frimer à vos côtés. C'est pour moi un véritable honneur.
- Mais moi aussi je vous trouve charmant. Je suis très heureuse de sortir avec vous. J'ai vraiment envie que cette soirée soit pleinement réussie. Je suis très excitée.
- C'est à dire ? Excitée à l'idée du casino ou bien excitée pour autre chose ?
- Excitée pour le casino mais aussi pour autre chose. »
Elle m'embrasse sur la joue droite, passe sa main gauche dans mes cheveux et sa main droite sur mon torse en descendant doucement, puis s'arrête.
« Continuez s'il vous plaît, c'était bien ! »
Elle pose sa main droite sur ma braguette.
« Là ? C'est ça que vous voulez ? Reconnaissez que c'est ce que vous voulez ? »
Je n 'ai pas le temps de lui répondre. Elle déboutonne ma braguette, sort ma queue en érection et commence à me branler.
« Regardez devant vous, occupez-vous de la conduite, je m'occupe du reste! »
Puis elle se libère de la ceinture de sécurité, se penche vers moi, passe la tête sous le volant et me suce goulûment. J'ai la queue en feu. Je lui caresse le dos puis le haut des fesses et je rencontre sa petite culotte.
« Vous devriez retirer votre culotte ! »
Elle se relève, fait glisser sa culotte le long de ses jambes, confectionne une petite boule, ouvre sa fenêtre et la jette. Puis d'initiative elle enlève sa robe : elle est superbe ainsi, assise à mes côtés, s'offrant totalement nue.
La nuit commence à tomber. Je décide de m'arrêter dans le premier chemin à droite. On s'enlace instantanément, et on s'embrasse, avec une intensité inouïe, lèvres contre lèvres, langue contre langue, dents contre dents. J'en profite pour lui caresser les seins. Ils sont de bonne taille, lourds mais bien accrochés. Je les suce. Ils pointent tellement qu'on pourrait croire qu'ils vont libérer du lait.
Après quelques minutes d'étreinte, alors que ma queue est toujours en feu, je prends sa tête dans mes mains et je la conduis là où le devoir l'appelle. Il faut qu'elle termine ce qu'elle avait commencé. Elle avale ma queue et entame un mouvement de piston. A chaque fois que je la pénètre mon gland touche le fond de sa gorge. Je la tiens maintenant par les cheveux et je lui donne la cadence. Je ne tarde pas à jouir et je lui envoie de longues giclées de sperme. Elle avale tout.
Cette Jacqueline est une véritable chienne. Je pressens que la soirée va être très riche.
Elle se rhabille, c'est à dire qu'elle enfile sa mini robe, rien d'autre. On repend la route, direction Dinard.
Nous voilà près du casino. Avant d'entrer, je lui propose un petit jeu : on se sépare pour qu'elle vaque à ses occupations pendant que j'observe l'attitude des gens autour d'elle.
Elle se dit très emballée. Nous entrons chacun de notre côté. Jacqueline fait un tour rapide dans la salle des machines à sous puis échange des jetons et s'installe devant l'un des bandits manchots. Elle s'assoit sur le tabouret. Sa robe trop courte l'oblige à s’asseoir sur ses fesses dénudées. Tous les regards se portent sur elle. Les hommes, les femmes, les employés. J'entends les conversations et les commentaires : « As-tu vu la salope ? Qu'est-ce qu'elle est bonne ! C'est pas possible, c'est une pute ! Classe, quand même pour une pute ! C'est une pute de luxe ! Je m'enverrais bien en l'air avec elle ! Je lui éclaterais bien le cul ! etc »
Je ne m'attendais pas à ce qu'elle fasse un buzz pareil. C'est la vedette ! Plus aucune machine n'est libre à proximité d'elle. Elle fait l'unanimité. Sauf peut-être quelques femmes qui déclarent leur dégoût alors que vraisemblablement elles auraient aimé être à sa place. Elles sont jalouses, parce que Jacqueline est incontestablement, là, en ce moment, la plus belle, la plus sexy et la plus désirable. Ma fierté se fait alors ressentir, dans la tête et dans mon slip. J'ai soudain très envie de m'afficher avec elle. Que tous ces gens disent la chance que j'ai de me taper un canon pareil. Alors je vais vers elle, je lui passe la main dans le dos, je lui caresse les cuisses, je l'embrasse, bref, je marque mon territoire et je m'impose à la vue de tous comme étant son mec.
Je lui rapporte mes observations. Elle me dit que ça confirme son impression. Et que la situation l'enflamme tout particulièrement, et qu'elle n'en peut plus tellement son entre-cuisse est en feu.
« Il me faut une bite, tout de suite, je n'en peux plus !
- Rejoignez-moi aux toilettes hommes, dernière alvéole au fond à droite »
Personne dans les toilettes. Je m'y installe et elle me rejoint. Je m'assois sur le couvercle de la cuvette, le pantalon baissé, la queue en érection. Elle se met face à moi, écarte les cuisses et s'empale. Je la laisse imprimer la mesure. Très vite l'excitation est à son comble et j'éclate en elle, lui injectant plusieurs giclées de foutre. Visiblement, elle apprécie puisqu'elle se met à crier et à se contorsionner dans tous les sens, comme si elle s'essayait au rodéo.
Je sors le premier des toilettes, lesquelles étrangement sont d'un seul coup très fréquentées. Jacqueline a des prétendants. Elle sort à son tour et, comme si de rien n'était, va s'installer à une table de roulette. Elle s'affiche avec une décontraction naturelle, la robe toujours aussi lascive sur ses cuisses ouvertes et la poitrine offerte à demi dénudée. Elle rayonne et attise les regards des mâles qui n'en croient pas leurs yeux.
Un mec m'interpelle et me fait une proposition indécente : « 300 euros pour un quart d'heure avec ta femme aux toilettes. Mon copain est aussi intéressé au cas où ! Même tarif. »
Je lui dis que je prends acte et que je transmettrai la proposition.
Jacqueline joue gros, gagne de temps en temps, mais au bout d'une heure il ne lui reste plus rien du pactole donné par son mari. Elle revient vers moi, au bar où je me suis installé et d'où je pouvais la mater. Directe, elle me propose un nouveau séjour au toilettes moyennant une « indemnité » de 100 euros.
« C'est peu 100 euros. Vous méritez mieux que ça. J'ai rencontré un mec qui propose 300 euros. Qu'en pensez-vous ?
- Ok, je prends. Présentez moi.
- Inutile, allez aux toilettes, même alvéole. Je vous l'envoie. »
Elle s'exécute. Je retrouve le client en train de jouer aux machines à sous. Je lui annonce la bonne nouvelle. Il se précipite.
Un quart d'heure plus tard, Jacqueline réapparaît.
« Ça y est ! J'ai de quoi jouer à nouveau. Mais pas sans mal. Il m'a prise par derrière et m'a défoncé le cul avec son énorme bite. J'aime me faire sodomiser mais pas à sec comme ça. C'est très douloureux. Quoique ! Au moment de l'éjaculation, j'avais le trou bien lubrifié et j'aurais aimé qu'il continue à me bourrer pour prendre mon pied. Mais il m'a jeté comme une vieille chaussette en me disant qu'il ne fallait pas confondre les rôles, même si j'étais une excellente pouffe».
Elle retourne à la table de jeu. Avec toujours sa robe dont l'utilité est très relative. Elle perd rapidement ses 300 euros. Elle revient à nouveau vers moi et me demande de lui trouver un autre client.
« Retournez à votre poste. Je vous envoie quelqu'un »
Je reprends contact avec le client précédent. Son copain se dit très intéressé. Il rejoint Jacqueline. Je ne peux pas m’empêcher cette fois-ci d'aller me laver les mains, ce qui est un prétexte pour faire le voyeur. Au bout de 10 minutes, j'entends Jacqueline crier : « Non, arrête, j'ai trop mal. Non, pas la tête dans la cuvette ».
Visiblement le mec a décidé de la défoncer et d'en profiter au maximum. On entend distinctement des bruits de claques suivis de petits cris : apparemment il lui donne la fessée et il ne fait pas semblant. Cinq minutes après le mec sort en me disant : « c'est vrai qu'elle est super bonne ta pute ».
Je vais voir Jacqueline. Elle est affalée sur le sol, recroquevillée sur elle même, la tête trempée, la robe déchirée, les seins complètement à l'air, sa croupe rougie par la fessée et maculée de sperme, et 3 billets de 100 euros enroulés dans sa fente. Je la mets debout. Je lui rajuste sa robe comme je peux. On sort du casino pour rejoindre la voiture.
« Je vous ramène. La fête est finie. Elle a été belle mais un peu extrême.
- Ne vous tracassez pas. J'ai cherché, j'ai trouvé. Maintenant il va falloir que je raconte tout ça à mon mari. C'est un jeu entre nous. Il va me punir méchamment. Je vais vous faire assister, vous vous cacherez dans la bibliothèque. Il y a une vitre sans tain qui permet de voir dans sa chambre sans être vu. »
Sur le chemin du retour, Jacqueline s'est endormie. Son maquillage a fondu. Elle a une tête de déterrée. Elle est quasiment nue. Ses seins pointent encore. Ils sont magnifiques. Sa chatte est entièrement épilée. Tenant le volant avec la main gauche, je la caresse avec la main droite. Je bande. J'ai envie de ce corps fatigué. Toute cette soirée, au cours de laquelle elle a été tellement désirable, exhibée à la vue de tous, matée par tous les mâles, vendue comme putain à ces deux clients et violemment baisée par eux, rajoute à mon excitation. J'ai besoin de la chevaucher. Maintenant.
Je m'arrête sur le parking d'une station-service et je me gare un peu à l'écart. Je descends, je contourne la voiture, j'ouvre la portière passager et là je me retrouve face à une croupe merveilleuse, avec une raie des fesses d'une profondeur exceptionnelle et un trou grand ouvert. Je me l’enfile. Je la pénètre facilement. On sent que les deux séances d'entraînement ont été bénéfiques. Je lui bourre le cul alors qu'elle reste totalement inerte. Je lui donne des grands coups de butoirs comme si je voulais la transpercer et je balance ma purée dans ce qui est normalement une zone intime et interdite mais qui est devenu un réceptacle à foutre.
Jacqueline pousse un petit cri et me dit : « J'ai joui. »
C'est confirmé, Jacqueline n'est pas seulement une chaudasse, elle n'est pas seulement ni une simple salope ni une simple pute : c'est une chienne enragée.
De retour au manoir, Jacqueline m'installe dans la bibliothèque comme convenu. J'assiste aux retrouvailles avec son mari.
« Alors, petite salope, tu t'es certainement envoyée en l'air ?
- Eh bien oui, je suis obligée de le reconnaître. Mais tu le savais au départ. C'est toi qui m'a encouragée. Je l'ai fait pour te faire bander, mon chéri.
- A genoux salope ! Enlève ta robe de putain ! Suce ! Tu n'es bonne qu'à ça. »
Jacqueline exécute les ordres.
« Vu l'état dans lequel tu es, j'imagine que tu as dû participer à une partouze ?
- Non, chéri, il n'y a pas eu de partouze mais j'avoue avoir baisé à cinq reprises au cours de la soirée »
Le notable se saisit d'une cravache et pendant la fellation en cours, il assène cinq coups sur chacune des fesses de sa femme. Elle hurle de douleur. Ses fesses, déjà rouges et marquées par le sadique au casino, deviennent violacées.
« Tu n'es qu'une traînée. Je devrais faire de toi une pute !
- C'est déjà fait, mon chéri, je me suis vendue à deux reprises ce soir. »
Le mari reprend sa cravache et frappe sur les cuisses de la soumise, sur son dos, sur son ventre. Il frappe fort. Jacqueline hurle à nouveau.
« Pitié, pitié. Je te branle le mieux que je peux, je te suce jusqu'au fond de ma gorge. Je ne peux pas mieux faire. »
Le mari explose d'un seul coup. Jacqueline reçoit son foutre en plein visage et sur ses seins.
« Dégage maintenant salope ! »
Jacqueline, les larmes aux yeux, barbouillée par son maquillage, totalement dénudée, telle un pantin désarticulé sur ses hauts talons, la croupe en feu, ses zones intimes explosées, le visage et les seins dégoulinants de sperme, épuisée par ses ébats sexuels, humiliée par ses amants, se relève et quitte la chambre de son époux vicieux. Malgré tout, elle sort la tête haute, comme si elle était fière du devoir accompli.
Je quitte le manoir, la conscience tranquille, puisque cette Jacqueline, véritable chienne en chaleur, est une nymphomane doublée d'une maso : elle a eu ce qu'elle voulait. Si une nouvelle occasion se présentait, je lui doublerais la dose de bites, de sperme, de fessées, de cravache et de clients. Pour son bien.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vraiment elle est sensationnelle , je vuex encore et informez moi des nouvelels
parutions .charlotte
parutions .charlotte
Et qui n'aimerait pas tomber sur une pareille femelle ?
jacqueline est une vrai coquine :)